Attack on Titan
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[DONE] Aimer, c'est une grande affaire ; il faut avoir du courage pour aimer. (Karhlya)
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Laszlo Koenig
Laszlo Koenig
Laszlo Koenig
+ MESSAGES : 237
Laszlo Koenig
Mer 17 Juin - 11:49
Bam. Bam. Bam. Ton coeur bat si fort, Laszlo, que tu pourrais mourir là. Tu n’en as pas le droit, parce que devant toi, il y a la femme la plus incroyable de toi. Et là, agenouillé, tu la vois sous un angle différent. Tu te rends compte combien Karhlya est forte, combien elle est une guerrière. Tu la vois pourtant ne pas pouvoir retenir quelques larmes et toi, tu comprends que tu viens de la toucher. Alors oui, un grand sourire vient illuminer ton visage parce que si tu lui offres quelque chose qui la touche, elle te donne la plus belle réaction que tu aurais pu imaginer.

Et tu vois, tu pensais vraiment pouvoir encaisser sa réponse, mais il te suffit d’entendre son “oui” pour comprendre que tu as été présomptueux. Parce que ce simple petit mot vient souffler ton assurance. Ton visage se charge d’émotions, et quand elle le répète, qu’elle le dit clairement, tu sens les larmes glisser sur ton visage à ton tour. Dans le fond, heureusement qu’elle vient à toi, qu’elle te tire un peu et qu’elle revient prendre tes lèvres. Et tu t’y abandonnes sans réfléchir, sans retenir quoi que ce soit. Tu te redresses sur tes jambes sans la lâcher, à plus souffle, pour finir par la serrer contre toi.

« Moi aussi. Je t’aime plus que je n’ai pu aimer quoi que ce soit jusqu’à aujourd'hui. Je ne te laisserai jamais repartir, je te garde dans mes bras à jamais ![/color][/b] »

Et tu viens enfouir ton visage contre son cou plié en deux pour continuer de la serrer et tu prends quelques minutes pour te reprendre, pour souffler, pour pouvoir effacer les larmes de bonheur de ton visage, et tu finis par relever la tête vers elle. Avec ta douceur caractéristique de tout ce que tu déploies pour elle, tu viens attraper son visage, et tu déposes tes lèvres partout sur sa peau, avant de lui offrir un long baiser puis souffler et reculer un peu.

« Je pourrais t’embrasser toute la journée. Tu reconnais sans mal, avec un léger sourire en coin. Tu me rends si heureux, tu n’imagines pas. »

Tu n’es même pas certain de pouvoir lui montrer, lui expliquer ça. Tu te sens comme si elle venait de combler un vide au fond de ton âme. Tu savais qu’il était là, mais tu t’y étais fait. Et là, tu te rends compte combien c’était important de le remplir, et combien tu te sens soudainement plus entier. C’est ça, Laszlo, tu es plus entièrement vivant. C’est une sensation qui t'enivre.

Et c’est sûrement pour ça que tu finis par te pencher un peu devant elle. Tu passes tes bras autour de ses cuisses, et tu la serres contre toi pour la soulever comme ça, debout contre toi, bras sous ses fesses pour la stabiliser. Et sans réfléchir, tu te mets à tourbillonner avec elle, en souriant aux anges. Tu la regardes, et quand tu cesses de tourner, parce que ta tête s’y met aussi, tu ne la lâches plus des yeux.

« Tes cheveux sont si beaux relâchés. Ils sont aussi libres et vivants que toi ! Tu ne la relâches pas, et en vérité, tu ne te rends même pas compte de son poids dans tes bras, tant tu vibres d’amour. Est-ce que tu voudras quelque chose de particulier, le jour où je ferai de toi ma femme ? Dis-moi comment tu veux ça ! je veux… que ce soit aussi parfait que toi ! »

C’est fini, Laszlo, tu as complètement lâché prise sur la bienséance. Tu la veux elle, et tu t’en fiches de ce que diront les gens. Comme tu te fiches de ce que pensera l’armée, vos collègues. Tu te fiches du reste du monde !
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Karhlya Koenig
Karhlya Koenig
Karhlya Koenig
« wings of freedom »
+ MESSAGES : 350
Karhlya Koenig
Mer 17 Juin - 13:41
Est-ce que tu réalises ? Est-ce que … tu arrives à y croire, ne serait-ce qu’un petit peu, totalement ? Non. Vraiment. Tu as encore la sensation d’être dans une bulle, comme si, ça pouvait éclater, à n’importe quel moment, et pourtant, ce que tu ressens, Karhlya c’est … C’est indescriptible. Comment peux-tu être si accrochée à lui, si vite ? Est-ce que c’est même possible, de tomber aussi amoureuse d’un homme, en si peu de temps ? Visiblement, ça l’est. Parce que, c’est ce que tu ressens. Tu l’aimes. Et oui, oui, un grand oui, tu veux et tu vas l’épouser. Aussi fou que ça puisse paraître, aussi fou que ce soit, aussi. Tu vas le faire. C’est une conviction, que tu as, c’est le chemin que tu devais emprunter, et il est grand ouvert, là, juste devant toi, il n’attend que toi, tu n’as qu’à … faire un pas, avancer.

Et c’est bien ce que tu comptes faire. C’est même totalement ce que tu fais, en acceptant de l’épouser, aussitôt. Tu te pensais probablement de celles qui ont besoin de réflexion, parce que, vois-tu, Karhlya, le mariage … ce n’est pas quelque chose d’anodin. Certains disent que ce n’est qu’un engagement sur le papier, que l’amour se suffit à lui-même et tu es d’accord sur la seconde partie, évidemment, mais pas sur la première. Tu vois ça comme une preuve d’amour. Un engagement pour la vie. C’est la promesse de n’être la femme que d’un seul homme, pour toujours et à jamais, et c’est ce que tu veux, c’est ce que tu souhaites plus que tout. Être la femme de cet homme.

Les larmes s’échappent de tes yeux, alors que tu reviens à lui pour l’embrasser, qu’il se redresse, t’embrasses à son tour avant de venir se blottir, te serrer tout contre lui. Ses joues sont aussi humides que les tiennes, et ça te touches, toi qui te disais hier encore que tu détestais voir des larmes dans ses yeux … celles-ci sont pourtant les plus belles au monde. Il se remet à t’embrasser, partout, il couvre ton visage de baisers, avant de revenir à tes lèvres, et tu trembles dans ses bras, tant tu te sens … heureuse. « Je ne serais pas contre. » Tu glisses, avec un sourire. « Tu me rends heureuse, toi aussi. » Plus que n’importe qui d’autre, vraiment. Tu as l’impression d’être face à une partie de toi, c’est … il est ton âme sœur, Karhlya, c’est une certitude, maintenant. C’est la seule explication que tu trouves, à ce besoin, si pressé, si puissant, d’être juste avec lui. Toujours. De lui appartenir. Rien qu’à lui, et surtout, de tout … de balayer tout le reste, en fait, purement, simplement.

Il te décolle du sol, à nouveau et tes jambes viennent s’enrouler autour de sa taille, tandis que tes bras s’accrochent à son cou. Il se met à tourner, avec toi, dans ses bras, durant quelques secondes, avant de s’arrêter, d’ouvrir à nouveau la bouche, et … tu as probablement le même sourire rêveur que lui, accroché au visage, à ce moment précis. « Mh … je veux toute ma famille, la tienne, mes amis les plus proches, aussi. » C’est un début, tes proches, les siens, réunis quand vous vous direz oui, officiellement, et pour toujours. « Je veux te dire oui au bord de l’eau, d’un grand lac. » Tu ne sais même pas si un tel endroit existe, ici, ou ailleurs, entre ces murs, tu veux simplement une étendue d’eau, assez grande, qui puisse te rappeler l’océan, et ton père, ce sera comme s’il était là, en quelques sortes. « Je veux que tu me fasses danser, et tant pis si tu me marches sur les pieds. » Tu te penches, légèrement, tu viens l’embrasser, tout doucement. « Mais c’est surtout toi que je veux. Toi et moi. Nous. » Tu relâches un de tes bras, et tes doigts reviennent caresser son visage, ton regard dans le sien, ton sourire ne te quitte plus. « Et toi ? Tu vois ça comment ? Je veux que ça nous ressemble, à tous les deux. »
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Laszlo Koenig
Laszlo Koenig
Laszlo Koenig
+ MESSAGES : 237
Laszlo Koenig
Mer 17 Juin - 14:07
C’est clairement le plus beau jour de ta vie, que d’êtres avec la femme que tu aimes, d’avoir son ‘oui’, de pouvoir la serrer contre toi, la regarder sans doute, sans peur et sans gêne. Tu sais qu’il se fera rapidement détrôner parce que chaque jour que tu passes à ses côtés, c’est une nouvelle découverte, une nouvelle victoire. Ça ne fait pas longtemps, deux jours, mais tu n’as même aucun doute, Laszlo. Karhlya est celle qui rendra chacune de tes journées plus belles que la précédente. Tu n’as absolument aucun doute là-dessus.

Alors oui, tu reviens l’embrasser, la toucher, la caresser. Tu lui offres ces quelques mots, qui n’en disent pas assez de comment tu te sens et elle y répond.Et tu vois, ce qu’il y a de si beau dans cette histoire, c’est que vos êtes parfaitement sur la même ligne de conduite. Ce qui t’enchante l’enchante. Ce qui lui tire des larmes finit par t’en faire couler aussi. Chaque chose que tu dis, elle les pense et les dits aussi. Qu’aurais-tu pu vouloir de plus ou de différent, Laszlo ? Honnêtement, rien.

Tu finis par la soulever, la tenir contre toi, et tu restes là, au milieu de cette chambre qui n’est pas la tienne, mais que tu aimes déjà, à lui demander ce qu’elle voudrait. Tu comprends encore une fois que Karhlya est simple. Elle ne veut pas de folie, de choses infaisables, alors ça te tire un magnifique sourire, pendant que tu hoches la tête à ses idées. Ses lèvres te font virevolter, mais les mots qu’elle t’offre après, le font bien plus encore.

« Juste nous. Je sais que de toute façon, nos familles se ressemblent, si nous sommes heureux, elles le seront aussi. Tu glisses ton nez contre sa joue. Et nous serons heureux ! »

Tu ne peux pas imaginer ça différemment. Tu es bien trop plein de bonheur là, pour imaginer qu’un jour ça puisse retomber. Alors, à la place, tu réfléchis à sa question, quelques instants, en te perdant dans son odeur, dans ce contact entre ta peau et la sienne, et tu finis par trouver la réponse, avec un sourire parfaitement adorable sur les lèvres.

« Je veux quelque chose de simple et de naturel. Si tu veux un lac, ça me va parfaitement. Nos familles, nos amis, les gens qui comptent, mais je n’imagine pas ça avec 200 personnes. Je veux avoir l’impression dans un cocon. »

Tu lui souris, et soudainement, te resserres tes bras autour d’elle, pour venir la coller plus clairement contre ton torse nu, et tu la captures dans tes yeux. Ton sourire s’étire, se fait presque plus malicieux et quand tu reviens l’embrasser, ce n’est pas longtemps, mais c’est un tremplin pour venir glisser à son oreille et lui susurrer, avec douceur et émotion :

« Je veux te voir dans une robe blanche, si tu te sens d’en porter une. Je pourrai te porter dans mes bras, comme une princesse, et te ramener à la maison, à la fin du jour. Ensuite, je t’enlèverai loin de tout le monde, pour quelques jours. Je veux un week-end de noce, juste toi et moi. Dans la nature. Loin de nos responsabilités. »

Tu veux surtout la dévorer, Laszlo. Tu veux la faire tienne, loin de tous, parce que ce point-là, il ne vous appartient qu’à vous deux. Et sans réfléchir, sûrement dévoré par ta passion, tu glisses tes lèvres contre son oreille, du haut au lobe, puis tu viens déposer des baisers léger quoique brûlant sous son oreille, contre son cou. Et franchement, tu ne t’aides pas.
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Karhlya Koenig
Karhlya Koenig
Karhlya Koenig
« wings of freedom »
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Karhlya Koenig
Mer 17 Juin - 15:16
Contrairement à bien des femmes, qui veulent faire de leur mariage un événement sans précédent pour le monde entier, toi, tu ne désires qu’une journée hors du temps, et qui te ressembles, qui vous ressemble, même. Tu n’as pas besoin de faire les choses en grand, parce que, ce sera votre jour, à vous deux, tu veux ta famille, tout comme il voudra la sienne, tu veux simplement vos proches, et ça s’arrête là. Quelque chose de joli. De doux. Le reflet de ce que vous êtes, et de ce qui vous caractérise, en somme. Et tu souris de plus belle, Karhlya, lorsque tu te rends compte qu’encore une fois, vous vous comprenez et vous complétez à la perfection. « Ça me va parfaitement. » Tu murmures, tout doucement, tout contre lui. Et tu es rêveuse, maintenant, pendant un instant, tu as le regard dans le vague, tu penses, tu imagines ce jour, et tous les suivants, et tu soupires de bonheur, tout doucement.

Tu es si bien, là. Accrochée à lui, dans ses bras, ta peau nue contre la sienne. Il t’embrasse, tu l’embrasses, tes yeux s’accrochent aux siens, il n’y a rien de plus que tu pourrais vouloir dans des moments comme celui-ci, tant tout te semble être … parfait. Il t’offre d’ailleurs un nouveau baiser, puis, il glisse jusqu’à ton oreille, et tu frissonnes contre lui, alors que tu entends sa voix, en murmure doux. Tu souris, tu te mords la lèvre inférieure, en l’écoutant te dire ce qu’il veut de plus pour ce mariage. Cette robe blanche, que tu porteras assurément pour lui, évidemment. Le fait qu’il te porteras pour te ramener à la maison le soir venus. Et puis ces jours, rien que lui, et toi, loin de tout, loin de tout le monde. En tête à tête dans une bulle d’amour et de bonheur.

Tu soupires d’aise … et d’envie, à nouveau, lorsque tu sens ses lèvres contre ton oreille, qui descendent jusqu’à ton cou. Il recommence, hein. Et tu t’entends parfaitement émettre ce presque ronronnement contre lui. « Je la porterais cette robe, pour toi. » Tu la choisiras, probablement avec ta mère, d’ailleurs, et tu le feras en ne pensant qu’à lui, en imaginant le regard qu’il pourrait poser sur toi, en te voyant de blanc vêtue ce jour-là. « Jusqu’à ce que tu me la retires toi-même. »

Tu recules, légèrement, c’est aussi une manière pour toi de simplement … échapper à ses lèvres dans ton cou. Pas que tu te mettes à refuser ses baisers, non. Mais s’il continue comme ça, il va tout simplement te perdre, Karhlya. Tu ne sais pas comment il fait ça, mais il lui suffit d’un petit rien du tout, pour provoquer de trop grandes choses en toi. De véritables tsunamis. « Toi non plus, tu n’aides pas. » Et ça se voit, hein. A tes joues, de nouveau bien trop rougies. A ta peau marquée par les frissons, à ton regard, bien trop brillant, trop enflammé. « Tu es en train de me rendre folle … » Ou alors, tu l’es déjà. Oui. On a déjà convenu que tu l’étais déjà, complètement, et irrémédiablement folle de lui. « J’ai l’impression que mon corps s’enflamme, à chaque fois que tu me touches, ou que tu m’embrasses. » Et pourtant … tu aimes ça. C’est addictif. Beaucoup trop addictif. « Ne cesse plus jamais de me toucher, et de m’embrasser de cette manière … » Tu y es déjà bien trop accro.
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Laszlo Koenig
Laszlo Koenig
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Laszlo Koenig
Mer 17 Juin - 15:54
Tu en rêves, soyons honnêtes. Voir la jeune femme dans une belle robe blanche, les cheveux surpiqués de fleurs, le sourire aux lèvres, maintenant que tu l’as imaginée ainsi, tu ne peux plus effacer cette image de ton esprit. Et c’est bête, parce que tu as déjà la perfection au creux de tes bras, mais tu réclames quand même ça comme un enfant voudrait encore plus de féérie dans son jour d’anniversaire. Et tu vois, Laszlo, tu ne peux pas ne pas le dire, alors tu glisses à son oreille, tu le souffles et tu la sens frissonner contre toi.

« Voilà un compromis qui me va parfaitement. »

Tu es amusé, certes, mais tu succombes surtout à tes propres pulsions, parce que tu l’as au creux des bras et que tu voudrais la dévorer. Parce que chaque fois que tu oses la toucher, que tu reviens parcourir sa peau, tu te sens glisser. Tu en veux plus. Et cette fois-ci, tu es en bonne passe pour craquer, oublier, et fondre sur elle, mais elle se recule et toi, ça te permet bêtement de reprendre ton souffle. Ton esprit s’allège, et le brouillard du désir qui t’aveuglait se lève un peu, te laissant simplement un léger grondement parce que tu restes frustré comme jamais.

« Je sais… Tu marmonnes, en la regardant, si belle et si colorée. C’est comme si mon corps me déconnectait l’esprit dès que tu es à proximité. »

C’est ça, oui, un combat entre ton coeur, ton corps et ta tête, ce n’est pas étonnant que tu sois autant dans le flou quand elle s’approche. Tu profites pourtant de reprendre un peu tes esprits, pour simplement l’écouter, en la gardant toujours hissée dans tes bras. Et tu vois, ce qu’elle te dit devrait probablement te faire rougir, mais c’est un sourire immense et espiègle qui grimpe sur tes lèvres.

« C’est une douce torture que je peux continuer sans souci ! Disons juste que, jusqu’à avoir officiellement ta main, je vais devoir apprendre à reprendre mon souffle, où je risque de te dévorer entièrement. »

Tu finis par la reposer tout doucement au sol, avant de venir attraper son visage et lui offrir un de ces baisers tout doux, extrêmement tendre, avant de reculer et de la lâcher, pour respirer et tenter de ne pas faire plus. Et clairement, c’est écrit sur ton visage que ce sera sacrément difficile, parce que tout ton corps la réclame, elle. Tant et si bien que tu finis par tendre les mains et lui ouvrir les bras, avec un regard presque suppliant pour qu’elle revienne s’y blottir. Et finalement, tu finis par reprendre, doucement :

« Tu veux sortir, aller te promener ? Je crois que si on reste ici plus longtemps, je vais finir par arracher ma propre volonté et rayer tous mes plans pour simplement ne plus te lâcher. Tu as un sourire doux, quoiqu’un peu surpris de toi-même. Si tu veux, on pourrait simplement… marcher ? On peut même chercher ton lac, si tu veux, ou passer voir ton frère. Tu passes une main dans tes cheveux sombres. À moins que tu ne veuilles te reposer ? »

Reposer, c’est ça, Laszlo, c’est beau d’y croire. En tout cas, tu restes là, près d’elle, sans cesser d’attendre sa présence et sa réponse. Tu ne lui imposeras rien de ton fait, tant que tu es à ses côtés, tu peux bien lui céder tout ce qui lui chante, sans regret et encore moins de remords.
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Karhlya Koenig
Karhlya Koenig
Karhlya Koenig
« wings of freedom »
+ MESSAGES : 350
Karhlya Koenig
Mer 17 Juin - 16:34
Tu vas craquer. Vraiment, ma grande, tu vas vraiment craquer. Tu as déjà commencé à craquer, de toute façon, et ça se sent. Tu es tout de même allée jusqu’à lui retirer cette chemise, par retirer ton haut, pour simplement rester sous ses yeux, avec un simple sous vêtement pour cacher sa poitrine. Non, vraiment, tu craques. Pour de bon. Tu le veux. Même si tu es d’accord avec ses principes, même si c’est ce que tu veux, aussi, finalement, ton corps lui, semble être en opposition totale et définitive avec ton cerveau et bon sang, ce que ça peut être difficile à gérer, autant qu’à contrôler.

Ce qui te rassures, cependant, c’est de l’entendre et de comprendre que tu n’es pas la seule à être dans cet état-là. Si tu le veux, réellement, tu comprends qu’il en est de même de son côté, et ça te partage un peu plus. En un sens, ça te rassure. Dans l’autre, ça ne fait qu’ajoute à la pression que tu peux ressentir, au désir qui te pousses encore et toujours vers lui. Tu pourrais presque culpabiliser, de ne pas réussir à retenir certaines choses, parce que tu sais que c’est lui que tu pousses quand tu agis de cette manière et que vraiment, vous ne vous aidez pas tous les deux. Vraiment pas.

Il finit par te reposer, sur le sol, et tu fais l’effort, de souffler, d’essayer de te reprendre, parce qu’il le faut. Vraiment, Karhlya, c’est quelque chose de beau et de fort que d’attendre le mariage pour se donner l’un à l’autre de cette façon, tu n’aimerais pas gâcher ça, en quelques sortes, parce que si subitement, tu te retrouves comme esclave de tes propres envies. En plus, il t’offre une porte de sortie, et si tu te souviens qu’il t’a avouer être fatigué tout à l’heure, si tu avoues volontiers l’être un peu aussi, tu te dis aussi que, prendre l’option de simplement se reposer ici, ne ferait que vous desservir. Tu ne tiendras pas. Son corps t’appelle bien trop, tu as besoin d’un peu d’air frais, et probablement de voir autre chose, pour te remettre les idées en place.

Tu viens te blottir à nouveau dans ses bras, cependant. De nouveau bien plus basse que lui, tu te hisses sur la pointe des pieds pour venir déposer quelques tout petits baisers, sur sa mâchoire, et dans son cou, avant de reculer. « Sortons un moment. » Tu finis par décider, avec un sourire, tout en bougeant pour venir récupérer ton haut clair qui s’était lamentablement échoué au sol pour le repasser, et couvrir ton corps dans un soupire teinter de frustration. Tu attrapes aussi un élastique, dans un coin pour attacher de nouveau tes cheveux, parce que c’est une habitude que de les nouer de cette façon à l’extérieur, non pas que tu ne les aimes pas, simplement qu’ils sont en permanence dans tes yeux, dans ton visage, avec le vent, et que ça a tendance à rapidement te faire perdre patience.

Tu le laisses récupérer sa chemise, et pendant ce temps, tu viens jeter un œil à Ruby, la jolie plante que Kaelyne t’as ramenée, et qui trône près de la fenêtre. Quand tu finis par te retourner, c’est pour t’avancer, voler un baiser rapide, avant d’ouvrir la porte. « Allons voir si on peut trouver Kanaan, j’aimerais bien voir comment vont Saskya et le bébé. »
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Laszlo Koenig
Laszlo Koenig
Laszlo Koenig
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Laszlo Koenig
Mer 17 Juin - 17:00
C’est d’une difficulté que tu ne t’étais jamais imaginé. Toi qui as toujours cru que le sexe n’avait rien d’aussi fou que tout le monde pouvait bien le dire. Pas que tu ne ressentes rien, qu’on se le dise, mais tu as toujours cru que les autres étaient comme… esclaves de leurs propres pulsions. Et là, maintenant que tu souffles difficilement devant elle, tu comprends ce qui se passe chez beaucoup d’êtres humains. Ça te met aussi en relief le fait qu’aucune femme ne t’a jamais attiré à ce point. Et tu vois, si tu la reposes, si tu t’écartes, que tu es conscient qu’il te faut souffler pour te tenir, ton corps revient la chercher, l’appeler. Dès qu’elle revient dans tes bras, tu t’entends souffler de soulagement. À croire que sa présence t’est absolument importante.

Et elle revient vers toi, ses lèvres te font grogner d’envie et quand elle finit par accepter l’idée, se reculer pour vouloir partir, tu as ce mouvement instinctif. Ta main se tend, s’accroche à la sienne, la ramène vers toi dans un mouvement vif et tu la réceptionnes contre toi d’un baiser avant d’accepter, enfin, de la laisser s’échapper.

« Tu es une vile tentatrice, tu vas finir par m’avoir à force. »

Il n’y a pas une once de reproche, en faite, ton sourire se fait taquin et tu la laisses se rhabiller et aller vers la fenêtre de sa chambre. Sans un mot, tu fais de même, et pendant quelques instants, tu luttes avec les boutons de ta chemise, tant tes doigts tremblent, mais quand tu finis par te vêtir correctement et remettre tes cheveux en place, elle revient te voler un baiser t’ouvres la porte.

« Ça me va, je suis curieux de rencontrer Saskya autrement que pour lui ramener son homme épuisé et abîmé. »

Tu as un petit rire, parce que tu as vraiment commencé cette histoire d’une drôle de manière. Et si tu la laisses refermer la porte de sa chambre, tu as ce mouvement complètement naturel maintenant, de venir prendre sa main dans la tienne. Sans attendre, tu la mets en route, et il te faut arriver dans la cour du QG pour respirer à fond, en basculant la tête vers le ciel, qui est noir et blanc aujourd’hui, comme si une grosse averse menaçait de se mêler du temps d’été.

« Hm, est-ce qu’on leur ramène quelque chose ? Ils aiment quoi, tous les deux ? »

Instinctivement, comme ça, tu prendrais des plantes, des fleurs, mais tu as comme un doute parce que Kanaan ne te semble pas vraiment de ce bois-là et la blonde que tu as aperçue dans la maison semblait presque aussi forte que lui. Un couple qui ne t'étonne pas même si tu ne peux pas t’empêcher de te demander comme un gaillard renfermé comme le frère de Karhlya a pu tomber amoureux et lui faire la cour. Oui, on ne changera pas ton âme de fleur bleue.

En chassant cette pensée, tu finis par traverser la cour, en jetant des petits coups d’oeil aux soldats qui vous croisent. Si certains s’en fiche manifestement, tu remarques quelques regards surpris, quelques sourires aussi, auxquels tu réponds.

« Hm, je ne suis pas certain de me souvenir par où ils habitent, je ne voyais pas très clair qu’on on y est allé. Et pour cause, tu avais bu un peu, mais tu avais surtout les yeux gonflés par les coups. Je te laisse me guider, belle demoiselle. »

Et sans réfléchir, tu reviens déposer un baiser léger sur ses lèvres, avec un sourire plus sage, maintenant.
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Karhlya Koenig
Karhlya Koenig
Karhlya Koenig
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Karhlya Koenig
Mer 17 Juin - 18:39
Ça te fait sourire. Puis rire, même. Légèrement. Tu parviens à te détendre un peu, à te débarrasser de ce sentiment de frustration relativement pesant, à te focaliser sur toute autre chose, surtout, mais, quand il laisse échapper cette petite remarque, oui, ça te fait rire. « Bien sûr, que je t’aurais. » Que tu te sens obligée d’ajouter, avant de reprendre ton vêtement, d’attacher tes cheveux, et de laisser tranquillement remettre sa chemise en place avant d’ouvrir grand la porte de ta petite chambre, pour l’inviter à te suivre, à sortir. « Saskya est plutôt sympa … même si elle a ses humeurs, encore plus depuis qu’elle est enceinte. » Tu ne la connaissais pas trop avant, seulement de vue, et de réputation, aussi. En revanche, tu sais qu’elle a toujours eu ce sale caractère qui ressort probablement en tout premier quand on essaie d’apprendre à la connaître. Toi tu t’es toujours dit qu’ils s’étaient bien trouvés, avec Kanaan, et à la fois, depuis que tu la côtoies un peu plus, et bien, tu sais qu’elle est douée d’une certaine sensibilité. Elle n’a pas eu la vie facile, tu n’as pas creusé, tu n’as pas questionné non plus, mais tu l’as compris.

Ta porte fermé, ta main dans la sienne, tu vois, aujourd’hui, tu n’as plus le moindre problème à traverser le couloir en le tenant de cette façon. « Mh … on peut leur ramener quelque chose à manger, il me semble que les nausées de Saskya se sont apaisées, elle a toujours faim. Je vote pour les petits pains aux légumes. » C’est bon, et tu sais que la petite blonde ne jure que par ça, ces derniers temps. Autrement dit, tu es sûre de lui faire plaisir en lui en ramenant quelques-uns … et puis surtout, tu te vois mal ramener des fleurs à Saskya. Disons qu’elle n’est pas aussi sensible que toi à ce genre d’attention.

Vous traversez la cour, toujours main dans la main. Et encore une fois, tu ne te soucis absolument pas des regards de quelques soldats, des sourires que tu vois sur certains visages. Hier, tu te posais des questions, aujourd’hui, tu n’as que des certitudes, tu es simplement accrochée à ton futur mari, et ça, tu vois, ça change tout. Absolument tout. « On passe rapidement au marché, et je t’y emmène. » Et tu te hisses sur la pointe des pieds, encore, pour venir déposer un baiser sur sa joue, avant de tirer sur sa main, de prendre la direction du marché. Tu n’as pas besoin de t’y enfoncer, heureusement, parce qu’il y a du monde, et tu ne sais pas si c’est l’effet de ce ciel particulièrement menaçant aujourd’hui, mais les gens se pressent, se bousculent dans tous les sens, du coup, tu ne fais que te glisser rapidement pour acheter un sachet plein de petits pains qui sentent bon les épices, et puis, tu t’engages dans une petite ruelle qui débouche dans une rue plus grande. Tu la longes, un moment, en silence, avant de t’arrêter devant la porte de la maison de Saskya, et de coller le sachet de petits pains dans les bras de Laszlo. Tu lèves la main, pour frapper, mais avant … tu te tournes légèrement vers lui. « Prêt ? » Parce qu’il faut l’être pour affronter l’espèce de dragon que peut être ton frère. Maintenant, tu sais que Laszlo est plus qu’au courant de ce qu’il est capable de faire, du coup, tu lui lances ce petit sourire, rassurant, alors ton pouce caresse lentement le dos de sa main. Quand tu es certaine que ça va, tu finis par donner quelques coups dans la porte, pas trop fort, juste assez pour ce soit entendu, et tu attends.
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Laszlo Koenig
Laszlo Koenig
Laszlo Koenig
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Laszlo Koenig
Jeu 18 Juin - 2:19
Tu n’es pas nerveux. Pourtant, mon bon Laszlo, tu vas un peu te jeter dans la gueule du loup, quand on y pense. Tu as vu comment Kanaan pouvait réagir quand ça touche à sa soeur. Alors là, tu viens sur son terrain, dans sa maison, avec sa femme enceinte et tu te pointes avec sa soeur tenue par la main. Non, vraiment, si tu y pensais un peu, tu te rendrais compte que tu es en train d’aligner les planètes pour qu’il te refasse le portrait encore une fois.

« J’imagine, ce n’est pas une période simple. Je me souviens quand ma mère attendait Vega puis Dénèb, elle était si facilement irritable… Et toi, mon grand, tu te pliais en quatre du haut de tes 11 ans pour l’aider au mieux. Ça ne doit pas être simple, en plus, de le voir sortir à chaque fois qu’il y a une réunion au QG. »

Ouais, franchement, plus tu y penses et plus tu te dis que c’est difficile pour elle, mais aussi que ce sera une terrible épreuve pour vous, le jour venu. Tu n’en dis rien, pourtant, tu marches à ses côtés, sans la lâcher, sans cesser de la couver du regard. Et quand elle te propose de passer prendre de la nourriture, tu hoches la tête aussi vite. Ça, ça ressemble déjà plus à un cadeau qui leur ressemble. Sans crainte, tu la suis à travers la foule, vers le marcher et tu la laisses prendre les petits pains fourrés. Vous finissez quand même par prendre la direction de la maison.

« Oh bah maintenant que l’on est devant, allons-y ! »

Et te voilà, à prendre les petits pains dans les bras, et tu t’armes de ton plus beau sourire, et tu la regardes venir cogner contre la porte. Et tu sais quoi, Laszlo ? Et bah subitement, quand tu entends un grognement de l’autre côté du battant et un bruit de pas traînant, ton coeur fait une embardée douloureuse. Et là, seulement, tu te rends compte qu’en plus de tout ça, tu t’accroches à la main de Karhlya vivement. Tant et si bien que, lorsque la porte s’ouvre, tu lâches un tonitruant :

« Salut Kanaan ! »
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Kanaan Frei
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Kanaan Frei
Jeu 18 Juin - 2:21
Couché sur le lit, un bras sous la tête, de l’autre Micah garde les épaules de Saskya vers lui. Il n’est pas si tard, pas si tôt, ils se sont déjà réveillé ce matin, levés, habillés, ils ont pris le petit-déjeuner, mais quand la blonde a commencé à bailler, et même si elle refusait l’aide de Micah, il a fini par l’attraper, la soulever et venir se poser contre elle, sur le lit. Il pourrait certainement s’endormir, là, en tenant sa blonde dans ses bras. Et il le ferait, certainement, si des coups ne retentissaient pas tout à coup contre la porte.

« Si c’est encore un trou du cul du QG, je l’envoie voler jusqu’au mur d’un coup d’pied. »

Il râle, embrasse rapidement sa femme, avant de rouler sur le lit et se remettre debout en grognant comme un animal mal léché. Il finit quand même par traverser la pièce, revenir glisser à sa ceinture une de ses dagues dragons, posée en haut d’un meuble et il dérive jusqu’à la porte, clairement d’une humeur sombre, comme… toujours ?

Pourtant, il était à peu près calme, au final, parce que lorsqu’il ouvre la porte, et que ses yeux découvrent Karhlya, certes, mais surtout il entend la voix de l’autre imbécile de Koenig. Et là, ses yeux se plissent, sa bouche se tire vers le bas, et son humeur tombe un peu plus bas encore, alors qu’il braque son regard de sa soeur à l’autre soldat avant de sentir l’odeur des petits pains et en tournant les yeux vers le sachet, il capte le pire… leurs mains liées.

« C’quoi c’bordel ? Qu’il grogne, aussi sec. Sa main se tend, et il arrache presque le sachet des mains pour le tendre vers Saskya. Tu vas pouvoir manger ce midi ! Regarde ce que je t’ai trouvé ! »

Il se retourne, sans leur faire signe d’entrer, mais sans leur refermer la porte au nez non plus. Les petits pains finissent sur la table, mais subitement, quand les deux invités pénètrent dans la maison, Micah fait volte-face. Sa main glisse à la dague, et en un pas, il arrive sur eux. L’arme brille en un éclat rapide et l’instant suivant, il pose la lame contre la gorge de Koenig, en braquant un regard ténébreux sur lui.

« Lâche la main de ma soeur, où je te rajoute quelques autres marques. Ses lèvres s’étirent en un sourire inquiétant. À quoi tu joues Koenig ? Je croyais qu’on était quitte, mais si tu touches à un cheveu d’elle, on ne l’est plus… du tout ! »
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