Attack on Titan
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Bien à l'abri des Titans !
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FESTIVAL. - sujet clos -
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Humanity
Humanity
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« pnj »
+ MESSAGES : 931
Humanity
Ven 3 Juil - 12:38
https://attackontitans.forumactif.org
Festival d'été annuel




Il fait chaud. Le soleil brille haut dans le ciel et les rues de Karanes s'emplissent de monde. La musique résonne, les danses s’enchaînent et les bonnes odeurs se propagent. Il est l'heure de s'amuser, d'oublier un peu ces tristes histoires de Titans (un peu, pas beaucoup...). Chantez, dansez, embrassez qui vous voudrez. L'été est arrivé.

○ Ceci est un sujet groupé provisoire. Il est là pour vous permettre d'assurer la fête, avant la seconde partie de l’événement bien plus importante. Nous attendrons un tour, voir deux, avant de lancer la suite. Néanmoins, les sujets suivants ont déjà été publiés (verrouillés fufu.) afin que vous ayez en tête vos futurs groupes et positions. Pensez à en tenir compte, pour éviter les incohérences. En revanche, que ce soit clair pour tous, vous ignorez tous ce qui va se passer ensuite. Les détails de la seconde partie vous seront donnés lorsque celle-ci sera officiellement lancée, pensez donc à rester cohérent. Vos personnages ne se doutent de rien, ils se pensent en totale sécurité. Comme pour les missions, privilégiez les réponses COURTES.


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Seven Iceveins
Seven Iceveins
Seven Iceveins
« wings of freedom »
+ MESSAGES : 1255
Seven Iceveins
Ven 3 Juil - 14:27
Festival d'été.

Puisqu'il faut vivre autant le faire avec le sourire, se dire que le meilleur est à venir, que le pire permet de construire ce vraiment à quoi on aspire. Se dire pendant la chute, qu'il y a toujours espoir de bien atterrir. La vie ça ne se respire qu'une seule fois. Et le bonheur, ça se vit sans aucune loi. ▲ Soprano.


L’orphelinat. La bâtisse se dresse devant toi, grande maisonnée qui se distingue des autres par les cris qui s’en échappent. Tu souris et finis par entrer.  Tes yeux peinent à s’habituer à l’obscurité qui règne en ce lieu. Les volets sont fermés, en cause, la chaleur dehors est écrasante. L’été est arrivé, amenant avec lui de beaux jours heureux, du moins tu l’espères. Devant toi, des tas de gamins hurlent et courent en riant, ceux là sont les plus petits, ceux qui étaient déjà là avant la chute du mur et qui ne connaissent rien des Titans. Ils n’ont plus de famille, mais ne comprennent pas encore ce qu’ils se passent dans le monde extérieur. Il n’y a pas d’adulte à l’entrée, et tu te décides à avancer parmi le dédale de couloir. Tu connais le chemin, tu y es déjà venue plusieurs fois pour y rendre visite à quelqu’un que tu as décidé de ne pas abandonner. Certains visages d’enfants apparaissent derrière les portes, d’autres se cachent. Les plus petits te demandent des câlins et tu n’as pas le cœur de refuser. Après plusieurs minutes à parler avec eux, tu te remets à la recherche de celle que tu es venue chercher. Sans surprise, tu la trouves recluse dans sa chambre, seule. «  Elke… » Tu t’approches d’elle doucement tout en murmurant de douces paroles. « Elke, viens là, je suis venue te faire une surprise… » La gamine relève le regard. Tu vois dans ses yeux toujours cette même peine, elle te serre le cœur. Tu tends les bras et elle vient s’y réfugier en reniflant. Tu lui caresses les cheveux. Tu ne la connais pas beaucoup cette gosse que tu as sauvée lors de la chute du mur, mais cela te paraît inconcevable de la laisser seule entre ces quatre murs. Elle n’a plus personne à part toi, et tu sens que tu es la bouée de sauvetage à laquelle elle s’accroche désespérément. Tu lui prends la tête pour la forcer à te regarder. « J’ai un jour de repos aujourd’hui, je suis venue exprès ici pour t’emmener au festival de Karanes, ça te dis ? » Elle finit par hocher doucement la tête. « Bien. » Tu souris, te relèves et de décharge de ton équipement tridimensionnel. « Pourquoi tu l’enlèves ? » La gosse de 8 ans te regarde, horrifiée que tu laisses tes lames ici. Tu t’agenouilles devant elle. « Elke. Aujourd’hui toi et moi nous allons nous amuser. Et si j’ai mes armes avec moi je ne pourrais pas te faire danser et m’amuser avec toi. » Elle pince les lèvres, horrifiée. Tu lui déposes un bisou sur le front. « Ne t’inquiète pas, je veille sur toi. »

La fête bat déjà son plein.  Autour de toi, il y a énormément de monde. Tous les villageois sont rassemblés afin de fêter l’été. Les fleurs volent au vent, l’alcool coule à flot, les rires fusent, la joie se voit sur chaque visage. Tout le monde est heureux, oubliant pendant une courte journée la menace des Titans. La première chose qui te met en joie est le chant des instruments. La musique… Déjà, des villageois dansent, les femmes font tourner leurs robes, les hommes tentent de les charmer. Cela te fait rire. Tu es heureuse. Tu tiens la main de Elke et l’amène à un stand où on tresse des couronnes de fleurs. « Tu en veux une ? » Elle hoche la tête, souriante, toute peine a disparu, laissant place à un magnifique sourire. Tu payes la marchande et vous vous mettez toutes deux à créer une couronne.

Le festival continue, à présent, vous avez toutes deux une belle couronne de fleurs sur la tête. Tu te sens un peu stupide avec ses anémones, cyclamens, lins vivaces et autres fleurs dont tu n’as pas retenu le nom sur tes cheveux. Elke s’en ai donné à cœur joie, heureusement, ta tiare n’est pas multicolore comme celle que tu lui as faites, le blanc et le bleu te suffise. Tu joues avec elle, beaucoup de marchands proposent des activités. Elle essaye désespèrent de souffler dans une flute, te faisant te boucher les oreilles devant le son strident qu’elle produit. Tu lui achètes une bonne tarte à la fraise qu’elle engloutit en une minute. Vous tapez toutes deux sur un gros tamtam, faisant un bruit monstrueux. Mais tu t’en moques. Le fait de t’amuser avec cette gamine te remplie de vie. Puis elle veut danser. Tu l’as prends dans tes bras et la fait tourner. Tu n’as pas autant de grâce que les autres villageoises, tu es toujours affublée de la tenue des Bataillons, il n’y a pas de longue robe qui virevolte autour des tes jambes, pas de corsage mettant ta poitrine en valeur. Pas de dentelles ni de fanfreluches. C’est juste toi, ton sourire et tes cheveux qui devront se charger de montrer ta féminité.

La musique s’arrête et tu es à bout de souffle. « Tu veux un bon verre de jus de fruit ? » Un sourire aux lèvres, elle te dit que oui. Tu vas chercher un verre, la laissant avec un petit garçon qui lui demande de danser avec. Tu la pousses dans ses bras, riant. Et soudain, tu le vois. Ton caporal. Intriguée de le voir parmi cette joyeuse foule, tu décides de t’en approcher. Il n’a pas l’air très heureux, cela te fait un peu de peine. « Bonjour Caporal. » Dis-tu avec un grand sourire. Tu ne sais pas à quoi tu dois ressembler en cet instant, avec sans doute une couronne à moitié défaite et le visage rosit par le rire, la bonne humeur, la dance et la chaleur. « Que faites-vous ici ? Vous n’avez pas l’air réjoui. » Tu l’inspectes et remarques qu’il a toujours son équipement sur lui. « Vous auriez pu laisser votre équipement dans un coin, ce n’est pas facile de s’amuser avec ça. » Il fait chaud, si chaud. Tu bois ton verre de jus de fruit et tourne ton regard vers Elke, qui semble bien s’amuser avec le petit garçon. Un sourire tendre s’étire sur ton visage. « Vous avez soif ? La petite avec qui j’étais s’est trouvée un compagnon de jeu et m’a momentanément oubliée. Du coup je me trouve avec un verre en trop. Ah ces hommes je vous jure, ils commencent la drague dès le berceau pour certain j’en suis sûr. » Tu ris et lui tends le second verre. Tu ne sais pas trop pourquoi tu lui parles autant. Peut-être est-ce la chaleur, ou la bonne humeur que tu as en toi qui te permet de sortir ces âneries. Toujours est-il que tu aimerais voir s’afficher sur le visage de Kelsier, un sourire. Juste pour voir s’il y a autre chose sous cet air froid et glacial. La musique reprend, et tu sens tes pieds qui démangent. «  Vous dansez ? » Tu ne sais pas ce qu’il te prend de lui poser cette question, tu te sens d’humeur joueuse et folle, tu as envie de t’amuser, comme lorsque Casey était encore là. Envie d’oublier tous tes soucis, envie aussi d’enterrer cet agacement que tu éprouves à chaque fois que ton Caporal te parle, cette toute petite hache de guerre qui a à peine fait surface.
©clever love.
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Ven 3 Juil - 16:11
Festival
Everyone
Tu aimes tant, t'éveiller si paisiblement. Profiter de ton lit, t'y prélasser de longues minutes, étendre ton corps et faire rouler tes muscles fins sous ta peau pour détendre ton corps après une nuit reposante. Tu aimes prendre ton temps, tu n'es pas spécialement du matin et lorsque tu es chez toi, tu aimes pouvoir profiter d'un peu de calme, de tranquillité. En général, c'est plutôt le cas. Tu as une maman qui comprends, une maman habituée à loger sous son toi un membre du bataillon et qui sait que ton repos est important. Elle ne te trouble que peu … mais ce matin, de bonne heure c'est presque le branle bas de combat. Ton prénom résonne depuis dix minutes déjà et tu sais pourquoi. C'est le festival et ça ta maman ne veut pas le rater. Tu t'extirpes de ton lit, tu laisses tes draps reposer en vrac sur le matelas et tu t'habilles rapidement, normalement. Un haut léger, un pantalon. Tu descends et tu vois ta maman, qui court dans tous les sens déjà. Elle se fige en te voyant, les cheveux en bataille, le visage encore ensommeillé. « Enfin Karhlya...où penses-tu aller, comme ça ? » Tu fronces les sourcils. Tu n'étais pas tellement chaude pour ce festival, mais tu fais ça pour lui faire plaisir. Tu te fiches de ressembler à quelque chose. « J'ai oublier mon équipement.. » dis-tu, et elle soupire. Mieux, elle affiche cette moue que tu connais bien. La moue de la maman pas d'accord. Elle s'approche de toi, soulève une mèche de tes cheveux avant de la laisser mollement retomber sur ton épaule. « Ma fille. Tu me désespères parfois... » soupire t-elle en affichant tout de même un petit sourire. « Tu vas remonter, prendre un bain, et enfiler une robe ! Et puis coiffe moi tout ça. Sois une femme, pas un soldat. » Comme si t'avais envie de tout ça. Mais franchement tu te sens pas discutailler...alors tu obéis. Et lorsque tu redescends, tu la porte...la fameuse robe qui squatte ton armoire depuis deux semaines déjà. Tu ne t'y sens tellement pas à l'aise et pourtant, que ne ferais-tu pas pour voir un sourire éclairer le visage de ta mère ? « Salut Karhlya ! » Tu poses ton regard sur ce petit garçon que tu connais bien, tu sais sa pauvre mère malade et bien sur, la tienne à proposer bien gentiment d'emmener le petit au festival. Alors il se tient là, ce petit bout et il te fixe avec ses yeux brillants habituels. Heureux. Tu lui souris avant de t'approcher et venir mélanger sa crinière blonde de tes doigts. « Aller, champion. En route. »

Le chemin jusqu'à Karanes est long. Tu es bien habituée à le faire, et tu traînes. Tu laisses Mousse avancer dans un trot rapide. Il fait chaud, il te porte sur son dos...toi et ce petit bonhomme qui sers ta taille et s’émerveille de quitter les rues de son district pour la première fois. Les rues de Karanes sont bondées, et tu ne peux retenir un sourire ravi lorsque tu sens les bonnes odeurs de nourritures, lorsque tu entends les rires, lorsque les chants et la musique viennent prendre possession de toi. Finalement, tu ne sais même pas par où commencer. Tu connais ce district toi, et pourtant tu ne l'auras jamais trouver si beau qu'en ce jour. Tu respires un grand coup. Tu t'imprègnes de l’atmosphère avant de t'avancer et de t'enfoncer dans les rues. Tu te sens bien, au milieu de ta maman qui à l'air si ravie et de cet enfant, qui sers ta main et qui découvre la fête et chacune de ses animations. Tu balades ton regard partout, tu croises celui de Kaidan. Tu le salut d'un signe de tête et pas si loin de lui...tu remarques Ezéchiel, puis Bailey. C'est ton équipe, tes amis, plus parfois. Pourtant, tu n'oses pas un pas dans leur direction, tu passes si prêt d'eux et finalement, tu remercie Owen qui te tire le bras. « Viens Karhlya on va danser. » Tu souris à nouveau, tu ris même et finalement, tu laisses le petit garçon t’entraîner. Tu danses, au milieu de la foule. Tu laisses les volants de ta robe danser autour de ton corps et le vent si léger rafraîchir un peu ta peau. Et puis, ta main vient saisir celle de ta mère. « Aller maman. Danse avec moi. »

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Ven 3 Juil - 20:35
Festival d'été.
Everyone
Ce que tu as horreur de ça, les mouvements de foule. C'est pas ton truc à toi, et puis tu n'aimes pas non plus la chaleur, celle qui te force à laisser de côté la cape. Pourtant, tu ne quittes jamais ton équipement, surtout depuis la chute de Maria. Tu t'en souviendras, de cette journée sanglante, rien ne pourra te faire oublier ça … et tu fais aujourd'hui parti de ces soldats, qui sont entrés dans une espèce d'étrange paranoïa. Tu es de ceux qui désormais, ne peuvent décemment plus se sentir réellement à l'abri entre ces murs. Tu les regardes chaque jour, si hauts, si imposants, et ils te paraissent pourtant désormais si fragile, si inutile. Comme si leur masse n'était que de la poudre aux yeux. Tu n'as plus la confiance que tu avais pu avoir. Tu te dis désormais que pour survivre et faire survivre, tu ne peux plus compter que sur toi-même, toi et cet équipement que tu portes fièrement, ces lames bien tranchantes. Tu ne regrettes rien de ce que tu es devenu, ce petit garçon des rues, si fier et sauvage, tu le conserves en toi et tu l'associes à ce masque de froideur, à ce caractère à chier que tu possèdes et qui fait ta réputation. Tu ne fais pas parti des Bataillons pour t'y faire des amis, tu ne traînes pas au QG parce que c'est un camp de vacances. Tu prends les choses au sérieux. Trop au sérieux, sûrement. D'ailleurs, si ça ne tenais qu'a toi tu ne serais pas là...si tu avais un chez toi digne de ce nom et une famille aimante, tu ne serais pas là. Au milieu de Karanes à arpenter ce festival et a supporter de te faire bousculer à chaque minute. Tu serais sûrement chez toi, tout simplement. Mais la vérité, c'est que chez toi, dans la maison où tu as grandis … tu ne supportes plus d'y vivre. Les regard de ceux qui sont tes parents sont pesants, et lourds de sens. Ton père a honte de ce que tu es devenu, peu importe ton grade...sa haine du Bataillon est toujours là, belle et bien là. Quand à ta mère, il n'y a rien à en dire. Elle te regarde, comme si tu l'avais trahie. Alors à quoi bon, s'infliger tout ça ? A quoi bon prendre le temps de rentrer, si c'est pour t'y sentir si mal à l'aise et si peu à ta place ? Tu préfères finalement errer, lorsque tu as du temps libre … et aujourd'hui, où ailleurs qu'ici auraient pu te porter tes pas ? Ce n'est pas ton genre, mais au moins...tu t'y sentirais presque bien, sous cette chaleur étouffante au milieu de tous ces gens, que tu ne connais pas.

 « Bonjour Caporal. » Tu relèves le nez. Surpris...un peu. Si peu. Tu te doutes, que certains de tes hommes traînent par ici. Ce qui t'étonnes en revanche, c'est cette voix féminine que tu reconnais bien, pour l'avoir tant entendu en si peu de temps, finalement. « Eïvinnd. » laisses-tu échapper, en guise de salut. Mais tu n'ajoutes rien de plus, parce qu'en dehors des ordres que je jettes, tu n'es en général pas très causant. Et comme à son habitude, c'est elle qui parle...encore et encore. Ça ne gène même plus, parce que finalement même après si peu de temps, tu as fini par t'y habituer. A ses babillages typiquement féminins.  « Que faites-vous ici ? Vous n’avez pas l’air réjoui. » Et parfois, avec ses questions...elle te rappelle Mia. Ses constations, qu'elle n'hésite pas à t'envoyer à la face. Sans crainte. Elle est sûrement l'une des rares à le faire et finalement, c'est appréciable. « La même chose que vous, je suppose. Je prends l'air. » Tu te sentirais presque comme un enfant qui se justifie, et déjà elle enchaîne les paroles. « Vous auriez pu laisser votre équipement dans un coin, ce n’est pas facile de s’amuser avec ça. » Comme si tu comptais t'amuser d'une quelconque manière, de toute façon. Tu te vois si mal prendre part aux rires et à la fête...ce n'est pas naturel, chez toi.  « Vous avez soif ? La petite avec qui j’étais s’est trouvée un compagnon de jeu et m’a momentanément oubliée. Du coup je me trouve avec un verre en trop. Ah ces hommes je vous jure, ils commencent la drague dès le berceau pour certain j’en suis sûr. » Tu plisses les yeux, alors qu'elle avance le verre de jus de fruit de toi, elle te l'offre le plus naturellement du monde alors qu'elle continue sa conversation. Elle rit, même. Et franchement, tu ne sais pas bien comment réagir face à tout ça. On peut dire ce que tu veux de toi, tu es froid, tu as un sale caractère et parfois … ouais t'es un sale con. Un putain d'abruti. Mais tu n'es pas méchant. Tu ne l'as jamais été. Jamais gratuitement, malgré ce qu'on pourrait penser. Alors finalement, ce verre qu'elle te tend...tu le prends. Tu le gardes dans ta main tout en le fixant. Comme si tu avais autre chose à faire, de toute façon. «  Vous dansez ? » Cette fois tu lèves les yeux vers elle, tu la regarde droit dans les yeux pour la toute première fois, et tu remarques cette couronne de fleurs qui traîne dans ses cheveux, qui déjà se démonte, glisse et perds quelques pétales. Tu ne peux pas t'empêcher de lever la main pour la remettre droite...réflexe étrange. Sans doute ton côté, un peu perfectionniste qui se manifeste. Si tu danses ? Toi danser. Tu aurais pu en rire et d'ailleurs tu souris. La situation t'amuses. C'est bien la première fois qu'on te la fait, celle-là. Tu vas de surprises en surprises avec Eïvinnd. Celle que tu prenais pour une empotée de premier ordre, une girouette, s'avère être une femme qui à du cran, du courage et de l'audace. Tant de qualités que tu apprécies, même si tu ne les flattent jamais chez tes soldats. « Désolé, la danse...ce n'est pas fait pour moi, Eïvinnd. Je suis certains que vous trouverez un cavalier plus … réjoui d'ici la fin de la journée. »

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Ven 3 Juil - 22:18
Evènement

Un, deux, trois… Outch, Trop de lumière d’un seul coup. Il m’est difficile d’ouvrir les yeux. J’essaie tant bien que mal de me rappeler ce que je fais ici.  J’essaie de rassembler mes souvenirs. Je me souviens être sortie avec quelques amis hier. L’alcool coulait peut être un peu trop à flot. Je me souviens des vertiges et de mon environnement tanguant dangereusement. Puis le noir complet avec simplement le souvenir de m’être jetée au cou de quelqu’un et de deux bras puissants me portant hors du bâtiment.

Ca y est, je me sens enfin en état d’ouvrir les yeux. J’inspecte les alentours. Me voilà dans un lit inconnu sans âme qui vive dans l’habitation. Etrange. Une pensée me traverse subitement alors que je soulève vivement les draps qui me recouvrent. Tout va bien, je porte encore mon uniforme. Il est certes tout fripé et plein de pli mais au moins, je ne suis pas nue. Cela aurait été une catastrophe. Je n’avais pas prévu que les choses se déroulent ainsi et fort heureusement pour moi, je n’avais pas à m’en faire pour ça. Je profitais que la pièce arrête de tanguer pour me lever. Mes chaussures étaient au pied du lit et je me dépêchais de les enfiler, de même que mon équipement gentiment posé sur une chaise au bord du lit. Mon sauveur de la nuit était un vrai gentleman. Raison de plus pour profiter de son hospitalité.

Manger me ferait le plus de bien et me permettrait peut-être de faire disparaitre mon mal de crâne persistant. Il était donc temps de me livrer à mon activité préférée… fouiner dans les affaires des autres. Ils avaient toujours tellement plus d’affaires que moi ! Je commençais donc par les placards du haut. Toute la vaisselle était classée de façon très méthodique. Rien à voir avec le foutoir de mes propres placards. Je me décidais donc d’ouvrir tout en grand jusqu’à trouver le Graal. Il me fallut quelques ouvertures de placard infructueuses avant de trouver ce que je cherchais. De la nourriture. Vitamines et protéines. Exactement ce qu’il fallait à ma gueule de bois. Alors que je m’empiffrais copieusement, j’entendis raisonner dans mon crâne des bruits d’animations et de hurlements joyeux de jeunes enfants. Qu’est-ce qu’il se passait donc en ville ? Les gens ne pouvaient donc pas respecter un peu les gueules de bois des voisins ? Enfin bref, il me manquait un élément de ma routine lendemain de cuite, m’asperger le visage avec de l’eau bien fraiche. Où était donc la salle de bain ici ? ah, voilà ! Je m’aspergeais copieusement le visage avant de m’essuyer. Cela faisait du bien. Bien entendu, le bruit trop fort était toujours agaçant, mais mes yeux étaient à présent grand ouverts et j’étais à peu près présentable. Il était maintenant temps de quitter les lieux.

Un rapide regard circulaire pour m’assurer que je n’avais rien oublié où que le mammifère local n’était pas dans les parages et me voilà partie. Je fermais la porte derrière moi. Espérons qu’il n’y ai pas de voleurs dans le coin. Il me reste maintenant à inspecter les alentours. Je connais cet endroit pour y être déjà bien souvent passée. Je suis à Karanes, prêt du mur. Mon regard se pose sur une affiche tandis que mon cerveau fait automatiquement le lien entre l’affiche du festival, la date du jour et l’agitation ambiante. Et merde, c’est le jour du festival. Comment ai-je pu oublier ça ?
Code by Silver Lungs
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Ven 3 Juil - 23:01


le festival annuel
Rappel toi pourquoi tu es là : Ézéchiel t'a juste forcé à sortir et a profiter un peu. A la base tu ne voulais pas y aller, tu ne voulais pas sortir, tu voulais simplement rester chez toi et préparer la paperasse et les prochaines missions. Tu as des rapports en retard et tu dois encore faire le ménage chez toi. En plus, tu n'as personne avec qui aller à cette fête de base puisque Raven est de service aujourd'hui. Ton meilleur ami y va avec sa famille et tu ne voulais pas les déranger. Mais, malgré le fait que tu le connaisse par coeur il est venue te rapeller que tu faisais partie de la famille, et que même sa famille te considère comme un autre frère. « Bordel, Aiji, dépêche toi ! On a pas toute la journée !» Tu lâches un petit soupire alors que tu te pointes enfin devant eux. tu dis bonjour, bisous aux enfants, serrage de main pour les autres et tu regardes ton frère de coeur qui te regarde avec un air suspicieux. Tu ne comprends pas et finalement tu lâche un : « bah quoi ?» Bah oui quoi, tu ne comprends pas ce qui le choque. « T'es sérieux, tu vas venir comme ça ?» Tu hausses un sourcil et tu hausses les épaules alors que les enfants ricanes de votre conversation. Pourquoi tu n'irais pas comme ça ? Tu es habillé de l'uniforme, avec ton équipement tri-dimensionnel, tes lames bien aiguisées. Bref comme si tu étais partie pour une mission sauf que tu n'aurais pas Océan avec toi et que les titans ne seront pas là. « On va s'amuser, pas en missions !» Tu soupires, tu l'ignores et tu attrapes le petit bout qui te regarde avec de grands yeux. Tu l'embrasse sur le front et tu le mets sur tes épaules. « En route,mauvaise troupe !»

Vous voilà enfin en route. Tu as quitté ta petite maison, tu as un gamin de huit ans sur les épaules et il semble ravi d'y être. Mais il se fait lourd, très lourd. Tu es capable de porter beaucoup mais un gamin de huit ans qui bouge dans tout les sens.. nop ! Alors il finit rapidement par revenir sur le sol. Il te lance un regard déçu mais tu lui ébouriffe les cheveux avec un sourire et un clin d’œil et il est de nouveau tout sourire, concentré sur la fête dans les rues du district. Tu en profites pour regarder autour, tout en avançant. Ézéchiel papote mais tu n'écoutes pas vraiment. Non, tu as capté quelque chose de bien plus intéressant : une Karhlya Ainsley en robe qui danse. Le premier mot qui te vient à l'esprit c'est "sublime" et tu es franchement entrain d'admirer avec des étoiles dans les yeux la jeune femme. Tu attires l'attention de ton frère de coeur sur la vue que tu as. A aucun moment tu pense qu'il y a un truc entre eux, a aucun moment tu pense que ca risque d'être le bordel. « Ainsley... est encore plus mignonne comme ca.» Tu te reprends rapidement, tu as peur d'avoir été entendu mais bon, tu reprends un air de "chef hyper sérieux" pour faire comme si tout etait normal, caporal d'exploration équipé jusqu'au dent en mode je bave pas du tout sur la demoiselle... pas du tout... Mais si quand meme, elle est si belle.

– CODED BY CERSEI –
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Sam 4 Juil - 12:29
As a child you would wait And watch from far away. But you always knew that you'd be the one That work while they all play. In youth you'd lay Awake at night and scheme Of all the things that you would change, But it was just a dream! Here we are, don't turn away now, We are the warriors that built this town. Here we are, don't turn away now, We are the warriors that built this town. From dust
Flower Festival ~ Famille & Co

  Un doux matin. Le repos du guerrier. J'ouvre les yeux en même temps que le soleil se lève. Je sais que mon amour n'est déjà plus dans la maison. Non, il est déjà partis pour prendre son service. Pourtant, dans notre lit, son odeur persiste. Ça a quelque chose de réconfortant. De sécurisant. Je sens que cette journée sera parfaite. Un jour de repos avec ma famille au grand complet. Que demander de plus ? Je traîne dans le lit. Je sais pourtant que je n'ai pas le temps. Le voyage est long de Trost à Karanese. Mais je m'accorde quelques étirements avant une bonne toilette. Le soleil qui transparaît au travers de la vitre, juste naissant me donne plus de motivation. Pour une fois la levée du jour ne veux pas dire que je risque de voir des gens mourir. Non aujourd'hui, je vais simplement profiter du présent. Je suis heureux, optimiste, souriant et pour une fois, pas de faux semblant. Alors je me lève, me lave, mange, m'habille, louche sur mon équipement mais le laisse à la maison avec un grand sourire. Avant de claquer la porte.
   Le chemin est long, mais l'idée de rejoindre mon homme me remplis e courage et de volonté. Après quelques heures de voyage, j'arrive enfin devant la porte de la maison familiale. La Maison des Mahon est gigantesque. Il faut dire que sur huit enfants, il n'y a que Elijah qui a quitter la maison. Du coup, un bruit assourdissant se fait entendre de l'intérieur. Des cris de voix bien familière. Étrangement on entends plus les grands hurler sur les autres grands que les noms des petits. En parlant des petits, les jumeaux ont du me voir par la fenêtre. La porte s'ouvre avec fracas et les deux marmots me saute dessus alors qu'ils sont déjà dans leurs vêtements de fête. « Salut les monstres ! » J'ai le droit à un câlin magistrale. Très vite la mère Callum leur court après en râlant qu'ils vont se salir s'ils vont jouer dehors. Quand elle me voit son visage s'illumine et elle m'accorde également une accolade. « On attendait plus que toi. Ezéchiel et Aiji sont déjà là. » Elle se retourne et commence déjà à courir après le petit dernier pour qu'il finisse par s'habiller. Aiji est donc des notre ? Mon beau frère numéro un n'est pas capable de le lâcher d'une semelle ! J'entre dans la maison avec les deux marmots, la petite sur l'épaule et le petit accrocher à ma jambe. Oui, il sera crado en moins de deux secondes.
   Une fois à la maison, je salue tout le monde. Il manque seulement Elijah et Aedan qui sont eux de service. Nous nous retrouvons donc à neuf pour cette sortie en famille. Ça pourrait paraître étrange que je sois avec eux, mais après douze années de colocation avec Elijah personne ne se poserais la question. Surtout que Aiji est également des nôtres. D'ailleurs il fait un peu tache dans le groupe avec son équipement au grand complet. Ez et moi, on ne l'a pas louper niveau vanne. Oui, je suis de bonne humeur. Et quand je suis de bonne humeur je suis absolument pas comme en mission. Je suis pas aussi sérieux et ça me repose vraiment. En route pour le festival, il fait très chaud. Mais je suis très heureux d'être là. Nous marchons le long des rues et nous sentons rapidement des odeurs agréables et inhabituelles. Les gens dans la rues sont bien habiller et d'ailleurs, nous tombons sur un spectacle particulièrement extra-ordinaire. Alors que Aiji fait des messe-basses avec Ez, j'ai la connerie et je siffle un bon coup en sa direction pour attirer son attention. Ma voix porte loin quand je le veux « Ainsley ! Tu es magnifique en robe ! Tu devrais en porter plus souvent. » Un petit rire s'échappe et un large sourire se forme sur mon visage. Quand je regarde autour de moi j'ai huit regard désolé qui me fixe.
   Quand on arrive vers le centre du festival, les enfants devient fou. Nous avons fait la promesse au parents qu'aujourd'hui ils n'auront pas à s'en occuper. Alors que Mathgen ne lâche pas Aiji, et que Mael est en train de faire un caca nerveux à Wyatt et Tigern pour avoir une épée en bois, la petite Faith me demande si je veux danser. C'est avec un grand plaisir que je lui accorde. Les rondes et les valses, ma tête tourne au rythme des rires et sourire de la petite. Mon bonheur est complet. Ou presque. Mon regard se dirige vers le mur, là où Elijah est en poste. J'aimerais qu'il soit là avec nous. Nous passerons le voir un peu plus tard. Aedan lui ne doit pas être loin. Son escouade est responsable de la sécurité de l’événement. Justement, je croise Raven du regard. Elle semble quand même profiter de la journée. Heureusement pour elle !


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Sam 4 Juil - 23:28
everybody ∞ Jayce
festival - event
Le fauteuil était décidemment pas l'endroit le plus confortable pour passer la nuit. En même temps ce n'était vraiment comme si Jayce avait eu le choix avec le bout de femme qui dormait à poing fermé enroulée dans ses draps. STOP ! Il ne s'était rien passé entre eux, elle n'était même pas sa petite amie. Comment cela était arrivé ?  À vrai dire c'était plutôt elle qui lui était tombé dessus sans prévenir, la veille alors que la soiré était bien entamé. Jayce avait comme à son habitude, fait un petit tour en solitaire profitant de l'air frais de la nuit. Arpentant les rues calmes de la cité alors qu'il était sur le chemin du retour qu'Elena lui avait débouler d'un bar pour lui sauter au cou. À croire que où qu'il aille elle arriverait toujours et encore à le coller. Elle n'était pas méchante mais mon dieu qu'est ce qu'elle pouvait être bavarde. Au moins cela compenser avec lui qui n'avait pas l'habitude de lancer de longues conversations. Mais autant dire que là, le blondinet plutôt pris par surprise, ne comprenait pas un mot des divagations de la jeune brune du moins avant qu'elle ne s'évanouisse dans ses bras.  Génial ! Qu'est ce qu'il faisait lui maintenant ? Si cela c'était passé à l'époque où il se trouvait en dehors des murs, il l'aurait écouté son instinct de survie et l'aurait laisser là. Après tout là bas il n'avait pas appris le bien ou le mal, seulement le fait qu'il fallait survivre ou mourir. Oh et puis m***** ! c'était comme cela que le membre du bataillon d'exploration l'avait porté jusqu'à chez lui et l'avait déposer dans son lit sans même prendre le temps de lui hoter ses vêtements. Il ne manquait plus qu'elle le traite de pervers en se réveillant alors que pour une fois il faisait une bonne action.

Il avait passer une mauvaise nuit dans ce fauteuil c'était un fait et le peu de sommeil qu'il avait réussit à trouver avait finalement été troubler par les bruits d'agitation provenant de l'extérieur. Qu'est ce qu'il y avait encore ? Jayce s'était étiré comme un gros ours sortant de son hibernation et était relever de son fauteuil. Il jeta un rapide coup d'oeil à sa chambre, Elena dormait toujours comme un loir dans son lit. Attrapant le premier T Shirt sur lequel il tomba sans faire de bruit, il l'enfila rapidement avant d'ouvrir la porte. C'était quoi tout ce raffut ? Il eut vite fait de comprendre en voyant le monde agglutinait dans la rue. Ah oui c'est vrai … le festival.

Mais bientôt une délicieux odeurs qu'il aurait reconnu entre mille parvenu jusqu'à ses narines… brochettes de viande aux caramels ! C'était la première chose que son père adoptif lui avait fait goûter et depuis ce jour il se damnerait pour une de ses brochettes. Bon juste un petit tour puis retour à la maison. De toute façon la belle au bois dormant qui squattait sa maison ne serait surement pas levait quand il sera rentrer.  En faites si, elle aurait même le temps de dévalises ses placards et d'engloutir toutes ses gaufrettes mais ça Jay ne pouvait pas s'en douter. Il n'avait pas tarder  à trouver le stand des brochettes. S'emparant de sa viande caramel et à en croquer quelques bouchées, se n'était qu'en se retournant, le regard perdu dans cette foule dansante qu'il aperçu un visage qu'il avait revue récemment, Astrid. Il s'étonna à être qu'un coup content de la voir, et chose encore plus étrange il avait d'ailleurs commencé à s'avancer pour aller la saluer, lui qui d'habitude serait resté dans son coin, lorsqu'il la vit aborder un autre homme. C'était qui celui là ? Puis pourquoi elle le regardait avec des yeux de biche ? Jayce avait poussé un soupir  lorsqu'il heurta quelqu'un et se retrouva avec sa brochette écrasé sur son T shirt.

« Rahhh merde y en à marre ! V'pouvez pas regarder où vous aller ! »

Le gars qui venait de le bousculer se retourna pour le fusiller du regard et vu sa tête il devait avoir vider les réserves de 3 tavernes depuis ce matin.

« Qu'est ce que t'as toi ? Dégage de là ! T'entends ou t'es bouché ? »
«  non mais dommage que ce soit pas mon nez qui soit bouché pauvre con ! »

Comme d'habitude il ne pouvait pas tenir sa langue et il n'était pas prêt à s'écraser face à ce genre de pauvre type. S'il croyait ça c'est  qu' il l'avait mal regardé et là autant dire que Jayce en avait plein le dos. C'était officiel, Jay détestait les festivals.
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Ezéchiel Hartmann
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« wings of freedom »
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Ezéchiel Hartmann
Dim 5 Juil - 19:46
festival  × ft. # everyone



C'est l'armée chez toi. Pas dans ta petite maison ridicule, non, tu parles de la maison familiale, là où tu as grandis. Rare sont les fois où tu daignes te montrer, pourtant, tu es très famille. Tu es un grand frère, peut-être pas modèle, mais un grand frère quand même. Arrivé tôt le matin pour la fête, endroit où tu as juré de te rendre avec toute la petite troupe. Il y a Kaidan aussi, forcement. C'est qu'il fait partit de la famille lui aussi. Vous êtes soudés, motivés, rien n'est là pour vous arrêtez en cette merveilleuse journée de fête. Rien ni personne, sauf peut-être la lenteur de ton frère de cœur, Aiji. Tu soupires, alors que vous êtes agglutinés près de sa porte, sur son paillasson.  ▬  Bordel, Aiji, dépêche toi ! On a pas toute la journée ! Balances-tu un peu grognon, alors que l'un de tes petits frères te tire le pantalon. Il a envie d'y aller, de faire la fête, de manger des cochonneries toutes sucrées, tu le sais, Maman n’arrête pas de dire qu'il agit comme toi, quand t'étais qu'un marmot. Tu lui souris, ravalant ton mauvais comportement. ▬ On doit pas dire de gros mot. Tu retiens un rire, attendrie et tu t'excuses platement. Ça le fait rigoler, et finalement, voilà qu'enfin se pointe Aiji... L'est sérieux là ? Tu lui fais la remarque, presque irrité. Il est en uniforme ce bouffon ! C'est la fiesta et l’autre s’équipe. Sur des remontrances encore supercheries, il te pique le petit Mathgen pour le mettre sur ses épaules avant de tracer. Tu n'as plus aucun gamin a charge, chacun a prit possession de l'un de tes faux frères.

Arrivé sur la grande place, tu te fais plus méfiant, plus prudent envers ta petite famille. Tu surveilles  les tous petits qui déjà veulent manger tels ou tels gourmandises, alors que la musique fait écho en fond a leur chamailleries habituelles. Tu leurs demande de faire attention, de se surveiller les uns les autres. Mais l'esprit famille chez eux est sur développé, tu ne te fais donc pas trop de soucis, ils sauront garder un œil les uns sur les autres. Alors qu'ils gambadent un peu sur ta droite, sans pour autant s'éloigner, tu es « bousculer » par le coude d'Aiji. Il te montre discrètement une demoiselle et tu es surpris de voir qu'il s'agit en réalité de Karhlya... en robe. Tu as le souffle coupé, littéralement. Ton cœur manque un battement. Tu clignes des yeux, jusqu'à ce que ton caporal laisse échapper ces quelques mots : « Ainsley... est encore plus mignonne comme ca.» Ouch. Tu es blessé. Sans le savoir, ton meilleur ami venait de planter un pieu rouillé dans ton cœur, si profond qu'il te fait doucement grimacer. Aïe que ça pique, que ça fait un peu mal. Mais tu es fidèle a toi même et tu reprends cette foi qui est tienne, malgré le mal et le bien causés. ▬ Elle a toujours été mignonne, séduisante... et – Tu aurais put te perdre mais Kaidan rugis derrière toi. Tout le monde le regarde et toi, tu rigoles, tu libères un tant soit peu cette frustration qui s'était crée dans ta gorge face a Aiji. Puis tu renchéris. ▬ Tu es sublime ! M'accorderas-tu ta prochaine danse ? Ça ne choque personne, tu es comme ça, tout le monde te connaît. T'es un dragueur, un charmeur, un véritable don juan, même si là c'est un peu différent. Mais chut, c'est un secret. Mais bien vite revient Mathgen et il tire sur ta manche. Un peu gêné, adorablement timide mais quand même courageux, il te lance : ▬ Moi aussi je veux danser avec la jolie dame. L'est comme toi ce gosse ma parole !





 
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Dim 5 Juil - 20:07





Festival
Une rencontre imprévue

Aujourd'hui c'est le festival et Perle savait qu'elle aurait beaucoup de travail. Qui dit rassemblement de foule, dit forcément dérapage à un moment ou un autre. Elle se demanda même si ses amis seraient de la fête. Cela faisait un moment qu'elle n'avait pas vu Lloyd et Vivi. Depuis qu'ils avaient intégré la brigade d’entraînement elles les avaient aperçus quelquefois mais c'est tout. La jeune blonde sortie de son lit en baillant. Ses amis lui manquer terriblement, surtout Lloyd. Il avait su lui redonner confiance en elle et grâce à Owen elle avait même appris à se battre. Perle regarda par la fenêtre et se demanda ce qu'ils pouvaient bien faire en ce moment même.

La jeune femme finit par se lever et se préparer pour affronter la foule. Une fois prête-elle prit sa mallette et affronta le monde extérieur. Aveuglée par le soleil elle mit son bras devant les yeux le temps que ses pupilles s'habituent à la clarté du jour. La matinée fit passer sans encombre. Les gens avaient l'air de s'amuser, les enfants riez aux éclats et couraient partout. Un sourire s'afficha sur le visage de Perle et salua sur son passage les habitants qui lui disaient bonjour.

Soudain une voix attira son attention. Cette voix grave la fit frissonner, elle ne la connaissait que trop bien. Perle fit volt face et se retrouva nez à nez avec Richard. Son ex beau-père. Cet homme immonde se trouver en face d'elle. Alors qu'il était en train de s’embrouiller avec un jeune homme du bataillon d'exploration, il s’arrêta net quand il reconnut Perle. « P... P... Perle ? Je te croyais morte pendant l'attaque des titans »

La joie avait laissé place à la peur sur son visage. Elle qui espérait tellement que ce pervers soit mort écraser ou manger par un titan. Son souffle était devenue court, aucun mot ne sortait de sa bouche alors qu'elle voulait hurler de toutes ses forces. Figé comme un arbre enraciner alors qu'elle voulait qu'une chose, s’enfuir en courant. L'homme s'approcha de Perle et l'enlaça dans ses bras. Elle crut mourir étouffer. Son souffle avait disparu et toutes les images affreuses de cet homme entrain de la violer ressurgis à la surface. Des larmes coulèrent sur son visage pâle. Perle réussit enfin à se reprendre en main et se mit à crier « Lâche moi espèce de pervers. » Elle se débâtit comme elle le pouvait, mais l'homme n'avait pas l'aire de vouloir la lâcher « Mais Perle mon amour qu'est ce qui t'arrive, c'est moi Richard » Le visage de Perle se décomposa elle était pétrifié, pourvu que quelqu'un lui vient en aide.

© Fiche de Hollow Bastion sur Bazzart


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