Attack on Titan
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  Connexion  
!! FETE DU SOLSTICE A UTOPIA JUSTE ICI !!<
!! FETE DU SOLSTICE A UTOPIA JUSTE ICI !!<
Le Deal du moment : -11%
Smartphone 6.36 ” Xiaomi 14 (12 Go / 256 Go
Voir le deal
641 €

 :: FORUM PRIVE :: Territoire Humain :: Mur Rose :: District de Trost :: ESPACE ÉVÉNEMENT. Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
GROUPE 1 ; Aiji, Karhlya, Theresa, Arès, Aleksei, Iliana, Laszlo.
Aller à la page : Précédent  1, 2, 3
Theresa S. Adams
Theresa S. Adams
Theresa S. Adams
+ MESSAGES : 109
Theresa S. Adams
Jeu 30 Avr - 23:13
Tu virevoltes en riant. T’es bien, comme un oiseau dans son ciel. Tu virevoltes et de loin, on pourrait peut-être croire que tu danses tant tu es dans ton élément. Et puis, finalement la fille ne te suit pas et là, Theresa, tu te lâches complètement. Toute seule c’est le pied, c’est ce que tu fais le mieux. Seule c’est ta vie contre celle du titan et ça t’excite. Alors tu le tues sans aucun souci et tu as même le toupet de venir te percher sur la tête de la bestiole pendant qu’elle commence à s’effondrer en fumant. Et c’est comme ça que tu le vois.

Tu lui avais interdit de mourir, pourtant, et le voilà qui vole après s’être pris un chassé de la part du déviant. Et Theresa, tu sais, hein, au fond de toi qu’il te faudrait retourner auprès de Bailey, mais tu ne peux pas. Tu es… tu ne sais pas. T’as juste mal et t’as peur. Et pis t’es tellement en colère, aussi. Alors tu décolles de la tête du titan pour foncer vers l’homme masqué.

Et si tu donnes tout pour attraper l’homme, t’es loin, si loin. Alors même si tu vides une bonne partie de tes bouteilles, tu ne l’atteins pas. Tu ne peux que le voir voler et retomber. Et un hurlement à glacer le sang t’échappe. T’y peux rien, t’es du genre gueularde comme fille. Tu finis par le trouver dans les gravats et tu tombes à côté, paniquée.

« REVEILLE-TOI ! »

Tu ne le secoues même pas, il n’est pas en état de l’être. Alors tu fais un truc que tu n’as jamais fait pour personne d’autre. Tu galères, tu le dégages de là et quand tu le soulèves dans tes bras, tu manques de tomber à la renverse. T’es si petite et lui si grand… T’arrives quand même à le caler contre toi et difficilement tu arrives à atteindre un toit pour y tomber avec lui, pêle-mêle. Et quand tu te redresses, ta voix porte loin :

« ON A UN BLESSE VIIIIIIIIIIIIIITE ! »

Et toi, t’essaies de faire ce que t’y peux, mais t’es plutôt dégât que soin, hein.
Revenir en haut Aller en bas
Arès Até
Arès Até
Arès Até
+ MESSAGES : 22
Arès Até
Ven 1 Mai - 12:44
Tes grappins se positionnent juste derrière elle, et tu tires un coup sec sur tes manettes pour activer un maximum de gaz et filer au plus vite vers la jeune femme qui se met dans une position bien précaire. Le titan essaye de la chopper, tend ses bras vers elle et la repousse… Mais tu finis par la cueillir dans tes bras avant qu’il ne lui fasse le moindre mal. Et tu remontes rapidement le long du mur pour venir la déposer sur le toit lorsque tu entends les hurlements du leader du groupe.

Tu entends soudain un grand bruit venant de ta gauche et tu tournes les yeux. Qui s’agrandissent. Un déviant… Et tu vois l’un des hommes foncer dessus. Mauvaise idée, très mauvaise idée, tu le vois d’ici, il va trop vite, beaucoup trop vite… Il tire beaucoup trop de gaz et le titan a déjà remarqué son manège. Ni une ni deux, le voilà qui se prend une beigne du déviant, ce qui l’envoie contre un mur, complètement sonné. Et alors que tu t’avances pour aller les aider, par pure obligation, tu vois le chef de l’escouade, qui le loupe de peu mais qui finit par aller achever le petit qui en voulait à la brune et qui s’approche de vous.  Enfin, le déviant semble mourir sous les coups d’un troisième homme qui ne fait pas dans la dentelle et qui fait preuve d’une telle dextérité que tu te demandes si tu ne devrais pas essayer de l’égorger dans un coin pour qu’il ne te pose pas de problème plus tard. Voilà qui te fait réfléchir. Tu n’avais encore jamais vu ces membres de l’escouade des ailes de la liberté à l’oeuvre. Bien que certains te semblent totalement… Stupides voire suicidaires… Il semble y avoir de bons membres qui pourraient te casser les pieds lorsqu’il sera temps pour toi de tout détruire.

Et la jolie brune te remercie  avant de se remettre sur ses pieds. Tu hausses les épaules. Merci ou pas merci t’en as rien à fiche. Tu peux tout simplement pas te permettre de laisser un soldat crever lorsque tant d’autres peuvent avoir les yeux rivés sur toi. Elle ne doit sa chance qu’au nombre, sinon tu l’aurais laissé être croquée. Alors elle se casse pour retourner près de l’asiatique, et toi t’en profites pour observer le groupe, observer les forces et les faiblesse. Nul doute que ce caporal semble apprécier de ses subordonnés. Alors tu pousses un soupir qui s’accentue lorsque la rousse atterrit pas loin de toi et qu’elle se met à hurler. « Arrête de gueuler. Y’a le médecin pas.. » Loin? Ouais c’est ça. Tu la vois plus en tout cas. « Eh les mecs. Le toubib a disparu. » Tu pointes du doigt le toit qui s’est effondré avant d’utiliser tes grappins pour filer jusqu’à la porte. Aucune envie de passer par le toit, manquerait plus que le reste de la maison s’effondre sous tes pattes. Alors t’examines le bâtiment, tu poses tes mains sur le bois, le battant de la porte, tu pousses un peu, et lorsque tu vois que ça a l’air solide… Tu donnes un grand coup dans la porte pour l’ouvrir. Tu tousses un peu lorsque de la poussière tombe sur toi, et c’est là que tu la vois, coincée sous les décombres. « Eh. Ramenez vos pseudo gros bras pour sortir la doc de là ! »
Revenir en haut Aller en bas
Aleksei Zeïtseva
Aleksei Zeïtseva
Aleksei Zeïtseva
« wings of freedom »
+ MESSAGES : 50
Aleksei Zeïtseva
Ven 1 Mai - 12:48
Et dire que tu es parti … confiant, à la base. Non, mais c’est toujours comme ça avec toi, quand tu te dis que c’est une bonne idée, ça finit toujours par mal tourner. Tiens, tu te souviens, Aleksei, quand tu t’es dis que ce serait divertissant de suivre la petite rousse qui se barrait du camp en douce, et en pleine nuit ? Ouais. Au début, c’était marrant. Tu t’étais bien amusé à l’énerver, et lui coller le titan aux fesses avait même réussi à te faire sourire pendant trois secondes. Et puis il avait fallu que tu te battes. Et puis elle s’était mise à gueuler, te menacer, et à insister trop lourdement, et t’en avais eu marre. Et bah là, c’était pareil. Au début, tu crois que ça va être marrant, que ça va passer crème chantilly, toute en légèreté, tu vois. Malheureusement, tu galères mon vieux. Il s’agite bien trop à ton goût, et si tu tranches, tu ne tranches que de la chair, autrement dit : de l’inutile. Rien ne lâche. Pas un nerf. Pas un tendon. Pas la moindre petite articulation. Que dalle. Même qu’au bout d’un moment, tu réussis à le fâcher, et lui, il te balance une grande claque, et toi, sa main, tu la prends de plein fouet. T’sais, t’as déjà pris des gifles. Par toutes les minettes que t’as eu le malheur d’emmerder ou d’envoyer chier. Par ta mère. Et surtout, celles de ton père, les plus violentes de ta vie. Mais alors là … celle-là, elle est violente. Et le pire, tu vois, c’est que toi, alors que t’es sonné, que tu voles, lui, il continue d’essayer de te rattraper, il s’acharne sur toi, et plus tu te débats, plus ça fait mal … ça fait si mal mon gars, que tu finis par lâcher prise et perdre connaissance. Autant dire que ça a cogné fort sur ta caboche.

Tu sais ce qui te réveilles ? C’est pas le fait d’être bougé de ton tas de cailloux, ou d’être largué sur ce putain de toit comme un vieux sac. Nan. C’est sa voix. Elle gueule, la vache. Cette nana, elle gueule tout le temps. Quand t’ouvres – un peu – les yeux tu la vois, elle s’agite, elle appelle tu sais pas trop qui … et vu que tu te sens étrangement bien pour un type qui vient de se prendre une claque puissance titan, tu te permets de soupirer, et tu lèves la main pour la choper par le col de sa chemise et la tirer à toi. Tu viens littéralement un baiser, avant de la repousser sans délicatesse. « Finalement, t’aurais dû essayer le bouche à bouche, tu vois, c’est plus sympa que t’entendre gueuler au réveil. » Et tu te redresses, tu grimaces – pour la forme – mais … t’as rien. Quelques bleus, sans doute. Mais pas un os cassé, du moins, tu n’en as pas l’impression, et quand tu tournes la tête pour voir l’état de la situation, tu te rends compte que c’est mine de rien plutôt calme. Alors tu te lèves. « C’est quoi cette tête, rouquine, tu t’inquiétais ? »
Revenir en haut Aller en bas
Iliana Zeïtseva
Iliana Zeïtseva
Iliana Zeïtseva
+ MESSAGES : 33
Iliana Zeïtseva
Ven 1 Mai - 13:01
Je sens le sol qui cède sous mes pieds, enfin plus vraisemblablement la toiture, pourtant, quand j’avais regardé, la maison semblait solide et pas abîmer par les combats. D’ailleurs, près de la cheminée, ça tenait bien, alors pourquoi soudain alors que je me retrouve au milieu du toit, ça cède franchement, si c’est pas avoir la poisse ça. Mon premier réflexe et surement une autre belle connerie c’est de me déplacer, de chercher à retrouver un point stable, en vain, c’est toute une partie de la toiture qui s’effondre. Les combats font rage, je suis à l’arrière et personne ne me voit en train de m’enfoncer dans le trou. En dernier recours je lance mes grappins, je pourrais m’en tirer comme ça, je vise la cheminée, elle est solide, j’étais appuyé contre une poignée de seconde plus tôt. Un instant je pense que style de rien je vais pouvoir me tirer de ce mauvais pas, mais de la poussière me tombe dans les yeux au moment où je lance les grappins, ils manquent la cheminée et c’est la chute dans le vide, plusieurs mètres avant de lourdement m’écraser au sol, je suis sonnée, mais heureusement, je vois les débris qui continue de tomber et j’arrive à avoir ce réflexe qui me sauve surement la vie. Je me prostre en position foetale, passant mes bras par ma dessus tête pour la protéger et alors j’ai l’impression que j’ai une chute de débris sans fin qui me touche de toute part, je sens un morceau de bois frapper ma cuisse plutôt durement et je pousse un cris alors que la pierre qui frappe mes côtes me coupe le souffle ce qui donne une sensation plutôt étrange. Je ne compte pas le nombres de choses qui percute mes bras et les blessent les faisant saigner à de multiples endroits. Enfin ça s’arrête, j’ai du mal à respirer à cause de mes côtes mais aussi de la poussière qui ne semble pas vouloir se poser. Je reste allongé, immobile, je voudrais me relever, mais pour le moment j’en suis tout à fait incapable, j’ai un tas de gravas sur mes jambes.

J’ai l’impression qu’il se passe un long moment, j’entends les bruits de lutte à l’extérieur mais petit à petit tout se calme. Je tente de me redresser, mais la douleur dans les côtes me fait grimacer. Je me relaisse tomber au sol quand un coup dans la porte me fait sursauter. On dirait qu’ils se sont rendu compte que j’avais disparus de mon point d’observation. Quand la porte s’ouvre, j’espère y voir Alek, Laszlo, mais non, c’est la petite blonde qui nous a rejoins sur le chemin de la caserne. Elle crie pour attirer l’attention des autres.
Revenir en haut Aller en bas
Aiji Bailey
Aiji Bailey
Aiji Bailey
+ MESSAGES : 82
Aiji Bailey
Ven 1 Mai - 16:51
Il faut croire Aiji que tu as mal analysé la situation. Si tu remarques que la blonde de la garnison fait du bon travail en récupérant Karhlya et en la faisant échapper à une mort certaine, et que la rousse derrière semble avoir réussi à botter le train d’un des trois titans, il n’empêche que tu en as toujours deux sur le cul. Alors tu t’élances… Légèrement trop tard. Si le déviant est le premier dans ta ligne de mire sans doute es-tu un poil trop concentré sur l’état de ton soldat puisque tes lames passent à quelques centimètres à peine de sa nuque. Qu’à cela ne tienne, loin de là l’idée d’abdiquer, tes pieds se posent sur le mur d’en face et tu effectues un salto aérien ainsi qu’une suite de figures destinées à aller rattraper ce sale rat de titan de quatre mètre qui profite de son nanisme pour se faufiler n’importe où.

« KOENIG LE DÉVIANT ! » Parce que t’as pas le temps de t’occuper de tout et de tout le monde. Parce que t’as pas le temps de regarder partout autour de toi et aussi parce que t’as pas des yeux derrière le crâne, ni la capacité d’un hibou à pouvoir tourner ta tête à 180° , tu lances ces mots. Simples. Directs. Car vois-tu, tu le sens, que le déviant se dirige vers le médecin, et toi, tu veux pas d’Iliana au combat. Alors tu fais confiance à Koenig, et t’espères bien qu’il a repris du poil de la bête pour en venir à bout. Alors tu tombes, lames en avant, et tu tailles en rondelles ce petit être difforme qui finit par s'affaisser au sol. Et tu sautes et atterris en beauté face au déviant que Laszlo vient de terminer.

Tu lui lances un sourire, ravi, tandis que tu sens Ainsley atterrir près de toi. « Je suis fier de vous soldat. » Tu tapes l’épaule de Koenig avant de te tourner vers ton autre soldat. « Ainsley… » Tu as eu peur pour elle, tu n’as pas eu le temps de te mettre en marche qu’elle était déjà en train de se faire martyriser. « Faites attention avec vos filins d’accord? Ce n’est pas la première fois. » Tu soupires et te passes une main sur le visage. « Ne me refaite plus jamais une telle frayeur, je ne veux pas... » Mais les hurlements de la rousse viennent de tirer de tes pensées ainsi que les cris de la blonde. « ZEITSEVA ! » Ton sang ne fait qu’un tour lorsque le soldat de la garnison défonce la porte et que tu la vois coincer sous un tas de gravats. Tu te crispes et te rues à l’intérieur afin de la dégager le plus rapidement possible. « J’ai perdu Erina… je ne vous perdrais pas vous. » Et sans doute que t’as dû manger pas mal d’épinards depuis quelque temps parce que tu soulèves la lourde poutre qui… Bah qui pèse pas grand chose en fait. « Que quelqu’un vienne la sortir de là ! » Tu cris. T’oses pas déplacer la poutre par peur que le reste de la bicoque ne vous tombe dessus.
Revenir en haut Aller en bas
Laszlo Koenig
Laszlo Koenig
Laszlo Koenig
+ MESSAGES : 237
Laszlo Koenig
Ven 1 Mai - 17:37
Tu l’as fait ! Putain tu l’as fait. Tu n’en reviens juste pas, avec ton coeur qui bat si fort que tu as l’impression que tu vas faire une crise cardiaque. Tes mains restent fermées sur les lames, comme si ton corps ne comprenait pas que le danger est passé, dans l’immédiat en tout cas. Et il te faut les félicitations de ton Caporal pour que tu te secoues. Tu sembles le découvrir et tu lui adresses un léger sourire, presque timide. Merde tu l’as fait !

Et si tu ranges tes épées, si tu t’apprêtes à simplement reprendre ton souffle et tenter de continuer sur cette lignée, quand tu entends qu’Iliana a disparu, ton sang ne fait qu’un tour. Tu paniques, ok, mais au moins tu emboites le pas de tout le monde. Et quand Aiji hurle que quelqu’un lui vienne en aide, tu ne laisses personne réagir, tu as déjà foncé dans les débris.

« Iliana ! Je… Je la tiens ! »

Tu réussis enfin à repousser les gravats et à attraper la jeune femme à pleins bras. Tu ne lui laisses pas le temps de comprendre, de te parler, tu l’attires à toi, contre toi et tu recules au plus vite pour ne pas que ton Caporal ne laisse retomber la poutre sur tes pieds. Quand tu finis par te tenir, debout, dans la rue tu n’arrives même pas à la lâcher tellement tu es sous le choc.

« Ili ? Ça va ? »

Et tu continues de la tenir, avec presque cette agressivité qui hurle au monde de ne pas s’approcher d’elle… merci l’adrénaline et la férocité des combats.
Revenir en haut Aller en bas
Theresa S. Adams
Theresa S. Adams
Theresa S. Adams
+ MESSAGES : 109
Theresa S. Adams
Ven 1 Mai - 18:19
Terrorisée et perdue. C’est clairement ce que ton visage exprime alors que tu hurles pour avoir de l’aide parce que cet idiot de type masqué dont tu ne sais toujours pas le prénom te semble mort sur le sol. Et t’aimes pas les morts. T’aimes pas ne pas les avoir tués toi-même. Pourtant tu le lui avais bien dit que tu te chargerais de son cas… MERDE !

Et si tu vois la blonde répondre quelque chose, Theresa, tu t’en fiches. Tes mains sur le torse de l’homme, t’hésites sur le fait de tenter un massage cardiaque que tu ne sais pas faire quand d’un seul coup il soupire. Et toi, t’es tellement bête que tu crois que c’est son dernier souffle et tu pourrais presque pleurer de rage.

Sauf que ce sale type n’est pas mort ! Et en plus il t’attrape, te tire et t’embrasse avant de râler. Et bon dieu, Theresa, ca te transperce de part en part alors que tu comprends qu’il t’a fait une frayeur pour rien. Un grondement monte dans ta poitrine et quand il ose te demander si tu t’inquiétais, tu rugis. Et si tu l’attrapes violemment c’est pour l’attirer sa tête contre la tienne.

« Putain, t’es qu’un enfoiré ! Et t’es tellement dépassée que tu l’embrasses, genre… pour de vrai. Ton premier vrai baisé dit donc ! Pis je ne sais même pas ton nom ! »

Et tu le relâches pour bondir sur tes pieds, et te remettre en route pour aller rejoindre le groupe, la tête aussi rouge que tes cheveux, mais finalement pas si malheureusement ou énerver que ça. Il s’en sort bien, celui-là...
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé
Contenu sponsorisé
Contenu sponsorisé
Revenir en haut Aller en bas
Page 3 sur 3Aller à la page : Précédent  1, 2, 3
Sauter vers: