Attack on Titan
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Qu'importe de quoi parlent les lèvres, lorsqu'on écoute les coeurs se répondre. (Karhlya)
Laszlo Koenig
Laszlo Koenig
Laszlo Koenig
+ MESSAGES : 237
Laszlo Koenig
Dim 5 Juil - 17:47
Une journée de pur bonheur, tout comme tu te l’imaginais Laszlo. Tout s’est passé si vite, que tu ne te rends pas vraiment compte que la journée tire sur sa fin. En faite, c’est quand tes parents viennent te voir en te proposant de s’occuper de ranger l’endroit et ramener tout à la maison que tu comprends. C’est une grande journée, une belle journée, mais la nuit et les 3 jours qui vont suivre seront certainement encore plus magiques. Parce que tu es fou d’elle, Laszlo, et puisque tu l’aimes autant, tu as décidé de lui offrir la nuit de noces que vous imaginiez, tous les deux, même si tu as dû demander un coup de main pour tout trouver, en temps et en heure.

« Mon Coeur ? Tu viens te glisser à côté de ta femme, alors qu’elle parle avec une Kaelyne visiblement surexcitée. Prends le temps de saluer tout le monde, je dois t’emmener quelque part, maintenant. »

Tu as un sourire doux, quoique énigmatique alors que la brunette et témoin de ta femme te lance un clin d’oeil absolument pas invisible, colle un baiser sur la joue de Karhlya avant de faire pareil avec toi, et elle s’éloigne. Pendant une seconde, Laszlo, tu restes aussi perdu que la première fois que tu as rencontrée Kaelyne Wrench à l’entrée de la chambre de ton aimée, mais cette fois-ci, tu vois, tu arrives à te reprendre.

« Vas-y, je m’occupe d’un truc et je suis tout à toi. Tu glisses tes lèvres contre son cou, avant de revenir à son oreille. Je t’aime, Karhlya. »

Et te voilà à t’enfuir aussi vite que tu as pu venir la déranger dans sa conversation. Tes yeux glissent sur les invités. Tu remercies ceux qui sont là et que tu croises, ceux qui ne sont pas encore partis, ceux qui aident tes parents à ranger, à rassembler tout dans une petite carriole attelée à deux chevaux, et tu finis par aller vers le bois, là où les chevaux ont été installés au frais et c’est Mousse que tu récupères. Harnachés d’un cuir entièrement blanc, d’une selle toute aussi claire, tu prends le temps de caresser l’étalon en lui parlant doucement et puis, tu reviens enfin de l’autre côté du petit bosquet d’arbres et te tourner vers Karhlya avec un sourire immense.

« Je me suis toujours dit que ce brave garçon méritait un équipement au moins aussi clair que lui ! T’en penses quoi ? »

T’espères dans le fond que ça lui plaira, puisque c’est l’un de tes cadeaux pour elle. Dans le fond, tu sais aussi que, de toute manière, tu es simplement content de l’effet que produit l’étalon. D’un claquement de langue, tu l’amènes vers sa cavalière et tu finis par t’arrêtes pile devant elle, avec un regard qui en dit long.

« Je t’enlève pour les prochains jours à venir. J’espère que tu es prête, parce que nous avons un peu de route. Et tu poses tes mains sur sa taille, tes lèvres sur les siennes, et quand tu te recules, tu as l’air clairement enflammé. Juste toi et moi, et la nature. Tu as pu voir tout le monde ? »

Tu n’oserais pas l’enlever si elle n’est pas prête. Un rapt, oui, mais avec consentement quand même !
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Karhlya Koenig
Karhlya Koenig
Karhlya Koenig
« wings of freedom »
+ MESSAGES : 350
Karhlya Koenig
Dim 5 Juil - 18:15
Tu ne l’as pas vu passer cette journée. Vraiment. Tu le déplores un peu, d’ailleurs, parce que, lorsque tu poses les yeux sur l’horizon, et que tu te rends compte que le soleil décline déjà, tu en viens à te dire que tu n’as probablement pas pu en profiter autant que tu l’aurais souhaité. C’est là que tu te rends compte, aussi, que vous avez bien fait, tous les deux, d’opter pour un mariage ne réunissant que vos proches, parce que, si vous n’aviez pas inviter tant de monde que ça, au final, échanger quelques mots avec tout le monde aura été … particulièrement chronophage, c’est un fait.

Pourtant, tu ne peux pas nier que cette journée aura été belle. Le premier jour, du reste de ta vie, cette journée aura marqué, et marquera à jamais un tournant magnifique dans ta vie. De Karhlya Ainsley, tu es passée à Karhlya Koenig, et franchement, tu as probablement encore un peu de mal à te dire que, ça y est, tu es mariée, qu’il est ton mari, que vous vous appartenez tous les deux. Tu es heureuse, ma grande, plus que tu ne l’as jamais été, et ça, tu ne te garderas pas de le dire, et de l’affirmer, c’est l’un des plus beaux jours de ton existence, et c’est fou, parce que, tu sais qu’il y en aura d’autres à ses côtés.

Tu en es à échanger quelques mots avec Kaelyne, une discussion animée, pleine de rires, de remarques, de mises en garde de sa part, quand ton époux – bon sang, ce que tu aimes l’appeler comme ça, même dans ta tête – apparaît à tes côtés. Visiblement, la journée pour vous est loin d’être terminée, même si autour, tu as déjà pu te rendre compte que le rangement avait commencé, lui, à vraisemblablement prévu quelque chose de plus, et c’est là-dessus que Kaelyne choisit de t’abandonner, non sans vous gratifier tous les deux d’un énorme baiser. « Je t’aime. » Tu souffles, alors qu’après un baiser dans ton cou, il s’échappe déjà.

Et tu prends les minutes qu’il t’accorde pour passer voir les personnes qui sont encore ici, pour les remercier, ou échanger quelques paroles simples, et la dernière que tu passes embrasser, c’est ta mère qui aide Madame Koenig au rangement, accompagnée de Finn, comme toujours. Elle t’assure que tu n’as à t’inquiéter de rien, que tu n’as qu’à profiter, et puis, elle finit par s’échapper, pile au moment où ton mari est de retour avec Mousse. « Wouah, je n’avais jamais pensé à ça ! » C’est vrai que jusqu’à présent, tu te contentais de la salle et de l’équipement standard, mais tu l’avoues, le cuir clair, presque blanc sans l’être réellement va comme un gant à ton bel étalon. Tu le trouves beau, oui, particulièrement élégant, en réalité. « Encore plus beau que d’habitude. » Et tu viens caresser l’animal, avec un sourire, avant de reporter toute ton attention sur Laszlo, parce que, oui, vraiment, voilà bien trop longtemps à ton goût, déjà, qu’il se tient loin de toi. C’est fou, hein, parce que tu es heureuse de profiter de vos proches, mais c’est comme ça, il faut systématiquement que tu y reviennes, tout semble avoir une limite, sauf le temps que tu veux passer avec lui, contre lui. « J’aime ce programme. » Tu avoues. Quelques jours, rien que lui, et toi, dans pleine nature, sans risque qu’on ne vienne vous déranger ? Assurément que ça te plait.

Tu profites, quelques secondes, du baiser qu’il t’offre, de ses mains sur toi, avant de lui sourire. « Je suis prête, j’ai vu tout le monde, je ne suis rien qu’à toi, maintenant. Tu peux m’enlever sans le moindre problème. » Et toi, tu pourrais y aller les yeux fermés, parce que tu as toute confiance en lui pour être ton guide.
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Laszlo Koenig
Laszlo Koenig
Laszlo Koenig
+ MESSAGES : 237
Laszlo Koenig
Dim 5 Juil - 20:43
Tu as tout prévu, mais tu es loin d’avoir tout planifié à la minute. Si tu es prévoyant, si tu aimes savoir où tu vas et comment, tu laisses souvent une belle place à l’improvisation et aux surprises, c’est ça la vérité. Alors, là, quand tu reviens avec le bel étalon blanc au bout des rênes et que tu lui demandes si elle est prête, tu pourrais certainement changer tes plans, la laisser profiter encore un peu de sa journée et de ses proches. Sauf que Karhlya n’est pas de cet avis.

« Parfait, parce qu’il a été concocté spécialement pour vous, Madame. Tu la serres contre toi, encore quelques instants en interceptant les sourires de vos mères respectives. Je t’emporte avec moi loin du monde, jolie princesse. »

Et tu vois combien il est difficile rien que de la lâcher ou ne pas revenir lui prendre un baiser. Tu aimes cette femme, c’est une vérité que tu as acceptée depuis un bon mois, maintenant, mais tu la désires de plus en plus et t’en éloigner d’un pas commence à être difficile. C’est en affichant un sourire douloureux, les yeux brillants pour elle que tu finis par la soulever dans tes bras et tu viens la hisser en amazone sur la selle de Mousse, avant de te hisser avec elle.

Sur un dernier geste et des remerciements, tu mets l’étalon en route, en serrant Karhlya contre toi, dans sa magnifique robe de mariée. Tu ne repars absolument pas vers Karanes et les hauts murs de Rose. Au contraire, tu orientes Mousse pour t’avancer à un bon trot à travers la jolie campagne silencieuse et radieuse. Tu ne parles pas, d’ailleurs, la tête calée contre l’épaule de ton épouse, tu ne fais que profiter du moment, avant de prendre un chemin vers une belle et large forêt verdoyante.

« Tu as une amie sacrément persuasive, tu sais. Kaelyne m’est tombée dessus il y a 2 semaines pour me parler cadeau et m’aider avec la cérémonie, et quand je lui ai parlé de ce que je cherchais elle est revenue avec les clés d’une résidence cachée de la famille Stellaa… Tu ris contre son épaule. Notre cadeau de noce est donc offert par le Major, visiblement. »

T’en revenais pas toi-même quand elle t’a annoncé ça avec un immense sourire, mais quand tu as croisé le Major, peu de temps après, force à été de constater qu’il était bien au courant, et qu’il t’a dressé une liste de choses à ne pas abîmer, l’air visiblement pas si serein. Ce souvenir te tire un souvenir amusé, et Mousse, lui, accélère un peu sur le chemin, jusqu’à vous faire débarquer dans un endroit qui semble complètement hors du monde.

Une jolie maison de bois et de verre se dresse sur le bord d’un étang aux eaux rendues émeraude par le reflet des sapins. Un ponton dessert la porte d’entrée jusqu’au deux tiers du point d’eau. À part une petite écurie que tu as déjà fait préparer (enfin Kaelyne s’en est occupée, comme de vos affaires en faite), tout est nature, silence et odeur d’humus et des jolies fleures qui entourent la maison. Toi aussi, tu découvres l’endroit pour la première fois, et un sifflement t’échappe.

« Eh bien, c’est un sacré cadeau de la part du Major. Tu finis par glisser à Karhlya. Je suis ravi d’être ici rien qu’avec toi ! »

Et te voilà à glisser de selle et aider la jeune femme à en faire de même. Rapidement, tu déposes Mousse à l’écurie, tu le débarrasses de son harnachement et tu le laisses paître tranquillement avant de revenir vers ton épouse et lui ouvrir les bras.

« Chose promise, chose due. Viens-là, mon aimée. »

Tu la happes, et telle une princesse, tu la hisses dans tes bras avant d’aller ouvrir la porte et rester un instant sur le paillasson d’entré en découvrant un salon ouvert par de grandes baies vitrées, cosy et doux, surplombé d’une tonne de pétales de rose, de fleurs diverses et variées et d’uen agréable et entêtante odeur de plante que tu n’identifies pas, mais qui marque bien le passage de Kaelyne ici.

« Eh beh, elle s’est lâchée Kaelyne. Et sans attendre, tu entres dans le salon, tu le traverses avant de suivre le chemin de rose jusqu’à une chambre et un immense lit entièrement rouge où tu déposes enfin Karhlya. Ça te plait ? »
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Karhlya Koenig
Karhlya Koenig
Karhlya Koenig
« wings of freedom »
+ MESSAGES : 350
Karhlya Koenig
Dim 5 Juil - 21:43
Dans ta vie, c’est un fait, tu as toujours apprécié avoir un certain contrôle sur les choses, rien de bien méchant, tu n’es pas non plus une accro au contrôle, loin de là, mais disons que tu aimes savoir où tu vas. Tu n’es pas une idiote, et surtout, tu n’es pas non plus naïve, ou crédule, du haut de tes vingt-cinq années de vie, si tu as pu l’être durant tes plus jeunes années, c’est quelque chose qui t’est vite passé, tu n’es donc pas le genre de femme que l’on emmène quelque part, à l’aveugle, sans lui dire au moins dans les grandes lignes où elle sera emmenée. Et pourtant. Aujourd’hui, avec ton mari, tu n’as aucune envie de poser la moindre question, parce que tu sais que tu n’as aucune inquiétude à avoir, tu sais que tu vas aimer la surprise, et puis, tu n’as pas envie de gâcher ce qu’il a pu avoir tant de mal à mettre en place pour faire de ce jour quelque chose de toujours plus beau.

La journée fut belle. Tu as vraiment apprécié les festivités pour fêter ce mariage qui te tenais tant à cœur, maintenant, tu veux réellement pouvoir profiter de lui, parce que, c’était le but premier de tout ça, non ? Être liée à lui. Pour de bon. A vos yeux, tu sais que vous l’étiez déjà, maintenant, vous l’êtes aux yeux du reste du monde. Tu portes son nom, ma grande, plus personne ne peut ignorer qu’il est ton mari, et que tu es sa femme, et c’est quelque chose qui te plait énormément. Tu le laisses donc te hisser sur ta propre monture, il vient t’y rejoindre, tu le laisses prendre les rênes, tu te cales, tout contre son torse, et tu te reposes ainsi de cette journée, pendant ce trajet silencieux durant lequel tu laisses tes yeux se perdre, autant que tes pensées, alors que tu profites de sa présence et de son contact plaisant et rassurant.

« Du Major ? » Tu finis par demander, comme si tu avais besoin d’une confirmation pour y croire. Parce qu’évidemment, tu ne connais pas Léandre Stellaa personnellement, mais tu sais qu’il s’agit d’un personnage un peu particulier. Beaucoup le craignent au sein du Bataillon, d’autres le détestent. Tu es de ceux qui demeurent sans avis, cependant, tu sais aussi que ce n’est pas de l’initiative du Major. Evidemment que c’est Kaelyne. « Cette fille me surprendra toujours. » Qui l’aurait cru, hein ? Qu’elle était capable d’arriver autant à ses fins avec le plus haut gradé du Bataillon … tu ne savais pas trop comment elle s’y prenait, cependant, parfois, Karhlya, tu t’inquiétais pour elle. Tu étais d’un tout autre genre que ton amie, et tu ne pouvais pas t’empêcher de penser que mener un homme par le bout du nez de cette manière pouvait être … dangereux, malsain. Et que se passerait-il le jour ou le Major aurait potentiellement une femme dans sa vie ? Si c’était toi, tu serais probablement jalouse et particulièrement véhémente envers celle qui obtient ce qu’elle désire de la part de ton compagnon de cette façon.

« C’est magnifique ! » Tu viens donc de chasser toutes ces pensées parasites de ton esprit, pour simplement profiter de la vue. L’extérieur est absolument magnifique, un véritable petit coin de paradis, mais, lorsque tu descends de cheval, lorsque Laszlo te porte, telle une princesse, pour t’emmener à l’intérieur, tu ne peux pas retenir un souffle d’admiration. C’est la propriété d’un Stellaa, quoi, et ça se voit. Il y a des pétales partout, une bonne odeur de plante règne à l’intérieur, et tu reconnais évidemment le passage de Kaelyne, si bien que tu laisses échapper un rire léger, tout en t’accrochant à ton époux qui lui, s’avance encore, pour finalement rejoindre la chambre. Là, il te dépose, sur le lit. « C’est parfait. » C’est un fait. Tout est si beau, Karhlya. Cependant … te voilà à refuser qu’il s’éloigne, tes doigts s’accrochent à sa chemise, et tu le tires à toi, pour te redresser un peu, te hisser pour venir chercher ses lèvres, prendre un baiser. L’un de ces baisers envieux dont tu le gratifies si souvent désormais. « Ça le sera encore plus si tu restes avec moi, contre moi, et si tu ne me lâches plus. » On y vient, hein, tu vas refuser catégoriquement qu’il te laisse, tu le veux, maintenant que vous êtes seuls, que vous n’êtes plus que tous les deux, tu veux retrouver votre bulle, tu veux pouvoir le toucher, comme c’est le cas quand il n’y a personne d’autre que vous, tu veux pouvoir l’embrasser de la manière qu’il te plaira. « Je veux les lèvres de mon mari contre les miennes. »
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Laszlo Koenig
Laszlo Koenig
Laszlo Koenig
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Laszlo Koenig
Dim 5 Juil - 22:34
Tu la soulèves avec une satisfaction que tu ne peux pas cacher. Ça y est, Laszlo, elle est ta femme, elle est tienne, il n’y a plus rien qui peut t’arrêter. Karhlya t’a choisi, au vu et au su de tous, tu n’as plus de doute à garder en toi. C’est toi qu’elle a choisi, c’est toi qu’elle aime et maintenant, c’est à toi qu’elle a fait l’honneur de venir se lier, pour la vie. Parce que t’es comme ça, toi, Laszlo, c’est pour la vie que tu l’aimeras et que tu veux la garder à tes côtés.

« Je suis d’accord ! Je penserai à remercier Kaelyne et le Major en rentrant ! »

Et te voilà à la caler tout contre ton torse pour ouvrir la porte, traverser la maison après avoir refermé tant bien que mal l’entrée. Ce n’est qu’arrivé dans la chambre que tu viennes déposer enfin ta femme sur le lit, prêt à répondre aux moindres de ses besoins. Tu pourrais lui servir quelque chose à boire, te mettre au fourneau ou aller te balader avec elle, si elle te le demandait. Même si tu n’as pas envie de la lâcher ou que tout ton corps la réclame. Parce que tu la feras toujours passer avant toi.

« Ça, c’est une demande qui n’est pas difficile à satisfaire, tu sais. Tu lui souris, alors qu’elle t’offre ce baiser qui, disons-le honnêtement, te fait tourner la tête. Fais moi donc une petite place, j’ai trop peur de froisser ta jolie robe ! »

Tu la laisses bouger un peu sur le magnifique lit, large et moelleux et tu viens enfin t’installer près d’elle. Pas assis, même pas couché. En faîte, chose drôle, tu laisses tomber tes chaussures et ta veste de côté avant de poser un genou sur le matelas, et littéralement venir te pencher vers elle, pour l’embrasser. Pas un baiser doux et sage comme tu te bornes à les lui donner depuis votre rencontre. Quelque chose de bien plus enflammé, alors que tes mains, elles, glissent de son visage aux formes de son buste, en te tirant un léger grognement.

« J’ai attendu ce jour tellement de temps, je crois bien que je vais tout bonnement perdre la tête. Tu murmures contre ses lèvres, le temps de reprendre ton souffle avant de recommencer ce même baiser. Et tu vois, tu t’arrêtes vite de l’embrasser pourtant, en venant un peu plus sur le lit. Tu ne m’avais pas dit que je pourrais te retirer cette robe, le soir de notre mariage ? Tu la taquines, un demi-sourire sur le bord des lèvres. Si tu es toujours partante, je me ferai un grand plaisir de te libérer de cet engin de torture. »

Pas pour elle, pour toi. La voir dans cette tenue, être aussi belle et désirable, mais ne pas pouvoir sentir et toucher sa peau, c’est véritablement le pire truc qui aurait pu t’arriver, là, tout de suite. Et en quelques secondes, tu te hisses de ton coude pour la surpasser et la regarder quand même un instant, dans sa tenue de mariage, sur ce lit qui ne vous appartient pas. Et vraiment, Laszlo, tu te rends compte combien tu aimes cette image.

« Je t’aime tellement Karhlya… Ton souffle est brûlant, mais tu te forces à rester calme, doux, pour ne pas lui faire peur. Je t’aime et je te désire si fort. Tes doigts bougent, viennent se poser contre ses lèvres. Je ne te presse en rien, d’accord ? Mais j’avais besoin de te le dire, parce que ça me tourne dans la tête depuis que j’ai dormi avec toi, cette première nuit après la soirée sur le toit. Tes lèvres s’étirent, alors que ton regard se fait plus possessif et envieux sur elle. Tu me hantes. T’es en permanence dans ma tête et dans mes rêves. Et enfin tu repousses tes doigts pour prendre ses lèvres. Tu es tout ce que je veux. »
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Karhlya Koenig
Karhlya Koenig
Karhlya Koenig
« wings of freedom »
+ MESSAGES : 350
Karhlya Koenig
Lun 6 Juil - 18:54
Evidemment que tu ne vas pas être sage. Forcément, que tu vas être intenable … c’était atrocement prévisible, en fait, que tu refuserais de le lâcher, de laisser s’éloigner de toi, à la minute même où tu serais certaine d’être seule avec lui, pour de bon. Et quand il te dépose sur ce lit, c’est exactement ce qui se passe. Tu le veux. Tu le veux toujours, de toute façon, c’est un fait, cet homme à le don de te rendre folle de désir en permanence quand il est dans les environs alors, oui. Tu le tires à toi. Tu l’embrasses. C’est tout ce que tu veux … tu ne veux même pas manger, boire, visiter, non, c’est lui, juste lui et uniquement lui.

Et alors qu’il s’éloigne un tout petit peu, le temps de retirer ses chaussures, sa veste, et pendant ce temps, tu te décales légèrement sur un côté de lit, en ramenant un peu ta robe avec toi, et puis, tu lèves les yeux, parce que, le voilà qui se penche sur toi, au-dessus de toi, pour t’embrasser. Et tu vois, Karhlya, tu sais que Laszlo est bien plus sage, plus discipliné que toi, sans doute, vous vous étiez fait cette presque promesse, ce pacte, vous aviez cet accord de rester purs avant votre mariage, et si, de bien trop nombreuses fois, toi, tu es venue le chercher, de façon toujours bien trop enflammée, lui a souvent été plus modéré que toi. Pas toujours, c’est un fait. Mais tout de même. Or, cette fois, tu sens la différence. Son baiser n’a rien de sage, ma grande, tu y sens la même envie qui traverses d’ores et déjà ton corps, de part en part, tandis que sa main glisse sur ton buste, passe sur tes formes, et qu’il finit par reculer, lentement, pas trop, juste de quoi souffler quelques mots avant de reprendre tes lèvres, et toi, tu souris contre les siennes, jusqu’à ce qu’il s’installe un peu mieux, à tes côtés.

« C’est vrai, j’ai dit ça … » Tu l’as dit. Tu le veux toujours. Tu t’es juré de ne pas retirer cette robe toi-même, une fois qu’elle a été enfilée, pour ton mariage, tu savais que ce serait lui qui te l’ôterait, c’est comme ça que tu veux que ça se passe, tu voulais à tout prix lui laisser ce soin, tout comme tu voulais à tout prix ressentir le plaisir que cela pourrait te procurer. Tu l’observes, tu l’écoutes, ses doigts passent sur tes lèvres et finalement, il revient t’embrasser, et toi, ma grande tu reviens t’accrocher à lui, tu te hisses légèrement, jusqu’à lui. « Je t’aime. » Tu souffles, avant de te mettre à déposer quelques baisers sur sa peau, dans son cou, surtout, et puis tu remontes, lentement, jusqu’à son oreille. « Retire-moi cette robe. » C’est une demande, une autorisation, mais aussi une presque supplication. Pas qu’elle te gêne réellement, si les robes de mariée ont la réputation d’être lourdes, parfois gênantes, encombrantes, tu as choisi la tienne plus légère, elle n’est pas massive, tu pourrais encore la porter quelques heures s’il le fallait mais … tu n’en as plus du tout envie. « Mais je te préviens, il n’y a pratiquement rien en dessous. » Une robe légère, oui. Si bien que tu ne portes qu’un sous vêtement en bas, parce que, le buste nécessitait que ta peau soit à nue en haut. Tu lui offres un sourire, doux, taquin, peut-être un peu provocateur pour le coup, et puis, te voilà à ramener ta robe vers toi, pour découvrir un peu tes jambes et finalement, te redresser, te lever, faire un pas devant le lit, et t’arrêter.

Et tu restes là, dos à lui, debout, pour finalement tourner la tête. « Les boutons blancs, dans le dos. » Tu lui indiques, avec toujours ce même sourire, et sans bouger, attendant simplement qu’il te rejoignes pour défaire ces fameux boutons, s’il le souhaite, bien entendu.
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Laszlo Koenig
Laszlo Koenig
Laszlo Koenig
+ MESSAGES : 237
Laszlo Koenig
Mar 7 Juil - 20:28
C’est votre moment, Laszlo. Pas le tien, pas celui de Karhlya, le vôtre. C’est probablement le moment qui marquera bien des choses, après ce mariage qui vient d’être célébré, et tu te rends compte que tu aimerais probablement que ce soit parfait. Le souci qui se pose, mon très cher, c’est que tu ne sais pas du tout comment tu pourrais faire pour que ça le soit. Alors tu continues d’être toi, de lui demander sa permission, de t’assurer qu’elle n’a pas changé d’avis. Et bien entendu, Karhlya balaie tes doutes, alors que tu te penches vers elle pour l’embrasser avec cette passion dévorante, et pourtant si pleine de douceur.

« Tu me donnes encore plus encore de l’enlever, en me disant ça ! »

Ta voix est un murmure moqueur, taquin alors qu’elle a ce mouvement pour relever la belle robe blanche sur ses jambes et que, rien que ça Laszlo, ça te file un de ces coups de chauds… T’es mal barré, tu ne crois pas ? Et tu vois, quand elle se lève, qu’elle te tourne le dos et te pousse à venir dégrafer sa robe, tu as un regret qui monte en toi, un court instant. Celui d’être aussi inexpérimenté qu’elle… parce que tu n’es pas certain de pouvoir bien t’y prendre pour maintenant ou après. Regret que tu chasses aussi vite, parce que tu n’aurais voulu changer la donne qu’avec elle, de toute façon.

Tu chasses donc ce doute au fond de toi, et l’instant suivant, tu es debout. Et tu vois, si t’avais pu simplement lui obéir et ouvrir les boutons, toi, tu commences par l’embrasser en la serrant contre toi, son dos contre ton torse. Quand tu viens ouvrir la robe, tu as ce frisson de plaisir, d’envie, de peur mêlé aussi, et finalement quand tu en finis, si tu fais doucement glisser le vêtement de ses épaules, bras puis tomber au sol dans un bruit presque mousseur, tu ne viens rien faire d’autres que faire tomber ta propre chemise avant de revenir te blottir contre son dos, mains autour de son ventre.

« Tu sens bon. Tu murmures contre elle, à son oreille. Je t’aime Karhlya, j’espère que je serai à la hauteur. »

Toujours cette franchise, mais tu ne lui laisses pas vraiment le temps de répondre. Tu viens glisses tes lèvres contre sa gorge, son épaule et finalement tu reviens la soulever dans tes bras, la tourner face à toi et tu lui offres ce même baiser qui brise avec ta retenue habituelle, pour la ramener au lit. Probablement que tu pourrais la laisser faire glisser ton pantalon, mais tu équilibres la donne en le faisant toi-même. Et dès que tu te retrouves, au-dessus d’elle, les yeux brillants de désirs, tu t’arrêtes un instant, en poussant sur tes bras pour t’écarter d’elle, un instant.

« Je ne me lasserai jamais de cette vue-là. Tu as retrouvé ton sourire taquin, espiègle et un peu moelleux aussi, avant de revenir contre elle et soupirer de plaisir au simple contact de sa peau. Mon Coeur… Tu viens attraper son visage entre tes mains. Sache que tu peux me dire stop à tout moment, d’accord ? Tu lui souris, en prévoyant sa réponse. Je ne le dirai plus, mais je veux que tu en sois consciente. »

Et voilà, tu cesses de parler, tu viens simplement apaiser ses lèvres des tiennes avant de littéralement baigner tout son corps, toute sa peau de tes lèvres.Tu ne te jettes pas sur elle, t’y vas doucement, tu prends ton temps, tu te doutes que c’est aussi bon qu’horrible pour toi que pour elle, mais ce n’est pas l’acte charnel qui compte pour toi, que ce moment que vous partagez. Et tu en profites, en douceur, sûrement un peu timidement aussi, avant de sauter le pas, avec elle sans même vraiment y penser.

¤ ¤ ¤

Ce n’est que lorsque tu te retrouves sous les couvertures, avec la jeune femme au creux des bras, que tu comprends sûrement plein de choses. Pourquoi certains types sont chiants avec ça. Pourquoi t’étais aussi attiré par elle. Pourquoi c’est un moment unique aussi. Et tu vois, tu n’oses rien dire, alors tu ne fais que caresser doucement ses cheveux, frôler son dos et ses épaules en posant tes lèvres contre elle, par moment.
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Karhlya Koenig
Karhlya Koenig
Karhlya Koenig
« wings of freedom »
+ MESSAGES : 350
Karhlya Koenig
Lun 13 Juil - 18:05
Tu y penses. En fait, cette envie que tu as pour cet homme, celle que tu n’as jamais ressenti pour aucun autre, elle te hante, Karhlya. Quand vous avez parlé de cette attente, jusqu’à ce que vous soyez mariés, ton premier réflexe à été de te dire que ce serait facile, parce que, tu n’as jamais été ce genre de femme pour laquelle le sexe est quelque chose d’important. Normal, en fait, parce que, tu ne savais pas ce que c’était que d’avoir envie de ça, que de te consumer de désir pour un homme. Maintenant, tu sais. Maintenant, tu t’en rends compte. Et depuis des jours, et des jours, tu ne peux plus t’empêcher de venir vers lui. Tu vas jusqu’à la frontière, tu l’attires, autant qu’il t’attire, tu le laisses te toucher, t’embrasser, tu sens ton corps entier brûler pour lui, le réclamer, à corps et à cris, et là, c’est encore la même chose qui se passe. Le simple fait de le voir ainsi, au-dessus de toi vient réveiller ce désir qui n’est jamais bien loin … et te voilà à plus n’avoir qu’une envie : celle de sentir ses doigts se glisser sous cette robe, te la retirer, parce que, c’est ce que tu voulais. Que ton mari fasse glisser cette robe jusqu’au sol.

Tu te lèves, et tu te plantes au pied du lit, dos à lui. Tu le laisses faire. Tu ne forces pas, tu ne supplies pas, tu lui laisses simplement la possibilité de se lever, et de venir à toi pour faire sauter les boutons qui retiennent ton vêtement. Quand il te rejoint, il vient pourtant t’embrasser avant, et, oui, c’est tout lui. Dans la douceur. Il te sert contre lui, et tu fermes les yeux un instant, avant de sentir qu’il s’attaque effectivement à ta robe, qu’il retire les boutons, un à un, avant de la faire glisser sur ta peau, jusqu’au sol et … tu n’as même pas pour réflexe de cacher ta poitrine découverte. Tu lui appartiens toute entière, tu n’as pas la moindre crainte avec Laszlo. C’est fou, Karhlya, parce qu’on parle de ta première fois, c’est toujours plein d’appréhension, ta mère t’as fait un sacré discours là-dessus avant la cérémonie, encore. De même que Kaelyne. Pourtant, rien. Toi, tu ne penses qu’à ton torse nu contre ton dos, qu’à cette chaleur qui se propage dans ton corps, et qui te fais irradier. A ses baisers. A ses lèvres contre ta peau. Il finit par te faire te retourner, t’embrasser. « Tu seras forcément bien plus qu’à la hauteur. » Parce que, qu’on se le dise, tu te fiches bien de ces histoires de … performances au lit. Tu sais que tu prendras du plaisir avec Laszlo, parce que tu l’aimes, parce qu’il prendra son temps, avec toi, parce que tu n’attends que ça, et que tu as confiance, parfaitement confiance, encore une fois.

Tu n’as toujours pas la moindre appréhension, quand tu te retrouves nue, sur ce lit, avec lui au-dessus de toi. Tu le veux. C’est tout ce à quoi tu penses. Tu en as plus qu’envie, maintenant, plus encore quand tu sens ses yeux parcourir ton corps … « Je sais … » Tu murmures, avec ce sourire, doux, accroché aux lèvres. « Je t’aime, Laszlo, je te veux … tout entier et sans limite. » Parce que maintenant, il n’y a plus de limite. Il est ton époux. Tu es sa femme. Et tu te laisses emporter, par ses baisers, et ses caresses. Il y va lentement, il t’embrasse, partout, te touches, il te fait brûler sous ses doigts, t’arraches soupires et gémissements. C’est un échange parfait, oui. Parce que, tu l’embrasses, et tu le touches autant qu’il le fait, tu cherches à lui donner autant qu’il t’offre, et quand enfin il vient en toi, quand il te fait sienne, tu ne peux retenir ce soupire de plaisir dans lequel se mêle son prénom. Rien que son prénom.

***

Tu ne t’endors pas. Tu es pourtant fatiguée, certains diraient épuisées, après cette journée, et ce moment, mais, tes yeux sont bel et bien grands ouverts. Tu restes silencieuse, et immobile, contre lui, dans ses bras, de longues, très longues minutes. Tu sens ses caresses douces, légères, ses baisers, tu en profite, jusqu’à finalement te tourner complètement vers lui, sans quitter le confort de ses bras aussi forts que chauds. « Je me sens si bien … si légère. » La frustration accumulée par ces jours durant lesquels tu l’as tant désiré, jusque dans tes rêves évacuée. « Ça valait tellement la peine d’attendre jusqu’à ce soir, ce sera à jamais l’une des plus beaux moments de ma vie … » Tu viens l’embrasser, tout doucement. « Mon Amour, je t’aime à l’infini. »
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