Attack on Titan
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[DONE] L'amour est au-delà de la raison. (Alecto)
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Saïph Nine
Saïph Nine
Saïph Nine
+ MESSAGES : 92
Saïph Nine
Dim 31 Mai - 16:29
T’as pas l’air con, avec ton plateau dans les mains, coincé devant la porte, à lui dire que tu devrais partir, mais sans être capable de le faire. T’es vraiment l’air fin, Nine, mais là encore tu ne parviens juste à rien, tu restes là, tu la regardes, tu sais ce qui serait bon à faire sans pouvoir le faire. Tu es complètement emmêlé, englué, malmené par ton esprit qui reste dans cette position de surréaction à tout, comme si le monde allait s’ouvrir sous tes pieds.

« Je ne sais pas… Tu murmures à sa question, avant de baisser les yeux vers le plateau qu’elle t’enlève des mains. J’ai l’impression que je vais te perdre. Ça sort comme ça de ta bouche, d’un seul coup, et tu continues sans pouvoir la regarder dans les yeux. J’ai échoué à te protéger, je n’ai rien pu faire contre ces titans. Mon corps… mon esprit… tout ça est comme bloqué en état d’alerte. »

Tu secoues la tête parce que ça te rend sacrément dingue cette histoire. Même là, de le dire à voix haute, ça ne change pas grand-chose. Tu es là, tu es angoissé, et elle est si proche que tout ton corps réclame de la tenir, de la serrer, de la sentir. Tu ne cèdes pourquoi pas, en te focalisant sur sa réaction plus tôt, à Trost, et quand elle s’inquiète d’être le problème, tu fonds. Littéralement, Nine, tu coules, tu es même incapable de garder les yeux loin d’elle. Alors tu la laisses venir contre toi, et tes mains se remettent à bouger pour venir se caler contre ses reins et la retenir tout en douceur.

« Tu n’as rien fait. Je te l’ai dit, Alecto, tu es parfaite. Tu l’es toujours… C’est pour ça que ça me rend dingue. Parce que moi j’échoue, alors que tu mérites la perfection. Tes yeux viennent se nicher dans les siens. Je ne te laisserai pas, je… te donnerai tout ce que tu veux. Et tes paupières se ferment quelques instants, comme si tu essayais de reprendre le dessus. Je ne comprends pas pourquoi, mais je sais que je te donnerai tout ce que j’ai, pour te garder encore un peu contre moi. »

Un murmure, et même si c’est impossible, tu as l'impression d’y entendre le battement puissant, pour ne pas dire violent, de ton coeur. Tu luttes, tu restes sans bouger et quand finalement tu rouvres les yeux, tu la vois toujours aussi belle et aussi près de toi. Tu sens son odeur. Tu touches son corps à travers ses vêtements. Elle est partout, et toi, te revoilà à te pencher vers elle, tout doucement. Pourtant tu ne tentes rien, tu te figes à un centimètre de ses lèvres.

« Tu veux bien... Est-ce que je peux ? »

C’est la première fois que tu lui demandes la permission, et tu sais pourquoi. Tu ne veux pas qu’elle te repousse pendant, alors tu oses lui demander de s’offrir à toi, à tes lèvres. Tu ne peux plus lui prendre par surprise, parce que ce n’est pas sain. Alors tu restes là, à respirer à peine, tant ta gorge est serrée par l’envie et l'inquiétude.
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Alecto
Alecto
Alecto
« citizens »
+ MESSAGES : 67
Alecto
Dim 31 Mai - 19:01
Tu veux comprendre. Tu veux qu’il t’explique. Tu veux qu’il te parle, en fait. Parce que, il est celui dont tu es le plus proche, en ce moment. Ton monde entier se résume à lui seul, même si tu t’ouvres, petit à petit, même si tu as découvert – ou de redécouvert – ta sœur, et l’existence d’un père, il y a quelque chose, entre toi, et Nine. Et c’est flou, tu le sais. Tu le veux. Et il ne cesse de répéter qu’il te veut, lui aussi. Il t’embrasse. Tu l’embrasses. Pourtant, tu te rends compte que, si on te posait la question de savoir ce qu’il est pour toi, tu ne saurais pas répondre, parce rien n’est déterminé, ou défini.

Du coup, ma grande, peut-être qu’en enclenchant cette discussion, tu espères aussi quelques éclaircissements. Le truc, c’est que c’est sans doute bien mal connaître Nine … parce que, rapidement, s’il tente bien de s’expliquer, et bien tu te rends compte que tu plisses les yeux pour essayer de comprendre là où il veut en venir. Alors, tu souffles, tout doucement. « Il n’y a aucune raison que tu … que tu me perdes. » Est-ce que quelqu’un à déjà tenu à toi à ce point, hein ? Tu n’en sais rien du tout. C’est fou comme il te donne l’impression qu’une partie de ton monde ne tourne qu’autour de toi. Et à la fois, tu as l’impression d’être la cause de tout. Absolument tout. Surtout les désagréments. Pourtant, tu ne t’éloignes pas, tu viens, tout contre lui, et ses mains reviennent se loger dans le bas de ton dos. C’est incompréhensible. Tu veux rester avec lui. Il veut rester avec toi. Pourtant … c’est comme s’il s’attendait à ce que tu partes, du jour au lendemain, comme s’il s’imaginait que tu allais disparaître à la première occasion. Tu lis cette crainte dans ses yeux, quand il plante un nouveau regard dans le tien, et quand il se penche sur toi, quand il te demande cette autorisation, tu souris, Alecto. Tes doigts viennent effleurer son visage, puis ses lèvres, doucement, délicatement. « C’est toi que je veux. » Rien d’autre. Absolument rien de plus que ça.

Et c’est toi, Alecto, qui efface les quelques centimètres qu’il a laisser entre tes lèvres et les siennes, tes mains viennent emprisonner son visage, et tu lui offres un baiser, un baiser … bien moins sages que ceux que tu es venu lui offrir de toi-même jusqu’à présent. Tu t’accroches, et surtout, tu t’arranges pour lui faire sentir que tu ne comptes pas le laisser s’en tirer, s’éloigner. Tu as dû le repousser, dans cette écurie, alors que tu ne désirais que ses baisers, maintenant que tu sais que tu n’as aucune raison de le faire, tu le refuses. « Tu as toujours envie d’aller prendre l’air … ? » Que tu finis par demander, lorsque tu t’éloignes légèrement, lorsque tu éloignes tes lèvres de quelques tous petits millimètres, sans pour autant le relâcher, le laisser s’en aller.
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Saïph Nine
Saïph Nine
Saïph Nine
+ MESSAGES : 92
Saïph Nine
Dim 31 Mai - 21:17
Tu l’entends bien, Nine. Tu comprends parfaitement ce qu’elle te dit même. Tu ne vas pas la perdre, c’est… stupide ? Pourtant toi, mon vieux, tu n’arrives pas à te sortir ça de la tête. Tout ce que tu as vécu aujourd’hui, ça n’a fait que te rappeler que tout était temporaire. Ta vie, le calme sur la cité, tes promesses… sa présence. Et c’est clairement ça qui est en train de te faire disjoncter. Tu ne peux pas te passer d’elle… ou plutôt tu ne le veux pas.

« Je… Moi aussi, Alecto. Tu secoues la tête, tu as tellement de mal à dire les choses, à les lui faire comprendre. Je te veux. Près de moi. Heureuse. Épanouie. En sécurité. Et tu serres un peu plus tes mains contre ses reins. Mais je ne suis pas celui qui peut te donner ça. Et tu as retrouvé ta famille. Il n’y a… »

Aucune raison pour qu’elle reste. C’est ce que tu voulais dire, mais elle te prend de vitesse. Ses lèvres viennent combler la distance entre vos visages, et dans ta tête, mon pauvre vieux, c’est un feu d’artifice qui éclate, dans tous les sens. Ça te fait trembler. Putain, Nine, une petite jeunette t’embrasse et te voilà à frissonner comme un adolescent prépubère. Pourtant, tu arrives encore à te contenir, à ne pas resserrer tes mains sur elle, à ne pas la soulever, l’emporter, la dévorer… mais quand elle s’écarte à peine, c’est pour te rendre dingue.

« J’avais pas envie avant. Tu grognes tout contre elle. C’est moins dangereux comme ça. Et tu vois, tu arrives à la repousser un tout petit peu, à faire un mouvement pour fuir, mais tu craques bien avant de ne plus être en contact avec elle. Je ne peux pas !»

Tu m’étonnes, Nine, tu rêves de ça depuis des nuits, des jours. Tu ne sais pas comment tu en es venu à te damner pour cette blonde, mais elle a su venir réveiller ton coeur, que tu avais coulé dans de la glace épaisse. Et en brisant la coquille d’eau solide, elle t’a embrassé… C’est sa faute, entièrement sa faute Nine, même si tu essaies de porter le poids du monde sur tes épaules.

« Je te veux… Te voilà à murmurer en attrapant son visage entre tes mains. Je suis complètement dingue, je… n’arrive même plus à m’écarter de toi. »

Et tu pourrais pleurer, si tu arrivais à reconnecter les fils dans ton système qui est en surchauffe, mais tu n’y parviens pas. Tes yeux sont juste chargés d’émotions qui ne coulent pas. Et tu craques. Tu te penches, tu viens reprendre ses lèvres. Et si le baiser est doux, tu flanches à vue d’oeil. Tu t’enflammes, Nine, alors que tu étais un iceberg jusqu’à la connaître. Une de tes mains revient se caler contre son dos, la plaque à toi. L’autre est déjà reparti contre elle, de son visage à son cou, de sa clavicule à sa poitrine. Et tu pousses un peu, à dépasser la barrière de ses lèvres pour la goûter, la sentir contre toi. Ce n’est qu’en glissant le bout de tes doigts gelés contre sa peau, sous son haut que tu te figes douloureusement.

« Je n’arrive plus à m’arrêter. Tu souffles contre elle, plein de souffrance, de retenue et d’envie. Ta tête tombe, se réfugie contre son cou, et tes lèvres l’embrassent sans même que tu ne puisses t’en empêcher. Je suis désolé, Alecto. Je devrais partir… Je… Je crois bien que j’ai des sentiments pour toi. »

C’est ça, ouais. Ça doit être ça, non ? Ce qui rend ton coeur si chaud et pulsant… c’est ça que tu as rejeté toute ta vie. Et tu te consumes pour elle.
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Alecto
Alecto
Alecto
« citizens »
+ MESSAGES : 67
Alecto
Dim 31 Mai - 21:59
Tu sais, c’est étrange. Egoïste, encore une fois. Oui. Si tu as découvert quelque chose à ton sujet, qui à l’air d’être une valeur et un paramètre certain te concernant, c’est cette tendance à l’égoïsme dans certaines situations. Tu as perdu la mémoire, toute une vie, effacée, balayée. Tu aurais dû être perdue, en complète détresse, et tu l’as été. Mais tu vois, ma belle, il a tout arrêté. Il a tout effacé. Il t’a sauvée. Aidée. Gardée. Et toi, tu t’es attachée à lui, accrochée. Il n’était pourtant pas le plus démonstratif des hommes, mais il voulait t’aider, te protéger. Tu n’as jamais eu peur de Nine. Tu aurais, dû, peut-être, mais la vérité, c’est que tu dormais dans son lit le soir même où il t’avait ramené, que tu n’avais jamais protester de le voir t’y rejoindre. Que c’était même devenu normal. Ça t’avait blessée, quand il avait cru bon de te fuir, de dormir ailleurs. Il y a quelque chose, Alecto. Il te manque quand il n’est pas là. Sa présence est devenue indispensable à ta vie, tu refuses qu’il parte, qu’il te fuit, tu refuses de partir, de t’éloigner, d’aller ailleurs. Tu veux le garder. Tu le veux, oui, et tu le lui dis, parce que … tu veux que ce soit clair, cette fois. Il t’a embrassé, une première fois, ce jour-là, dans la forêt, et tu aurais pu fuir, tu vois. Mais tu es revenue à lui, tu es revenue chercher ses lèvres, tu ne l’as pas repoussé, lorsqu’il est venu sur toi pour t’embrasser encore, et tu n’as pas fuis en courant, quand tu as senti à quel point il pouvait te désirer.

Ce soir, tu ne fuiras pas non plus. Même quand il te dit, qu’il veut te garder près de lui. En fait, tu lui souris, tu l’embrasses, même. « J’ai retrouvé ma famille et alors … ? » Ça ne change rien, pour toi. Parfois, tu as la folie de te dire que tu veux rester Alecto, sa Alecto. Que tu ne veux pas redevenir Malaury. « Ça ne change rien. Absolument rien, Nine… » Rien à ce que tu ressens pour lui, rien à ce que tu veux. Absolument rien. Tu ne le quitteras pas, tu ne retourneras pas là d’où tu viens, tu ne peux plus, c’est impossible. Même si on te le demandait, tu sais que tu n’aurais aucune hésitation à refuser.

Et il te répète, à quel point il te veut. Tu comprends, à sa façon de te le dire, que c’est encore quelque chose de différent. Il est en train de perdre pied, en quelques sortes, il revient t’embrasser, te toucher, il te presse contre lui, et tu sens sa peau contre la tienne, tu sens sa main sous ton haut, ses doigts glacés sur ta peau bouillante. Tu sens ses lèvres dans ton cou, et tu frissonnes entre ses bras. Tu n’as aucune envie de le repousser, tu n’as aucune raison de le faire cette fois. Vous êtes seuls. Personne ne viendra troubler quoi que ce soit. Et quand bien même c’est faire un saut dans l’inconnu, tu ne veux plus faire demi-tour, Alecto. Parce que, toi aussi tu le veux, ton corps réagit au sien. Tu veux lui montrer, ce qu’il provoque en toi, parce que tu te sais parfaitement incapable de l’expliquer avec des mots. Tu veux qu’il cesse de douter. Tu veux qu’il cesse de penser qu’il n’en a pas le droit. Et tu vois, quand il avoue avoir des sentiments pour toi, ça fait tout exploser en toi. Céder les barrières qui restent. Tu vas l’empêcher d’avoir ce genre de pensées erronées, tu l’as décidé. Quand bien même tu ignores tout de ces choses-là … tu veux essayer, Alecto. « Shht … » Que tu glisses, en le retenant contre toi, un instant, avant de le faire reculer un peu. « C’est pareil pour moi, Nine … » Tu ajoutes, avant de faire un pas en arrière. Tu n’as aucune envie qu’il s’arrête, non, alors, tu lui souris, et puis, tu retires la ceinture qui maintien ta robe, tu la laisses glisser par terre, chuter dans un bruit métallique, et sans le quitter des yeux, tu te mets à retirer les boutons qui ferment ton vêtement, un a un, et quand elle est pratiquement entièrement ouverte, tu attrapes ses mains, timidement, tu reviens contre lui, et tu les déposes sur ta peau. Durant quelques secondes, tu n’oses pas le regarder droit dans les yeux … mais tu finis par lever la tête. « Moi, je ne veux pas que tu partes. »
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Saïph Nine
Saïph Nine
Saïph Nine
+ MESSAGES : 92
Saïph Nine
Dim 31 Mai - 22:22
Tu voudrais fuir, Nine, et tu te sais complètement incapable de le faire. Tu voudrais simplement que ça s’arrête, que cette tension qui est en train de te dévorer depuis des jours cesse d’être. Et si tu étais un autre homme, tu penserais peut-être à aller voir ailleurs, à te la sortir de la tête, mais tu n’es pas comme ça. Tu es bien trop pur, complètement inexpérimenté. Tu n’as jamais eu d’histoire d’amour, jamais eu d’attirance que tu ne pouvais contrôler. Jusqu’à elle. Alecto. Malaury… Non, pour toi ce sera Alecto, à jamais !

« Je suis un étranger à votre famille… »

C’est à peine un souffle, et si ça te réveille un peu, si ça te pousse à vouloir t’enfuir maintenant, tu n’arrives pas à le faire, encore une fois. Tu t‘écartes, tu reviens aussi vite et ta tête finit contre son cou, noyée dans son odeur. Tu le lui dis, ces choses que tu commences à comprendre. Tu lui offres la vérité parce que tu ne sais pas mentir. Et si tu pensais qu’elle allait prendre peur, se sauver, te repousser, te demander du temps, il n’en est rien. Franchement, Nine, il va falloir que tu arrêtes de présumer des réactions de ta petite blonde parce qu'elle n’agit jamais comme tu t’y attends, toi.

Elle recule, tu avances. Elle est là, contre toi et toi, mon vieux, tu te consumes pour elle. Et en faite, tu ne comprends le sens de son mouvement que lorsque tes yeux voient la ceinture au sol. Le temps que tu oses relever les yeux, elle est en train de déboutonner son vêtement. C’est littéralement là, tu ne résisteras pas à ça. Encore plus quand elle revient, quand elle te fait poser les mains sur elle. Quand elle te regarde. Quand elle te parle.

« Je te veux. »

Ce n’est plus la même chose, plus le même ton, mais toujours les mêmes mots. Et c’est tout ce que tu arrives à dire parce que, lorsque ses yeux tombent dans les tiens, tu craques. Tu grognes, tu viens l’embrasser, mais cette fois-ci, tu as définitivement coupé le courant de ton cerveau. Tes mains la touchent, la découvrent et quand tu finis par cesser de la parcourir c’est uniquement pour la soulever, la coller à toi et surtout venir la déposer sur le lit deux places. Et là, tu vois, tu arrives à te calmer, un instant, pour la regarder. Pour repousser les pans de sa robe. Et pour parler, une dernière fois.

« Tu es si belle… que ça me fait mal. »

Tu poses la main sur ton torse, là où est ton coeur, pour montrer où tu as si mal. Et tu ne te retiens pas plus longtemps. Avec une douceur protectrice, rassurante, tu reviens vers elle, tu la domines, mais tu es juste incapable de prendre ce moment dans la force. Tu vois, Nine, tu n’as certainement aucune expérience dans ce sujet, mais tu fais en sorte que pour elle, ce ne soit pas effrayant, pas forcé, pas douloureux. Tu la couves de baiser, tes mains ne cessent de la toucher, et finalement, c’est en prononçant son prénom, celui que tu lui as donné, encore et encore que tu oses la faire tienne.
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