Attack on Titan
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  Connexion  
!! FETE DU SOLSTICE A UTOPIA JUSTE ICI !!<
!! FETE DU SOLSTICE A UTOPIA JUSTE ICI !!<
-45%
Le deal à ne pas rater :
WHIRLPOOL OWFC3C26X – Lave-vaisselle pose libre 14 couverts – ...
339 € 622 €
Voir le deal

 :: Ancien forum :: Ancien AoT :: 
Bien à l'abri des Titans !
 :: Corbeille :: Terminés Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
karhlya + et si Aiji n'avait pas fuit ?
Aller à la page : 1, 2, 3, 4  Suivant
Invité
Invité
Invité
Invité
Dim 19 Juil - 22:37
 
et si aiji n'avait pas fuit × ft. karhlya


Rappelons rapidement les faits. L'escouade Bailey revient de mission, ils ont perdu du monde. Bailey alla voir si Ainsley tenait le coup et c'est finalement elle qui l'aida à recueillir les écusson des victimes. Une fois de retour à la civilisation, c'est le Caporal qui prendre toutes les responsabilités, se laissant insulté et laissant les parents cracher leur peine sur lui. Face à tous cela, il demande à son équipe de rentrer se reposer et de rejoindre leur famille. Et Ainsley attira son attention, lui proposant d'aller boire un verre. Il accepte. Les voilà à l'auberge.

***
Non mais espèce d’idiot tu viens de lui dire qu’elle était mignonne ! Certes tu le penses vraiment mais tu n’avais pas à le lui dire ainsi. Finalement tu te rattrapes vite et l’excuse bidon semble tout de même passer au point qu’elle se met à rire elle aussi. Tu finis ton verre et tu reprends ensuite ton sérieux. Elle avoue que cette situation parait bizarre et au fond, c’est aussi une façon de pouvoir apprendre à ce connaitre sans avoir le titre de caporal sur ta tête.

Tu oses lui poser cette question, savoir si avec les mecs de l’escouade tout ce passe bien. A vrai dire, ils sont tous super gentil quand tu es dans le coin mais tu ne voudrais pas que des obsédés incorrects s’en prennent aux femmes de ton escouades, tu ne supporterais pas cela. Pourtant, niveau pervers tu as le roi avec Ézéchiel mais il respect les femmes et n’a jamais eu de geste passible d’une véritable peine de ta part. Et pourtant, il pourrait profiter de t’avoir comme meilleur ami pour passer entre les filets mais il sait très bien que tu ne feras aucune exception quand il s’agit d’ordres et de respect au sein de votre équipe. Quand finalement elle répond que tout va bien et qu’au pire elle a un bon coup de poing, tu ne peux t’empêcher de sourire à cette idée. Tu te dis que tu ne voudrais pas être à leur place et que tu aurais pu recevoir un coup quand tu lui as dit que tu l’as trouvé mignonne. « D’accord, si jamais ca venait à arriver n’hésites pas à m’en parler. Je ne voudrais pas que des petits cons s’en prennent aux nouvelles recrues Même si de ce coté là je n’ai pas à me plaindre avec l’équipe. » Car oui, vous êtes une équipe, une famille et tu ne tolère aucun manque de respect, d’attouchement ou autre, que ce soit sur les filles ou les mecs. Tu sais rire, tu taquines les gens aussi mais il y a des limites à ne pas dépasser.

Ca te rassure malgré tout qu'elle ne se laisse pas faire par les types du bataillon, tu savais déjà qu'elle était forte et savoir qu'elle n'hésitera pas à frapper, ça te rassure sans trop comprendre pourquoi au final. Après tout, elle n'a jamais dit qu'elle n'avait aucun homme dans sa vie, elle n'a jamais dit n'être attiré par personne. Tu ne comprends pas pourquoi ce soudain soulagement, mais tu te souviens avoir déjà ressenti quelque chose comme ça, il y a des années alors qu'Erina était toujours vivante.  A cette pensée, les images de sa mort te frappe de plein fouet, comme pour te rappeler le destin funeste des femmes que tu fréquente. Ta mère a succombé à sa maladie, puis Erina, puis toutes les recrues que tu as tenté de protéger, et tu ne veux pas que cela arrive à Karhlya. Non, tu ne supporterais pas de voir une autre personne pour qui tu as une certaine affectionne périr sous tes yeux sans pouvoir y faire grand chose. Finalement tu te redresses brutalement, posant quelques piécettes sur la tables pour payer les consommations et tu finis par reprendre la parole.

► ET SI


« Et si on recommandait un verre ? » Tu dois vaincre tes peurs, tu dois vaincre ses pensées obscures qui tentent de te pourrir la vie. Tu ne peux pas être maudit, parce que les malédictions n'existent que dans les fabulations des gens, que dans les Hommes remplit de haine. Et même si tu es remplit de culpabilité, tu ne peux pas dire que tu te déteste pour autant. Alors tu commandes deux nouveaux verres de cidre et tu souris à la jeune femme devant toi. « Karhlya... Tient, ça me fait bizarre de dire ton prénom.. Ta mère ne va pas s’inquiéter de ne pas te voir rentrer ? » Parce que tu t’inquiètes, c'est ainsi, elle est dans ton escouade depuis cinq ans et tu ne l'as toujours appelé que par son nom, parce que tu ne lui as parlé qu'en mission après tout. Là c'est différent, c'est un peu étrange mais tu apprécies le moment malgré tout. Tu ne voudrais pas avoir sa mère sur le dos parce que son adorable fille n'est pas rentré de sa mission dans les temps. Les deux cidres arrivent et tu remercies l'aubergiste, tu choppes ton cidre et tu en bois une gorgée.

code by lizzou × gifs by tumblr
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Invité
Invité
Dim 19 Juil - 23:25
Et si Aiji n'avait pas fuit ?
Aiji & Karhlya
Elle s'étonne de l'entendre prendre ce genre d'infos. Oh, elle le sait bien, elle n'est pas dupe, ce n'est pas dans tous les Bataillons qu'un Caporal prend le temps de poser ce genre de question. Lorsque l'on devient soldat, que l'on intègre les Bataillons surtout … c'est qu'on se pense ou que l'on est de taille à affronter un Titan. Alors un homme...depuis le temps, ça ne lui fait plus peur. Karhlya est du genre attachante, elle aime les autres, elle aime s'intégrer, elle aime connaître les autres, mais s'arrange pour garder une distance respectable. Elle a vu les jeunes femmes de son quartier, celles qui ont choisi de ne pas risquer leurs vies se marier cette année. Quelques unes. Elle sait qu'elle aurait « l'âge idéal » - selon les propos de sa mère – mais elle se refuse à jouer à ça. A quoi bon ? Elle sait bien qu'elle n'est pas éternelle, et elle sait qu'elle n'est pas si forte. Que si elle est toujours en vie aujourd'hui c'est en grande partie grâce à Bailey, grâce à Hartmann aussi. Ces deux là lui ont sauver les miches tellement de fois qu'elle a fini par arrêter de compter. Elle sait qu'un beau jour, ils ne seront pas là, près d'elle et qu'elle y passera sûrement. Et elle sait qu'elle causera de la peine à sa mère, alors elle refuse d'en causer à quelqu'un d'autre. « D’accord, si jamais ça venait à arriver n’hésites pas à m’en parler. Je ne voudrais pas que des petits cons s’en prennent aux nouvelles recrues Même si de ce coté là je n’ai pas à me plaindre avec l’équipe. » Encore une fois elle plisse légèrement les yeux. Elle cherche à la comprendre...à savoir où il veut en venir parce qu'a son sens, il est sûrement le seul Caporal à faire ça. A prendre soin de son équipe comme il le fait. « Je le ferais. » dit-elle simplement. Même si franchement, jusque là, Hartmann est seul paon qu'elle a eu le loisir d'observer en pleine parade.

***

Et le silence retombe. Lourd, sans doute un peu pesant .. tu dois bien dire que finalement, tu n'es pas très à l'aise. Ça ne vient pas naturellement, comme avec n'importe qui d'autre. Tu ne te permets pas d'aborder n'importe quel sujet, toi pourtant si habituée à parler de tout, de rien, et de n'importe quoi, tu hésites. Tu cherches tes mots, tout ça pour une histoire de grade. Parce qu'il est bien là, le problème. Bailey, c'est pas n'importe qui. Tu l'admires, tu le côtoies, mais ce n'est jamais rien de personnel. Ça reste ton supérieur et tu peux juste pas te permettre à ton sens, de te montrer trop familière. Ton regard se perd de nouveau dans la contemplation de ton verre, vide, désespéramment vide. Tu ne peux même pas faire semblant de boire, pour excuser ton manque de loquacité, alors tu restes tout simplement immobile, tu ne fais rien. Absolument rien pendant un temps qui te paraît interminable. Tu finis tout de même par relever la tête, tu l'observes. Il a l'air perdu dans ses pensées, totalement ailleurs. Tu l'ennuies, à tout les coups. Tu l'endors à ne rien dire, ne rien faire. Ma pauvre Karhlya, t'es vraiment pas douée. Tu peux même pas lui en vouloir, c'est toi le boulet de l'histoire...mais tout à coup, voilà qu'il se redresse d'un coup. Et tu sursautes. Il déposes des pièces sur la table, tu comprends qu'il paye vos deux verres. Il s'en va ? Bravo ma fille ! « Et si on recommandait un verre ? » Ah bah non. Il te surprend. T'es si silencieuse, si ennuyeuse et pourtant, il reste là. Il reste avec toi. Tu reste bouche bée un moment. Recommander un verre...pourquoi pas. C'est pas toi qui refusera. Tu hoches alors la tête, tu esquisses même un sourire. « Avec plaisir. » Tu le laisses commander vos verres, et puis son regard se reposes sur toi. « Karhlya... Tient, ça me fait bizarre de dire ton prénom.. Ta mère ne va pas s’inquiéter de ne pas te voir rentrer ? » Humpf. Qu'est-ce qu'il a dit là ? C'est … c'est ton prénom que tu viens d'entendre ? Il est passé où, le « Ainsley » habituel ? Ça lui fait bizarre qu'il dit. Et toi, toi tu restes figée. Tu sais même pas quoi répondre, sur le coup. T'as presque zapper le reste de sa question, en fait. Mais tu te reprends. Tu fermes ta bouche, pour éviter de gober un moustique par accident et de mourir en t'étouffant avec. Ce serait fâcheux. Et tu tentes de répondre. « Oui, non, je sais pas. » Ah ouais quand même. Aller Karhlya, on se la refait pour voir. Une réponse, une seule. On parle de maman. Ça va tu captes ? « Non. Je voulais dire non. Elle sait. Je rentre rarement directement. Alors ça va... » Et bah voilà, c'était pas si compliqué...sérieux.

Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Invité
Invité
Dim 19 Juil - 23:59
 
et si aiji n'avait pas fuit × ft. karhlya



« Oui, non, je sais pas. » Tu hausses un sourcil et tu prend une gorgée de ton cidre. Tu attends qu’elle finisse de répondre à ta question.  « Non. Je voulais dire non. Elle sait. Je rentre rarement directement. Alors ça va... » Tu acquiesces alors, tu sais bien que tout cela est un peu bizarre. Ainsley t’a finalement toujours vu comme le Caporal et non pas comme Aiji. Après tout il n’y a qu’Ezéchiel qui t’appelle comme ça dans l’escouade, et tant mieux parce que même si tu es plutôt pote avec tout le monde, tu veux tout de même qu’on garde un certain niveau, au moins quand il y a tes supérieurs dans le coin. Tu comprends rapidement que la mère de la jeune femme semble assez protectrice avec sa fille, tu le ressens quand elle parle d’elle. Tu t’en doutais un peu au vu de ce qu’elle t’a dit au tout début, quand tu lui avais dit de rejoindre sa mère juste en rentrant de la mission. Tu te perds un peu dans tes pensées, tu penses à ta mère, à la façon dont elle réagirait avec toi aujourd’hui. Mais tu n’en sauras jamais rien, elle n’est plus là et ne reviendra jamais.

Tu te perds dans tes pensées, mais rapidement tu te reprends quand tu entends de la musique, voilà qu’un type se met à jouer d’on ne sait quel instrument et que l’aubergiste se met à danser. Tu laisses ton attention sur eux et tu souris avec amusement. Tu prends ton verre, tu en bois une gorgée et finalement tu reprends. « Tu viens souvent ici ? Il semble que tu connaisses la proprio ? » Tu tentes de faire connaissance, un peu plus que ce que tu ne sais d’elle en mission. Tu ne sais pas trop comment faire pour qu’elle se mette un peu plus à l’aise, qu’elle parle normalement et qu’elle n’ait pas honte de discuter avec toi. Parce que ça te gêne un peu, de l’intimidé ou quoi que ce soit de ce genre là.

Tu te demande ce que te dirais ton meilleur pote, comment est-ce que tu devrais avancer les choses ? Parce que tu es tellement un gros boulet avec les filles, tu n’arrives jamais à rien et tu finis toujours par faire des conneries. Tu n’es pas comme ton meilleur pote, tu le jalouse, tu l’envie. Tu rêverais de pouvoir avoir son aisance avec les filles, savoir leur parler sans devenir rouge et sans dire de connerie plus grosses que toi. Tu aurais bien besoin de conseil, tu fais quoi après ? Tu attrapes ton verre et tu le finis. Il ne faut pas que tu boives de trop, tu ne tiens pas l’alcool et tu pourrais finir par te ridiculiser, être vulgaire ou pire, finir par avoir un comportement déplacer.

code by lizzou × gifs by tumblr
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Invité
Invité
Lun 20 Juil - 3:39
Et si Aiji n'avait pas fuit ?
Aiji & Karhlya
Tu te jettes pratiquement sur le verre qu'on dépose devant toi pour en avaler une bonne gorgée. Le cidre c'est pas fort, ça va pas te secouer, c'est tout à fait inutile et pourtant le liquide ambré et légèrement acidulé semble te faire un bien fou lorsque qu'il s'écoule dans ta gorge. Tu reprends un peu de te contenance, un peu d'assurance. Ça ne te ressemble pas, de douter de toi-même comme ça. Tu es une fille fière, qui n'aime pas perdre la face et pile ce que tu es en train de faire. C'est triste, de prendre la peine d'inviter la seule personne avec laquelle tu ne parviens finalement pas à être tout à fait entière, mais bizarrement … c'est le seul dont la présence te fais envie là, maintenant.

Ton regard dévie derrière ton caporal lorsque la musique retentit. Tu souris en voyant le tavernier exécuter un petit pas de danse. C'est habituel ici. Cette ambiance festive. Tu sais que parfois, ça tourne au bien plus glauque avec les bagarres de bourrés ou les règlements de compte, mais tu aimes bien cet endroit. « Tu viens souvent ici ? Il semble que tu connaisses la proprio ? » Tu te reconcentres sur Bailey, ton sourire toujours accroché à ton visage et tu hoches la tête. Pas que tu veux passer pour une alcoolique, c'est pas le cas. T'abuses jamais. Tu finis jamais totalement jetée (haha...) parce que tu bois avec modération. Néanmoins, tu viens ici depuis pas mal de temps. « Quelques années, oui. C'est … c'est un peu bizarre peut-être, mais c'est ici que je viens après chaque mission. » C'est ton échappatoire ici. Tu ne fréquentes pas les autres tavernes, pas les autres auberges, juste celle-là. Tu n'as jamais mis les pieds dans celle de Trost, mais ici … tu connais. T'es presque une habituée, tu n'es pas celle qui nourrit le plus le tavernier et sa famille, loin de là … tu prends un verre. Voir deux, ou trois mais jamais plus. Le temps d’inhiber un peu ta peine. « Je m'installe toujours là bas... » dis-tu finalement, en désignant une petite table dans un coin, un peu à l'écart. « Je bois un verre ou deux, je réfléchis … et puis je rentre chez moi. » L'histoire de ta vie. Tu ne montres rien en mission. Quand tu bosses, tu ne fais pas les choses à moitié. T'as appris à contrôler tes émotions, et tu sais contenir ta peine. Tu évacues dans ton coin quand tu rentres, jamais tu ne pleurs sur un champ de bataille. « J'aime pas que ma mère me voit … mal. Elle a tendance à trop s'inquiéter, j'ai pas envie de lui infliger ça. » 3615 ta vie, Ka'. D'ailleurs, tu sembles t'en rendre compte puisque tu te saisis à nouveau de ton verre pour en prendre une gorgée. Ça te fais taire ça, au moins. C'est tout ou rien, avec toi.

Mais finalement tu le reposes ton verre. C'est idiot ce que tu fais. Faire preuve d'autant de retenue, maintenant qu'il est là, en face de toi. Tu l'as voulu, après tout. C'est toi, qui est allé vers lui, toi qui lui a proposer ce verre … ce moment d'échange. Alors c'est a toi, d'échanger. De faire des efforts. Ouais .. c'est ton supérieur, mais t'as déjà dépasser ça, rien qu'en l'invitant. T'as ressentis l'envie de te rapprocher un peu de cet homme que tu admires tant. Tu sais finalement pas trop encore pourquoi … c'est comme ça. Pour l'instant c'est tout, et c'est suffisant. Alors … « Ça me fait bizarre, d'être ici...avec vous. » Notons la différence de pronom. Il te tutoie, tu le vouvoies. Toujours ta retenue, ton respect. Le grade quoi … ça fait beaucoup de choses. « Je veux dire, ok, je sais c'est moi qui vous ai inviter … à la base. Mais, on a jamais prit le temps de discuter, tous les deux en cinq ans .. vous voyez ? » Olala, Karhlya. Qu'est-ce que tu dis là ? On comprend rien. « Une vraie discussion... autre que « Ainsley tu vas à droite. » … voilà, voilà. » Pffrr. Désespérante.

Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Invité
Invité
Lun 20 Juil - 11:11
 
et si aiji n'avait pas fuit × ft. karhlya



« Quelques années, oui. C'est … c'est un peu bizarre peut-être, mais c'est ici que je viens après chaque mission. » Tu écoute les histoires d’Ainsley et de cette auberge pendant que el tavernier s’amuse à faire un peu de musique. Alors elle vient ici après chaque mission, elle ne rentre pas se couché ou se reposer, elle vient ici décompresser. C’est totalement différent de ce que tu fais toi. Toi tu fonce dans ton bureau et tu fais tes rapports et après tu vas prendre une douche et tu lâches la pression là, quand personne ne voit, quand l’eau nettoie aussi vite les larmes que tu verses pour les disparus. « J'aime pas que ma mère me voit … mal. Elle a tendance à trop s'inquiéter, j'ai pas envie de lui infliger ça. » Tu écoutes sagement et tu acquiesces. Tu te dis que ta mère aurait pu être pareil, qu’elle aurait surement angoissée à l’idée que tu ne tarde de revenir et finalement aujourd’hui, c’est un peu la mère d’Ezéchiel qui joue se rôle pour toi. Tu n’as plus ta mère et ton père ne s’occupe pas vraiment de toi, depuis la mort de sa femme, il ne pense qu’à son boulot et tu a finalement grandit avec la famille de ton meilleur ami. Tu baisses un peu la tête à cela et finalement tu lui réponds. « C’est fait pour ça, une mère, pour s’angoissé pour son enfant. Que tu ailles tuer du titan, ou ramasser du bois, une bonne mère passe son temps à s’inquiété. » Tu relèves les yeux vers elle et tu lui souris sagement, tu n’évoqueras pas que tu as perdu ta maman très jeune, le jour même de son anniversaire alors que tu avais passé la journée à cueillir les fleurs avec Ezéchiel pour elle. Que la dernière chose qu’elle a dite, c’était qu’elle était fière de son petit garçon. Ta mère t’aimait de tout son être, tu l’as toujours su, tu n’avais jamais eu aucun doute sur cela. Elle te manque, énormément.

« Ça me fait bizarre, d'être ici...avec vous. » Tu relèves les yeux, haussant un sourcil et tu attends un peu plus d’explication à ses propos. « Je veux dire, ok, je sais c'est moi qui vous ai invité … à la base. Mais, on a jamais prit le temps de discuter, tous les deux en cinq ans .. vous voyez ? » Oui tu vois parfaitement, il est vrai que vous ne discutez jamais vraiment. « Une vraie discussion... autre que « Ainsley tu vas à droite. » … voilà, voilà. » Tu souris alors, acquiesçant simplement. Il est vrai que ça peut être une situation gênante et bizarre mais au fond, c’est elle qui t’a invité alors tu ne comprends pas vraiment pourquoi elle est si gênée à l’idée de partager un verre ou deux en ta compagnie. Tu sais bien que ça peut foutre la trouille, de dire une connerie devant le caporal mais tu n’es pas comme Hodgen, tu n’es pas aussi dur et aussi fermé que lui. Tu es plutôt pote avec ton équipe, tu t’amuses avec eux, bon tu ne picole pas dans une auberge avec eux sauf peut-être avec Ezéchiel et Kaidan, mais surtout Ezéchiel. Mais bon, tu ne penses pas que ta compagnie soit si chiante que ça. Tu prends une petite moue, tu aimerais quelle soit un peu plus à l’aise avec toi, au moins pendant cet instant et non pas qu’elle stress ou qu’elle soit bloqué dans sa façon d’être. « Très bien, si dans ce cas, mon grade te bloque… » Tu te lèves et tu laisses l’argent sur la table. Tu t’éloignes un peu, tu remets un peu d’ordre dans tes vêtements et dans tes cheveux aussi. C’est horrible, ta tête est pire qu’un balais à poussière et tu en as partout. Au fond, tu n’aurais jamais tu y toucher. Mais bref, tu te retournes et tu t’approches de la table d’Ainsley pour finalement reprends avec un accent totalement faux des jeunes tentant de draguer une fille. « B’jour mam’zelle, z’êtes toute seule ? J’peux vous offrir un verre ? » Tu tentes de ne pas éclater de rire et tu tiens bon. « J’m’apelle Aiji, mais vous pouvez m’appelez… Aiji ! »Non mais, c’est du grand n’importe quoi et finalement tu éclates de rire avant de t’assoir de nouveau. Voilà, deux verres de cidre même pas fort et tu pars déjà dans des délires complètement bizarre. Tu risque de lui faire peur plus qu’autre chose là. « Mon dieu… Hartmann aurait vu ça, j’étais dans la merde pendant les trente prochaines années ! » Sérieux, tu aurais été mort dès la première phrase et il aurait répéter ça à tout le monde et ça aurait été fini pour toi, finit ta carrière dans le théâtre… Heureusement que tu ne l’as jamais commencé, les titans c’est bien mieux.



code by lizzou × gifs by tumblr
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Invité
Invité
Lun 20 Juil - 12:11
Et si Aiji n'avait pas fuit ?
Aiji & Karhlya
Et finalement, ça te fais du bien de le dire. Parce que tu n'aimes être comme ça, parce que ce n'est pas toi et que tu n'aimes pas vraiment te cacher. Franchement, tu ne peux pas le nier, tu aimerais vraiment être plus naturelle...t'as des amis, avec lesquels tu es toi-même. Tu es plutôt naturelle aussi avec le reste de l'équipe, d'ailleurs. Tu es ouverte, tu vas vers les autres … bien qu'avec lui qu'il y a comme un soucis et bon sang que ça t’ennuie. Oui, mais voilà, tu peux pas te permettre de trop en faire face à Bailey. Parce que déjà, tu viens de raconter ta vie … et t'es pas certaine que ça l'intéresse vraiment, mais en plus, tu peux juste pas te mettre à causer potins et nouvelles croustillantes avec ton Caporal. Ça ferait bug dans la matrice. Alors ouais, tu te lâches un peu et tu t'exprimes. Tu lui dis tout haut, tu lui expliques ta gène finalement totalement incompréhensible et tu finis par souffler à la fin de ta dernière tirade. Sans doute un peu soulagée au fond d'être parvenue à au moins dire les choses plus ou moins clairement. Tu baisses un peu les yeux, tu fixes le fond de ton verre encore recouvert d'un peu de cidre...puis tu oses un regard dans sa direction à nouveau et tu es surprise de voir qu'il sourit. Il reste silencieux un petit moment et puis … « Très bien, si dans ce cas, mon grade te bloque… » Et voilà qu'il se lève. A nouveau, il dépose quelques pièces sur la table, mais cette fois il quitte sa chaise et l'espace d'un instant tu paniques. Et voilà, Ka' t'as merder. C'était prévisible avec tes histoires de maman et ton aveux bizarre ! Non mais franchement ma pauvre, tu finiras vieille fille, avec trois chiens et dix chats et tu vendras des pommes au marché quand tu pourras plus bouger ta carcasse pour crever des Titans … si t'es encore en vie pour la retraite, d'ailleurs. Tu fous en l'air ton avenir, avec tes attitudes à la noix ! T'es pourtant pas coincée, dans la vie. Alors pourquoi, quand quelqu'un te plaît … sois tu le repousses comme s'il avait la peste, sois tu le fais fuir en te montrant bizarre ? Té. Crétine des bois.

Tu le fixes, il s'éloigne de la table et tu n'oses pas piper mot. Visiblement, dés que tu ouvres la bouche ça provoque de la merde et … ah bah non. Il s'arrête. Il remet légèrement en place ses vêtements tâchés et aussi souillés que les tiens, puis ses cheveux qui lâchent un peu de poussière sur le sol déjà bien encombré de la taverne et il se tourne à nouveau. Il revient et tu restes silencieuse. « B’jour mam’zelle, z’êtes toute seule ? J’peux vous offrir un verre ? » Eukéé. Mais c'est quoi cet espèce de langage tout bizarre tout droit sorti des bas fond ? C'est tellement bizarre, tellement décalé, tellement … spontané finalement, que tu ne peux pas empêcher un sourire d'éclairer ton visage. T’essaie pas de rire, mais franchement, c'est pas l'envie qui t'en manque. « Désespérément seule, alors avec plaisir ... » Tu laisses ta phrase en suspend, comme pour l'inviter à se présenter, ce qu'il fait aussitôt. « J’m’apelle Aiji, mais vous pouvez m’appelez… Aiji ! » Aiji. Haha...tu fais quoi, là ? Tu joues le jeu ? C'dangereux. Tu vas pas appeler ton supérieur par son prénom, même au cours d'un jeu comme si c'était ton pote c'est … bon. Ka'. Stop. Merde quoi. « Aiji. » dis-tu finalement. Et c'est bien la première fois que tu le prononces à vois haute, ce prénom. Ton sourire s’étire et tu souffles pas le nez. « Et bah Aiji .. enchantée, moi c'est Karhlya. » Il se met à rire et tu en fais de même. Quel cinéma franchement … mais ça te fais du bien. Ça te détends et finalement, tu te redresses un peu sur ta chaise, tu te réinstalles correctement, plus à l'aise. « Mon dieu… Hartmann aurait vu ça, j’étais dans la merde pendant les trente prochaines années ! » Ouuuh. Ça, tu n'en doutes pas une seconde. Ce serait bien son genre … lui répéter son « B'jour mam'zelle » inexorablement et à n'importe quel moment. Ça l'aurait sans doute bien fait marrer, ce crétin et cette pensée te fais rire aussi d'ailleurs … « Il en saura rien ! Promis ce sera notre petit secret ! »

Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Invité
Invité
Lun 20 Juil - 19:33
et si aiji n'avait pas fuit × ft. karhlya



« Désespérément seule, alors avec plaisir ... » Tu souris, non mais t’as honte quand même, de ta propre connerie mais peu importe, tu es contente qu’elle joue le jeu simplement. Tu te présente et tu retiens un rire quand tu dis qu’elle peut t’appeler par ton prénom, t’as même pas eu un surnom débile qui t’es venu. L’asiat ? Non tous le monde t’appelle comme ça dès que tu as le dos tourné, ils pensent vraiment que tu ne le sais pas, ils te prennent pour un débile en fait, mais bref. Non tu lui dis simplement de t’appeler Aiji. « Aiji » Ca fait trop bizarre de voir la jeune femme prononcer ton prénom ainsi. C’est vrai que de toute l’escouade, Ainsley est la seule à ne jamais t’appeler par ton prénom, même dans les moments plus conviviaux que vous pouvez partager. Ca a toujours été Caporal, ou Bailey, au pire des cas mais c’est tout. Alors quand elle répète sagement ton prénom ça te fait sourire. « Et bah Aiji .. enchantée, moi c'est Karhlya. » Tu lui souris de plus belle et tu prends finalement place à sa table, là ou tu étais juste avant. Tu finis par pouffer de rire et lui raconte que si Ezechiel te voyait, tu étais mort pendant les prochaines années tellement il se moquerait de toi, et tu peux comprendre puisque toi-même tu trouve cette situation totalement ridicule mais tu es content de toi, Karhlya a finit par rire et semble un peu plus à l’aise en ta compagnie. Tu ne comprends pas grand-chose à tout cela, habituellement c’est toi qui aurait fuit comme tu le fais toujours. Et tu as faillit le faire, t’as faillit donner une excuse idiote pour partir t’enfermé parce que tu ne veux pas que les femmes que tu côtoies ne meurent. Tu tiens vraiment à Karhlya, même si tu ne le montre pas, tu ne veux vraiment pas qui lui arrive malheur et tu ne veux pas faire la même erreur qu’avec Erina. Tu ne veux pas arriver trop tard, tu ne veux jamais arriver trop tard pour qui que ce soit. Tu ne veux plus souffrir comme tu a souffert avec la mort d’Erina, tu ne veux plus t’attacher et voir la vie s’envoler, tu ne veux pas sentir ton cœur se déchirer de nouveau. Aujourd’hui encore, il n’est pas encore recousu, pas entièrement et tu doute fort de trouver une femme capable de te faire te sentir bien.

« Il en saura rien ! Promis ce sera notre petit secret ! » Tu souris, sortant de tes pensées quand finalement Karhlya promet de ne rien divulguer de tes bêtises faites il y a peu de temps encore. Tu mets de coté tes peurs et des appréhensions, au final cette conversation, ce verre que tu prends avec elle n’est pas un rendez vous galant, c’est juste un verre d’après mission donc tu n’as pas besoin de paniquer à l’idée que tu pourrais t’attacher ? Non ? Tu regardes autour de toi pour reprendre tes esprits et te comporter un peu mieux. Tu es content qu’elle se lâche un peu, qu’elle ne te prenne pas seulement pour un Caporal mais aussi pour quelqu’un avec qui elle peut parler sans forcement que tu ne donnes des ordres à chaque minute. Tu entends un bruit suspect, et tu descends tes yeux vers ton ventre. T’as la dalle, en fait. C’est vrai que tu n’as rien avaler depuis votre départ en mission, que vous vous etes bien dépenser en butant les titans, alors forcement la faim commence à faire son œuvre. « Heu… J’peux t’inviter à manger ? » Tu grimaces légèrement, tu espères qu’elle acceptera parce que t’as vraiment faim ! Mais, tu y penses, ça peut passer pour un rencard là non ? Non ! C’est un truc improviser, vous êtes dans une auberge, tu es encore avec ta tenu et tu as encore l’équipement posé sur le siège à tes cotés. Ce n’est pas un rencart, ou alors un truc vachement raté mais ce n’est pas un rencart. Ca te rassure de penser ça, oui, ça veut dire que tu ne paniqueras pas, au pire tu seras le boulet que tu es habituellement.


code by lizzou × gifs by tumblr

Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Invité
Invité
Mar 21 Juil - 2:19
Et si Aiji n'avait pas fuit ?
Aiji & Karhlya
Te voilà plus détendue. Tu souris, tu souris sincèrement et sans retenu pour la première fois depuis que tu es entrée ici, avec lui. Tu t'en rends compte, maintenant. De ta situation un peu idiote. Tu y penses, tu analyses alors qu'il te souris. Tu es sans doute celle dont il est le moins proche, ou presque. Cette équipe, ça commence par Hartmann, ton partenaire à toi. Ils sont proches, c'est indéniable et tu l'as compris dés le départ. Comme des frères. Il suffit d'un regard pour le voir. Puis Kaidan, et tu as bien vu que lui était plutôt à l'aise avec le Caporal. Ils se connaissent, se fréquentent sans doute en dehors. Il y a Tahys, que tu gardes pour toi. La seule, dans la même situation que toi mais qui finalement s'en fiche pas mal, de connaître ou pas son supérieur un peu mieux. Il y a Iliana, arrivée il y a peu .. et pourtant même elle à l'air de connaître Bailey mieux que toi. Tu pourrais presque te sentir à l'écart de tout, bien que ce ne soit pas le cas. T'es parfaitement intégrée à l'escouade Bailey. Ce sont tes amis, ou presque. Tu sais pas trop si tu peux appeler ça comme ça. Ce sont des gens auxquels tu tiens, ça oui. Certains, plus que d'autres. Question d'affinités, sûrement. Mais peu importe … tu te rends compte maintenant que tu as beau lui avoir accorder ta confiance, tu as beau avoir depuis longtemps déposer ta vie au creux de ses mains, tu as beau compter sur lieu et le voir comme ton guide, un pilier, un héros, un homme fort, tu ne connais pas Aiji Bailey. Et tu le regrettes. Au fond, tu en as envie. Tu as envie de creuser l'homme, de passer au delà du supérieur, de voir derrière le soldat … et finalement, c'est peut-être pour ça que tu es là. Pour ça que tu as attendu dehors, pour ça que tu l'as suivi pour lui proposer de t'accompagner pour boire un verre ou deux. Tu veux en savoir plus, tu es avide de découvertes...et tu dois dire que tu apprécies plutôt ce que tu as devant toi. Il a toujours été comme ça, un peu rieur. Tu l'as déjà vu, de loin. Tu n'as jamais pris le temps de t'arrêter, tu ne lui as jamais laisser l'occasion de plaisanter avec toi, rien qu'un peu. Sauf ce soir. C'est une grande première. Et tu ris, tu souris.

Tu laisses le silence retomber un peu. Moins gênant qu'auparavant, il t'offre l'occasion de l'observer un peu mieux. Il regarde ailleurs, un reste de sourire toujours visible sur le visage. Il est comme toi, il n'a pas prit le temps de se changer, de se laver, tes cheveux sont en bataille, sont visage souillé d'un reste de sang qui s'est même écouler jusque dans son cou où ton regard s'attarde pendant qu'il tourne la tête. Finalement, tu dégages tes yeux de là lorsque tu le vois replacer son attention sur son verre. « Heu… J’peux t’inviter à manger ? » Tiens. Nouvelle invitation. Il prolonge ce moment passé ensemble. Il a faim, sûrement. Mais tu te dis qu'il aurait pu simplement te laisser là, pour rentrer manger. A la place, c'est toi qu'il invite à partager un repas. Tu te pinces les lèvres. Est-ce que tu as faim, toi ? C'est un euphémisme. Tu ne manges jamais avant de partir en mission. Ça a tendance à te rendre malade, alors tu évites. Tu pars souvent l'estomac vide, encore quelque chose que te reproches ta mère. Alors oui, finalement, maintenant que la pression à l'air d'être retombée au moins un peu … tu mangerais bien un truc. T'es affamée, et la bonne odeur qui se dégage des cuisines vient chatouiller ton estomac. « Oui, pourquoi pas. J'ai faim... » Tu évites de réfléchir. De te dire que ton supérieur vient finalement de t'inviter à dîner...en tête à tête. Tu te forces à te dire que c'est un repas partagé, un truc sur le pouce parce que comme ça, au milieu d'une discussion, la faim à fait son apparition et que l'occasion s'est présenter de manger de quelque chose. Tu évites oui. Tu chasses tout ça pour éviter de te faire des films, et tu avales la dernière gorgée de ton verre. Déjà deux verres. Tu vas rarement au delà de trois, parce que finalement tu ne sais pas comment tu gères l'alcool et qu’après trois, voir même parfois deux verres selon ton état de fatigue, tu commences à planer. A flotter. Oh il t'en faut plus pour perdre tes moyens et oublier totalement ce que tu fais, bien plus. Mais tout de même, tu sais qu'avec un petit coup dans le nez, tu es plus malléable, et surtout .. plus susceptible de trop parler, ou de te montrer trop familière. Évites Ka' ! « La maîtresse de maison est un cordon-bleu ! » Pour les quelques fois où tu as manger ici, tu peux largement témoigner. Ça égalerait presque les petits plats de ta maman. « Je suis fana de son omelette, j'ai tenter de la refaire à la maison … mais je suis une bille en cuisine. » … ouais, c'est ça. Recommence à raconter ta vie passionnante Ka' … recommence.

Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Invité
Invité
Mar 21 Juil - 17:16
et si aiji n'avait pas fuit × ft. karhlya



« Oui, pourquoi pas. J'ai faim... » Ho, elle accepte, et tu souris de plus belle puisque tu es tout de même ravi de pouvoir passer un moment avec elle, d’apprendre à la connaitre un peu plus et de pouvoir peut-être devenir plus qu’un simple caporal à ses yeux. Tu veux juste être ami, tu ne penses pas à d’autre trucs, tu ne te le permettrais pas, et tu ne veux pas t’attacher de cette façon. Tu refuses de le faire parce que tu refuses tout nouvel attachement avec un membre de ton escouade. Ezechiel et Kaidan, c’est différent, tu connais le premier depuis toujours et tu n’as jamais passé un jour de ta vie sans lui. Kaidan, tu le connais depuis qu’il fréquente le grand frère de ton meilleur pote, et quand il a intégré ton escouade, c’était simplement parce que tu le connaissais, tu le voulais lui, le boucher dans ton équipe et en plus ça permettait à Ezéchiel de garder un œil sur lui. Alors évidement, s’il leur arrivé un truc à ces deux là tu serais affecté bien plus que pour les autres, et surtout pour Ez. Pour cet idiot, tu ne pourrais pas t’en remettre. Il est ton pilier, celui qui te permet de continuer de te battre et de vivre parce qu’il est l’unique personne à vraiment te comprendre. Tu as Raven aussi, évidement, ta cousine chérie mais c’est différent. Même si vous vous adorez, même si vous êtes finalement assez proche et qu’elle t’a déjà ramassé à la petite cuillère, ce n’est pas la même relation que tu as avec Hartmann.

« La maîtresse de maison est un cordon-bleu ! » Parfait, parce que tu as vraiment faim là. Et si en plus l’aubergiste est une cuisinière hors pair, peut-être que tu reviendras un peu plus souvent, surtout en rentrant de mission parce que tu n’es pas du genre à savoir cuisiner du tout. « Je suis fana de son omelette, j'ai tenté de la refaire à la maison … mais je suis une bille en cuisine. » Une omelette ? Pourquoi pas, mais ça ne sera surement pas assez consistant pour toi. Mais t’as tout de même envie de gouter parce qu’il faut dire que la petite brune le vend super bien cette omelette. Elle avoue également être une nullité en cuisine et tu ne peux laisser échapper un petit rire un peu moqueur. Pourtant t’es vraiment pas mieux mais c’est marrant de voir une femme qui ne sait pas cuisiner. Aujourd’hui, dans le monde où l’on vit, les mamans font vraiment attention que leur petite fille devienne une femme accomplit, une bonne épouse presque parce qu’elles ne rêvent surement pas de voir leur enfant finir dans l’armée. Alors tu secoues la tête et finalement tu reprends. « Ho, je suis une catastrophe aux fourneaux. Je ne suis même pas capable de faire un œuf correctement. Je pense qu’on ne peut pas savoir tuer des titans, et savoir faire cuir un truc. Ca ne doit pas être compatible ! » Tu ricanes un peu et finalement tu interpelles la Dame qui se stoppe un instant dans sa petite danse.

« J’peux vous aider les tourtereaux ? » Tu bug un peu sur la dame, non mais elle est sérieuse ? Elle pense vraiment que c’est un rencard là ? Parce que bon, vu les scènes de ridicules que tu t’es taper y’a vraiment pas de quoi penser ça une seconde. Tu la fixes alors, dans le genre « t’es sérieuse là franchement ? » avant de finalement reprendre. « On va vous prendre deux omelettes, que mon AMIE m’a conseillé. » Ouai, t’es pas en couple, tu ne l’es plus depuis six ans et t’as pas l’intention de te remettre en couple et encore moins avec quelqu’un de ton escouade. Enfin, c’est ce que tu te dis parce que tu rougis un peu quand même, disons que l’idée n’est pas repoussante non plus.

Et oui, avec moi, il y a toujours une dame pour foutre les gens en couple, peut importe le numéro de la vie alternative xD.

code by lizzou × gifs by tumblr

Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Invité
Invité
Mar 21 Juil - 23:26
Et si Aiji n'avait pas fuit ?
Aiji & Karhlya
« Ho, je suis une catastrophe aux fourneaux. Je ne suis même pas capable de faire un œuf correctement. Je pense qu’on ne peut pas savoir tuer des titans, et savoir faire cuir un truc. Ca ne doit pas être compatible ! » C'est bizarre, c'est presque le discours que te ressors ta maman, quand elle tente de te faire cuisiner un truc. Parce que oui, bien entendu qu'elle insiste. Elle veut faire de sa fille une femme, pas seulement un soldat. Elle ne cesse de répéter que finalement, tu t'oublies. Elle te parle mariage, elle te parle maison avec des enfants parfois, mais toi … toi tu n'y prêtes pas attention. T'es pas une fille à marier. Tu ferais sans doute la pire épouse de la Terre parce que tu as un sale caractère, parce que tu ne sais pas contenter l'estomac d'un homme, parce que tu es plutôt du genre bordélique, tu ne sais pas entretenir et gérer une maison comme le fait ta mère, tu n'as aucune organisation et tu ne parviens pas vraiment à t'imaginer en maîtresse de maison, de toute façon. Être soldat et fonder une famille, avoir une maison c'est pas compatible. C'est ça en fait. Pourtant tu serais pas contre … un jour. Tu n'as pas trouver la perle rare. Tu n'as pas trouver celui qui fera battre ton cœur plus fort que tout, celui en qui tu auras assez confiance pour t'offrir. Alors … alors a quoi tu penses, Ka' ? Tu te reprends. Tu souris. Un petit sourire en coin. Tu balayes tes pensées d'un revers de la main alors que déjà, ton Caporal interpelles la femme du tavernier. Elle s'approche, souriante comme toujours. Elle te lance un petit regard avant de parler. « J’peux vous aider les tourtereaux ? » Tu souffles du nez. Ça aurait pu te gêner, mais tu y es habituée aux attitudes de la dame. Tout ce qui ressemble de près ou de loin à un couple à le droit à ce genre de sobriquet. Elle taquine … ou alors, c'est simplement sa façon d'être, tu sais pas trop. Toi ça te fais rire, sourire. Tu te pinces tout de même les lèvres … parce que la situation reste étrange et tu reposes ton regard sur Aiji. Lui par contre est ailleurs. Figé, bugué, planté. Tu plisses les yeux, tu attends, tout comme la gentille dame d'ailleurs qu'il parle .. qu'il dise quelque chose et finalement, il parle. Enfin. « On va vous prendre deux omelettes, que mon AMIE m’a conseillé. » Hm. Il appuie bien sur le mot « amie ». Bien comme il faut oui. Il le met en avant, comme si … comme si … comme si quoi d'ailleurs ? Comme s'il prenait à cœur de la corriger, comme s'il ne voulait surtout pas qu'on pense qu'entre vous c'était plus que de .. l'amitié. Mouai. Sûrement … et ça te vexe, hein ? Bien sur que ça te vexe. Parce que tu es comme ça. Ce genre de chose, ça fait son chemin dans ton crâne en moins de deux. Ça te fait dire que t'es qu'un soldat, pas assez bien pour un Caporal. Ça te fait dire que t'es qu'une pauvre fille, sûrement trop jeune en plus et que bon franchement … penser que tu pourrais intéresser un type comme Bailey c'était présumer de ce que tu es. T'es qu'une fille parmi tant d'autres. Même pas exceptionnelle en plus. Même pas dans les premiers de sa promo … ! Rha Ka'. A quoi tu penses ? Non mais tu t'entends ?! Et alors … ? Sérieux. T'as cru quoi ? Tu vas pas faire la gueule ! C'est sûrement normal après tout. Il a raison de la corriger. Qu'est-ce que les gens penseraient de lui s'il se mettait à draguer les nanas de son équipe ? Belle image pour votre escouade, belle image pour le Bataillon. Stop moi ça. Remballes ta putain de rage au fond de toi, ranges la dans la même boîte que ta fierté pour une fois dans ta vie et fait comme si tout allait pour le mieux...

Ton regard se repose sur la tavernière qui acquiesces. « La dose de champignon pour moi, s'il te plaît ! » Parce que les champignons, c'est bon. Tu la laisses s'éloigner, ton regard se perd dans la salle. Tu le regardes pas, hin. Saletée de bonne femme que tu es ! Tournes la tête. Tu souffles, légèrement. C'est un soupire en réalité. Tu te reprends. T’essaie de calmer ton maudit caractère à la con, t'aurais presque envie de fuir. Mais tu le fais pas. Ton regard se repose finalement sur Bailey. Tu sais à nouveau plus quoi raconter, c'est dingue. T'as autant de conversation qu'un rat crevé ce soir, c'est terrible. « Je … j'ai … » Oh. C'est pas bon ça … non c'est pas bon du tout. Tu bégayes. T’arrives plus à aligner deux mots. Réessaies pour voir … c'est marrant quand tu galères ma pauvre. « Désolée je … rha. » Pouhaha ! Épique. Et le pire … c'est que tu rougis, si c'est pas tout mignon.

Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé
Contenu sponsorisé
Contenu sponsorisé
Revenir en haut Aller en bas
Page 1 sur 4Aller à la page : 1, 2, 3, 4  Suivant
Sauter vers: