Attack on Titan
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  Connexion  
!! FETE DU SOLSTICE A UTOPIA JUSTE ICI !!<
!! FETE DU SOLSTICE A UTOPIA JUSTE ICI !!<
-28%
Le deal à ne pas rater :
Précommande : Smartphone Google Pixel 8a 5G Double Sim 128Go ...
389 € 539 €
Voir le deal

 :: FORUM PRIVE :: Territoire Humain :: Mur Sina :: District d'Utopia :: Fête du Solstice Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
He has flown too close to the sun (Hope)
Ekaitz Eïrild
Ekaitz Eïrild
Ekaitz Eïrild
+ MESSAGES : 57
Ekaitz Eïrild
Ven 10 Juil - 21:25
Est-ce que t’es content de toi ? Nan. De toute façon, t’es jamais content quand t’es pas premier Ekaitz, c’est aussi simple que ça. Et puis aussi t’as cassé un arc, et tu peux pas t’empêcher d’avoir une sensation de honte face à ta soeur. Sauf qu’elle a fait pire, et finalement, si tu regardes un peu plus au fond de toi, et bah tu devrais bien voir que si t’es pas content c’est en majeure partie parce que t’es inquiet. Pour elle. Pour son humeur. Parce que, honnêtement Ekaitz, t’es archi nul pour rendre une journée belle. T’es déjà à peine suffisant pour combler une journée par ta présence, alors la rendre intéressante, franchement, c’est mal barré.

Avec d’autres, tu t’en ficherais, le souci qui se pose, aujourd’hui, c’est que tu es avec elle. Et que la dernière fois elle t’a abandonné. Et que même si elle t’a juré du contraire, et bien tu n’arrives pas à occulter cette peur. Le pire, dans l’histoire Ekaitz, c’est qu’avec les jours, les heures, les pensées, le sommeil, vos retrouvailles, maintenant tu te sens responsable de ce qu’il s’est passé. Si tu avais été un autre… un autre capable de détourner son attention, un autre capable de captiver ses yeux, un autre capable de remplir son coeur, est-ce qu’elle aurait fait le même choix ? Non, tu en es presque certain. Alors le souci dans l’histoire, c’est qui tu es, voilà ton raisonnement.

« Eh béh, t’as une sacrée poigne dis donc. Tu essaies de rire, en sortant de l’épreuve après les remises de médaille. Je pensais que je serais celui qui allait casser tous les arcs, mais finalement ma petite soeur est plus brute que moi. Et t’as ce vieux mouvement de votre enfance, à venir secouer sa chevelure d’une main posée sur sa tête. Tu ne t’es pas fait mal, au moins ? »

Tu demandes toujours, tu t’inquiètes encore plus. La vérité c’est que tu as peur de sa douleur, mais aussi de votre secret. Depuis toujours, vous avez dû être deux fois plus attentif à ce que vous faisiez pour éviter de vous faire prendre. Dans le bonheur et la souffrance, jamais un moment de répis. Et cette idée vient poser une voile d’ombre sur tes yeux alors que tu l’attrapes sans réfléchir par la main, doigts entremêlés pour finalement l’entrainer dans la foule.

Tu marches quelques minutes sans ne rien voir. Tu marches comme si tu n’étais plus là. C’est quelque chose que tu fais souvent, c’est dernier temps. Tu as des absences, tu t’arrêtes de vivre et tu deviens un automate qui réagit par instinct. Au boulot, ça t’a coûté un sacré savon parce que t’as failli pointer ton arme de service contre un passant qui t’a secoué par surprise. Avec Hope, tu ne sais plus. Peut-être qu’elle s’en rend compte ? En tout cas, elle n’en a pas encore parlé, alors tu fais comme-ci.

« Eh, tu veux boire quelque chose ? Je te l’offre si tu veux ! Et t’es en train de passer devant la tombola, quand t’as une autre idée. Qu’on se le dise, Ekaitz, tu détestes les jeux de hasard, tu passes ta vie à cracher dessus et sur les cons qui se ruinent dessus. Pourtant, là, tu t’arrêtes devant le stand, en hésitant. Tu veux… Tu veux qu’on tente notre chance ? Tes yeux glissent du vendeur à la jeune femme, et tu finis par soupirer, doucement. Tu veux rentrer ? »

Nan parce que toi tu vois bien que t’es vraiment pourri pour tout ça, hein. On va arrêter de faire semblant plus longtemps, t’es juste… nul. Et probablement ridicule.
Revenir en haut Aller en bas
Hope Eïrild
Hope Eïrild
Hope Eïrild
+ MESSAGES : 55
Hope Eïrild
Mer 15 Juil - 18:07
Tu caresses pensivement ton poignet, repensant à la force avec laquelle tu as manié ton arc. Sincèrement, tu ne pensais pas avoir mis autant de poigne, autant d’ardeur dans tes gestes. Tu sais, aujourd’hui c’est un jour spécial. C’est un jour qu’Ekaitz a décrété être pour toi le symbole de ta nouvelle vie. Tu le sais. Pas besoin qu’il ait à te le dire, tu n’es pas stupide. Lui qui n’aime pas se mêler à la foule, lui qui préfère passer des moments seuls avec toi, voilà qu’il t’oblige à sourire aux autres, à te montrer devant tous. Tu te doutes bien que ce changement ne vient pas sans arrière pensée. Pourtant… t’es quand même contente d’être là. Oui, tu aurais préféré être seule avec lui, seule, sans personne autour. Mais le plus important c’est que tu profites quand même de sa présence.

Et tu le vois se traîner vers toi avec une mine inquiète, et tes sourcils froncés laissent place à un léger sourire contrit. « T’as raison. Ces arcs doivent être mal foutus. » Ouais non. Tu sais très bien que lorsque tu as cassé tes arcs, c’est lorsque tu as vu Jahan traverser la foule en riant avec une jeune femme. Tu sais très bien que c’est parce que ton esprit n’est pas tranquille et que tu n’en finis plus de te tourmenter, de te poser des questions. Que c’est parce que tu n’arrives pas à vivre normalement, à changer des habitudes d’un coup, tout simplement. Et que tu as peur de décevoir Ekaitz.

Pourtant tu souris. Tu souries oui. Parce que tu veux que ton frère sache que tu es heureuse d’être avec lui. Que tu es bien à ses côtés, et que… ouais, tu comptes te racheter au final. Tu ne veux plus qu’il doute de toi et… voir ses petits regards, ses yeux où pointent parfois une lueur accusatrice, ou une lueur de peur… ça te remue. Ça te fait mal. Et tu sais pas quoi faire ma pauvre, tu sais pas quoi faire pour exprimer ce que tu ressens, pour lui exprimer toute cette peine qui te bouffe depuis que tu as compris à quel point il s’est senti abandonné quand tu l’as laissé derrière. Lui exprimer tout ton amour pour lui, un amour… bien plus que fraternel en fin de compte.

C’est lorsqu’il te frictionne le crâne que tu finis par revenir à l’instant présent, essayant d’échapper à tous ces sentiments qui font rage en toi. « Je sais je sais. On ne dirait pas mais je suis plus forte que je n’y paraît. » Tu ris légèrement et te frotte la joue. « Non… Faut croire qu’on n’est pas jumeaux pour rien ! » et c’est un sourire plus fin qui étire tes lèvres cette fois, lorsque tu te rends compte que… oui. Vous êtes frère et soeur Hope. Ce que tu ressens… ce n’est sans doute pas normal. Ou en tout cas, ce n’est pas bien vu selon les moeurs. Sauf que… tu sais pas pourquoi, c’est peut-être parce que tu as eu peur de le perdre dans cette ruelle la dernière fois, mais tu ne rejettes pas tes sentiments. Tu es incapable de le faire, du moins pour le moment. Tu ne peux que subir ces vagues d’émotions qui te submergent et qui menacent de t’engloutir depuis quelques temps. Le temps que tu redresses la barre. Que tu te retrouves.

Vos doigts s’entremêlent, et si tu sens ton coeur battre un peu plus vite, tu ne fais aucun geste pour retirer ta main. Tu l’accompagnes et… si t’essayes de regarder autour de toi dans un premier temps, tu finis par te concentrer sur ses épaules qui passent à travers la foule. « D’accord ! Je suis même prête à faire ce concours d’alcool dont on parlait la… la dernière fois. » tu termines ta phrase en murmurant, te rappelant que lorsque tu lui avait parlé de ça, c’était à Trost. Tes doigts se crispent sur les siens. Et tu finis par froncer les sourcils. « Je… non pourquoi tu dis ça? Je suis bien ici avec toi... » Tu te rapproches de lui, remettant une mèche de ses cheveux vers l’arrière. « Tu es venu pour me faire profiter de la fête et je compte bien en profiter avec toi… Sauf si tu ne veux plus. » Tu pinces les lèvres. Ça te ferait mal ça, qu’il ne veuille plus rester avec toi.

Tu finis par l’entraîner vers le stand qu’il t’a montré un peu plus tôt. « Aller. J’essaye. » Tu te moques bien de perdre ou de gagner. Tout ce que tu veux c’est ôter ce pli soucieux du front d’Ekaitz. « Je suis pas chanceuse pour ces machins là alors… Si je perds... » Tu fronces les sourcils et réfléchis. « Si je perds mh… tu as le droit… Je veux un bisou déjà. Parce que je serai très trèèèèès triste. » Ouais c’est ça. T’as raison. Ton air ne trompe personne Hope, on se voit bien que tu t’en fiches comme une guigne. On dirait juste une gosse qui réclame des câlins. Ou une femme en attente de... d'un signe. « Et sinon, si je perds, tu tentes à ton tour. Et tu as le droit de euh… me donner un gage ! » Voilà. Pourquoi un gage, tu sais pas, peut-être pour le faire sourire, peut-être pour le faire penser à autre chose, il peut te ridiculiser s’il veut, mais tu veux qu’il reste avec toi et surtout, surtout qu’il arrête d’avoir peur. Alors tu demandes ton ticket, donne tes pièces et… « Bon bah… Perdu. » Et tu te tournes vers lui avec un sourire, attendant ton bisou. Ouais. Tu pues la tristattitude dis donc.
Revenir en haut Aller en bas
Ekaitz Eïrild
Ekaitz Eïrild
Ekaitz Eïrild
+ MESSAGES : 57
Ekaitz Eïrild
Mer 22 Juil - 14:59
Tu es au fond du trou. C’est fou, hein, parce que tu t’étais promis de ne pas glisser, de ne pas tomber, qu’aujourd’hui serait un autre jour, mais la vérité c’est que tu n’y parviens pas. Tu ne sais pas comment faire, tu n’as jamais été le cavalier de personne dans ce genre de fête. Habituellement, tu fais la surveillance, tu ramènes une babiole à ton frère et à ta soeur, et on s’arrête là. Pourtant aujourd’hui, tu pensais vraiment pouvoir être quelqu’un d’autre. La vérité, c’est que tu n’en es probablement pas capable.

Tu te retrouves avec ta soeur au bout de ta main, et toi qui sort des stupidités plus grosse que toi, pour tenter de combler le silence et les doutes au fond de toi. Tu ne l’avais jamais vu, jusqu’à aujourd’hui, mais il y a un gouffre au fond de ton coeur, et tu sais que c’est cet amour inacceptable qui l’a creusé. Quelle horreur que de le remplir avec des souvenirs de vous deux, là en tant que… frère et soeur ? Amis ? Soutiens. Tu ne sais même pas, et cette incertitude est horrible.

« Hein ? Non, non, Hope, c’est plutôt que je… Tu vas t’amuser quand même, si tu restes avec moi ? Et tu as une légère crispation au niveau de ta mâchoire, te donnant l’air presque plus brutal. Je ne suis pas le meilleur pour ça. Je ne sais même pas quoi te proposer. »

Enfin si, tu as parlé de la tombola, alors que tu exècres ça. Et tu vois, c’est elle qui prend le dessus, et qui accepte ton offre, qui t’attires jusqu’au stand. Pendant quelques instants, tu redeviens le râleur silencieux qui a toujours suivi les folies de sa soeur, et cette position te sied presque plus que celle de leader votre morche. Et finalement tu l’écoutes énoncer ses règles. Avec un peu de difficulté, un sourire revient glisser sur tes lèvres, alors qu’elle vient prendre un billet.

« C’est complètement stupide, parce que tu te mets pleins de poids si tu perds. Pourtant, tu ne viens pas refuser son offre. D’ailleurs, elle perd l’instant suivant. Et bien, tu vas en subir, des mauvaises choses. Viens-là. »

Tu es maladroit. Tu l’as toujours été, mais avec elle ça va en se dégradant, parce qu’à chaque fois que tu la tires dans tes bras, et bien tu as la sensation que tu vas craquer encore plus. Tu le fais pourtant. Tu viens la serrer dans tes bras et tu as même l’audace de la soulever contre toi, dans tes bras, pour venir poser tes lèvres contre son front, avant de les glisser sur sa joue et… la reposer en te retenant de faire une bêtise, en public qui plus est.

« A moi ! Et tu viens tendre quelques piécettes au vendeur. Si je gagne, on partage mon cadeau à deux ! Si je perds, tu feras ce que tu veux de moi ! »

Tu t’y laisses tenter dis donc. Et tu vois, quand tu regardes si ton billet est gagnant, tu as la surprise de découvrir que oui. Tes yeux s’arrondissent, tu secoues la tête et quand le marchand revient avec… une guitare, magnifique et ouvragée, certes, mais objet que tu n’as jamais touché, tu te tournes vers Hope.

« Est-ce que c’est un signe pour que j'apprenne à t’en jouer, tu crois ? Tu as l’air plus… détendu ? En tout cas tu es moins sombre, Ekaitz, et ça, c’est bon à voir. T’as quand même le droit de faire ce que tu veux de moi, pour te réconforter de ton ticket perdant. »

Ouais, ça te va bien, ce sera même plus simple comme ça. Tout faire, en te disant qu’elle le demande pour son bonheur. C’est comme ça que tu fonctionnes, toi.
Revenir en haut Aller en bas
Hope Eïrild
Hope Eïrild
Hope Eïrild
+ MESSAGES : 55
Hope Eïrild
Mar 28 Juil - 15:35
Bah ouais. Toi les machins de chance c’est pas ton truc. C’est d’ailleurs pas quelque chose que tu aimes particulièrement puisque c’est tout simplement quelque chose sur lequel tu ne peux pas avoir le contrôle, toi qui mène ta vie avec une rigidité parfaite depuis le jour où tu as dû entrer entre ces murs maudits. Pourtant… c’est qu’il faudrait que t'amène du changement dans ta vie, c’est qu’il faudrait que t’apprennes à être moins psychorigide Hope et… plus ouverte au monde. Pourtant tu te sens pas encore prête à t’ouvrir Hope. Si tu as accepté de laisser tomber le village, si tu as fait ça pour ne pas perdre tes frères, pour ne pas perdre ces deux personnes auxquelles tu tiens plus que tout… Tu as peur. Si tu ne la jamais laisser t’envahir jusqu’à présent, si hors des murs tu te sens presque invincible grâce à ton pouvoir et que ton rôle de femme Caporal t’allait comme un gant jusqu’à présent… Tu as aujourd’hui peur de la femme que tu aurais pu être, tu as peur de briser tous les espoirs de ton frère, tu viens même finir par craindre qu’il finisse par te rejeter…

Et c’est dur pour toi Hope, tellement dur de savoir ce que tu dois faire parce que… vraiment en cet instant précis t’es prête à tout faire pour qu’il continue de te regarder comme il l’a toujours fait, t’es prête à mettre ta vie en jeu pour sauver la sienne, t’es prête à sacrifier tout ce que le village a prévu pour toi pour voir à nouveau son sourire, pour le sentir heureux, libéré. « Bien sûr que je vais m’amuser si je reste avec toi enfin. Qu’est-ce que tu me racontes? » Il est bizarre parfois hin. Il te sort des phrases que tu comprends pas, il te pose des questions débiles auxquelles il connaît pourtant la réponse. « Je suis toujours bien avec toi. Rentre toi bien ça dans le crâne. » Et tu lui donnes une pichenette sur le front avant de te rapprocher de lui en fronçant les sourcils, presque prête à bouder. « Toujours. N’en doute jamais. »

C’est lorsqu’un sourire revient prendre place sur son visage que tu te mets à nouveau à sourire. Et c’est lorsqu’il te soulève dans ses bras que… tu viens poser ta tête dans le creux de son cou après que ses lèvres se soient posées sur ton front, puis sur ta joue. T’as… T’es toute chose Hope. Tu vois, tu sens encore cette chaleur, ces picotements agréables sur ta peau, ceux qui te font rester quelques trop longues secondes contre ton frère. « Si ça ça fait parti des mauvaises choses… Je veux bien en subir pour le reste de ma vie. » que tu finis par murmurer en te détachant de lui, un sourire timide sur les lèvres. Et tu vois… tu sais pas trop quoi faire. Comment agir. Tu sais, c’est sans doute pas normal ce que tu ressens là, cette attirance, cette chaleur quand tu es prêt de lui mais… Le soucis c’est que t’en veux encore tu vois. Et que t’es en train de te dire que tu ne laisseras personne se mettre entre Ekaitz et toi, même si les villageois sont puritains. Parce que maintenant qu’Ekaitz t’a ouvert les yeux… t’entends bien vivre comme tu le sens.

Alors t’applaudis lorsque le jeune homme revient avec une magnifique guitare entre les mains. Un grand sourire sur les lèvres. « Peut-être… » Tu laisses tes mains passer sur l’instrument, laissant tes doigts filer sur les entrelacs. « Elle est splendide.. » Tu vois Hope, c’est la première fois que tu te laisses happer par la beauté des choses qui t’entourent. Avant tu lançais toujours un regard désintéressé autour de toi. Tu ne prenais la peine de t’intéresser à rien ni personne par peur de trouver de la beauté, des sentiments positifs qui t’auraient détournés de ton but et… tu vois, en vérité t’avais raison. Si tu avais su voir les choses comme maintenant, sans doute comme Jahan… Tu ne serais pas en train d’essayer de réparer quelque chose qui s’est brisé, mais tu serais en train de le consolider. « En tout cas je tiens à ce que tu joues des belles mélodies pour moi ! ça me plairait de m’endormir au son de cet instrument ou de te regarder jouer… » Ouais. Parce que peut-être que ça lui permettrait aussi de se changer les esprits.

« Ce que je veux? » Tu le regardes en pinçant les lèvres avant de réfléchir. Là bas il y a de quoi manger. Tout semble bon. Tout semble tellement… vivifiant. Tu regardes autour de toi pendant quelques secondes avec de grands yeux, découvrant sous un jour nouveau le monde qui t’entoure, regardant les villageois, les enfants, les couples… « Je veux que tu me fasses me sentir unique. » Que tu finis par dire en voyant un couple rire et danser plus loin. « Je veux que tu me fasses me sentir comme si nous étions deux personnes normales… Boire un verre. Rire. Manger des pâtisseries jusqu’à en avoir mal au ventre. Et… Danser avec toi. » que tu murmures en relevant les yeux vers lui, le souffle court et le coeur battant furieusement dans ta poitrine.
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé
Contenu sponsorisé
Contenu sponsorisé
Revenir en haut Aller en bas
Page 1 sur 1
Sauter vers: