Attack on Titan
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  Connexion  
!! FETE DU SOLSTICE A UTOPIA JUSTE ICI !!<
!! FETE DU SOLSTICE A UTOPIA JUSTE ICI !!<
Le Deal du moment :
Display Star Wars Unlimited Ombres de la Galaxie : ...
Voir le deal
Le Deal du moment : -28%
Précommande : Smartphone Google Pixel 8a 5G ...
Voir le deal
389 €

 :: FORUM PRIVE :: Territoire Humain :: Mur Rose :: QG du Bataillon d'Exploration Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
[Done] En croyant à des fleurs, souvent, on les fait naître. (Aedan)
Aller à la page : Précédent  1, 2
Kaelyne A. Wrench
Kaelyne A. Wrench
Kaelyne A. Wrench
+ MESSAGES : 48
Kaelyne A. Wrench
Mer 13 Mai - 20:27
Tu es planté devant ces placards et tu hésites clairement à aller fouiller par toi-même. Déjà parce que tu es curieuse, c’est un fait, mais aussi parce que ton lieutenant, Kaelyne, il en met sacrément du temps à te répondre. Pourtant quand il refuse d’aller à l’hôpital, sur un ton clairement sans réplique, toi tu relèves les yeux vers lui. Tu ne dis rien. En faite, si tu parais le regarder comme si tu cherchais une bonne réponse, tu finis par avoir un léger sourire et hocher la tête, pour accepter. Tu ne t’en fais pas, tu reviendras, s’il le faut. Tu lutteras pour qu’il t’ouvre.

En tout cas, tu piétines, maintenant parce que tu ne sais toujours pas s’il a des infusions. Et s’il finit par répondre un truc clairement désagréable, toi tu souffles juste. Doucement, même pas un gros ne soupire. Tu reviens à ton sac tu t’accroupis, tu mélanges deux trois petites pincées dans un petit sachet en papier, pile quand il te parle d’alcool. Et te voilà à te redresser, en le regardant avec un air clairement bien moins doux, tout à coup.

« Parfait, c’est exactement ce qu’il vous faut dans votre état, Lieutenant. »

Quelle impertinence… on dirait presque que tu as pris la répartie du Major, Kaelyne. Et avait qu’il ne comprenne que tu n’es pas, mais alors pas du tout, pour cette option. Tu fonces vers le placard qu’il t’a désigné et tu l’ouvres d’un geste sûr.

« Que vous buviez quand vous n’êtes pas malade, ça ne me dérange pas, Lieutenant Aedan, mais quand on est blessé, l’alcool c’est mettre un pied dans la tombe. »

Tu es sur la pointe des pieds, tu attrapes ce que tu refuses de lui laisser sous le nez, et tu n’as pas la douceur de certaine femme, de vouloir le cacher ou le vider dans l’éviter. Tu sais que ce sera trop long. Tu poses la bouteille remplie dans l’évier sans faire de remarquer sur toutes celles vides qui attendent sûrement d’être remplie à nouveau. Et tu prends le manche d’un couteau épais pour venir littéralement briser la bouteille. En moins d’une minute, la dernière goutte d’alcool disparaît dans les éclats de verre.

« Ceci étant fait, et avec mes excuses, vous allez vous contentez d’herbes dans l’eau chaude. Ta mâchoire s’est verrouillée face à ce choix que tu fais et que tu vas payer. Tu mets un peu d’herbes de ton mélange dans la théière et tu lui apportes la théière et une tasse, avant de le regarder en face, sans trembler. Je n’ai pas le temps d’être une garde-malade, à moins que vous ne me demandiez de l’être, mais je ne compte pas vous laisser mourir de faim. »

Tu es si intransigeante maintenant. Cette histoire d’alcool te laisse de travers, tu n’arrives pas vraiment à savoir pourquoi. Ça te fait peur ? À moins que ce ne soit autre chose ? Ce qui est certain, c’est que tu refuses de le laisser se tuer sous ta surveillance médicale.

« Voulez-vous que je vous prépare quelque chose ou que je vous fasse porter quelque chose à manger ? L’idéal serait de manger équilibré et de ne pas sauter de repas dans les prochains jours pour vous refaire des forces. »

Et tu passes tes bras dans ton dos pour attendre sa répondre et surtout accepter sa réaction. Tu viens de péter la bouteille de quelqu’un qui visiblement à un certain penchant et un penchant certain pour ça.
Revenir en haut Aller en bas
Aedan Stellaa
Aedan Stellaa
Aedan Stellaa
« wings of freedom »
+ MESSAGES : 60
Aedan Stellaa
Mer 13 Mai - 20:54
Tu la provoques, hein. Tu le sais parfaitement, qu’elle va mal le prendre, ton histoire de bouteille à la noix. Non mais franchement, elle vient de passer de longues minutes à s’occuper de te remettre sur pieds pour ne pas que tu claques dans un coin, tout seul, et toi, quand elle s’efforce de te donner un coup de main et te faire avaler quelque chose de sain pour que tu guérisses plus vite, tu lui réclames un vieux whisky sans goût ni saveur qui traîne là depuis des semaines parce que tu trouves toujours autre chose de meilleur à cuver. Aedan, vraiment, tu es probablement irrécupérable, c’est un fait. Et c’est justement parce que tu penses comme ça, que tu t’acharnes. Tu ne te rends même pas compte que tu peux être blessant, tout autant qu’énervant quand tu agis de cette manière. Tu ne songes même pas à la plaindre … ou alors bien trop tard. Parce que non, tu ne penses jamais à te soucier des autres, mon vieux. C’est aussi pour ça que tu te dis que personne ne devrait se soucier de toi, parce que normalement, l’attention, c’est donnant-donnant à tes yeux.

Et encore une fois, elle te surprend. A peine as-tu évoqué la fameuse bouteille qu’elle ouvre les placards pour s’en saisir et si évidemment, elle ne vient pas te la remettre, elle vient la poser dans l’évier avant de se saisir d’un couteau grâce auquel elle la brise. Tu te prends même à sursauter devant ce geste que tu n’attendais pas de sa part, et tu grognes, parce que maintenant, tu n’as même plus de solution de secours pour picoler. Si tu en ressens le besoin, tu vas devoir sortir, et même si on te pense dingue, tu sais toi, que dans ton état, tu n’iras certainement pas jouer les piliers de bar. Du coup, tu te crispes en y pensant … tu vas devoir rester sobre, et pour toi, qui aime à te laisser couler dans la facilité, c’est une perspective bien désagréable. Elle te prépare son infusion à la noix, elle te l’apporte, elle se permets même de revenir te piquer au vif.

Tu te remets alors à grogner, et avec une grimace dégouttée, tu repousses la tasse, la théière et tout ce qui va avec pour finalement te lever, et venir te poster juste devant elle pour la dominer. Tu plies sous la douleur, mais tu restes bien plus massif qu’elle, plus grand aussi. « Je n’ai plus besoin de vous. » Que tu lâches, subitement. Et si tu viens t’approcher encore, si tu effaces littéralement la distance qui doit subsister entre un soldat et son supérieur, c’est pour passe un bras dans son dos, la tirer à toi pour … la guider vers la sortie avant de choper son sac et de lui lancer dans les bras. « Je mangerais, si ça peut vous rassurer. » Tiens, c’est nouveau ça. Tu la mets dehors – d’ailleurs, remarquons que si tu es ferme, tu le fais sans violence – mais tu décides quand même de faire ce qu’elle te demande, et tu viens même jusqu’à la rassurer à ce sujet. « Dehors maintenant. » Tu ouvres la porte, et puis, tu la pousses en posant sans y penser tes deux mains sur ses hanches. Une fois dehors, tu soupires tout simplement, et puis tu refermes la porte, sans même la claquer. Ensuite, tu reviens t’installer sur ton lit, et tu sais quoi ? Tu te sers une tasse de son infusion infâme pour l’avaler d’une traite. Espérons que ça, Aedan, ça te donne au moins un peu bonne conscience.
Revenir en haut Aller en bas
Page 2 sur 2Aller à la page : Précédent  1, 2
Sauter vers: