Attack on Titan
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[TERMINE] Moi, je veux tout, tout de suite, et que ce soit entier ou alors je refuse ! (Wyn)
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Lenaël Garroway
Lenaël Garroway
Lenaël Garroway
+ MESSAGES : 18
Lenaël Garroway
Sam 2 Mai - 23:49
Mission. C’est ce que ce gros enfoiré de Pue-du-bec à lancé ce matin quand t’es arrivé dans la baraque qui sert de QG au groupe. T’as eu à peine le temps de lui faire un fuck que tu as dû repartir. Mission, ce n’est pas le mot d’ordre pour dire repos, même si t’aimerais bien toi. Ça veut dire que tu dois descendre dans la ville souterraine (c’est souvent là que tu officies depuis quelques semaines) et que tu vas encore devoir aller voler un truc de merde, à des gens de merde, pour ne rien gagner en échange. Mission, ça veut dire que la journée commence mal.

Tu râles, Len, mais en vrai, ça t’occupe. Comme ça tu ne vas pas boire toute la journée, avant de t’effondrer dans le caniveau ou sur ton lit, et louper deux ou trois jours d’affilé. Du coup, t’es descendu tout seul dans la ville souterraine, le temps que ton partenaire te rejoigne. T’aimes pas atteindre, tu préfères prendre de l’avance. Et puisqu’il est pas loin de midi, alors t’es passé chercher de quoi te remplir l’estomac, et celui de ton binôme par la même occasion.

T’es avec ton sac de sandwichs certainement trop gras, trop salé et bourré de vieux légumes, et tu remontes une des artères les moins mal famées de la basse ville en sifflotant. C’est comme ça que tu la reconnais, de dos. Tu connais par coeur la couleur de ses cheveux à force de les regarder et de lui dire que tu veux les coiffer (t’es bizarre oui, oui) et tu finis par accélérer le pas pour te placer à ses côtés, une main sur sa tête, l’autre tendue pour qu’elle sente l’odeur du repas.

« Salut Wyn ! C’est moi qui offre aujourd’hui ! On va manger un bout, boire un peu et on fait ce pour quoi on est là ? Si on finit tôt, tu pourras même me renvoyer l’ascenseur pour le repas du soir ! »

Et tu lui souris, de bonne humeur, avec cette expression de môme. Y’a pas à dire, t’en es un parfois, et avec elle peut-être plus qu’avec les autres.
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Wynona Deckahrt
Wynona Deckahrt
Wynona Deckahrt
« there are no rules »
+ MESSAGES : 14
Wynona Deckahrt
Dim 3 Mai - 15:20
T’as pris de l’avance, comme trop souvent. C’est une sale manie que tu as, ça, avec le temps que t’as passé à t’occuper des basses besognes de ce gros enfoiré, maintenant, c’est à peine si tu l’écoutes, tu sais ce qu’il veut, où il veut en venir, et y’a pas besoin de grands discours avec toi pour savoir comment tu vas t’y prendre parce que … t’es un peu la Reine de l’improvisation disent certains. Toi, t’as tendance à dire que tu traînes qu’avec des gros cons. Parce que t’improvises que dalle, Wyn, si tu fonctionnais comme ça, tu serais au moins morte cent fois ces deux dernières décennies. Tu prends le temps, en fait, tu te sers de ton cerveau, ouais, tu sais, le truc dont sont dépourvu la grande majorité des poivrots de ce groupe d’ânes. Et c’est pour ça que t’as de l’avance, parce que tu observes, parce que t’as posé tes fesses sur un gros tonneau, et que t’observes la vieille baraque, ses allers et venues, tu notes tout dans ta tête, t’essaies de trouver une logique, de trouver une faiblesse, t’as vu un bon paquet de nanas pas trop habillées rentrer là-dedans, ça t’as donné un début d’idée, si bien que quand Len débarque avec ses sandwichs qui sentent bizarre, tu te permets de relâcher un peu la pression.

Tu as ce sourire qui se dessine sur tes lèvres, parce que ce type tu vois, c’est le seul que tu supportes, que t’apprécies, même. Il est dans la même merde que toi, on va dire que ça aide. « Ça m’va. J’ai capté un vieux pervers, il est entré avec les bourses pleines, et dans tous les sens du terme … » Ça veut dire que non seulement, il est venu avec beaucoup d’argent, mais qu’en plus, il compte dépenser sans compter, et y passer un moment pour s’amuser avec l’amas de filles qui traînent là-dedans. Du coup, tu te dis qu’en plus de récupérer ce que veux l’autre enfoiré, tu vas pouvoir te faire plaisir et prendre ta commission personnelle, comme toujours. Avec tout ça, tu as acquis de sacrés talents, ouais, du coup autant que ça serve pour ta survie autant que ton bon plaisir.

Tu t’étires, et si ton regard passe à nouveau sur la baraque, tu finis venir croquer dans l’un des essais culinaires un peu douteux de ton partenaire. Le truc, c’est que t’es tellement habituée à bouffer que de la merde, que généralement, ça te semble toujours vachement bon. C’est pour ça que tu manges appétit, sans pour autant cesser de réfléchir. Et c’est quand tu termines avec ton repas que tu chopes Lenaël par le col. « Va encore falloir me faire confiance. » Sans lui laisser le temps de réagir, tu viens alors poser tes lèvres contre son cou pour … y appliquer un grossier suçon. « T’as pas oublié comment jouer le mec bourré ? » Que tu claques en t’éloignant à nouveau pour t’occuper de vulgariser ta tenue en déboutonnant ton chemisier et même en venir à découvrir une de tes épaules. « Le mec bourré qui vient de dénicher une poupée pour pas cher, j’veux dire. Et qui est pressé. »
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Lenaël Garroway
Lenaël Garroway
Lenaël Garroway
+ MESSAGES : 18
Lenaël Garroway
Dim 3 Mai - 17:21
« Ah on encore le droit à du gratin, c’est cool, on pourra se faire de la marge. Tu grognes, avec un sourire pas mécontent. Ce soir, ce sera repas de fête, on boira jusqu’à pas d’heures. »

C’est toujours comme ça avec toi, Lenaël, dès que tu as un peu d’argents, tu le dépenses pour te remplir l’estomac de nourriture et d’alcool. Enfin, en apparence. La vérité c’est que tu en mets de côté quelques jours le temps de faire des cadeaux à ceux que tu aimes. Tu ne gardes pas longtemps ce genre de petites “primes” mais la plus grande partie part en cadeau hein.

Enfin… Tu finis ton sandwich avec un sourire plutôt content, t’aimes bien intervenir auprès de types de merdes qui ont l’argent facile. C’est presque toujours plus facile avec eux qu’avec des types bizarres de clans encore plus bizarres. Et tu es en train de t’essuyer la bouche en grognassant de plaisir, parce que ce repas n’était pas si mauvais que ça, quand Wynona reprend la parole. Et si tu tournes la tête pour répondre, surpris par sa demande, elle ne t’en laisse pas le temps.

« Oh p’tain Wyn, tu fais mal ! C’est qu’elle y est allée franchement sur ton cou brûlant. Tu passes une main sur ta gorge, en râlant. T’aurais pu rendre ça agréable quand même ! »

Tu râles, mais en vrai, t’aurais certainement réagi bizarrement si elle avait rendu ça trop agréable. T’es pas le plus logique des types, parfois ton corps fait des trucs bizarres. Enfin… Elle se déshabille à moitié et toi, tu viens descendre la petite bouteille d’alcool pour que l’odeur ne mente pas (pis t’as soif aussi hein) et tu l’attrapes contre toi, fermement, avant de la regarder en souriant.

« Sois une bonne poulette et glousse pour moi ! »

Et sans lui laisser le temps de râler, tu l’entraines en courant pas très droit vers la porte de l’endroit qu’elle surveillait. Tu t’arrêtes devant les gardes, de l’entrée, les yeux exorbités, un sourire complètement niait sur le visage et tu manques de t’écraser sur eux, avant de reculer d’un pas et de tirer la brune vers toi.

« MESSIEURS ! Petite courbette. Je veux une piaule ! maintenant ! Je viens de trouver la femme de ma vie, elle coûte pas cher en plus. Et la tu la soulèves pour la présenter aux gardes, comme un imbécile heureux. Et elle est jolie hein ?! »

Les types te regardent, vont à elle et si le premier acquiesce en riant gras, l’autre soupire. Quand il te voit commencer à poser tes mains sur Wyn, un peu trop excessivement il siffle et ouvre la porte, en vous disant de vous grouiller. Et toi, tu les remercies en riant et en tirant la jeune femme avec toi, jusqu’à ce que la porte se referme dans un sas silencieux.

« Alors, mon jeu d’acteur est toujours bon ? »
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Wynona Deckahrt
Wynona Deckahrt
Wynona Deckahrt
« there are no rules »
+ MESSAGES : 14
Wynona Deckahrt
Dim 3 Mai - 18:22
Tu fais en sorte de ressembler, au moins un peu, à ces femmes qui entrent pour rarement en sortir rapidement dans cette maison. Tu as eu tout le loisir de les observer, tu sais que tu restes assez différente. Pourtant, tu fais l’effort, chemise largement ouverte sur ta peau, une épaule dénudée, tu mets tes cheveux plus en bataille qu’ils ne le sont déjà. Tu n’as pas la robe, atrocement vulgaire qui va avec … cependant, tu te dis que ça passera si tu joues assez bien le jeu et autant dire que t’en as vu passer sous tes yeux, des filles de joie, aujourd’hui, alors tu es presque certaine de pouvoir assurer l’imitation pendant quelques minutes, au moins. « La prochaine fois je mord, il parait que certains types adorent ça. » Et tu le gratifies de ce clin d’œil qui ne te ressembles pas, mais qui colle à la perfection au rôle que tu veux te donner en allant t’accrocher à son bras de la manière la plus vulgaire qui soit. Tu prends cette voix, ouais, en somme, tu glousses bel et bien, et tu t’agaces toi-même parce qu’on sait bien que tu n’es évidemment pas du tout comme ça. Tu vois, ce n’est pas parce que t’as vécu dans cette merde depuis tout ce temps que t’es une fille facile. Il y a peut-être quelques porcs qui ont su profiter de ton corps lorsque tu étais jeune, te volant ton innocence, mais maintenant que tu sais que tu peux te défendre, tu n’autorises plus personne à poser un doigt sur toi sans une invitation préalable.

Une fois devant les gardes, tu laisses à Len le soin de tout faire, parce que même si ça te dégoûte, tu sais que les femmes ici n’ont réellement le droit de parole. Tu te contentes de balader tes mains sur lui, d’y rester accrocher en te tortillant, en t’agitant, et tu lâches même quelques soupires et gémissements exagérés lorsque ton équipier se mets à laisser glisser ses mains sur toutes les parties de ton corps qu’aucune femme bien élevée ne laisse à un homme si ouvertement. Tu te mets même à lancer quelques clins d’œil aux gardes, tu les provoques dans tes gestes et tes attitudes, comme si tu voulais faire comprendre que la place serait libre entre tes jambes après que t’ai épuisé ton partenaire actuel et visiblement, votre petit jeu à tous les deux fonctionnent puisqu’en moins de deux minutes, on vous laisse entrer dans la baraque. « Magnifique. » Finis-tu par claquer, sans réelle conviction en observant déjà les lieux. Pour le moment, il n’y a personne dans les parages, et si tu remontes ton chemisier sur ton épaule, tu le laisses tout de même ouvert, juste au cas où.

D’un doigt, tu finis par désigner l’escalier droit devant, et tu pousses Len en avant, toujours accrochée à lui pour éviter d’éviter le moindre soupçon au cas où vous croiseriez quelqu’un. « Les chambres doivent être là-haut … c’est là que doivent se réunir les porcs. » Et leurs pièces d’or, donc. Tu n’avais pas encore de plan quant à la récupération de ces dernières, disons que tu comptais pour le moment sur le fait que ces hommes soient tous bien trop occupés au lit pour délaisser leur or un moment. « Le type qui doit du fric à l’autre connard, il est là depuis au moins deux heures. »
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Lenaël Garroway
Lenaël Garroway
Lenaël Garroway
+ MESSAGES : 18
Lenaël Garroway
Dim 3 Mai - 20:01
Tu te rends bien compte qu’elle te fait buguer quand elle part de te mordre. Vraiment, Len, pourtant tu la connais cette fille, tu bosses avec depuis des années. Tu as presque tout fait avec (sans mauvaises pensées, quoique…) et tu sais qu’elle a un caractère bien à elle. Mais pendant un instant tu as envie de la provoquer, pour voir si elle blague ou pas. Pour savoir si t’aimerais bien ou pas. Puis tu finis par mettre en place son idée.

Jouer le mec bourré, ça n’a jamais été bien difficile pour toi, tu passes une bonne partie de tes journées à boire et à tiser. Tu la laisses en rajouter une couche, mais tu gardes clairement tes mains sur elle, comme pour leur annoncer qu’elle est à toi, pour l’instant du moins. Tu n’as pas envie qu’un vieux crade vienne la toucher, elle a déjà suffisamment morflé à ton goût. Et vous finissez par passer ces portes, mais sa réponse t’arrête. Elle parle de chambre, d’état, du mec que vous ciblez, mais tu n’es plus dans la mission. En faite tu l’arrêtes, d’une main sur son poignet et tu l’attires à toi avant de la réceptionner dans tes bras, sans méchanceté.

« Ça va ? Tes sourcils sont froncés et t’as beau être con et un peu éméché, tu ne peux pas cacher ton inquiétude. J’t’ai fait mal ? »

Physiquement, mentalement, psychiquement… T’en sais rien, mais tu ne comptes pas laisser ça comme ça. Ce n’est pas la première fois que tu lui demandes ça, c’est même un des trucs qui revient souvent depuis quelques mois. T’es prêt à beaucoup de choses, mais tu refuses d’être celui qui agrandira ses plaies et ses brûlures.

Pourtant, mon vieux, il y a la mission, et si vous ne vous bougez pas de cette entrée, vous allez vous faire pincer. Alors tu la relâches, instinctivement, sans réfléchir, tu refermes un peu sa chemise sur sa peau, et tu pinces les lèvres.

« Je passe en premier. Reste derrière. »

Tu la protégeras si tu le peux. Tu montes, en silence, les yeux alertes. Deux marches grincent sous tes pieds et te tirent un grognement, mais quand tu atteins l’étage tu fais signe à ta complice de monter et tu regardes le couloir vide en fronçant le nez.

« Et c’est qu'elle porte maintenant ? On ouvre tout ? Tu la regardes, de vous deux c’est elle le cerveau hein. P’tain j’espère qu’ils sont pas tous dans la même pièce à… des filles… fin… tu vois le tableau. »

Et toi ça t’écoeure ces hommes aussi sales à l’intérieur qu’à l’extérieur qui profitent de donzelles qui n’ont rien de mieux pour survivre.
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Wynona Deckahrt
Wynona Deckahrt
Wynona Deckahrt
« there are no rules »
+ MESSAGES : 14
Wynona Deckahrt
Dim 3 Mai - 20:26
Parfois, Wyn, tu te dis que Len … il est trop doux pour tout ça. Ouais. Et pourtant, c’est pas spécialement le cas, hein. Mais il a des moments comme ça, où il arrête tout pour te demander si ça va, quand il doit jouer un jeu, avec toi, surtout. Quand il en vient à penser qu’il est peut-être allé trop loin alors qu’au fond, généralement quand on y pense, c’est toi qui lances le truc, tu vois. C’est toujours tes idées à la con, se faire passer pour truc, puis chouette pour entre là ou ailleurs. C’est toujours tes plans à la noix, alors forcément que tu ne lui en veux pas de faire ce que tu lui demandes. « Dis pas d’bêtises. » Que tu lances simplement, pour t’en débarrasser, comme toujours. Il a posé tes mains sur toi, ouais. Mais il avait ton autorisation, et tu sais qu’il ne jouera jamais à ça sans l’avoir, du coup, tu lui fais assurément confiance et ça, peut-être qu’il faudra que tu le lui rappelles, un jour.

Pour l’heure, tu le rejoins à l’étage, et quand tu te retrouves au beau milieu de ce couloir rempli de portes closes, tu t’arrêtes un instant. Maintenant, il va falloir trouver les pièces du bon type, probablement occupé dans l’une des chambres qui se trouvent ici. Cependant … c’est vrai que trouver la bonne ne va pas être de la tarte. « Suffit d’écouter. » Ouais, déjà, faire le tri entre les chambres où y’a de l’action, et celles où y’en a moins. C’est pour ça que tu te bouges, que tu viens coller ton oreille contre la toute première porte. Tu n’entends rien. Pas le moindre bruit, du coup, tu ouvres, discrètement pour jeter un œil à l’intérieur … Et c’est vide. Le lit est fait. La chambre est rangée. Il ne se passe rien là-dedans, du coup, tu t’avances dans le couloir pour écouter à la suivante et alors que tu viens coller ton oreille contre le battant, il y a cette voix qui te fais sursauter. « Hé vous deux, vous jouez à quoi, là ? » C’est l’un des gardes de l’extérieur, tu le reconnais immédiatement, planté au beau milieu de l’escalier, qui vous fixe avec un regard suspicieux. Et là, tu vois Wynona, t’as un vrai moment de panique. Jusqu’à avoir une autre idée …

« Bah on cherchait une chambre rien qu’à nous ! » Que tu lances en venant t’accrocher à Len, à nouveau, et en te remettant à t’agiter, à te tortiller. « J’ai envie qu’il me fasse la totale … on a besoin d’intimité. » Et tout en disant ça, tu pousses ton partenaire dans la première chambre, celle que t’as laissé entrouverte, tu t’y engouffres avec lui en refermant la porte à toute vitesse. Et là, tu souffles un grand coup. « Merde, merde, merde… » Que tu marmonnes avant de t’avancer dans la chambre. « … Si on fait pas de bruit, il va trouver ça suspect … j’ai … on fait quoi … fait un truc ! » Ouais, tu paniques légèrement là, parce que tu sais que si ce type entre ici et qu’il vous trouve habillés … ce sera la merde. « Je dois simuler, tu crois ? On va faire ça. Tu sais faire ça ? »
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Lenaël Garroway
Lenaël Garroway
Lenaël Garroway
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Lenaël Garroway
Dim 3 Mai - 23:26
Écouter… Putain c’est pas bête ça, Lenaël, mais tu n’y avais même pas songé. Pourtant, faire ce genre de truc c’est absolument ton genre tu vois, c’est comme ça que tu apprends des nouvelles intéressantes et qu’ensuite tu fais du chantage. Puis tu es curieux surtout. Alors tu la suis et tu la laisses faire tout en prenant le temps de faire comme elle, parce que deux précautions valent mieux qu’une (et que tu aimes ça, rappelons-le).

Sauf que ce type vous tombe dessus, un des gardes de l’entrée et tu es pries sur le vif comme un enfant qui fait une bêtise. Et vraiment, mon vieux, tu as de la chance d’avoir Wyn avec toi, parce qu’elle reprend aussi sec les choses en main. Elle se jette sur toi, et toi tu reprends ton expression d’idiot soiffard et tu opines du chef plusieurs fois.

Elle finit par te pousser dans une chambre et tu la regardes en te disant que vous allez pouvoir souffler. T’as faim (encore) et t’aimerais bien boire un peu d’eau. Tu fais un pas dans la chambre, à la recherche d’une de ces deux choses quand elle panique et te demande un truc qui te… laisse abasourdi.

« Hein ?! »

Faire ça quoi ? Et tu la vois regarder vers la porte et tu comprends qu’elle parle du garde, dehors. Et d’un seul coup tu paniques aussi. Le mec va entrer c’est ça ? Il est monté pour la prendre elle ? Il va vouloir….?! Et d’un seul coup, tu ne réfléchis plus, tu ne remarques même pas que tu as loupé la moitié de sa suggestion. Tu te jettes sur elle et tu la soulèves dans ses bras. Sans réfléchir, tu viens l’écraser sur le lit, sous toi, et tu l’embrasses, à pleine bouche.

Et y’a rien hein. Fin tu n’as pas craqué, tu n’as pas envie d’elle… enfin… on se comprend. Alors si tu fais durer le baiser en tenant ses mains sur le matelas pour ne pas qu’elle s’enfuie, tu finis par relever la tête, à bout de souffle, et te tourner vers la porte. Tu es rouge, essoufflé, légèrement frustré, complètement retourné :

« Putain j’ai cru qu’il allait entré ! T’es ouf de m’avoir dit ça ! Tu roules sur le côté, pour te retrouver dos contre le matelas, près d’elle, une main sur le visage. J’étais déjà en train d’me dire que j’allais te déshabiller… Wyn t’abuse, tu m’as foutu les jetons. Et tu souffles longuement, en tendant l’oreille. Tu crois qu’il est encore là ?! »
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Wynona Deckahrt
Wynona Deckahrt
Wynona Deckahrt
« there are no rules »
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Wynona Deckahrt
Lun 4 Mai - 0:00
Tu sais quoi, Wyn ? Et bah c’était pas du tout censé se passer comme ca. Non, pas du tout même, parce que, dans ta tête, ça avait presque l'air super facile de faire les poches a de vieux porcs qui viennent prendre du bon temps, suffisait de baisser les yeux et de ramasser, parce qu’ici, les hommes était généralement occupés a bien autre chose qu’à être prudent … et ça t'arrangeais bien mine de rien. Pourtant, ton plan avait visiblement de grosses lacunes, tu n'avais tout d'abord certainement pas pensé être autant fliquée et sous surveillance a l’intérieur, tu voyais ça autrement, du coup, ouais, quand ce type débarque dans l'escalier, tu paniques un peu en te disant que vous allez lamentablement échouer là-dessus, et que vous allez en plus devoir endurer le sermon de ce gros crétin au retour.

C’est pour ça qu'une fois dans la chambre, tu cherches une solution pour bien jouer le jeu, tu te dis que suffit de faire du bruit, de gémir dans le vide, tous les deux, et que ça passera. Du coup, tu presses Lenaël pour qu'il s'y mette avec toi et … et tu ne sais pas trop ce qui lui prends, tu vois mais subitement, il t'attrape, te jette sur le lit et avant que tu n'aies eu le temps de lui dire qu'il n’était pas obligé d'aller jusque là, le voilà qui t’embrasses. Et toi, Wynona, tu ne le repousses pas, parce que tu ne peux pas. Il tiens tes mains contre le matelas, et il ne te libère que lorsqu'il le décidé, en roulant a côté de toi sur le lit. « T'es … t'es dingue ? » Tu te retiens de gueuler parce que t'es pas certaine que l'autre type soit parti. Mais franchement, là, t'as franchement rien compris à ta vie ma fille. Du coup, tu te redresser et tu le pousses un bon coup sur le côté avant de quitter le matelas. « Je voulais juste qu'on … fasse du bruit. Comme si on était en train de … tu vois. » Tu lèves les yeux au ciel, juste parce que … bon sang quoi, t'es obligée d'expliquer si clairement un truc comme ça, et puis tu t'approches lentement de la porte pour écouter. « J'entends rien dans le couloir. » Mais en même temps, tu te sens pas trop d'ouvrir la porte pour vérifier, tu crains bien trop de tomber nez à nez avec ce type, ce serait catastrophique. « Tu crois que si je me débarrasse de quelques vêtements je passerais plus inaperçue ? » Ouais tu te dis juste que si tu sors a moitié nue d'ici, ce sera moins suspect. Mais bon … quand même quoi.
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Lenaël Garroway
Lenaël Garroway
Lenaël Garroway
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Lenaël Garroway
Lun 4 Mai - 0:36
Tu respires si fort, bon sang. T’as même fini par poser une main sur ta poitrine pour tenter de calmer le battement de ton coeur. Elle t’a fait peur, avec ses histoires ! Tu ne sais pas ce que tu aurais fait si ce type était entré en vrai… Naturellement, comme ça, tu aurais voulu le frapper, c’est certain, mais vu que vous êtes en mission t’aurais du trouvé un autre truc. Wow, quelle histoire.

« Quoi ?! Mais j’ai fait… Et tu t’arrêtes quand la jeune femme reformule ce qu’elle attendait de toi, avec une précision qui vient te tirer une gêne éclatante sur le visage. Je… Tu… Mais… C’est ça, mon grand, bégaie, tu aurais l’air plus intelligent comme ça. Et quand tu te reprends, c’est pour te renfrogner. Mais… fallait me le dire clairement ! Moi j’ai cru que ce type allait entrer et que… Tu… Fin… »

Et tu te sens si mal que tu viens éclater la paume de ta main droite sur ton visage dans un claquement sonore en soupirant de toutes tes forces. Tu es stupide. Tu n’as juste rien compris et toi tu l’as jetée sur le lit avant de l’embrasser… Tu… Et d’un seul coup tu te relèves, et tu passes du rouge au blanc. Tu l’as embrassée !

« Je suis désolé, je ne voulais pas t’embrasser… C’était pour que le gars y croit et… moi c’est pas ce que je veux… Enfin je… Wyn ! Et t’es debout alors qu’elle te parle de vêtement dont tu te fiches éperdument. Tu viens te planter devant elle avec une drôle de tête, sûrement exagérée par l’alcool dans ton sang. Gifle-moi ! Je me sentirai mieux si tu te venges ! »

T’es sacrément con, Len, mais ça c’est le pompon certainement. Tu restes devant elle quelques instants pour qu’elle puisse agir à sa guise et quand tu finis par en revenir à votre mission, c’est pour regarder dans la pièce. Et c’est là que tu repenses à un truc qu’on raconte dans les bars et les auberges les plus sales.

« Il parait qu’il y a un couloir pour les servants qui nettoient les chambres après… après quoi. Pas celui où les gens passent, un caché derrière les chambres. Et tu t’écartes, pour aller tâter le mur du fond, à l’opposée de la porte, jusqu’à trouver une fameuse porte dérobée dans le mur. Wynnie, je crois que c’est vrai ! »
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Wynona Deckahrt
Wynona Deckahrt
Wynona Deckahrt
« there are no rules »
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Wynona Deckahrt
Lun 4 Mai - 8:59
Non mais … c’est ça, ton idée, Wynona ? Te balader à moitié nue dans cette baraque de malheur, dans l’espoir de passer un peu plus inaperçue ? Jamais ça ne marche, ça. D’autant plus si tu tombes sur ce garde à nouveau, tu sais, celui auquel tu as vulgairement fait un peu de charme pour qu’il se mette à penser qu’il avait une chance de te passer dessus après Len. Ouais. Non, clairement, c’est une idée qui pue autant que ton boss, ça, mais là, tu arrives un peu à saturation d’idée. Il n’y a plus rien de cohérent qui vient, et tu te dis que c’est de la faute de ce crétin de Lenaël, ouais, c’est ça, il t’a mis le cerveau en compote avec ses âneries. D’ailleurs, écoute-le encore qui bégaye maintenant, ouais, tu le connais Wyn, tu sais que maintenant qu’il s’est rendu compte de sa bêtise, il doit s’en vouloir, et dans deux minutes, il va revenir te demander si ça va, et s’il t’a blessée aussi ?

Et comme prévu, oui, le voilà qui s’approche. Seulement, ce n’est pas la question habituelle qui revient, et pendant que tu t’agites, lui, il vient se placer devant toi en te demandant de le gifler pour ce qu’il vient de faire. « Ouais, ouais … » Que tu claques, alors qu’il s’excuse, qu’il te dit qu’il ne voulait pas, tout ça. Et toi, tu soupires hein, parce que c’est bien gentil son petit discours là, mais, toi, t’as autre chose à faire en attendant. Tu es sous pression. Tu n’as pas de temps à perdre avec les politesses. Du coup, non, tu ne le gifles pas, cependant, tu viens lui prendre un baiser toi aussi. Bien moins long que le sien, mais tout de même. « Voilà. Tu voulais pas, t’as dit, du coup, disons qu’on est quittes. Maintenant grouille toi de me filer un coup de main ! » Et tu le pousses en avant, histoire qu’il cherche, avec toi, un moyen de vous tirer de cette chambre et de votre boulot avant de vous faire pincer ici par les gardes visiblement un peu trop sur les dents.

Et pour une fois, l’idée de génie, ce n’est pas toi qui l’as. C’est lui. Et quand tu l’entends parler de son histoire de couloir caché, tu vois, au début, t’es clairement un peu réticente, mais … il le trouve, du coup, tu t’approches … et miracle, il y a bel et bien une porte. Une porte qui mène à un couloir très peu éclairé, et vachement poussiéreux. Du coup, tu t’y glisses la première, pour te rendre compte qu’il y a de nouveau une série de porte, et qu’à chaque porte, se trouve aussi un œilleton. « Et bah on dirait que les servants se foutent pas mal de l’intimité … » Mais tu souris en disant ça, parce que ça t’arrange, et bientôt, tu te mets à regarder dans chaque chambre d’un côté du couloir, en indiquant à Len de faire pareil en face. Tu grimaces, plusieurs fois, quand tes yeux se posent sur des scènes … relativement dégoûtantes, et puis, tu finis par t’arrêtes. « Pst, Len, il est là, il … il est encore occupé. » Ouais, clairement entre les jambes d’une blonde. « Je vois ses affaires … faut qu’on choppe la bourse ! »
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