Attack on Titan
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HUNTER + I'm giving you a nightcall
Constance A. Samothrace
Constance A. Samothrace
Constance A. Samothrace
+ MESSAGES : 2
Constance A. Samothrace
Sam 1 Aoû - 15:13
I'm giving you a nightcall
Hunter & Constance/Amara


Je n’aime pas l’idée d’appartenir à une maison close. Ce n’était pas pour moi. J’avais besoin de bouger, pas de rester au même endroit. En général, je voyais donc, au gré de mes clients. Et quand vraiment, je ressentais le besoin de me poser, j’allais chez Izma. Elle était plutôt correct avec ses filles. Et elle m’aimait bien. Alors elle me laissait venir de temps en temps. Contre un gros pourcentage de mes passes chez elle. Nous étions toutes deux gagnantes, j’avais une chambre et ses clients se sentaient toujours privilégiés quand ils pouvaient avoir la guest.

Je profitais alors du confort d’une véritable literie quand Izma vint frapper à ma porte. Comme toujours, elle entrait sans invitation. Elle était chez elle après tout. Elle avait du être belle par le passé. Mais aujourd’hui, elle était surtout flippante. Trop maigre, toujours trop maquillée on pourrait presque la prendre pour une sorcière. Et toutes les substances qu’elles pouvaient ingurgiter ne l’aidait pas à se maintenir. « J’ai un client à te présenter. Une mission longue, qui paie bien. Il veut faire son choix parmis toutes les filles. Je pense que tu pourrais lui plaire. Mais avant, je veux qu’on soit sûre sur mon pourcentage. S’il te choisit, il y aura sûrement des cadeaux. Tu peux les garder, mais je veux 5% de plus par rapport à d’habitude. » Je me redresse, intéressée. Si elle veut plus, c’est qu’elle a senti un gros poisson. Je la fixe un instant. Quand elle me propose un deal, je me demande toujours si c’est le moment où je vais lui vendre mon âme. Mais la mienne est bien trop libre pour ça. « Ca marche. » Je lui répond avant de serrer sa main. « Retrouves moi dans le salon principal alors. » Alors qu’elle sors de la chambre, je me lève pour retirer mon peignoir de soir pour enfiler une robe. Si elle pense que j’ai mes chances, c’est que je dois me montrer présentable. Je présente mieux que la majorité de ses filles.

Quand je descend, de nombreuses filles sont déjà là. Je m’installe dans un fauteuil, alors qu’elles sont nombreuses à se serrés dans le canapé. Ses filles sont trop dépendantes des unes des autres. J’aime mon statut libre. La porte s’ouvre, laissant apparaitre Izma et un homme. Assez séduisant, je dois le dire. Je me lève, affichant un sourire en lissant ma jupe.
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Camus Hunter
Camus Hunter
Camus Hunter
+ MESSAGES : 4
Camus Hunter
Mar 4 Aoû - 22:41
T’es… planté devant la façade d’un bâtiment, attendant… Attendant tu ne sais quoi, un signe, une lumière dans la tronche, une merde de piaf sur le pif, un truc quoi. Un truc qui te montrerait si oui ou non tu fais bien d’être ici. Si oui ou non c’est une bonne idée de venir traîner dans un endroit si mal famé pour faire… Tu soupires. Non, t’as pas honte d’être ici, tu les as souvent côtoyé ces endroits. T’es souvent venu dans les maisons closes, aussi bien en tant que contrebandier pour faire ton travail que pour profiter d’une jolie femme. Pourtant cette fois ci c’est différent. Tu ne viens pas baigner dans tes manigances non, cela fait quelques temps que tu as arrêté de traîner avec de mauvaises fréquentations - cependant on ne se tire jamais totalement de là n’est-ce pas? T’as beau dire tout ce que tu veux, les ennuis viendront sans doute à toi un jour ou l’autre. Tu ne viens pas non plus profiter du corps d’une jolie femme. Ou plutôt si mais… dans un tout autre contexte.

Nouveau soupir. Tu te grattes l’arrière du crâne avant de te masser les tempes, réfléchissant. T’as mal au crâne Camus putain. T’es à bout depuis deux semaines tu vois. Parce que ton père, ton maudit père t'a donné six mois. Six mois pour que tu te trouves une femme. Six mois pour que tu dégotes une riche femme afin de te marier avec et… pondre deux ou trois fils pour perpétuer la lignée des Hunter. Lignée qui ne fait pas beaucoup parler d’elle et qui trempe dans les manigances. Mais lignée tout de même. Tu sais pas pourquoi ton père veut à tout prix que son nom perpétue, sans doute parce qu’il a jamais rien foutu de sa vie et qu’il compte sur toi - ou sur tes fils - pour que son nom ne soit jamais oublié et avoir cette impression d’exister mais… En tout cas tu subis des pressions de malade de sa part. Et si pourtant t’es pas du genre à ployer sous les menaces… T’as clairement pas envie que ton paternel te colle la femme qu’il aura choisi pour toi dans les bras. Quitte à devoir voir une femme autant que t’essayes d’en dégotter une qui te fera pas chier et qui te traînera pas dans les pattes.

Oui mais voilà. T’as traîné Hunter. Et maintenant il te reste à peine une semaine pour trouver quelqu’un. Autant dire qu’avec ton air de chien enragé et ta gueule patibulaire… les femmes t’approchent pas facilement. Ajoute à ça le fait que t’es toujours en vadrouille ou toujours dans ton atelier, et que clairement t’as pas envie d’une femme dans les pattes… Et t’as le parfait combo pour ne pas trouver sur ton chemin une femme digne de ton attention. Tu souffles et finis tout de même par entrer dans cette maudite demeure, n’ayant de toute manière, aucune meilleure idée.

Tu te présentes à la gérante de la maison close, et si elle commence déjà à se tourner vers l’une de ses filles tu la coupes immédiatement. Tu veux toutes les voir. Si elle t’offre d’abord un regard médusé, puis un affreux sourire gourmand - sans doute pense-t-elle que tu vas passer sur toutes ses filles et qu’elle va amasser un pactole assez conséquent… Tu la coupes bien vite dans son élan. Tu veux voir toutes ses filles mais tu en choisiras une. Et celle que tu choisiras partira avec toi. C’est non négociable. C’est un contrat à temps plein. Bref. Dans tous les cas, la gérante est gagnante. Si elle ne pose pas plus de questions - auxquelles tu n’aurais certainement pas répondu - tu finis par la suivre dans une pièce lorsqu’elle revient vers toi, ses filles t’attendant dans une petite pièce derrière.

Tu vois… t’es tout de suite soulé lorsque tu vois l’amas de femmes sur le divan, les unes sur les autres. Et si elles se taisent lorsque tu avances dans la pièce avec ton regard noir, si elles se lèvent pour réarranger leur tenue… toi ça te gave déjà de les avoir entendu piailler comme pas possible. Pourtant… Va bien falloir que tu fasses avec hin. Alors tu te rembruni. Tu passes devant chacune d’entre elles, les reluquant de haut en bas. De bas en haut. T’as sans doute passé une nuit à un moment donné avec l’une d’entre elle mais… Tu n’en as aucune souvenir. Et ce n’est certainement pas à ce détail que tu t’accroches à présent non. Ce que tu vérifies au final c’est si l’une d’entre elle est… présentable.

Trop grande… Trop vulgaire… Des seins de la taille de melon… Trop moche…. Beurk beurk beurk… Elle tu déteste ses cheveux… Sale, puante… Bref. Autant dire qu’aucune d’entre elles ne te convient du tout. T’es déjà prêt à faire demi tour pour aller dans une autre maison close lorsque tu remarques la dernière, seule dans son coin. Souriante, elle se tient à l’écart de toute les autres et surtout… elle est beaucoup plus… Non. Tu ne sais pas ce qu’il y a chez elle, mais elle semble avoir un maintien beaucoup plus droit. Alors tu te détournes des autres et tu t’avances vers elle, mains dans le dos, toujours le regard froid. Tu la scrutes sous toutes les coutures, lui tournes autour et… finis par te planter devant elle. Là tu prends son menton entre tes mains et lui relèves la tête afin de regarder si elle ne possède aucune marque, aucune cicatrice. Enfin, après de bien trop longues minutes dans le silence… tu te tournes vers la gérante et lui balance un sac de pièces à la figure. “ J’ai besoin de la voir seule. Si elle convient je vous offre le double. Pas le moindre mot de ce qu’il s’est passé ici. Si cela se sait… je n’aimerai pas être à votre place. “ Et tu adresses un regard glacial à l’ensemble des femmes ici présente avant d’attraper le fruit de ta pêche par le bras… et de l’emmener hors de la pièce. “ Allons dans votre chambre. “ Ouais… t’es pas commode hin Camus. Même pas tu te présentes, même pas tu lui dis ce que tu veux d’elle ni quoi que ce soit… Mais en même temps il faut bien que tu t’assures qu’elle pourrait convenir, tu ne peux pas prendre le risque de te tromper. Alors tu la suis dans les couloirs, prêt à la tester. “ A partir de maintenant. Tu vas faire tout ce que je t’ordonnerai de faire. Est-ce bien clair? “
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