Attack on Titan
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[TERMINE] Le sac des désirs n'a pas de fond. (ft Alecto)
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Saïph Nine
Saïph Nine
Saïph Nine
+ MESSAGES : 92
Saïph Nine
Lun 27 Avr - 20:41
Pourquoi tu veux être aussi doux et respectueux quand elle ose te dire ce genre de chose hein ? Tu essaies de te contrôler, tu refuses de l’embrasser à ton tour, tu ne fais que la serrer dans tes bras en douceur et elle, elle te regarde et elle ose te dire ça. Ce “toi” qui pourrais te faire hurler de bonheur et de peur mêlée. Tu es tellement choqué que tu ne dis rien, tu la regardes clairement comme si tu essayais de savoir si elle ne s’est pas trompée. Alors, autant dire que, lorsqu’elle se reprend, ça te reste en travers de la gorge.

Tu la regardes, tu as juste tes doigts autour des siens, et tu es clairement en train de repasser dans ta tête ce qu’elle vient de dire et tu l’entends revenir sur ses mots, te parler d’un repas et toi, mon pauvre vieux, tu ne dis rien. Tu restes juste là, immobile et silencieux. Et sincèrement c’est à peine si on n’entend pas les engrenages dans ta tête, qui tourne à pleine vitesse.

C’est quand elle finit par reprendre une voix bien trop éloignée de ce “toi” qui t’a retourné à ce point que tu reviens à toi. Et tu sais quoi, Nine ? Tu grondes, tu râles, tu fais même la tête. C’est soudain et très naturel, complètement irréfléchi. Et si elle semble sur le point à t’entraîner manger, tu refuses. Pire, tu viens l’arrêter d’une main sur sa joue, et tu te penches sur elle, en marmonnant d’une voix sombre.

« J’ai bien entendu. Et si je veux bien t’offrir un repas qui change un peu de nos habitudes, je n’oublierai pas. Tes lèvres s’étirent, sur un éclat de bien heureux. Je t’offrirai tout ce que tu veux si tu me le redemandes aussi clairement. »

Et tu dis ça, mais tu es déjà penché sur elle. Si elle n’a fait qu’effleurer tes lèvres, tu viens clairement lui prendre un vrai baiser. Tu lui offres un avant-gout de ce que tu es prêt à lui donner, sans réfléchir, en cessant de trop réfléchir. Et quand tu la sens réagir, sous tes lèvres, tu en profites. Tu vois, Nine, tu es bien décidé de la prendre par surprise comme elle ne cesse de le faire.

Alors tu la fais basculer brusquement pendant que tu l’embrasses, que tu lui voles jusqu’à son souffle, et tout à coup, tu la soulèves et tu la charges clairement sous ton bras. Comme ça. Comme si elle n’était rien d’autre qu’un sac de graine. Tu ris, et ce son te fait sacrément du bien.

« Allez hop, maintenant que je te tiens, je peux faire ce que je veux de toi ! »

Tu la soulèves, et d’un mouvement souple, sans avoir de difficulté devant son poids plume, c’est sur ton épaule que tu la passes, jambes devant ton torse, tête contre ton dos et tu te remets en marche d’un bon pas. Tu te doutes qu’elle va essayer de se défaire ou de se venger, mais tu en profites tant que tu arrives à l’avoir par surprise.

« Je vais te cuisiner avec des épices, tu seras succulente ! Pour une fois, je vais faire attention à ne pas brûler mon repas ! Et tu ressors de l’espace d’entraînement quand tu vois un soldat. Tu lui adresses un salut lointain et tu rajoutes, tout bas. Il va croire que j’enlève une princesse, tu crois ? Hmm, je peux prendre le risque. »

Et donc te voilà bien décidé à l’emporter comme ça jusqu’à un petit restaurant en ville. C’est un jour particulier tu peux bien lui offrir un bon repas non ? En tout cas tu as envie, toi !
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Alecto
Alecto
Alecto
« citizens »
+ MESSAGES : 67
Alecto
Mar 28 Avr - 0:06
C’est ça, Alecto, continue d’essayer de noyer le poisson. Tu l’as dit. Et tu l’as même dit de façon fort distincte. Evidemment qu’il a entendu, tu étais si proche de lui en plus, il faudrait qu’il soit sourd comme un pot pour avoir raté ce tout petit mot bien articulé. Tu n’es pourtant pas si bête, bien au contraire, on peut même dire que t’es sacrément dégourdie et que tu sais plutôt bien te servir de ta cervelle, même si souvent, ça déborde et que tu pars dans tous les sens, toi, tu aurais tendance à dire que c’est une preuve d’intelligence. Chacun son avis, hein.

Et te voilà à essayer de passer la conversation sur cette histoire de repas, en espérant que le reste soit complètement oublié. Franchement, il y a des fois où tu es juste incompréhensible. C’est pourtant toi qui t’es mise en tête de prendre et d’obtenir, petit à petit, lentement mais surement. Et maintenant que t’as le cran de l’avouer à demi-mot, te voilà en train d’essayer de tenter de virer de bord bien maladroitement. Tu clames pourtant haut et fort que tu n’es pas une enfant, et le fait que lorsque tu poses les yeux sur ton soldat, tu ne penses clairement plus comme une enfant, pourtant, il y a des fois où tu te remets à agir comme une petite fille. Comme maintenant. Oui. On dirait vraiment une enfant prise en faut, c’est surement aussi mignon que risible.

Quoi qu’il en soit, tu crois très sincèrement avoir réussi à t’en sortir. Erreur. Et tu le comprends lorsque sa main revient capturer ta joue, et qu’il se penche de nouveau sur toi. Il a entendu. Il a compris, d’ailleurs, ce qu’il a entendu, aussi. D’ailleurs, il ne compte pas oublier non plus. Et puis, il termine en te disant qu’il te donnera ce que tu veux, si seulement tu reviens le lui demander aussi clairement et ça, tu vois, ça vient accélérer ton cœur d’une drôle de façon, tu le sens s’emballer comme un cheval lancé subitement à pleine vitesse, et il y a ce frisson étrange qui remonte le long de ton dos. Et c’est encore pire, plus intense même, lorsqu’il vient t’embrasser. Pas un petit bisou comme tu l’as fait, toi, non, un baiser, un vrai, plutôt similaire à celui de la forêt, et ça te pousses à y répondre, à entrouvrir tes lèvres, et à ta grande surprise, il vient chercher encore plus. Et ça s’arrête, lorsqu’il te fait basculer, lorsqu’il te décolle littéralement du sol pour te charger dans ses bras et toi, tu laisses échapper un petit cri de surprise. Mais … mais tu l’entends rire. Et pendant un moment, tu te figes, et t’as ce sourire sur les lèvres, qui flotte, parce que bon sang ce que ça te fait du bien de l’entendre rire. C’est si rare.

Tu te rends à peine compte qu’il te soulève encore, jusqu’à que tu te retrouves sur son épaule, et seulement là, tu te mets à t’agiter, à taper dans son dos, en riant à ton tour. « Je peux marcher ! Nine ! Repose-moi ! » Mais il s’en fiche, et quand tu tournes la tête, tu le vois qui salue un soldat avant de se mettre à chuchoter, et tu te remets à rire de plus belle. « Je peux me mettre à crier pour de vrai ! » Tu menaces, maintenant, tout en continuant de t’agiter comme une poupée sur son épaule. Cependant, ça ne suffit pas, et tu finis même par te calmer, par le laisser t’emporter. « Tu vas m’emmener encore loin comme ça ? On va où ? Tu sais que mes jambes fonctionnent au moins ? »
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Saïph Nine
Saïph Nine
Saïph Nine
+ MESSAGES : 92
Saïph Nine
Mar 28 Avr - 14:50
Ça t’amuse, clairement. Tu ne pensais pas trouver ça si amusant, d’ailleurs, mais tu es en train de te rendre compte, Nine, que faire des choses avec quelqu’un qu’on apprécie, plus peut-être même, ça donne une nouvelle dimension aux actes. Un rien, un petit éclat, une étincelle. Et c’est pour ça que ton rire se fait entendre et que tu la charges sur ton épaule.

« Non, non, tu m’appartiens, je fais ce que je veux de toi ! »

Tu la provoques, d’une vois amusées, et quand elle se met à se débattre, toi tu ceintures un peu mieux tes bras autour de tes jambes. Tu es fort, et Alecto reste légère, tu n’as même pas spécialement de difficultés à la retenir contre toi. Par contre, quand elle menace de crier tu viens pincer pas trop méchamment sa cuisse. Tu t’amuses, mais tu n’as pas envie d’être arrêté par la garnison non plus.

« Ehh, tu vas me fais mettre aux fers avec tes bêtises ! Tu secoues tes épaules pour la faire tressauter contre toi. Soit donc gentille ! »

Comme si tu pouvais vraiment lui demander ça, alors que tu l’entraînes avec toi sans lui demander son accord. Mais tu vois, tu t’amuses bien trop pour t’arrêter. Tu traverses quelques rues en continuant de la porte et quand elle se calme et te demande ce que tu lui réserves, tu ne fais qu'émettre un vieux “ahahhh” pleins de sous-entendus juste pour la faire tourner en bourrique.

Il ne te faut que 5 minutes pour atteindre une rue un peu plus fréquentée et attirer les regards sur toi. Et tu sais quoi, Nine ? Tu ne les vois plus, tu n’y penses presque plus. Tu as juste envie d’oublier que vous n’êtes pas que deux dans votre monde, et profiter d’elle, des instants que tu lui voles. Mieux, mon vieux, tu as envie de lui montrer que tu peux rendre le temps qu’elle passe avec toi attrayant et agréable. Tu as envie de la pousser à en redemander, oui, c’est ça !

« Là, doucement. Tu l’attrapes fermement, et si tu la décolles de ton épaule c’est pour la porter en douceur jusqu’au sol. Tu ne la lâches pas, mains sur sa taille. Tu devrais me remercier, je t’évite de te fatiguer ! Et tu as ce petit sourire en coin qui vient faire briller tes yeux d’amusement. Il est bien loin le Nine glacial, hein ? Je t’offre un repas, puisque tu en voulais un, même si j’ai envisagé de t’enlever et de t’enfermer chez moi. »

D’où te vient cette facilité pour le lui dire ? Tu ne sais pas. Avant de ne regretter tes mots, tu la fais tourner entre tes mains et calant son dos contre ton torse, tu la laisses voir l’entrée garnie d’une décoration végétale et fleurie d’un bouiboui qui sert les meilleurs repas du quartier.

« Allons manger. On réfléchira à quoi faire ensuite l’estomac plein. D’accord ? »

Et si tu te remets en marche, c’est pour la dépasser d’un pas, et te tourner à demi vers elle, pour avoir son assentiment. Tu ne veux plus rien lui imposer, tu as sincèrement envie de lui donner envie de rester avec toi. Tu ne sais pas pourquoi, mais c’est en train de devenir ton nouvel objectif. Ta main se tend et tu attends qu’elle veuille bien attraper tes doigts pour l’entraîner dans l’endroit et demander à vous installer autour d’une petite table isolée des autres, dans une cour ou la végétation semble donner l’impression d’être dehors, en pleine nature.

« Ça te plait ? »
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