Attack on Titan
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karhlya + et si Aiji n'avait pas fuit ?
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Dim 2 Aoû - 17:13
et si aiji n'avait pas fuit × ft. karhlya



Tu penses qu’elle va monter sagement pour se reposer, qu’avec ces tonnes d’émotion durant la soirée, elle aurait bien besoin de se reposer, tout comme toi mais tu as encore du boulot, et tu ne veux pas l’embêter. Tu poses donc ton équipement et tu retires ta veste que tu poses dans un coin pour finalement rester en chemise. Tu aurais bien besoin d’une douche d’ailleurs, tu dois sentir la sueur et ça ne doit pas etre très sexy du tout. Finalement, tu entends de nouveau sa voix arriver jusqu’à tes oreilles et tu tournes la tête vers elle. « Tu...tu veux bien me montrer … me guider, je suis ... » Tu hausses un sourcil, tu ne comprends pas, il suffit de monter à l’étage et c’est la porte ouverte mais finalement tu te rends compte qu’elle est timide surement gênée aussi. « C'est que je suis douée pour me perdre. » Tu souris alors, amusé et tu acquiesces. Tu approches simplement et, timidement, tu prends sa main. Tu rougirais presque à la lueur des lumières et tu grimpes les escaliers jusqu’au premier étage. Tu l’amène à la chambre, une chambre toute simple avec un lit, un bureau et de quoi ranger ses affaires, il n’y a rien de spécial, ce n’est pas vraiment personnalisé à vrai dire. « Voilà, si tu as besoin de prendre une douche, vas y, fais comme chez toi. » Tu lui souris et tu lâches sa main pour prendre le chemin inverse mais tu te stoppe à la porte.

Tu ne sais pas trop quoi dire, ni quoi penser. Elle se retrouve dans ta chambre et tu trouves cette idée tellement bizarre d’un coup. Jamais tu n’aurais imaginé une chose pareille un jour. La seule femme venant dans ta chambre, c’est Raven, quand tu dors et qu’elle veut te réveiller à coup de sceau d’eau. Tu te tournes vers elle et tu prends une petite moue gênée. « Je.. si tu as besoin de quelque chose, je… serais en bas. » Tu ne sais pas trop quoi dire, ni comment réagir. Il y a eu son baiser, puis le tient, et elle y a répondu. Tout ça tu as encore du mal. Tu aimerais, au fond, pouvoir en parler, mais tu ne sais pas trop comment aborder le sujet, tu ne sais pas comment faire ni même si tu en as le droit. Tu aimerais pouvoir l’embraser à nouveau, au moins pour qu’elle sache que ce n’était pas juste un baiser comme ça, à l’arrache non. Finalement tu fais demi-tour, encore une fois et tu approches d’elle. Tu poses une main sur sa joue, que tu caresses du pouce et tu approches tes lèvres des siennes pour lui voler un baiser. Juste quelques instants, juste quelques secondes. Tu mettras ça sur le compte des deux ou trois verres de cidre même pas fort et qui ne sera pas crédible du tout. Tu recules la tête, les joues rouges et tu reprends. « J’avais… juste envie. » Tu retiens un désolé final.



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Dim 2 Aoû - 21:06
Et si Aiji n'avait pas fuit ?
Aiji & Karhlya
Que tu te sens idiote. On dirait une enfant. Une petite fille perdue qui à besoin d'un guide pour se déplacer parce qu'elle craint de se perdre, ou parce qu'elle craint le loup. Tu te sens ridicule, quand il se tourne vers toi, quand il te souris sans doute amusé par la situation. Bwah, il peut bien refuser. T'indiquer simplement le chemin à prendre...c'est sans doute ce que tu aurais fait toi, après tout. Mais non. Lui il s'approche de toi, sa main vient reprendre la tienne et il t’entraîne de nouveau à sa suite. Tu le laisses faire, tu ne bronches pas tu avances, tu montes l'escalier et il t'emmène jusqu'à une chambre … la sienne, sans doute. Une pièce toute simple, pas vraiment décoré. Sobre. Ça lui ressemble plutôt pas mal, finalement. C'est simple … c'est rangé. Bien loin de ton univers à toi qui finalement garde encore les traces de enfance. Tu prends un petit moment pour observer chaque recoin de cet espace, sans un mot. « Voilà, si tu as besoin de prendre une douche, vas y, fais comme chez toi. » Une douche. Ça pourrait te faire du bien, effectivement. Pourquoi pas. Mais tu ne sais pas si tu réussiras à prendre une douche ici...oh ce n'est pas de la peur, encore une fois. Tu as confiance, encore une fois. Seulement, tu continues de te sentir mal à l'aise. C'est chez ton supérieur que tu es. Ce n'est pas n'importe qui et te voilà dans sa chambre, alors si en plus tu te mets à squatter sa douche. Du coup, tu ne dis rien. Tu hoches juste la tête pour signifier que tu as compris et il lâche ta main. Il s'éloigne, se dirige vers la sortie. Tu sais que tu vas sûrement rester plantée là un petit moment avant de te décider à grimper sur ce lit pour t'y étendre. Tu te poses un bon milliard de question à la vérité. Tout ce qui s'est passé ce soir, tu ne l'aurais jamais cru. Ces baisers, ces aveux. « Je.. si tu as besoin de quelque chose, je… serais en bas. » Tiens. Il est toujours là. Tu reposes ton regard sur lui et de nouveau tu hoches la tête, tu lui adresses un petit sourire. C'est plutôt gentil de se soucier de toi, de ton bien-être comme il le fait. Tu doutes d'oser descendre. D'oser aller l'embêter alors qu'il va sûrement bosser...faire ses trucs de Caporal. Tu te sens déjà de trop, sous son toit. « Merci. » C'est un murmure. Tu ne sais même pas s'il t'a entendu … et tu t'en fiches un peu, puisque le voilà qui revient faire toi. Il s'approche, et sa main vient se poser sur ta joue qu'il caresse du pouce avant de venir chercher un nouveau baiser. Ses lèvres contre les tiennes, encore, et ton cœur s'emballe … encore. Malheureusement, ça ne dure pas. Bien trop vite il recule. « J’avais… juste envie. » Envie … juste envie. Tu secoues doucement la tête. Tu t'attends presque à des excuses au vu de son expression … tu ne veux pas le voir désolé pour un baiser. Alors finalement, sans réfléchir plus que cela ta main vient agripper sa chemise et tu l'attires à toi pour l'embrasser, presque brutalement, à l'image de ce baiser sans doute bien trop fougueux, envieux, passionné et appuyé pour être tout à fait innocent. Ce que t'es en train de faire concrètement ? T'en sais rien. Ton cerveau semble avoir fait pause tout à coup pour donner le champ libre à ton cœur. Tu te colles à lui, à la recherche de sa chaleur et puis finalement … au bout d'un bon moment, tu sembles te rendre compte de ce que tu fais. De cette façon que tu as de l'embrasser tout à coup, et tu recules. Tu fais un pas en arrière. Tu poses une main sur tes lèvres, comme si tu venais de fauter. « Désolée...je suis désolée... » Quelle conne.

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Lun 3 Aoû - 17:43
et si aiji n'avait pas fuit × ft. karhlya



Tu as une main sur sa joue et tu ne sais pas pourquoi, tu n’as pas réussi à résister à cette pulsion. Tu as simplement laissé lire court à tes envies et ton envie était de sentir une fois encore, juste quelques secondes, ses lèvres contre les tiennes. Tu finis par reculer, lui expliquant que tu avais simplement cette envie. Tu as faillit lui dire que tu étais désolé mais tu as réussis à te retenir, à ne pas paraitre pathétique. Tu rougis alors et sans comprendre, sans avoir le temps de répliquer quoique ce soit, voilà que tu sens ses mains sur ta chemise et que tu te sens attiré vers elle. Tu es surprise, et elle t’offre un baiser, tellement fougueux, tellement passionné que tu as du mal à répondre, à comprendre ce qui t’arrive sur le moment même. Tu finis par répondre, son envie, sa fougue, te contaminant alors que tu réponds à son baiser. Tu poses tes mains sur ses hanches que tu maintiens contre toi et tu savoures simplement le gout de ses lèvres. Ton cœur accélère ses battements et fracasse ta poitrine de l’intérieure, il y a aussi d’autres sentiments, totalement inconnu, totalement nouveau et d’autres que tu avais oublié, que tu ne savais plus comment ils étaient. Il y a cet envie, cet envie de l’avoir contre toi, de sentir son corps contre le tien, d’avoir ses lèvre sur les tiennes. Mais il y a aussi ton cerveau, cette tête qui réfléchie parfois bien trop et qui te rappel que ce que tu fais n’est pas correcte. Mais pourquoi ? Ta tête se bat avec ton cœur. Finalement, ses lèvres diminuent leur contacte avec les tiennes et vous interrompez le baiser. « Désolée...je suis désolée... » Tu avales ta salive, tu as encore un peu de mal à comprendre ce qu’il s’est passé. Tu finis par prendre un sourire tendre et tu recules la tête. Tu garde un sourire sur tes lèvres et tu lui reprends, le souffle court. « Ne t’excuse pas.. » Parce que cette fois c’est toi qui vient prendre ses lèvres contre les tiennes. Tu gardes une main sur sa hanche pour la coller contre toi et l’autre main se cale derrière sa nuque, maintenant ainsi son visage sur le tien sans pour autant la forcer. Tu reprends ce baiser, tout aussi fougueux que le sien, un baiser voulant pourtant tout dire alors que tes joues rosissent à tes pensées. Tu ne te rends même pas contre que tu finis par la coller contre le mur, tu ne te rends même pas contre que ton corps presse le tien pendant que tu dévores ses lèvres. Finalement, quand ta tête reprends le dessus, tu ouvres les yeux et tu recules, lentement, il faut que tu te remettes de tes émotions. Ton cœur s’enflamme encore, et tu prendre sur toi pour te contrôler, pour ne pas simplement lui sauter dessus comme un vulgaire pervers. Tu finis par reculer une fois encore, tu prends bien un peu de recules, au moins pour te calmer et finalement tu relèves les yeux vers elle pour lui sourire. « On est quitte, maintenant. » Tu reprends le contrôle de toi-même et de tes pulsions. Tu respires un bon cou pour être sur de te calmer et finalement tu reprends. « Je ferais mieux de descendre... je crois. » Pourtant tu es toujours là, debout devant elle.

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Mar 4 Aoû - 19:13
Et si Aiji n'avait pas fuit ?
Aiji & Karhlya
Désolée. Désolée ? Ah bah oui, bien sur Karhlya, ça excuse tout. Tu les enchaînes ce soir, comme si tu avais la tête ailleurs, ou le cœur à la dérive. Tu ne parviens pas à t'empêcher de laisser libre court à tes envies, à tes pulsions … tu prends ce qui te fais envie, sans te soucier du reste. De l’après. Et bien entendu, ensuite, c'est pas que tu regrettes non, mais tu te poses des questions. Te voilà à te sentir mal à l'aise. Tu viens de faire passer un message, plus ou moins clairement et tu as presque honte de ton attitude. Tu lui as pratiquement sauter dessus … tu viens de t'agripper à lui et de lui offrir un baiser qui voulait dire beaucoup de choses. Tu t'es vendue toute seule sur les pensées qui ont traversées ton esprit au moment même ou tes lèvres sont de nouveau entrer en contact avec les siennes. Ton cœur bat si vite maintenant, si fort. Il semble imploser à chaque battement en réalité, c'est presque douloureux mais bon sang que c'est agréable et puissant. Tu t'excuses, oui, mais plus tu y penses et mieux tu te rends compte des choses. Tu ne l'es pas vraiment ; désolée. Tu ne l'es pas du tout, en réalité. Tu le voulais ce baiser, tu le désirais cet échange et tu aurais voulu qu'il se prolonge et s'éternise. « Ne t’excuse pas.. » Mh. Oui bah trop tard. Tu n'aurais sans doute pas du t'excuser...tu l'as fais uniquement parce que tu ne trouvais rien à dire d'autre, en fait. C'est totalement stupide. Alors tu te dis qu'il faudrait le lui dire, tu n'es plus à ça près … tu avouerais tes envies, mais peu importe. Oui, mais voilà, il ne te laisse pas le temps d'amorcer un petit début de réponse. Pas un mot ne s'échappe de ta bouche parce que cette fois, c'est lui qui vient t'embrasser. Il presse ses lèvres contre les tiennes, il t'embrasse de la même façon que tu viens de le faire, tu sens sa main sur sa hanche te maintenir tout contre lui, et l'autre qui vient se placer dans ta nuque … comme si finalement il ne voulait pas que tu t'éloignes. Comme si tu pouvais y arriver, ou même y songer...lorsque tu sens son envie te réchauffer le corps, lorsque tu sens que ce baiser remue ton estomac et te fait trembler de désir. Il te guide, te force presque à reculer et tu te laisses faire sans mettre fin à ce baiser, tu viens de nouveau t'accrocher à lui, t'agripper à sa chemise … tu ne veux plus qu'il te lâche maintenant. Tu sens ton dos heurter le mur, tu sens son corps se plaquer ton le tien, tu perds pied avec la réalité, tu le sens. C'est pas bien, ce qui te passe par la tête là, maintenant. Oh non, pas bien du tout. Qu'est-ce que c'est que ce genre de pensées, qui te fais rougir, Ka' ? Mais tu ne le contrôles pas, non. C'est lui qui provoque tout ça. La douceur de ses lèvres, la chaleur de son corps puissant contre le tien, son parfum, son odeur masculine qui vient te chatouiller le nez. C'est séduisant, affolant, enivrant...mais voilà qu'encore une fois, il s'éloigne. Ses lèvres quittent les tiennes, et il recule lentement. Il te laisse là, frissonnante de tout un tas de choses, adossée contre le mur, les yeux grands ouverts et le souffle court. « On est quitte, maintenant. » Quitte … tu souffles. Non pas quitte, il peut tout de même te laisser là, comme ça, après ça. Et pourtant tu ne dis rien. Tu le fixes, les lèvres entre-ouvertes. Tu ne fais pas un geste, tu t'amorces pas un mouvement. Rien. Absolument rien. Tu essais de calmer les battements de ton cœur. Il n'a jamais battu si fort, si vite. « Je ferais mieux de descendre... je crois. » Il va te laisser là, toute seule. Il ne bouge pas pourtant mais ses paroles te font presque paniquer. Tu ne parviendras pas à dormir après ça. On reste calme, Karhlya. On inspire. On expire. Calme. Zen. On garde le contrôle. Tu ne peux pas juste … lui sauter dessus comme ça, ce n'est absolument pas correct, ça non. Mais pourtant, tu ne penses qu'à ça, là maintenant. Tu veux qu'il recommence … tu le veux contre toi, tu veux ses lèvres, encore et encore. Ce désir hurle en toi. « Non ! » Et ça sort, tout seul. C'est tranchant. Un seul mot qui veut tout dire, absolument tout. « Reste … s'il te plaît. Reste. »

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Mar 4 Aoû - 23:16
et si aiji n'avait pas fuit × ft. karhlya



« Non ! » Tu hausses un sourcil tu ne comprends pas pourquoi elle t’engueule presque, sa voix était cassante et ferme, alors tu reste comme ça et tu ne comprends pas. « Reste … s'il te plaît. Reste. » Tu es surpris. Non à vrai dire tu ne l’es pas. Tu lui souris doucement en revenant vers elle, en osant poser une nouvelle fois une main sur sa hanche alors que la seconde finit par venir caresser sa joue avec tendresse. Tu plonges tes yeux dans les siens et tu lui souris. Ton corps tambourine ta cage thoracique, ta respiration n’est pas encore redevenue régulière mais tu te calme doucement. Quand tu lui as dit que tu ferais mieux de descendre, tu avais un peu peur qu’elle ne te retienne pas, qu’elle te laisse repartir au rez de chaussé malgré ces baisers. Tu viens poser ton front contre le sien, caressant sa joue alors que de ton autre main tu viens la maintenir contre toi. Et dans un soupir, dans un souffle chaud tu viens lui murmurer. « Merci... de m’avoir demandé de resté. » Tu lui souris avec tendresse et finalement tu viens lui reprendre un baiser. Tu fermes les yeux, et même si cette fois tu te fais plus doux et moins passionné, même si tu ne l’as colle pas contre le mur et ton corps, ton baiser reste tout autant fiévreux. Ton désir, ce désir qui augmente et qui grandit au fond de ton cœur, de ton corps, ce désir tu le fais parfaitement passé dans ce baiser. Tu gardes tes lèvres contre les siennes alors que tu finis par caresser sa hanche, tu es timide, tu fais attention à ce que tu fais parce que tu ne sais comment faire. Tu ne veux pas paraitre pour un pervers, ni pour un idiot. Tu aimerais sentir sa peau contre la tienne, tu aimerais sentir son corps contre le tien et ne plus l’en décoller. Tu décolles tes lèvres des siennes, pour finalement venir te perdre dans son cou, embrassant chaque parcelle de sa peau en caressant sa joue. Tu ne sais pas comment faire, tu retiens tes pulsions, tu retiens l’envie de l’allonger sur le lit, tu retiens l’envie de virer cette chemise. Tu retiens toutes tes envies et toutes tes pulsions mais c’est tellement difficile. « Je… je…» oh et puis zut ! Parce que oui, t’en as marre de te retenir, parce que tu te fiches bien de finir comme un idiot, si tu ne sais plus comment t’y prendre, tu laisseras ton instinct prendre le dessus et tu lui demanderas s’il le faut ! Alors tu finis par glisser tes deux mains au niveau de ses cuisses que tu soulèves et que tu passes autour de tes hanches. Elle se tient à ton chemisier et finalement elle s’y agrippera. Tu l’as porte, l’as garde ainsi tout contre toi en venant prendre ses lèvres à nouveau entre les tiennes. Tu l’appui contre le mur, ainsi tu es sur qu’elle ne pourra pas tomber. Tu caresses ces cuisses, une main la maintenant ainsi alors que l’autre devient plus aventureuse. Ton cœur s’affole, comme ta respiration, comme tout en toi. Tu finis par la décoller du mur pour venir l’allonger sur le lit, venant à ton tour, au dessus d’elle.

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Mer 5 Aoû - 13:20
Et si Aiji n'avait pas fuit ?
Aiji & Karhlya
C'est loin de te ressembler, tout ça. Tu n'es pas comme ça. Passé et mauvaises expériences ont fait de toi une fille plutôt méfiante, oui, mais aussi réservée. Tu n'es pas comme ces filles qui n'hésitent pas à de se dévoiler un peu trop pour séduire un homme, tes cuisses tu les cachent, tes jambes aussi d'ailleurs. Tu as cette habitude bien à toi finalement, d'être un soldat plus que tu n'es une femme. Ça rend folle ta maman. Tu n'es plus la Karhlya qui prend plaisir à être jolie, tu te fiches de ça, même si tu as bien conscience d'être plutôt jolie dans ton genre … on te le répète assez souvent. Ta famille, ou ce qu'il en reste, les amis, les proches. Mais ça t'es bien égal. Depuis longtemps tu te dis que l'amour ce n'est pas pour toi, tu as choisis ta voix ; celle d'une vie de risques. Tu ne peux pas tout avoir, tu sais que construire quelque chose, une relation, une famille … c'est être égoïste. Tu risques ta vie chaque jour. Tu ne veux pas être celle qui causera de la peine de par ta mort. Alors depuis bien longtemps, tu t'es mis des œillères, mais aussi et surtout des barrières. Tu as ignorer les avances, qu'on a pu te faire. Ignorer les compliments, n'y répondant finalement en général que par un pâle sourire. Tu as rejeter l'attention qu'on a pu te porter. L'exemple le plus flagrant est sans doute Hartmann … lui et ses remarques, ses propositions à peine dissimulées. Ses mots, ses attentions avaient su te toucher à un moment, et tu t'étais fais plus violente. Par crainte, surtout. Peut-être aussi par manque de confiance. Oui mais voilà .. ce soir tout semble différent. Ce soir, c'est toi qui à pris les initiatives, c'est toi la source de tout ça. Tu l'as inviter, tu l'as embrasser la première … et maintenant que tu en es là, maintenant vous venez d'échanger ces deux baisers fiévreux et révélateurs de vos envies, tu ne veux plus faire semblant. Tout à coup, tu n'as plus envie de jouer la fille qui ignore. Tu as envie d'oublier les leçons que tu t'es faites à toi-même. Tu as envie de te laisser aller à ce que ton cœur et ton corps te dictent. Tu ne veux pas qu'il parte, qu'il te laisse là, seule. Non, tu veux qu'il reste là, près toi avec toi. Tu veux encore ses lèvres, tu veux encore la chaleur de son corps mêlée à la tienne. Tu ne sais pas pour quel genre de fille tu passes, après cette demande, mais peu importe. Tu t'en fiche bien. Il fallait que tu exprimes ce « non ». Il le fallait !

Une petite hésitation ? Tu n'en sais rien. L'important étant plutôt ce sourire que tu vois se dessiner sur son visage. Il s'approche de toi, il efface la distance qu'il vient de lui même installer et sa main revient prendre place sur ta hanche alors que la seconde, avec douceur caresse ta joue du bout des doigts. Tu relèves la tête, tu le regardes, tu te plonges dans son regard ténébreux. Tu ne sais pas ce qu'il signifie ce regard, tu ne parviens pas à lire quoi que ce soit dans ses yeux, mais il continue de te sourire. Comme si tout allait pour le mieux, maintenant. Finalement, il appuie son front contre le tien. « Merci... de m’avoir demandé de resté. » Un murmure...non, plutôt un soupire. Ce n'est destiné qu'a toi, à toi seule. Des remerciements … comme si finalement, il n'attendait que ça, que tu t'opposes à ce qu'il quitte cette chambre, à ce qu'il te laisse seule. Un petit sourire se dessine finalement sur ton visage, il illumine tes traits. De nouveau, ses lèvres viennent se mêler aux tiennes. Il t'embrasse, tout en douceur certes … mais c'est presque langoureux. Tu continues de le sentir, ce désir. Ça n'est pas calmé. Ça n'est pas enterré. Loin de là. Alors tu fermes les yeux et une nouvelle fois tu t'abandonnes, tu réponds à ce baiser avec la même douceur, la même tendresse et la même envie qu i te tiraille le ventre. Tu sens cette main, qui caresse délicatement ta hanche...ce contact te fais frisonner à chaque mouvement. Ses lèvres quittent les tiennes et il descend dans ton cou, il y embrasse chaque millimètres de peau et tu laisses échapper un soupire...il murmure quelque chose que tu ne comprends pas, tu ne réagis pas, et tu sens après quelques secondes ses mains glisser le long de ton corps jusqu'à tes cuisses. Il te soulève, et tes jambes s'enroulent autour de lui presque instinctivement. Tu t'agrippes à sa chemise pour ne pas basculer, tu ne dis rien non, de toute façon il n'y a rien a dire. Il vient reprendre tes lèvres et bientôt tu sent à nouveau ton dos cogner le mur alors que ses mains caressent tes cuisses, puis bien plus encore. Tu ne te retiens plus. Tu as bien essayer, pourtant, d'être une fille sage et raisonnable … un peu. Mais maintenant, tu ne peux juste plus. Alors tes mains agrippées à sa chemise desserrent un peu de leur emprise et pendant que tu l'embrasses, tu défais quelques boutons. Mais de nouveau il bouge avec toi, ton dos quitte le mur et il finit par t'allonger sur le lit, avant de venir se placer au dessus de toi. Tu ne résistes pas à ce moment à l'envie de détacher les derniers boutons de sa chemise déjà bien ouverte, puis tu te redresses légèrement pour l'embrasser à nouveau alors que tes mains caressent son corps, le découvre. Tu sens des picotements dans le bout de tes doigts, alors que tu parcours sa peau, l'attires à toi, contre ton corps frissonnant d'ivresse et de désir. Tu vas plus le laisser s'éloigner, maintenant. Oh que non. Il est tout ce que tu veux, ce que tu désires à ce moment présent. Tu as oublier le reste, les grades et la pseudo distance entre vous deux. La vérité, c'est que tu te sens bien, si bien là où tu es … ton corps prisonnier du sien.

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Sam 15 Aoû - 17:54
et si aiji n'avait pas fuit × ft. karhlya



On sait tous comment ca se termine tout cela. Tu aurais pu fuir comme tu sais si bien le faire, tu aurais simplement pu prendre la fuite et l’abandonné comme un lâche, n’être qu’un connard parmi tant d’autre et devenir ce que tu détestes le plus. Mais non, tu as pris ta décision, la meilleure selon toi. Tu restes près d’elle et tu prends soin de ne pas lui faire du mal, de ne pas la blesser d’une quelconque façon, d’être là et d’être simplement toi. Tu te laisses aller, sans réfléchir aux conséquences, tu restes là et tu l’embrasse comme jamais tu n’as embrassé quelqu’un depuis ces six dernières années. Alors tu savoures simplement le goût de ses lèvres et tu caresses ses formes de tes mains beaucoup moins timides que toi. Tu l’allonges donc sous toi, et tu quittes ses lèvres de nouveau pour partir dans son cou, tu laisses l’envie et la passion prendre le dessus sur la raison et tu culpabiliseras plus tard s’il le faut. Tu laisses tes mains prendre son corps pour le coller au tient et tu les laisses mêmes commencer à lui retirer ces vêtements. Jamais tu n’aurais osé une chose pareille, tu n’aurais jamais eu ces pensées avant aujourd’hui. Tu laisses pour la première fois ta chambre dans un bordel monstres, laissant les vêtements qui vous quittent sur le sol alors que tu les balances comme de vulgaire morceau de tissus.

Et ce qui devait arriver… arriva. C’est ainsi que les femmes et les hommes finissent quand l’envie et les sentiments se mêlent à tout cela. Tu finis comme un idiot, mais un idiot heureux, essoufflé mais heureux. Tu l’as garde contre toi, tu caresses sa joue de ton pouce et tu as le cœur qui se serre. Tu a peur, en cet instant, tu as peur qu’elle ne fuit à ta place, qu’elle quitte tes bras pour partir en courant en attrapant ces vêtements au passage. Et si, après une bonne nuit de sommeil, tu ne te réveilles seul, dans ton lit. Penseras-tu que ce n’était qu’un rêve ? Un merveilleux rêve ? Pour le moment tu ne veux pas penser à cela et tu lui souris simplement, avec ton petit air idiot mais tellement adorable. Tu continues de laisser ton pouce caresser sa joue, tu laisses ton corps contre le sien et tu espères simplement qu’elle voudra malgré tout resté, qu’elle ne voudra pas fuir, qu’elle ne voudra pas quitter ton escouade. D’ailleurs, après ce moment, cette nuit qui a déjà bien commencé, comment allez vous devoir vous conduire ? Faire comme si tout était normal et t’inquiéter pour elle encore plus que d’habitude en silence, avoir peur de ne pas pouvoir la protéger ? Tu ne sais pas mais étrangement tu ne veux pas y penser pour le moment, tu ne veux pas avoir peur alors qu’elle est là, complètement nue, contre toi, dans tes bras. Et tu lui souris, tendrement tout en reprenant ton souffle et une respiration convenable.

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Lun 31 Aoû - 14:23
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