Attack on Titan
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[TERMINE] - [MINI-RP] Nul ne se connaît tant qu'il n'a pas souffert. (Karhlya -maybe Micah-)
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Laszlo Koenig
Laszlo Koenig
Laszlo Koenig
+ MESSAGES : 237
Laszlo Koenig
Ven 5 Juin - 18:04
T’as la haine. Nan, c’est même pas vrai Laszlo. Ce que tu ressens, ce n’est pas ça. C’est bien pire, bien nouveau, bien insupportable. Si jusqu’a aujourd’hui tu étais une cocotte-minute sous pression, ce qu’il s’est passé a l’entraînement a littéralement distillé un poison dangereux en toi. Chaque minute de chaque journée depuis cette bagarre, ton esprit te le rappelle. Et quand ce n’est pas ton esprit, c’est la douleur tenace de ton oeil au beurre noir. Tant et si bien, mon grand, que tu t’es caché au QG, dans la chambre qui est à ton nom, et que tu n’es même pas rentré à la maison. T’es trop furieux, tu as craint de faire du mal à un de tes proches.

Les choses se sont empilées. Les échecs, tous plus cuisants les uns que les autres. La provocation de Kanaan. Le coup de Karhlya. Les reproches de Aiji, une fois… puis une seconde. Et pendant la journée de travaux forcés, tu mets toute ton énergie à récurer le sol sans jeter le monde coup d’oeil aux deux frangins. Parce que oui, maintenant, tu l’as avalé ce morceau-là aussi.

T'aurais probablement dû rentrer directement à la fin de la journée, après avoir encore brillamment évité de leur donner une once de ton attention pendant tout votre temps ensemble. Ton caporal se trompe, vous faire bosser ensemble ne vous donnera rien de plus que de l’emmerdement. Le truc, c’est que tu étais en train de quitter l’écurie quand la brune s’est mise en travers de ton chemin. C’était peut-être pas voulu, au départ, mais ton “Pousse-toi !” glacial a visiblement déclenché le conflit. Tu ne te souviens même plus ses mots. Juste qu’elle t’a dit de la suivre et toi, t’as une telle pression de colère au fond de ton âme, que tu l’as suivi avec un rictus jaune.

Vous avez marché l’un à côté de l’autre à travers Karanes, d’un bon pas. T’as pas repéré Kanaan, t’imagines donc qu’elle a décidé sur un coup de tête de régler le souci. Le truc, c’est que tu connais Karhlya douce, Karhlya forte, Karhlya qui parle avant de frapper. Depuis l’entraînement, tu commences à comprendre qu’elle peut aussi se montrer méprisable et violente… alors non, tu ne sais pas ce que ça va donner.

« Qu’est-ce que tu m’veux, Karhlya ?! Tu claques finalement, alors que vous terminez par arrivée dans un coin calme, mal famé, du district. T’es décidé à t’excuser ou juste à m’trouver plus de choses à m’reprocher ? »

Tu la provoques, gratuitement. Et le pire c’est que t’as jamais pu appeler tes collègues par leur nom, comme tout le monde le fait. Toi t’aimes trop les gens pour les résumer à des noms, et même là, devant la petite furie, c’est son prénom que tu uses. Est-ce que ce n’est pas pire, ça, encore ?
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Karhlya Koenig
Karhlya Koenig
Karhlya Koenig
« wings of freedom »
+ MESSAGES : 350
Karhlya Koenig
Ven 5 Juin - 20:23
Tu sais quoi ? Ça te gave, cette histoire de travaux forcés. Tu as autre chose à faire. Depuis la chute de Trost, le District n’a pas réouvert ses portes aux habitants, et si tu peux faire en sorte de garder la maison pour ta mère, lui ramener quelques affaires, tu ne peux pas passer du temps avec ta famille, parce qu’il arrive toujours quelque chose. Mission. Entrainement. Maintenant ça. Autant dire que tu préfèrerais mille fois être auprès de ta mère pour profiter un peu de sa présence avant que les hauts gradés ne se décident à vous renvoyer dehors. Mais non. Ici, tu en as pour deux semaines. Deux. C’est énorme, deux semaines pour toi, tout ça pour avoir simplement défendu, et pris le parti de ton frère. Tout ça parce qu’un sombre crétin semble avoir des problèmes à se comporter normalement ces derniers temps …

Tu n’as rien dit. Tu vois, Karhlya, tu as fait cet effort. Mais tu ne l’as pas fait pour toi, contre toute attente, c’est pour Aiji que tu te retiens. Koenig ne dit rien. Pas un mot depuis que vous avez commencé ces travaux à l’écurie tous les trois, il vient, il repart, ça te va très bien. Tu n’es pas calmée, pourtant, ce serait bien trop facile. Si encore ça s’était arrêté à cette altercation, tu vois, peut-être que tu serais allée t’excuser, seulement, il a fallu que Laszlo te lance cette pique à laquelle tu n’as pas pu répondre, et ça, tu le rumines. C’est coincé, tu l’as en travers de la gorge, tu n’arrives pas à l’avaler. Tu as toujours été sincère, ma grande, avec chacun d’eux. Ce jour-là, quand tu l’as serré contre toi, un court instant, pour le soutenir, tu l’étais aussi. Sa seule erreur, c’est d’avoir osé blesser ton frère à ce point, c’est d’avoir déclencher ta colère … c’est aussi d’avoir remis en cause ton honnêteté.

Et si tu restes parfaitement calme depuis des jours, alors que ton frère s’est déjà éloigné, que tu fais un pas pour attraper ton sac et quitter l’écurie, voilà que tu percutes Koenig, et tu grognes de ton côté, mais lorsque ses mots, tranchants, agressifs viennent te frapper, tu vois rouge à nouveau, tu craques. « On a des choses à régler, toi et moi. » Que tu claques. « Amène-toi. » Tu sers les dents, tu attrapes ton sac, et tu te mets en route, lui derrière toi, tu t’avances, sans un mot, tu le guides jusqu’à un endroit calme, ce genre de rue sombre où personne ne vient jamais, pour éviter d’offrir le spectacle à qui que ce soit. Et tu souffles, parce que, tu continues d’essayer, de toutes tes forces … sauf qu’encore une fois, il attaque le premier, et tu oublies tout effort, tu ne tempères plus. « M’excuser, j’espère que tu plaisantes, c’est à toi de le faire ! » C’est pas vrai. Décidément, en ce moment, il a un don pour te faire monter la moutarde au nez, et de nouveau, c’est la tempête dans ton regard. Tu viens le pousser, une fois, brutalement. « Comment ça marche, il faut te secouer pour que tu te rendes compte que t’as un sérieux problème ? Je me dévoue pour le faire si tu veux. »
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Laszlo Koenig
Laszlo Koenig
Laszlo Koenig
+ MESSAGES : 237
Laszlo Koenig
Ven 5 Juin - 20:47
T’en reviens toujours pas de l’avoir suivie. Y’a aucune raison de le faire, si ce n’est que tu te rends bien compte que tu ne supportes plus la pression dans ta tête. Tu ne sais même pas ce que tu veux d’elle, Laszlo. T’es pas certain d’accepter ses excuses. Tu peux bien parler avec elle, t’as l’impression que ça ne changera rien. Alors, à la place, ton esprit sur le fait qu’elle risque de revenir un coup dans la tête et que tu ne resteras pas sans rien faire. Jusqu’à arrivé dans la ruelle.

« À moi ? T’es sérieuse, Karhlya ? C’est ce connard qui a commencé à lancer l’offensive ! C’est un nid à problème sur pattes, et j’suis désolée si ça ne te plait pas, mais ouvre les yeux. Il débarque, il se dit ton frangin et ça y est, tu lui manges dans la main ? »

OK, visiblement tu as envie de parler, mais surtout de cracher tout le venin qui est en train de se répandre en toi. T’es pas tendre, Laszlo, mais tu sais que la petite furie va faire de même. Tu la brusques parce que tu la sais intelligente. Franchement, mon vieux, tu en es à te dire que ce connard de Frei a dû la manipuler.

« Putain, mais arrêtes ça ! Que tu lui claques au nez quand elle te repousse, brusquement. J’veux pas te taper dessus. J’frappe pas sans raison, moi ! Tu l’agresses, avant de faire un pas vers elle, comme pour lui montrer que t’as pas peur d’elle. Et surtout j’frappe pas les femmes ! »

Ça ne te ressemble pas Laszlo… ou si, ça te ressemble, mais étrangement. Oui, tu as toujours fait attention aux femmes, plus qu’aux hommes. C’est comme ça, t’es un peu fleur bleue, clairement protecteur. Mais là, tu viens de résumer un de tes meilleurs coéquipiers à son sexe pour justifier que tu ne l’agresses pas physiquement. À croire que si tu refuses de te battre, tu veux la blesser de tes mots.

« C’est quoi ton problème, hein ? Tu crois pas que ce grand con de Frei pouvait pas se défendre face à moi, tout seul ? T’avais besoin de jouer à la justicière, pour te sentir à la hauteur ?! »

Et tu avances encore d’un pas sur elle, bras sur le torse, même si tu es plus alerte que jamais. Tu bous, tu ne te laisseras pas faire cette fois sans répondre. Et c’est pour ça que t’es déjà prêt à détacher tes mains de ton torse pour répondre à la violence… par la violence.
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Karhlya Koenig
Karhlya Koenig
Karhlya Koenig
« wings of freedom »
+ MESSAGES : 350
Karhlya Koenig
Ven 5 Juin - 21:07
Franchement, tu l’aimes bien Laszlo à la base. C’est même étonnant que ça ait fini par tourner autant au vinaigre entre lui et toi, parce que, c’est probablement l’un des éléments les plus calmes de cette escouade. C’est dur de le provoquer. Et puis surtout, tu n’es pas du genre à essayer, non plus, d’ordinaire. Tu les aimes tes équipiers. Ta seconde famille. La famille, c’est important, Karhlya … mais il est clair que ceux qui partagent ton sang auront toujours plus de poids dans la balance. Alors non, tu ne t’excuseras pas, et si tu as eu dû le faire dans le bureau d’Aiji, tu sais pertinemment, que tu n’en pensais rien, et surtout, tu sais que tu as probablement été capable de le faire comprendre, aussi. Tu n’as fait qu’obéir à un ordre, et si tu feras en sorte de plus causer de problèmes, ou d’y prendre part, comme à l’entrainement et bien, tu estimes que tu es en droit de le faire en dehors de la juridiction de l’armée. C’est surtout nécessaire.

« Y’a qu’un seul connard dans cette histoire, et c’est toi ! » Ça monte, encore, et encore, comme s’il n’y avait plus de limite à la quantité de colère que tu es capable de stocker dans ce petit corps. Il débite un flot de conneries hallucinant, et surtout, il tape là où ça fait mal. « Je t’interdis d’insinuer quoi que ce soit de ce genre. TU M’ENTENDS ? T’as une belle et grande famille il parait, hein Laszlo, si jamais je me mettais à cogner tes petites sœurs, ça donnerait quoi ? » Probablement qu’il réagit de la même manière que toi, t’en sais rien, en fait, tu t’en fous, surtout. Il ne sait pas de quoi il parle. Il y a bien trop de choses qu’il ignore. Des paramètres qui ne concerne que les tiens …

« Tu cognes pas les femmes mais t’étais bien parti pour frapper un homme à terre, par contre. » Et il continue, tu l’entends, sauf que, tu ne supportes plus. Ça ne te va pas, cette dispute, cette joute verbales ne t’apaises pas. Pire. Elle ne fait que t’énerver, encore, et encore. Alors, tout à coup, te voilà à te ruer à nouveau sur lui, et tu cognes, comme tu l’as fait il y a seulement quelques jours, tu lui envoies ton poing dans la mâchoire. « On va voir qui est à la hauteur. Répète un peu, continue vas-y ! Moi j’aurais aucun problème à cogner alors un bon conseil, décide-toi, autrement je te massacre. »

Dé d'attaque : 4.
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Laszlo Koenig
Laszlo Koenig
Laszlo Koenig
+ MESSAGES : 237
Laszlo Koenig
Ven 5 Juin - 21:19
« C’est ça, c’est encore sur moi qu’la faute retombe ! Ptain vous me faites tous vomir ! »

Et là, tu ne sais plus vraiment si tu lui en veux à elle ou aux autres. Si tu t’en veux à toi ou au monde entier. Pour la première fois depuis très longtemps, tu as complètement perdu tes repères, et tout ça ça vient à la base d’une bête discussion en mission qui t’a fait tiré le mauvais fumigène. Rien que ça, et la stabilité que tu avais bâtis jusque là… s’est écroulés comme un château de cartes.

« Putain. PUTAIN ARRÊTE ! NE PARLE PAS DE MES SOEURS ! Je te l’interdis ! Ne compare pas ce… ce… à elles ! »

Et tu vois, t’es si énervé que tu t’rends pas compte que tu reproduis ce qu’elle a fait avec Kanaan. Tu t’en fiches, ce n’est pas pareil parce que… parce que… MERDE HEIN ! Et elle continue, elle te cherche, elle reprend tes paroles pour les déformer, et finalement quand elle se jette sur toi, tu comprends que t’as assez poussé, t’as une raison de taper maintenant : ce n’est pas toi qui as commencé, Bailey pourra s’en rassurer. T’es pas le trublion cette fois-ci !

T’encaisses son coup en levant les bras devant ton visage. C’est tes avant-bras qui morflent, mais tu ne dis rien. Et tu la repousses, d’un coup du plat des mains sur ses épaules, avant de gueuler à nouveau, parce que pour toi, tout ça ne suffit pas visiblement :

« T’as que ça en réserve ? C’est bon gamine, tu m’auras pas deux fois de la même manière ! »

Et tu t’avances, les bras levés en garde devant ton visage, tu bouges pour te jeter sur elle et quand ta jambe se détend pour aller frapper dans la sienne, tu as un stupide mouvement pour te rattraper, pour t’arrêter parce que, merde, c’est une femme quand même.

« PUTAIN CA FAIT CHIER ! Que tu hurles, d’un seul coup, en baissant un peu ta défense.»

Dé : 5 défense (ca passe juste) / 7 Attaque (lol)
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Karhlya Koenig
Karhlya Koenig
Karhlya Koenig
« wings of freedom »
+ MESSAGES : 350
Karhlya Koenig
Ven 5 Juin - 21:35
C’est terminé. Tu attaques, tu rugis, tu cognes, il s’attaque à ta famille, tu tapes sur la sienne d’une certaine manière et ça, ça touche, tu le vois, il enrage, tout comme tu enrages quand on ose poser un doigt sur les tiens. Et toi, … t’as un sourire satisfait, à croire ma grande que la colère te fait complètement perdre les pédales, parce que, tu te sens fière d’avoir réussi à le mettre en rogne, l’espace d’un instant. Il gueule dans la ruelle. « Ce quoi ? Vas-y, continue si tu l’oses, ça me fera une raison de plus de t’en mettre une ! » Tes mots, tu les craches maintenant. C’est dingue, c’est un de tes équipiers, et pourtant, c’est comme si c’était devenu un inconnu. « Ça fait mal hein ? Ça pique ça, la famille, ça t’énerve, HEIN KOENIG ? »

Attaque. Provocation. Tu ne fais que ça, et puis tu cognes, et il parvient à se défendre, à faire en sorte que tu ne lui fasses pas trop mal. Tu ne sais pas trop ce qu’il fait juste après, il semble essayer d’attaquer, mais il ne te touche même pas, il enrage tout seul. Et toi, ça, tu le prends mal. Tu pourrais en profiter pour te calmer, pourtant, mais c’est comme s’il refusait de se battre, juste pourquoi ? Parce que t’es une femme. Il y a quelques jours, il remettait en doute ta sincérité, aujourd’hui, tes capacités, ta force, ta résistance, tout ça en même temps rien que parce que t’es une femme. Du coup, tu en profites, il a baissé sa garde, et tu essaies de t’y engouffrer, et tu cognes, de toutes tes forces, sauf que, tu sais pas ce que tu fais ma grande, tu ne sais pas s’il bouge, si tu fais n’importe quoi, toujours est-il que ton poing semble frapper sur un os, un os dur et résistant et toi, tu sens tes doigts qui craquent, et tu recules tandis que la douleur se propagent de tes doigts maintenant douloureux à ta main, ton bras, et tu secoues un bon coup, parce que, t’as du te péter quelque chose hein, mais c’est pas pour autant que tu lâches l’affaire, loin de là. La douleur te fait enrager. « JE VAIS TE TUER. JE TE JURE. JE VAIS TE TUER. » Putain, ça fait mal.

Dé d'attaque : 10.
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Laszlo Koenig
Laszlo Koenig
Laszlo Koenig
+ MESSAGES : 237
Laszlo Koenig
Ven 5 Juin - 21:50
Elle te provoque et ça marche… Ça marche même beaucoup trop bien. Ça te remue, ça te donne l’impression qu’on te coupe les entrailles avec un couteau chauffé à blanc. T’as envie de vomir, Laszlo, mais tu refuses de plier l’échine devant elle. Tout d’un coup, tu te rends compte que tu ne connais finalement très mal la jeune femme. Tu la pensais si forte, si intelligente et là… elle te provoque, elle semble ne même pas se rendre compte des conneries qu’elle débite.

Et si tu contres, tu vois, tu n’arrives pas à l’atteindre et tu te retrouves à gueuler comme un putois dans la ruelle, en commençant à voir des silhouettes bouger derrière les baraques sombres et écoeurantes. Et elle en profite. Elle a bien raison, tu m’diras, sauf que tu ne comprends rien. Tu la vois se jeter sur toi, frapper et tu… ne sens rien ? En faite tu comprends quand elle se recule qu’elle à probablement frappé sur une partie dure de ton accoutrement ou une connerie du genre.

« Mais oui, vas-y ! VAS Y ! J’M’EN BRANLE DE MOURIR ! Que tu lui hurles en réponse. Tu ne comprends rien, Karhlya. Putain, mais t’es si conne ! Tu défends le mauvais gars ! Ça m’rend dingue putain. MAIS PUTAIN ! »

Et tu te jettes sur elle. L’idée première, c’est de l’attraper et de la retenir, pour la cogner encore et encore, jusqu’à ce qu’elle revienne à la raison. Le truc c’est que t’es trop brute, tu découvres une force brute en toi. Alors oui, tu te jettes dessus et en faite tu la fais basculer au sol avec toi. Sauf que t’es si surpris du mouvement qu’elle t’échappe et toi tu fais un putain de roulé-boulé pour aller t’encastrer dans un mur, à deux pas d’une paire de poubelles qui dégueulent d’odeurs immondes.

« TU ME GAVES ! Comme si c’était elle le problème… génial Laszlo. »

Dé : 7 Attaque (lol) + Dans le mur
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Karhlya Koenig
Karhlya Koenig
Karhlya Koenig
« wings of freedom »
+ MESSAGES : 350
Karhlya Koenig
Sam 6 Juin - 1:29
Dis, Karhlya. C’est bien Laszlo, que tu as face à toi ? Genre. Le Laszlo Koenig de l’escouade Bailey que t’as toujours connu ? Non parce que là, tu l’avoues, hein, tu peines à le reconnaître. Déjà que tu avais trouvé que le voir cogner sur ton frère, et s’énerver de cette manière ne lui ressemblait pas le moindre du monde, mais … Là. Là, on part des records de surprise. Il est complètement sauvage. Autant que tu l’es. Complètement enfermé dans cette colère qui le tourmente, tout comme elle te prends la tête et te pousses à la violence. Tu n’es pas parfaite. Pas totalement calme. Il t’arrive d’avoir un caractère très explosif, tu le sais. C’est rare. Mais ça arrive. Du coup, tu frappes, tu cognes, tu attaques, tu provoques. Et cette fois, quand tu veux frapper, tu te fais mal, très mal, probablement même qu’un petit os ou deux de tes doigts à réussi à se briser sur cette action ratée et pitoyable.

Le truc, c’est qu’il ne te laisse pas le temps de sombrer dans ta douleur, il revient, il attaque, et il se jette sur toi, t’emportes dans sa chute, tu roules avec lui sur le sol poussiéreux, mais tu te dégages, tu t’arrêtes, pendant qu’il cogne contre le mur, un peu plus loin, en pestant. Et encore une fois, ma grande, tu pourrais largement t’arrêter là … si seulement tu étais encore capable d’être un peu raisonnable. Seulement, tu te redresses, tu te lèves, et c’est bas ce que tu fais, c’est fourbe, même, mais tu t’approches, à la hâte, et tu profites qu’il soit au sol pour lui envoyer un grand coup de pied, dans le ventre, dans les côtes, peu importe, tu ne fais même pas attention, tu te contentes de cogner, avant de te pencher un peu. « Alors, Laszlo, ça fait quoi de se faire cogner quand on est déjà couché ? » Quand tu auras repris tes esprits, tu ne serais probablement pas bien fière de cet assaut mais là … là, pour l’instant, tu t’en cognes royalement.

Dé d'attaque : 3.
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Laszlo Koenig
Laszlo Koenig
Laszlo Koenig
+ MESSAGES : 237
Laszlo Koenig
Sam 6 Juin - 14:27
Tu roules, et c’est ton corps qui percute le mur qui arrête le mouvement de pleine face. T’as mal. T’as mal et t’as honte. Ceci dit, t’aurais fini dans les poubelles que tu aurais été bien plus mal. Là, t’as mal, mais t’as encore un peu de ta fierté en bloc. En tout cas, c’est ce que tu te dis, parce que t’as même pas le temps de re relever, à peine celui de lui gueuler ta frustration au nez, qu’une douleur vient t’éclater en deux.

Un cri de douleur t’échappe. Elle se comporte bien mal, Karhlya, t’aurais jamais cru ça d’elle. Elle te frappe, une fois, et elle te glisse ce truc qui te redonne un pique de rage. Tu vois, Laszlo, tu comprends qu’elle n’a juste rien compris. Alors si elle recommence son mouvement de pied, tu te recroquevilles sur toi-même pour te défendre au mieux. Ça fait mal, hein, mais t’es moins à sa merci.

Et c’est quand tu essayes de choper son pied pour la faire tomber avec toi et la finir au sol s’il le faut qu’elle t’échappe. T’as quoi ? Le temps de cracher un peu de sang au sol, qui ne vient de tu-ne-sais-où et relever la tête pour comprendre pourquoi elle t’a abandonné. Et tu sais quoi, Laszlo ? Bah d’un seul coup, une main puissante se col sur ta gorge et te relève en te plaquant contre le mur, sans te laisser respirer, et une paire d’yeux noirs, terrifiants se colle sous ton nez alors que tu émets un genre de “grumphhhh” colérique.

«

Dé :  5 en Défence, et 8 en attaque
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Kanaan Frei
Kanaan Frei
Kanaan Frei
+ MESSAGES : 176
Kanaan Frei
Sam 6 Juin - 14:29
C’est Fahim ou Kanaan qui se chargent des tâches, parce que Micah est bien trop colérique pour ne pas tenter de taper sur l’homme qui a insulté sa soeur comme ça. Pourtant, la journée finit, c’est toujours le trentenaire qui reprend le flambeau pour rentrer à la maison en gardant Karhlya à l’oeil quand même. D’ailleurs, ça fait déjà 3 jours qu’il la file, le soir, pour savoir si elle rentre bien à la maison, incapable de savoir s’il craint pour elle ou pour ce connard de Koenig.

Ce soir, pourtant, il l’a perdu de vu. Un instant au fond de la sellerie et tout à coup, plus personne dans l’écurie. Ni le connard ni la petite furie. Et sans chercher à comprendre, Micah abandonne le seau que Fahim tenait et part en courant à toute vitesse pour les retrouver et éviter le pire. Si ce connard ose lever la main sur Karhlya, Micah va le tuer, c’est certain.

Il met beaucoup trop de temps à les retrouver. C’est en entendant des gens parler d’une bagarre de rue dans les bas-quartiers qu’il finit par remonter leur piste. Et quand il arrive, il a le temps d’entendre les mots de la brune, et de voir son coup de pied. MERDE DE MERDE !

« KARHLYA ! Qu’il gueule en se jetant sur elle, en la repoussant d’un mouvement brusque et se placer devant elle. T’as rien ? Qu’est-ce qu’il t’a fait ce connard ? J’vais… TOI ! »

Ah, la flambée de rage est là. Micah se penche, attrape le pauvre Koenig sur le sol qui n’a le temps de ne rien comprendre, et il le relève d’une main sur sa gorge. Il le soulève, jusqu’à ce que les pieds de l’homme ne touchent plus le sol, écrasé entre sa main et le mur. Et il se penche vers lui, un éclat de tueur dans les yeux.

« Je t’interdis de toucher à ma soeur. J’vais te tuer… J’vais te faire regretter d’oser lui parler comme tu l’as fait ! »

Et dans ce genre de cas, y’a pas grand-chose pour arrêter Micah.
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