Attack on Titan
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[Done] L'habituel défaut de l'homme est de ne pas prévoir l'orage par beau temps. (Vega)
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Nahel O. Murawski
Nahel O. Murawski
Nahel O. Murawski
+ MESSAGES : 49
Nahel O. Murawski
Sam 9 Mai - 17:42
Tu as un mouvement pour retenir un rire quand la jeune femme annonce que le froid t’atteint. Tu vois, c’est exactement pour ça que tu aimes Vega. Elle te connait si bien que tu sais que tu n’as pas besoin de t’expliquer devant elle. Si tout le monde s’étonne de tes changements d’humeurs, elle, elle a su te regarder et voir en toi comment ça fonctionne.

« Ouais… Ça m’étreint. C’est comme si ça me faisait mal au fond de moi. Tu marmonnes en la regardant avec cette envie douloureuse de l’embrasser. Mais maintenant je viendrai me réchauffer ici. Même quand il fera chaud… Et tu lui adressais un sourire charmeur, un peu affamé. Si tu me laisses venir, j’entends. »

Tu lui as déjà fait assez de mal, tu ne vas pas t’imposer dans sa chambre sans son accord, même si tu te connais, tu arriveras à lui faire tourner la tête pour avoir son accord. Tu te rends bien compte, Nahel, que tu as de l’influence sur elle, et tu en uses souvent, mais dans le fond, tu ne veux pas lui faire de mal… Tu essaies… Tu te loupes. Et, te voilà à soupirer encore en levant une main de son bras pour caresser doucement sa joue alors qu’elle t’observe.

« Moi aussi. Ça faisait un bail qu’on ne s’était pas retrouvé comme ça. La dernière fois… Tu réfléchis un instant. C’est pas quand tu m’as caché dans ta chambre, chez tes parents, parce que je ne voulais pas rentrer chez moi ? On avait quoi ? 15 ans ? »

Un souvenir parmi les milliers que vous avez en commun. Tu ne sais même plus c’était à quelle occasion, juste que c’est arrivé après la mort d’Elrik, une engueulade à la maison certainement. Tu te souviens juste que tu t’étais caché chez les Koenig et que leur maman avait fait comme si elle ne savait pas que tu étais là. Et vous aviez dû vous serrer à deux dans son petit lit. Tu avais dormi si bien, en la tenant dans tes bras…

« Ne dormons pas alors… Tu réponds, l’esprit ailleurs. Et si tu cherches ce que tu peux faire, pour l’occuper, tes premières idées ne sont pas franchement faisables, jusqu’à te redresser un peu, tout à coup, en la retenant contre toi. Je sais ! On fait un action/vérité ?! Ça fait des années que j’y ai pas joué ! Tu attrapes son menton pour venir te planter devant elle, un sourire entraînant et enfantin sur les lèvres. Alleeez ! Tu commences, action ou vérité ?! »

Et t’es vraiment comme un gosse, maintenant, même si ce sont avec tes bras d’adultes que tu la serres contre toi.
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Vega Koenig
Vega Koenig
Vega Koenig
+ MESSAGES : 55
Vega Koenig
Sam 9 Mai - 18:00
« Tu peux … je te l’ai dit. » Que tu glisses. Il le répète, et tu aurais pu changer d’avis, mais tu ne le fais pas. C’est comme s’il t’avais ouvert une porte – et ce n’est sans doute pas la première fois – et que tu étais cette fois bien décidée à t’y faufiler. C’est une nouvelle occasion de l’avoir près de toi, et maintenant que tu as goûter à sa présence dans ton lit, tu ne veux plus t’en défaire, tu aimerais qu’il soit là chaque soir pour t’offrir ses bras, pour que tu puisses te blottir contre lui. Tu sombres, à nouveau, petit à petit, comme il y a quelques années, jusqu’à ce qu’il te demande sérieusement d’être avec lui, et que tu refuses, trop effrayée, trop enfermée dans tes doutes et tes interrogations. Depuis, tu as cessé d’aller trop loin, persuadée que tu n’en as plus le droit mais … voilà que tu te remets à laisser venir, à approcher, à lui laisser l’accès grand ouvert, jusqu’à toi.

Tu souris lorsqu’il évoque ce souvenir que vous avez en commun. En fait, tu laisses même échapper un petit rire, en te rappelant que tu l’avais fait entrer en douce, que tu avais pris toutes les précautions du monde ce jour-là, pour te rendre compte au final, que ta mère savait, qu’elle avait tout vu, et quelle avait laisser faire. Tu t’étais endormie dans ses bras, tu t’en souviens, il était collé dans ton dos, il t’avait tenue chaud malgré la fenêtre restée entrouverte. « Quinze ans oui, c’était une semaine à peine après notre anniversaire. » L’anniversaire que vous aviez en commun, même date.

Cependant, tu l’as dit tu n’as pas envie de dormir cette fois, et quand tu l’annonces, le voilà qui s’agite, soudainement, qui cherche une idée, et quand il a trouvé, il se redresse tout en continuant de te presser contre lui, il vient attraper ton menton et bon sang, Vega, te voilà encore une fois littéralement captivée par son regard. « Ça me va. » Que tu laisses échapper, distraitement, alors qu’à la base jeune fille, ce genre de jeu, tu t’en méfies énormément, parce que, tu as beaucoup de choses à retenir et à cacher, surtout face à Nahel. « Euh … » Te voilà à chercher, subitement, ce qui pourrait être le moins dangereux et risqué pour toi, et étant donné que tu n’as pas envie de te bouger … « Vérité, alors ! Vas-y, je t’écoute. »
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Nahel O. Murawski
Nahel O. Murawski
Nahel O. Murawski
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Nahel O. Murawski
Sam 9 Mai - 18:14
Ça te fait toujours cette douce chaleur quand on évoque votre anniversaire. Depuis aussi longtemps que tu connais Vega, ça n’a jamais été ton anniversaire, ni le sien, mais le vôtre. Vous avez découvert rapidement que vous étiez nés le même jour et mine de rien, vous avez toujours fait en sorte de le fêter ensemble. Toujours, jusqu’à ce que des amis ou des filles viennent se mêler de ça. Et tu peux clairement dire que tu préférais avant, quand vous n’étiez que tous les deux à jouer dans les pattes des Koenig. Rarement chez toi… hein.

« T’as raison. Tu avais été infernale, comme toujours, pendant la fête d’anniversaire, j’en mettrai ma main à couper. »

Et tu la taquines, avec un rire doux. Il faut dire que tu adores la provoquer, tu adores la titiller, la voir réagir au quart de tour. Même quand elle te frappe ou râle, tu adores l’avoir près de toi. Si Sanya dit vrai, alors même quand elle te fait tourner en bourrique, mon vieux, tu ne peux pas te passer de la jeune femme. Et tu en profites maintenant que tu la tiens. Encore plus quand tu lances cette idée de jeu.

« Ohhh, te voilà bien courageuse ! Que pourrais-je demander… Tu prends un visage clairement espiègle, en la regardant droit dans les yeux, comme si tu t’apprêtais à demander quelque chose de beaucoup trop intime. Hmmm. Ah ! Quelle est la chose que tu préfères chez les hommes et pourquoi ?! »

Ça va, tu n’en demandes pas trop, mais tu orientes clairement ta question. Tu es presque certain que tu vas la gêner, qu’elle rougira peut-être, mais toi ça te plait. Si tu sais ce qu’il te manque pour la rendre heureuse, tu pourras t’améliorer non ? Et puis tu botteras le cul de tous ceux qui s’approchent et qui ont ce truc. Ouais, c’est une bonne question.
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Vega Koenig
Vega Koenig
Vega Koenig
+ MESSAGES : 55
Vega Koenig
Sam 9 Mai - 18:40
Tu as ce moment de réflexion lorsqu’il parle de votre anniversaire cette année-là, et puis, en quelques secondes à peine, un sourire vient à nouveau se dessiner sur tes lèvres parce qu’il a raison. Il faut dire que tu n’as jamais été la plus sage des enfants Koenig. Tu as toujours été un peu capricieuse, et clairement, l’une des premières à faire des bêtises. « Si je me souviens bien, c’est l’année où j’ai cassé le vase de maman en voulant t’échapper parce que tu me courrais après pour avoir le bonbon rouge. » Tu t’en souviens, maman était furieuse, et pourtant, elle a contenu sa colère juste parce que c’était un jour d’anniversaire. C’est ton père qui a dû s’arranger dés le lendemain pour recoller le vase de porcelaine et le remettre à sa place, tu avais dû promettre de ne plus jamais courir dans la maison. Une semaine plus tard, tu faisais un faux mouvement pour rattraper Sage, et le vase finissait à nouveau par terre.

C’est donc vers une vérité que tu t’orientes, en espérant, au fond, qu’il choisisse de démarrer tout doucement. Cependant, c’est Nahel, et évidemment, sa question ne manque pas de te faire rougir. Oh, ce n’est pas trop osé, bien au contraire, mais quand on sait qu’il est le seul homme que tu regardes, et le seul sur lequel tu peux te baser pour répondre et bien … ça devient finalement vachement gênant. Néanmoins, il y a bel et bien une chose qui te fais définitivement craquer chez lui. « Les yeux. » Que tu réponds alors, en détournant très légèrement le regard. Dans le noir, tu as de nouveau rougi jusqu’aux oreilles, mais tu te décides quand même à lui faire face à nouveau après seulement quelques secondes. « J’aime … qu’on me regarde, intensément, comme s’il n’y avait plus que moi. Ça me fait craquer … » Tu dis ça timidement, doucement, et à la fois, tu ne manques pas de lui lancer ce regard qui en dit long, avant de lui sourire à nouveau. « A ton tour, maintenant ! Action ou vérité ? »
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Nahel O. Murawski
Nahel O. Murawski
Nahel O. Murawski
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Nahel O. Murawski
Sam 9 Mai - 18:56
Oh le vase ! En effet, tu t’en souviens. Tu avais bien cru que sa mère allait vous tuer, et c’est qu’elle pouvait crier fort, maman Koenig, mais vous aviez fini la journée sans vous faire gronder. Un jour de fête respecté chez cette famille nombreuse. Le sourire qui vient jouer sur tes lèvres se tinte de nostalgie. Ça te manque, Nahel. Cette vie te manque. L’innocence d’être un enfant. Il n’y avait que toi et Vega, et un petit groupe de copains. C’était… sacrément plus simple.

Pourtant, tu vois, tu n’es pas quelqu’un qui reste longtemps dans la nostalgie, et il ne te faut qu’obtenir sa réponse pour retomber profondément et purement dans le jeu. Tes yeux brillent d’une étincelle particulière quand tu prononces ta question. Et tu te sens encore plus heureux quand tu la vois rougir. Tu te reviens de la retenir de baisser les yeux et tu attends. Jusqu’à ce qu’elle te réponde. Et là, mon vieux, tu es complètement pris par surprise :

« Oh ! Tu aimes ça ? Et te voilà à reposer ta main sur sa joue pour la regarder droit dans les yeux, un sourire moqueur sur les lèvres. Ça veut dire que ça marche quand je te fais ça ?! Et tu pouffes, tu finis par la relâcher pour la serrer dans tes bras. Je te taquine, c’est mignon je trouve. »

C’est clairement bien différent de ce que les filles peuvent te répondre habituellement et tu vois, c’est clairement pour ça que tu es si obnubilé par la jeune femme. Elle n’est pas comme les autres. Elle ne leur ressemble pas et… oui, c’est vrai, elle te touche.

« Alors… Moi je suis un courageux, je dis action ! »

Et tu gonfles le torse, comme pour en rajouter à ton portrait. T’es pas si confiant, pourtant, parce que t’imagines bien qu’elle va te trouver un truc parfait pour toi.
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Vega Koenig
Vega Koenig
Vega Koenig
+ MESSAGES : 55
Vega Koenig
Sam 9 Mai - 19:20
Ça te fait du bien, Vega, de te replonger comme ça dans tes souvenirs d’enfance avec Nahel. Tu y penses souvent, toi, mais ce n’est pas si souvent en revanche que vous avez l’occasion d’être assez tranquilles tous les deux pour les évoquer en commun, et là, ça te procure un sentiment de bien être quasiment indescriptible. C’est fou, mais tu as déjà oublié cette danse interrompue, et même la présence de cette fille en bas, dans l’auberge. Tu n’y penses plus, totalement focalisée sur Nahel, et sur le jeu. Et quand tu lui réponds, quand il revient poser la maison sur ta joue pour te regarder comme ça … ses yeux dans les tiens, tu frissonnes. Parce que s’il plaisante, s’il joue avec toi, s’il te taquine et qu’il s’arrête finalement très vite, il a tout de même raison, ça marche, et ça marche même mieux qu’il semble pouvoir se l’imaginer.

Lorsque c’est son tour, et que tu l’entends choisir une action, tu finis par te redresser pour t’asseoir en tailleur sur ton matelas. Un doigt sur tes lèvres, tu réfléchis un instant, avant de te mettre à sourire. Tu as décidé d’être joueuse, si d’ordinaire, tu n’oserais rien, si tu te contenterais surement d’action très inoffensives, et à la limite très enfantines, cette fois, te veux voir jusqu’où tu peux aller exactement, ce que tu oses faire, et demander en sa seule présence. Et te voilà à rouler des épaules, avant de balancer ton gilet et de te tourner légèrement pour lui montrer ton dos. « Je veux un massage, servir des verres, ça fait mal aux épaules. » Tu tournes un peu la tête vers lui pour afficher une fausse grimace de douleur, alors que tu hausses les épaules. « Et je veux savoir si tu es doué pour ça. »
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Nahel O. Murawski
Nahel O. Murawski
Nahel O. Murawski
+ MESSAGES : 49
Nahel O. Murawski
Sam 9 Mai - 19:49
Si seulement hein… Si seulement tu pouvais la regarder comme ça dans les yeux et en prendre plus. Ça ne cesse de te tourner en boucle dans la tête et tu sais, mon vieux, que tu vas devoir lutter contre ça toute la soirée. Même après, quand Vega sera fatiguée, tu ne comptes pas la lâcher. Tu veux… juste la tenir contre toi, et t’es assez lucide pour savoir que tu ne vas pas dormir cette nuit, au risque de mal te comporter… Tu ne peux pas lui faire de mal, pas comme ça.

Et la voilà qui te trouve un gage qui te fait sacrément rire. Il n’y a bien qu’elle pour te proposer une telle action sans oser t’en prendre trop. Tu sais qu’elle a sûrement déjà osé aller au-delà de ce qu’elle se permet habituellement. Alors tu réagis aussi sec, tu te mets assis, tu l’attires dos contre ton torse et te voilà à faire courir tes mains sur ses épaules et sa nuque, en des pressions certes un peu hasardeuses, mais vraiment voulues pour détendre.

« Alors, très chère, est-ce que je suis aussi génial sur ce niveau ? Et te voilà à glisser tes mains contre ses bras, lentement, tu viens poser ton menton sur son épaule tout contre elle. Si ça te fait du bien, je recommencerai les autres soirs. »

Tu ne devrais pas, mais tu le fais quand même. C’est dans ta nature d’en prendre toujours trop, de te montrer charmeur et de dépasser la limite du bon sens. Et comme pour te donner bonne conscience, tu finis par refermer tes bras autour d’elle, sans bouger la tête et tu marmonnes, un peu maladroitement :

« Pis je te lâche pas, tu vois. C’est ça… tu en prends surtout mon grand. À toi, Vega. Action ou Vérité ? Est-ce que tu seras joueuse ? »

Tu la taquines, parce que tu as envie de la voir se lâcher pour une fois. Tu veux l’entraîner sur ton terrain !
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Vega Koenig
Vega Koenig
Vega Koenig
+ MESSAGES : 55
Vega Koenig
Sam 9 Mai - 20:07
Tu tentes. Oui. Tu essaies. Tu sais que ça ne lui posera pas le moindre problème, à lui, que tu pourrais aisément aller plus loin, et le mettre au défi de faire bien plus oser, cependant, c’est toi qui n’oses pas, c’est toi, de vous deux, qui est toujours dans la retenue. Et pourtant, tu n’es pas du genre timide, vois-tu, c’est plutôt que dans certains domaines, tu n’as … pas d’expérience. C’est d’ailleurs quelque chose qui te pèse un peu, parfois. Parce que, lorsque tu regardes des filles comme Sanya – toujours elle – parfois, même si tu la détestes, tu te mets aussi à l’envier pour son aisance. Tu la trouves ridicule, la plupart du temps, mais elle ose. Elle se frotte contre lui, elle le touche d’une certaine façon, elle pose les mains de Nahel sur son propre corps … toi, tu ne sais pas faire ça. Parce que c’est le propre des filles qui savent s’y prendre, qui ont déjà offert leur corps à un homme, et qui savent parfaitement ce qui peut leur faire plaisir. Toi. Tu l’ignores. Tu conserves cette innocence, ce brin de timidité même en réalité dans ce domaine particulier.

Le massage … c’est juste un bon compromis, tu lui permets de poser les mains sur toi sans trop en demander. Ce n’est qu’une caresse en somme, et pourtant, quand il s’approche, quand tu sens ses doigts qui appuie, ses mains qui passent de ta nuque, à tes épaules pour finalement glisser le long de tes bras, tu frissonnes. Malgré toi, tu laisses même échapper ce soupire de contentement, et lorsque tu t’en rends compte, tu te mords la lèvre pour t’empêcher de recommencer, jusqu’à ce qu’il te prenne complètement dans ses bras. « Je te trouve plutôt doué moi en tout cas … » Tu parles, Vega, tu ne sais pas vraiment à quoi ressemble un vrai massage, mais tu sais que ses mains qui parcourent ta peau, ça te fait du bien, beaucoup de bien. Au point où tu laisses ton corps reposer en arrière, tout contre le sien. « Mh … action cette fois ! » Parce qu’effectivement, toi aussi tu as décidé d’être joueuse, et de répondre à sa petite provocation.
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Nahel O. Murawski
Nahel O. Murawski
Nahel O. Murawski
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Nahel O. Murawski
Sam 9 Mai - 20:27
Tu la serres contre toi, tu la tiens, tu sens son odeur et il n’y a pas à dire, tu es juste bien là. Même si tes mains glissent sur son ventre qu’il te faut les nouer contre elle pour éviter de faire quelque chose d’interdit. Ce mot est tout ce que tu détestes, mais tu vois tu t’y tiens quand même avec elle. Tu essaies. Tu te trompes, tu échoues. Mais personne ne pourra ignorer combien tu essaies.

Elle vient s’appuyer un peu plus contre toi et même si elle répond la question, après avoir reconnu ton niveau de massage, tu ne dis rien. Tes yeux sont fermés, tu profites juste du moment. Le menton contre son oreille, tu écoutes le bruit de sa respiration, immobile. Et quand tu finis par bouger, c’est uniquement pour la caler un peu plus contre toi, les jambes de chaque côté des siennes.

« Hmmm… Tu me connais, j’aime bien qu’on me fasse des éloges… Tu as ce petit sourire insupportable, même si tes joues chauffent un peu. Heureusement qu’elle ne peut pas trop te regarder en face. Puisque je n’ai pas envie de te lâcher, on va te faire parler… Fais-moi la plus belle des déclarations d’amour ! Tu peux dire ce que tu veux, mentir, t’inspirer de mon grand talent. »

Et tu sais combien c’est déraisonnable. Tu sais que tu vas te faire du mal, que tu vas espérer que ce qu’elle dira soit vrai. Que si elle le dit en se forçant, tu seras déçue. Que si elle refuse tu seras blessé. C’est pour ça que tu ne regardes pas son visage. Tu refermes les yeux, sans la lâcher et tu lui offres l’intimité qu’elle veut pour relever ton défi. Et finalement, tu viens même tenter de lui donner un peu de courage :

« Si tu le fais, ce sera vérité pour moi, ensuite. Tu pourras me soutirer mes pires secrets… »

Et sans réfléchir, tu viens poser tes lèvres sur le bord de sa mâchoire, sous l’oreille avant de revenir te figer, sacrément patient et calme, tout à coup.
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Vega Koenig
Vega Koenig
Vega Koenig
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Vega Koenig
Sam 9 Mai - 21:06
Tu te rends compte … qu’il est encore parvenu à faire monter cette vague de désir en toi. Ses mains sur toi, ça te rend complètement folle, c’est pratiquement surhumain, l’effort qu’il te faut pour ne pas te retourner et te jeter sur ses lèvres, Vega. Néanmoins, tu continues, tu tiens bon, tu te l’interdis, encore, toujours. Si tu le fais, tu cours droit à la catastrophe, si tu l’embrasses, tu vas en vouloir plus, parce que tu vois, Vega, il y a bien trop longtemps que tu réprimes tout ça, ton envie, tes désirs, certains de tes fantasmes le concernant même … Oui. Ça va loin. Mais il faut au moins savoir ça pour prendre la mesure de ce que tu vis, depuis toutes ces années, à l’avoir là, à être dans son sillage, sans jamais pourvoir obtenir ce que tu désires au plus profond de toi.

Seulement … voilà, tu veux jouer, tu veux essayer, et tu as beau savoir que ça va forcément se retourner contre toi, tu continues, tu choisis l’action, tout en sachant qu’il va forcément en profiter, tu t’attends à quelque chose de gênant, oui, mais tu es loin, très loin de t’attendre à sa demande. Et tu te figes, Vega. Parce que, tu n’es pas certaine de pouvoir faire ça. Ou si, en fait, tu es pratiquement certaine que ça pourrait venir naturellement, mais c’est justement le problème. Et tu fermes les yeux, tu souffles. Tu as accepté de jouer. Tu pourrais refuser, tu pourrais lui demander de changer, mais tu te sens coincée, parce que tu te dis que le fait de refuser pourrait … tu n’en sais rien, en fait, lui permettre de se douter de quelque chose, peut-être. Au final, tu en viens à penser que jouer le jeu, c’est le meilleur moyen de t’en sortir, tout ce que tu diras passeras pour un jeu, parce que, ce n’est que ça, n’est-ce pas ? C’est juste un jeu. « Mh … d’accord alors euh … » Tu n’as pourtant pas tellement à réfléchir, seulement, tu n’as jamais songé à faire ça … ou si … mais jamais pour de vrai. « Il y a longtemps que j’ai appris à t’aimer, tu sais, je vais pas dire que c’est facile avec toi, mais j’arrive pas à détourner mes yeux de toi, quand tu es là, il n’y a que toi, et même quand tu n’es pas là, c’est toujours toi. Je n’aimerais jamais un autre comme je t’aime, en fait, je ne serais jamais capable d’en aimer un autre parce que mon monde se résume à toi, à tes yeux qui capturent les miens, à ton odeur quand tu es contre moi, à tout ce que je ressens quand ta peau effleure la mienne … » Et tu t’arrêtes, Vega, il y a tant à dire, mais tu estimes que c’est suffisant, parce que tu te sens déjà à bout de souffle, et parce que tu sens que ton corps s’est mis à trembler de lui-même. C’est la vérité que tu viens de lui offrir, tu te caches derrière le jeu, évidemment, mais c’est une belle partie de ce que tu as sur le cœur. Alors, tu souffles, tu soupires, et puis tu oses tourner légèrement la tête vers lui. Le regard brillant, brûlant à la fois. « Une vérité … alors … tu as déjà été amoureux, toi ? Pour de vrai, au point d’avoir envie de laisser tomber tout le reste ? »
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