Attack on Titan
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karhlya + et si Aiji n'avait pas fuit ?
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Mer 22 Juil - 17:11
et si aiji n'avait pas fuit × ft. karhlya



Elle est de mauvaise humeur ? Pourquoi ? Tu as dit quelque chose de mal ou tu aurais fait quelque chose de déplaisant ? Tu regardes l’aubergiste partir et tu comprends, elle a mal prit le fait que tu es rétablis la vérité sur votre relation ? C’est juste que tu es gêné, elle est peut-etre habitué mais toi non et ça te met mal à l’aise sachant que tu n’es plus en couple depuis six ans maintenant. Bon, elle ne le sait pas et ça doit pas aider mais bon, tu te vois mal lui raconter la vie d’Erina et ta vie sentimentale raté rien que pour cela. « La dose de champignon pour moi, s'il te plaît ! » Ho des champignons, c’est bon ça ! Mais tu ne commentes pas, tu n’en demandes pas contrairement à elle. Tu veux d’abord savoir comment est l’omelette avant tout. Finalement il ne vous reste plus qu’à attendre que les plats reviennent. « Je … j'ai … » Tu l’as regarde, elle ne semble pas savoir quoi dire, ou alors elle ne sait pas comment le dire mais tu ne comprends pas pour autant ou elle veut en venir. « Désolée je … rha. » Tu hausses un sourcil et finalement, contre toute attente, tu pouffe de rire. Il faut dire qu’après deux verres de cidre même pas fort, tu peux rire de toutes les grimaces que tu verras. Tu secoues alors un peu la tête et finalement tu reprends. « Calme toi, pas besoin de t’énerver, si tu sais pas quoi dire c’est pas grave. J’sais bien que je suis trop impressionnant… J’suis même pas crédible. » Et tu ris à nouveau. Tu te reprends rapidement et tu la regarde un instant. Etrangement, quand elle s’énerve toute seule, elle est adorable et très mignonne, tu lui souris alors doucement.

La femme du tavernier finit par revenir avec les deux omelettes qu’elle pose devant chacun de vous. Tu l’as remercie doucement et tu attrapes tes couverts pour finalement la planter dans l’assiette. « Bon appétit. » Lui fis-tu joyeusement avant d’apporter un morceau d’omelette à tes lèves. Hey, c’est vrai que c’est bon ce truc là ! Ca n’égalera jamais les crêpes de ta mère mais cette omelette est vraiment bonne. Tu reste silencieux et tu manges sagement, non, tu dévores surtout ton assiette. Tu lâches un soupire, tu as bien mangé et finalement ce plat a été suffisant pour combler cette faim, au moins jusqu’à demain.

Tu finis par regarder autour de toi et tu lui souris. « Tu as des frères ou des sœurs ? En fait, je me rends compte qu’hormis tes qualités de soldat, je ne connais pas grand-chose sur toi. » Tu prends une petite moue et tu attends une réponse, tu aimerais vraiment en savoir un peu plus elle, sur sa vie. C’est con mais bon, t’aimerais bien.

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Mer 22 Juil - 19:28
Et si Aiji n'avait pas fuit ?
Aiji & Karhlya
Tu n'aimes pas ça, non. Tu as horreur de ça. Mettez ça sur le compte de ce que vous voulez, ton caractère, la situation ou encore et toujours ta fierté bien à toi, le fait est que oui ça t'agaces parfois d'être toi. Ce que tu veux là, maintenant, c'est continuer d'être naturelle, parce que tu sais que tu peux le faire, tu y parviens toujours normalement. Il n'y a bien que face à Bailey, que tu perds tes moyens de cette façon là … que tu ridiculises autant. Tu veux parler. Normalement. Tu sais pas de quoi, mais t'aimerais juste engager une discussion. Parler d'omelette, de champignon, de cidre ou encore de la douce musique qui envahie l'espace autour de vous...mais tu n'y arrives pas. Encore une fois tu te sens troublée. Tes mots ne sortent pas, ils ne s'alignent pas et tu ne parviens à sortir qu'une soupe de syllabes totalement incompréhensible. Dire que tu rages est euphémisme. Oh que tu te hais, dans ses moments là. Parce que c'est toi, la responsable, c'est toi qui est l'instigatrice de ce moment à deux, toi oui .. et c'est toi qui gâche tout avec tes réflexions étranges, ton manque d'assurance irréaliste. Avec lui, juste avec lui. Tu sais pas trop ce qui te fais ça .. le grade, l'homme en lui même, autre chose ? Peu importe le nom que ça porte. Ça t'agaces. « Calme toi, pas besoin de t’énerver, si tu sais pas quoi dire c’est pas grave. J’sais bien que je suis trop impressionnant… J’suis même pas crédible. » Humpf. Et en plus il l'a remarquer. Bien sur qu'il l'a remarquer, Ka', tu bégayes comme une idiote. Mais est-ce qu'il a comprit ce changement soudain d'attitude ? Grand dieu tu espères que non, parce qu'autrement c'est la honte. La pire de ta vie, ou presque. Mais lui … lui ça le fait rire, oui. Franchement, il ne se retient pas de pouffer et tu rougis de plus belle. « Je suis pas énervée ! » marmonnes-tu. Bien sur que tu l'es. Voilà que tu t'enfonces dans le mensonge maintenant. Mais peu importe. Faut se reprendre ma fille. Et en vitesse. D'ailleurs, lui, cesse de rire. Presque comme ça, d'un coup et t'aimerais bien avoir le même contrôle sur tes émotions, ça t'arrangerais bien parfois.

La voilà de retour, la femme du tavernier. Toujours souriante, elle dépose vos deux assiettes sur la table et s'éloigne à nouveau, dans le silence cette fois. Toi, tu hésites, tu fixes ton assiette. Une belle omelette, bien garnie, appétissante à souhait. « Bon appétit. » Tu relèves la tête et tu l'observes alors que déjà, il attaque son repas avec appétit … il avait faim, très faim visiblement. Tu souris devant son enthousiasme, et puis finalement tu t'attaques à la sienne. Tu piques un champignon que tu mâchouilles tranquillement, puis un morceau de ton omelette dont le goût si appréciable te contentes. Le repas se passe en silence, sans doute parce que cette fois vous êtes tous deux trop occupés à savourer vos assiettes respectives. Tu peines à finir, le dernier morceau passe tout juste. Tu déposes ta fourchette tranquillement, tu jettes un œil autour de toi. Aux gens qui dansent, s'amusent, boivent ou mangent. « Tu as des frères ou des sœurs ? En fait, je me rends compte qu’hormis tes qualités de soldat, je ne connais pas grand-chose sur toi. » Tu ramènes tes yeux sur Bailey. C'est vrai qu'il ne sait rien de toi, au contraire de certains autres dans cette escouades. Tu parles de toi, parfois, mais rarement. Disons que ça t'arrive, à l'occasion. Tahys te connais, c'est normal. Hartmann aussi, un peu. C'est sans doute le genre de question à laquelle il a déjà la réponse...les autres ? Tu ne penses pas. Tu agites la tête tout en réinstallant correctement sur ta chaise. « Je suis fille unique. » Et oui, tu as été la petite fille de son papa durant des années, avant qu'un titan ne se décide à te le prendre. « Il ne me reste que ma père, j'ai perdu mon père il y a longtemps … il était dans les Bataillons. » Triste moment de ta vie qui pourtant, avait déterminer ce que tu deviendrais. Tu avais pris ta décision à ce moment là, tes larmes, ta peine, tu en avais fais une arme. Tu avais transformer ta douleur en motivation, et tu avais tracer une ligne bien droite pour ton avenir. Tu n'en avais jamais dévier depuis. « Il n'y a que Tahys, que je pourrais qualifier de sœur en réalité... » Véridique. Cette fille, c'est presque une partie de toi-même. Elle te ressemble tant, et pourtant elle est à la fois si différente. Tu y tiens, tout comme elle tient à toi. Une vie ou presque à se supporter, à se disputer, mais surtout à s'aimer.

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Jeu 23 Juil - 0:40
et si aiji n'avait pas fuit × ft. karhlya



« Je suis fille unique. » Tient, ça vous fait un point commun. Tu lui souris alors doucement et tu laisses la jeune femme continuer son récit. « Il ne me reste que ma père, j'ai perdu mon père il y a longtemps … il était dans les Bataillons. » Tu as alors une petite moue, tu comprends parfaitement ce qu’elle peut ressentir puisque tu as toi-même perdu ta mère mais au vu de ses paroles, et de cette précision sur les bataillons, tu te dis que son père est surement mort lors d’une mission et tu comprends encore plus sa douleur. Tu baisses un instant les yeux et tu tentes simplement de garder ton visage fermer, pour ne pas dévoilé tes problèmes existentiels. « Il n'y a que Tahys, que je pourrais qualifier de sœur en réalité... » A vrai dire, vous avez plus de points communs que vous ne pouviez penser. Ils ne vous restent qu’un parent, enfin même si tu finis par croire que tu es orphelin puisque tu ne vois jamais ton père, mais bref. Et surtout, il n’y a finalement qu’un ami que vous considérez comme membre de votre famille. C’est un peu bête de n’avoir jamais parlé de tout cela, vous auriez pu en apprendre bien plus et peut-être même vous soutenir mutuellement. Tu fixes les assiettes vides et finalement tu hésites. Lui en parler ou non ? Finalement, tu te dis que puisqu’elle partage ces parties intimes de sa vie, tu pourrais en faire autant et parler aussi de cette partie qui te fait souffrir, juste un peu.

« Je suis désolé, pour ton père. Je peux comprendre ta douleur. » Tu lâches un petit soupire et finalement tu reprends. « Je suis un peu pareil. Il ne me reste que mon père. Ma mère est morte quand j’étais petit. » tu lui épargnera le fait que tu n’avais que cinq ans, tu lui épargnera que c’était le jour de son anniversaire et que tu avais cueillis des fleurs avec Ezéchiel pour le lui offrir. Tu lui épargneras aussi le fait que depuis ce jour là ton père n’a jamais vraiment fait attention à toi, qu’il passait son temps au boulot pour ne pas rentrer et que finalement tu as passé tes journées chez les Mahon avec Ezéchiel. Tu lui épargneras aussi le fait que tu as choisit de t’engager parce que tu n’avais rien d’autre à faire, parce que c’était surement la qu’était ta place et qu’avec tout ca, tu vis encore sous le toit de tes parents. Finalement pour en revenir au sujet de conversation, tu lui souris doucement afin de ne pas rendre l’ambiance déprimante. « Alors Harrl est pour toi, comme Hartmann pour moi. Il est mon frère, on se connait depuis qu’on est bébé alors forcement, ça aide. » Tu souris sagement avec un petit air amusé malgré tout. « Et j’ai une cousine, qui est comme ma petite sœur. Je lui ai tout apprit ! Au grand regret de sa maman. » T’as jamais aimé sa mère, trop conne à ton gout, trop coincée. Tu pouffes un peu à cette idée, repensant à la tête de ta tante quand tu as expliqué à sa fille chérie comment on faisait les bébés, c'était vraiment un moment très drôle.

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Ven 24 Juil - 11:33
Et si Aiji n'avait pas fuit ?
Aiji & Karhlya
« Je suis désolé, pour ton père. Je peux comprendre ta douleur. » Tu hausses les épaules. Tu ne sais pas si tu peux dire que tu en souffres encore. Tu as eu mal, ça oui. Ton père, c'était ton héros. Celui que tu venais parfois chercher avec ta maman, ici à Karanes. Tu le voyais revenir sur son fier destrier, la tête haute et les épaules droites malgré les horreurs qu'a l'époque tu ne comprenais même pas. Sa cape sur le dos, son équipement à demi vide, parfois bosselé, il rentrait et te serrais dans ses bras malgré le sang, l'herbe et la terre qui s'accrochait à lui. Tu te souviens de ses histoires, de ses récits qui te faisaient rêver. Il te parlait de ce ciel qu'aujourd'hui tu contemples à chaque sortie, il te parlait de ces vastes plaines bien vertes dans lesquelles aujourd'hui tu te bats, et surtout, tu te souviens de l'océan. Cette vaste étendue bleutée, de l'eau salée à perte de vue brillant de mille feux sous les rayons d'un soleil radieux. Ton rêve. Ton but. Ton objectif. Celui que tu aimerais toucher du bout des doigts, avant de mourir. « Je suis un peu pareil. Il ne me reste que mon père. Ma mère est morte quand j’étais petit. » Tu ne vas pas demander de détails, non. Tu ne fais que relever la tête pour l'observer. Alors qu'il te parle, qu'il te confie une partie de sa vie … tu remarques qu'il est plongé dans ses souvenirs. Il ressasse, comme il peut t'arriver de le faire parfois. Tu ne peux finalement que compatir, perdre l'un de ses parents c'est douloureux. Ça ne s'efface pas. Peu importe ce qui arrive, comment ça arrive, c'est un moment horrible que tu ne souhaites même pas à tes ennemis. Finalement, il semble se reprendre. Revenir à la réalité. Il te souris, et son sourire tu le lui rends. « Alors Harrl est pour toi, comme Hartmann pour moi. Il est mon frère, on se connait depuis qu’on est bébé alors forcement, ça aide. » Oh ça tu l'avais bien compris. Tu ne pouvais que le comprendre. C'est lisible, compréhensible entre ces deux là. Tu la vois de loin, d'aussi longtemps que tu t'en souviennes .. leur complicité. Ils donnent l'impression de se connaître par cœur, de savoir pour l'autre sans même avoir besoin de dire un mot. Ce n'est pas de l'affection, c'est déjà de l'amour, un amour particulier .. pas de celui qui lie un couple pour le meilleur et pour le pire, tu serais même prête à parier que finalement, c'est plus que ça. Plus profond. Une relation sans concession. A la vie, à la mort. Tu le sais. Tu le comprends, parce que tu es dans la même situation. Avec Tahys, ça date de l'enfance .. tout a bien mal démarrer entre vous deux et pourtant aujourd'hui, elle donnerait sa vie pour toi, comme tu donnerais ta vie pour elle. Sans hésitation. Rien que pour qu'elle puisse vivre quelques heures de plus, parce que de toute façon la perdre serait un supplice bien pire que la mort. « C'est presque une demi moi... » dis-tu simplement, avant de le laisser continuer. « Et j’ai une cousine, qui est comme ma petite sœur. Je lui ai tout apprit ! Au grand regret de sa maman. » Oh. Voilà une partie de sa vie que tu connaissais. La petite cousine tu la connais, tout simplement parce que c'est l'une des amies que tu chéris le plus. « Je connais Raven … c'est une amie. » Une fille adorable, avec laquelle tu aimes particulièrement passer du temps. Une cousine comme une sœur … c'est bien loin de la relation que tu entretiens avec la tienne, de cousine. « J'ai aussi une cousine...mais on ne se fréquente pas tant que ça. Des histoires de famille, finalement .. je connais pas Dylan plus que ça, à mon grand regret. J’essaie d'y remédier. » Oui, ces derniers temps tu essaies de rattraper le temps perdu. Mais c'est pas évident ...

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Ven 24 Juil - 22:05
et si aiji n'avait pas fuit × ft. karhlya



« C'est presque une demi moi... » Tu souris alors, finalement sa relation avec Tahys et comme la tienne avec Ezéchiel. Tu avais bien remarqué qu’elles tenaient l’une à l’autre mais tu n’avais jamais fait vraiment attention au lien qui pouvait les unir. La différence avec Hartmann et toi, c’est que vous, on vous entend. Vous ne faites jamais rien à mi mesure alors forcement, que ce soit une connerie, une engueulade pour une broutille ou au contraire, un moment inquiétant, vous faites tout en grand. Parce qu’il est ton frère, ton meilleur ami, une partie de toi et de ta vie. Sans lui, tu n’as plus aucun repère. C’est ton âme-frère… Ca ne se dit pas mais ça résume parfaitement la situation et votre relation. « Je comprends tout à fait, Hartmann est un demi moi, une partie de ma vie, que ce soit passé, présent ou futur. Alors je comprends. » Tu lui souris, voilà que tu te mets à parler de toi, t’es sensé être mystérieux non ? Tant pis !

Tu lui raconte alors, toi aussi une partie de ta vie et tu lui explique que tu as une cousine, que tu considère comme une petite sœur et là, elle répond. « Je connais Raven … c'est une amie. » Tu écarquilles les yeux, elles se connaissent ? Voilà c’est fichu, ta cousine a du raconter toutes les conneries que tu as du faire par le passer avec ton meilleur ami, elle a même pu raconter pour Erina et elle doit juste avoir pitié de toi. Tu secoues alors la tête, tu ne veux pas penser à Erina, tu ne veux pas te remettre en question et avoir l’air abattu. Alors tu reprends un sourire pour finalement lui répondre. « Nom d’un titan ! Si tu connais Raven, je dois avoir une bien sale réputation, si cette vilaine raconte les bêtises que j’ai pu faire. » tu lâches un petit rire pour montrer que tu plaisantes mais c’est vrai qu’il y a quand même pas mal de truc à raconter sur ton adolescence et tes blagues idiotes en compagnie de ton meilleur ami. Tu espères simplement que si elle a raconté des bêtises, elle a raconté l’histoire de la petite Raven qui découvre son cousin tout nu à la sorti de douche. Au moins y’aurais de quoi raconter et surtout, elle serait aussi gêné que possible et rien que ça, rien que pour ça, ça vaut le coup d’en parler.

« J'ai aussi une cousine...mais on ne se fréquente pas tant que ça. Des histoires de famille, finalement.. je connais pas Dylan plus que ça, à mon grand regret. J’essaie d'y remédier. » Tu acquiesces simplement. Les histoires de famille, tu n’en as jamais connu parce que tu n’as plus de famille autre que ceux que tu as déjà cités. Même ton père parfois, ne semble plus faire partie de ta famille malgré le lien de sang qui vous unis. Mais il n’a jamais été la pour toi, depuis la mort de ta mère il ne fait que passer son temps au boulot et en grandissant, tu as juste apprit à ne plus y faire attention. Vous vous ignorez finalement et ça te va parfaitement parce que si vous parlez, si vous vous parliez vraiment, ça finirait en éclat de voir et peut-être même en baston. Alors au fond, tu ne peux pas comprendre son problème, son soucis de famille, ces histoires. « Je vois, alors je te souhaite courage et chance, j’espère que tu réussiras à devenir plus proche de ta cousine. » Tu lui souris sincèrement mais tu ne vois pas trop ce que tu pourrais lui dire d’autre malheureusement.

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Sam 25 Juil - 14:08
Et si Aiji n'avait pas fuit ?
Aiji & Karhlya
« Nom d’un titan ! Si tu connais Raven, je dois avoir une bien sale réputation, si cette vilaine raconte les bêtises que j’ai pu faire. » Tu te mets à rire. En réalité, tu connais Raven depuis un bon moment, assez longtemps pour qu'elle ait finalement eu le temps de te dire que ton supérieur était son cousin chéri. Mais c'est tout. Tu n'as jamais chercher à en savoir plus sur Bailey par le biais de ton amie, tu ne l'as jamais questionnée à son sujet et surtout, elle n'a jamais ou presque aborder le sujet « Aiji Bailey » d'elle même, sauf pour des banalités. Et ça t'arrange bien. Tu as bien compris que Raven avait une relation privilégiée avec son cousin, d'ailleurs. Depuis longtemps. Mais bon .. toi et la famille. Finalement, tu n'en as pas. Pas de véritable sœur, pas de frère non plus. Juste ta maman. Et puis Dylan que tu évoques brièvement. Ta petite cousine. Quand tu y penses, tu te dis que tout aurait pu être bien différent entre vous deux. Aujourd'hui, vous êtes pratiquement des étrangères. Vous êtes liées par le sang et pourtant, vous n'avez jamais rien partager … tu as pourtant tenter, il y a bien longtemps alors que vous n'étiez que deux enfants innocentes, de t’approcher de cette petite fille. Mais les histoires de grands vous avez rattrapées. Violemment. Elles t'avais tout bonnement arrachée à la compagnie de Dylan, la laissant éplorée. Toi aussi tu avais pleurer, tu avais même un peu protester et puis, ton père t'avais parler. Il n'avait rien expliquer, il n'avait pas donner de raisons, mais tu avais obéis parce que ton papa c'était tout pour toi. Et que ses paroles avaient eu à une époque quelque chose de sacré. « Je vois, alors je te souhaite courage et chance, j’espère que tu réussiras à devenir plus proche de ta cousine. » Toi aussi, tu l'espères. Les choses ont bien changées, tu comprends aujourd'hui le sens du mot famille, tu moins à ta façon. Tu envies les autres, ceux qui ont tant de frères et de sœurs, ceux qui partagent avec les leurs alors que toi, finalement, tu te sens seule avec ton sang unique. Mais franchement … comment pourrais-tu t'y prendre ? Dylan n'est plus une enfant. Tout comme toi. C'est un soldat. Tout comme toi. Elle a sûrement du caractère, tout comme toi. Des secrets. Tout comme toi. Et tu doutes fortement que tout à coup, tout s'arrange si facilement entre vous deux. Elle aura sûrement du mal à venir vers toi. Tout comme toi...

Tu soupires. Tu repousses ton assiette désormais vide. Tu as bien manger, sans doute un peu trop d'ailleurs puisque tu sens l'omelette peser lourd sur ton estomac. Ou alors est-ce le cidre ? Tu ne sais pas.  « Je crois que j'ai trop manger... » Faut dire qu'a la base tu n'avais faim. Puis tu as eu faim .. mais maintenant tu regrettes peut-être d'avoir manger. Ou plutôt d'avoir autant manger. C'est qu'elles sont consistantes les omelettes de Madame Garroway. « ...ça vous dérange si on prend un peu l'air ? » C'est que ça devient oppressant finalement cette auberge.

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Sam 25 Juil - 20:41
et si aiji n'avait pas fuit × ft. karhlya



Visiblement, sa situation familiale n’est pas plus enrichissante que la tienne. Tu as cependant, contrairement à elle, une cousine adorable dont tu es proche mais le seul parent qu’il te reste t’ignore la plupart du temps. Tu ne cherches pas à régler cela, tu laisses le temps faire et ton père et toi devenez des inconnus au fur et à mesure que le temps passe. Tu aimerais savoir pourquoi il ne passe plus à la maison, pourquoi depuis la mort de ta mère, il ne s’occupe pas de toi. Tu voudrais savoir s’il a refait sa vie et qu’il a peur de te le dire où au contraire, s’il picole dans un coin pour ne plus réfléchir. Tu aimerais qu’un jour, vous parliez, tu aimerais qu’un jour vous puissiez vous comprendre et que tout cela ne soit plus de non dit inutile.

« Je crois que j'ai trop manger... » Mon dieu que toi aussi mais c’est hors de question que tu n’avoues ça, cependant c’est très voyant vu ton air à moitié endormi par un ventre bien remplit. « ...ça vous dérange si on prend un peu l'air ? » Tu lâches un soupire, parce qu’au fond, toi aussi t’es trop manger et te lever semble être quelque chose d’improbable. Il faut pourtant que tu te lèves, que tu tentes de te lever et ce ne risque pas d’être facile. Pourtant tu fais en sorte de rester fier et d’avoir ton air de caporal pour avoir l’air moins idiot. Finalement, prendre l’air n’est pas du tout une mauvaise idée. Tu fouilles avant tout dans tes poches pour régler les deux repas ainsi que les deux verres de cidre que tu avais recommandé un peu plus tôt. Suite à cela, tu te relèves enfin et tu souris un peu plus à la demoiselle devant toi. « Je pense que ça aidera à la digestion. » Tu lui souris, tu dis au revoir aux personnes présentes et tu fais ton gentleman, tu attends que la demoiselle te suives pour lui ouvrir la porte et sortir à sa suite.

L’air est frais et fait énormément de bien, ça évite que tu ne veuilles t’endormir directement. Tu souris à la demoiselle et finalement, tu reprends. « Je te raccompagnes ? Malheureusement il se fait tard et je n’ai pas encore rendu mon rapport. Même si j'ai vraiment pas envie de faire ça.» Tu prends une petite grimace, parce que ça te saoul déjà à vrai dire. Tu passes une bonne soirée mais il faut que tu bosses encore car malgré la fin de mission tu as encore des tonnes de paperasse à faire malheureusement. Tu prends une petite moue, tu attends qu’elle te dise quoi faire. Tu ne veux pas spécialement rentrer chez toi, mais tu ne veux pas imposer ta présence pour autant. Voilà, tu réfléchis encore de trop et tu ne sais même plus que tu veux vraiment.

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Mar 28 Juil - 12:43
Et si Aiji n'avait pas fuit ?
Aiji & Karhlya
« Je pense que ça aidera à la digestion. » Ouais. Sûrement. C'est une possibilité. Sûrement une vérité .. non en vrai, tu as vraiment besoin d'air. Pas spécialement pour ta digestion, ou peut-être que si. Tu sais pas trop, simplement tu trouves subitement l'ambiance de l'endroit un peu trop oppressante. Tu te dis que sortir te feras du bien, que l'air du dehors te sera bénéfique. Tu ne sais pas si c'est le cidre, ou l'omelette qui passe mal. Bref … tu te lèves. Tu le laisses payer sans un mot et tu lui emboîtes le pas vers la sortie en saluant le couple Garroway. Tu ne sais pas encore si tu reviendras ici ce soir, ou si finalement tu rentreras directement. Il t'arrive bien souvent de quitter cette auberge pour marcher, tourner en rond et finalement revenir te poser ici pour avaler un verre de plus. Tu finis par rejoindre Bailey, qui t'ouvre la porte et te laisses sortir. Comme prévu, l'air frais du soir te fais un bien fou. Tu inspires, puis expires un grand coup avant de reporter ton attention sur Aiji. « Je te raccompagnes ? Malheureusement il se fait tard et je n’ai pas encore rendu mon rapport. Même si j'ai vraiment pas envie de faire ça.» Te raccompagner ? Où ça ? Tu n'habites pas dans le coin … et d'ailleurs il commence à se faire tard, peut-être qu'il serait tant que tu te mettes en route, non ? C'est que Trost c'est pas la porte à côté. « Oh, je doute que vous soyez prêt à faire le voyage jusqu'à Trost, Caporal. » C'est que ça prend un temps fou, tu ne le ferais peut-être pas à chaque fois s'il n'y avait pas ta maman cela dit. C'est fatiguant. Surtout après une mission comme celle d'aujourd'hui. Tu sais déjà que s'il te prend le courage de remonter à cheval pour rentrer ce soir, tu vas rentrer totalement épuisée chez toi. Tu auras sûrement à peine le temps d'embrasser ta mère avant de t'écrouler, de tomber de sommeil. Tu sais que tu vas dormir jusqu'à tard dans la matinée, le temps de récupérer toute l'énergie que tu as offert aujourd'hui.

Tu fais quelques pas dans la rue avant de t'arrêter à nouveau pour t'étirer. Ton corps est douloureux, pas que tu sois blessée, non, il ne t'ai rien arriver de fâcheux aujourd'hui. Même pas une chute. Alors tu mets ces douleurs musculaires sur le compte de ta fatigue et de tes efforts du jour. Tu y es habituée pourtant... Tu soupires, tu lui tournes le dos, tu fixes un point invisible non loin de toi. C'était plutôt enrichissant, comme soirée, non ? Pas mal oui. Tu as l'impression soudainement de mieux cerner ton supérieur. Monsieurjemelajouesupermystérieux est finalement quelqu'un qui arbore quelque part une certaine fragilité. Tu l'as lu dans son regard aujourd'hui, tu l'as vu sur son visage lorsqu'il t'as parler de sa famille. « Vous savez … vous devriez avoir confiance en vos capacités. Vraiment je veux dire. » Oui, parce que tu n'es pas dupe. Les carapaces de tortue, ça ne fonctionne pas avec toi. Tu fais pareil. C'est pas compliqué. « Peu importe ce que vous pensez, ce que ces gens vous diront toujours … vous êtes quelqu'un de bien. Je ne voudrais être sous les ordres de personne d'autre. C'est sous votre commandement que je vivrais, et sous votre commandement que je mourrais. » Voilà que tu deviens subitement trop sérieuse. Mais finalement, c'est sans doute quelque chose que tu as besoin de dire une bonne pour toute. Et ce moment t'apparais le meilleur pour ça. Tu finis par te retourner. « Et le jour où ça arrivera. Ça ne sera en rien de votre faute. Je serais simplement arrivée au bout de mon chemin, et je serais fière … fière après cinq ans à découper des nuques à vos côtés. » Tu laisses un sourire se dessiner sur tes lèvres. « Merci … d'avoir dit mon nom ce jour là. »

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Mar 28 Juil - 15:46
et si aiji n'avait pas fuit × ft. karhlya



« Oh, je doute que vous soyez prêt à faire le voyage jusqu'à Trost, Caporal. » C’est vrai que contrairement à beaucoup de ton escouade, Ainsley ne vit pas à Karanes et tu l’avais oublié pendant quelques secondes, avant qu’elle ne te le rappel. Mais pourtant tu ne perds pas ton sourire et tu hausses finalement les épaules avec une petite moue amusée. « Qui a dit que je ne peux pas le faire ? » Tu l’as taquine un peu mais bien évidement tu ne peux la raccompagner jusque là, tu as encore de quoi faire à Karanes avant de prendre le chemin du quartier général du bataillon et de rejoindre ton bureau pour y faire toutes sortes de paperasses idiotes et bien triste parfois. Tu détestes ce genre de rapport, car tu ne fais que relater les faits pour des personnes qui n’étaient même pas présentes et qui se moquent bien de savoir les noms de ceux qui ont perdu la vie. Mais tu te mets un point d’honneur d’y citer chaque prénom, chaque nom pour qu’au moins, ils ne soient pas des soldats parmis tant d’autre.

Vous faites quelques pas dans le silence et finalement la demoiselle se stoppe pour se tourner vers toi. « Vous savez … vous devriez avoir confiance en vos capacités. Vraiment je veux dire. » Tu ne comprends pas, tu te montres toujours tellement sur de toi malgré ce que tu penses vraiment, tu ne veux vraiment pas que les autres puissent penser que tu doutes de toi car c’est ainsi qu’ils vont se mettre à douter eux aussi. Alors tu l’as regarde avec surprise alors qu’elle continue sa tirade. « Peu importe ce que vous pensez, ce que ces gens vous diront toujours … vous êtes quelqu'un de bien. Je ne voudrais être sous les ordres de personne d'autre. C'est sous votre commandement que je vivrais, et sous votre commandement que je mourrais. » Ca te touche mais ca te fait peur aussi. Elle parle de mourir et tu ne supportes pas d’entendre ça, peut importe qui de ton escouade peut dire ça, tu ne le supportes, tu ne veux pas les perdre et tu culpabilise toujours, de ne pas pouvoir tous les protéger, tous les sauver. « Et le jour où ça arrivera. Ça ne sera en rien de votre faute. Je serais simplement arrivée au bout de mon chemin, et je serais fière … fière après cinq ans à découper des nuques à vos côtés. » Il y a cinq ans déjà qu’elle fait partie de ton escouade. Tu te souviens, parce que tu venais juste de passer caporal et qu’on t’avait demandé de former ton escouade. Tu avais donc été voir les nouvelles recrues et tu t’étais pointer avec Ezéchiel qui faisait déjà chier son monde en matant toutes les filles. Tes yeux s’étaient tout de suite posé sur elle, et sans vraiment comprendre pourquoi, tu as simplement dis son nom. Tu avais la liste devant tes yeux, elle n’était pourtant pas la première de sa promotion, elle n’était pas aussi matuvu que les autres. Non, mais c’est la première que tu as cité et tu ne l’as jamais regretté. « Merci … d'avoir dit mon nom ce jour là. » Tu pourrais surement pleurer si tu n’étais pas debout dans la rue et face à elle. Tu es vraiment touché par ses propos et au fond ca te réconforte de voir qu’il n’y a pas que ton meilleur ami qui croit en toi.

Tu sens ton cœur s’affoler et pourtant tu te sens bien, tu es apaisé par ses propos mais tu ne le laisse pas voir, tu ne veux pas, t’es caporal et tu dois toujours te montrer fort. Mais finalement ce soir, sous cette lueur lunaire, tu approches d’elle et tu oses, oui tu oses, embrasser son front. « Qui a dit que je te laisserais mourir… Karhlya ? » Une fois de plus tu l’appelles par son prénom, ce n’est pas une promesse que tu lui fais mais presque. Tu lui souris doucement et tu recules de nouveau d’un pas. Tu ne laisseras pas Karhlya mourir parce que tu ne referas pas l’erreur de perdre quelqu’un sans réagir. Tu as perdu Erina, et cette culpabilité reste encore encrée dans ton cœur mais peu importe, tu vis avec et même si tu ne veux pas t’attacher, même si tu ne veux pas souffrir comme tu l’as déjà fait, tu ne peux pas t’empêcher de vouloir la protéger, de voir en elle une Erina, à sa manière.

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Mar 28 Juil - 18:07
Et si Aiji n'avait pas fuit ?
Aiji & Karhlya
Ola. Karhlya. Qu'est-ce qui te passe par la tête … c'est quoi, ces discours emplis de sentiments et de sincérité ? Tu sais pas trop. Tu n'as pas la réponse. Ce que tu sais, c'est qu'il fallait que tu le dises, un jour et que maintenant ça te paraissait pas mal. Ta vie n'est pas la plus simple, oh tu n'es pas malheureuse, loin de là. Mais tu ne fais pas partie de ceux qui vivent tranquillement leur vie … toi tu prends des risques tous les jours, et tu ne le regrettes pas. Tu ne t'en plains pas. Être ce que certains aiment à appeler la « pâté pour Titan » c'est ce que tu voulais. Parce que tu as des objectifs, parce que tu as des rêves. Tu as CE rêve, totalement fou … sûrement pas réalisable, celui de voir un jour de tes yeux ce qu'on appel l'océan. Tu veux poser ton regard sur cette étendue bleutée, tu veux voir le soleil se refléter sur sa surface, la faire briller de mille feux. Tu veux marcher sur une plage de sable, les pieds nus, les cheveux aux vents … c'est ton rêve d'enfance. Celui que tu gardes au plus profond de toi, et depuis ce jour où tu es entrée dans cette escouade, tu as l'impression que cette utopie n'est finalement peut-être pas loin. Ils sont forts, tous autant qu'ils sont … tu t'appuies sur eux, tu le fais parce que tu le peux, tu le sais. Ta peur n'est plus aussi foudroyante depuis que ces gens là sont près de toi, depuis que Bailey est entré dans ta vie. Tu n'as plus peur de la mort, du moins c'est l'illusion que tu as. Alors oui, merci. Merci d'avoir prononcer ton nom ce jour-là, merci d'avoir provoquer en toi ce sentiment de fierté, merci d'avoir cru en toi malgré ton classement dérisoire, malgré tes résultats loin d'être les meilleurs. Merci...

Tu finis par baisser les yeux. Tu te sens tout aussi soulagée que bouleversée après ton aveu. Ce ne sont pas des choses que tu dirais tous les jours, mais ce sont des choses que tu avais envie qu'il sache. C'est important. Il a ta confiance, ta vie entre ses mains et peu importe ce qu'il en fait … tu suivras. Dans la vie, comme dans la mort. Parce que tu as compris que c'était un risque à prendre. Tu l'as accepter, depuis bien longtemps. Tu ne veux pas mourir. Mais tu es prête à le faire. C'est comme ça. Tu l'entends bouger, tu entends ses pas sur le sol, ça fait écho dans la rue … mais tu ne réagis pas, du moins pas avant de sentir ses lèvres se poser sur ton front. Tu frissonnes. Ce simple contact t'électrises totalement, et tu relèves la tête. « Qui a dit que je te laisserais mourir… Karhlya ? » Encore ton prénom … bien plus sérieusement cette fois, et tu sens ton cœur s'affoler. Il ne te laissera pas mourir. Mais ça, tu le savais déjà. Alors tu souris à ton tour, et tu plonge ton regard dans le sien. « Ça Caporal … c'est pas vous qui décidez ...pour une fois. » Et tu le laisses reculer, d'un pas, un seul. Tu soupires. Ça c'était pas prévu, pas du tout même … tu ne sais pas à quoi tu t'attendais en l'invitant à la base, mais une chose et sur, tu ne t'attendais pas à ça. Et maintenant, tu fais quoi ? Tu dis quoi ? Tu n'as plus les mots. Tu as bien assez parler pour la soirée. Alors tu fais un pas. Tu combles l'espace … et ta main viens se poser sur la joue de ton supérieur. Tu le regardes, juste un petit moment. Puis tu te hisses légèrement sur la pointe des pieds, tu te mets à sa hauteur du moins tu essais et tu embrasses ses lèvres. Doucement. Timidement. Tu t'y attardes quelque secondes, avant de t'éloigner. Un pas en arrière. Tes pieds se reposent au sol bien à plat et tu détournes les yeux. « Bon. Ma mère doit m'attendre. » Non. Pas vraiment, elle est habituée. Tu te souviens … tu lui avais dis. « Je devrais peut-être rentrer maintenant... » Té.

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