Attack on Titan
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La vérité de la vie est en graine de piment. (Aedan)
Kaelyne A. Wrench
Kaelyne A. Wrench
Kaelyne A. Wrench
+ MESSAGES : 48
Kaelyne A. Wrench
Mer 24 Juin - 23:54
« J'en étais sûre. »

C'est la première chose que tu marmonnes, Kaelyne, quand tu pousses la porte du vestiaire des hommes. Il fait frais, il n'y a presque pas un bruit à part d'eau dans les cabines séparées qui s'y trouve, et surtout, il n'y a pas des tonnes de filles qui gloussent. C'est fou, hein, comment tu peux t'irriter pour un rien en ce moment. Ca et le fait que tu te sens lourde, fatiguée et donc que tu viens te réfugier ici pour souffler un peu, sans absolument aucune gêne.

La course dans la boue vient de se finir. Si tu étais tout sourire, à rire comme une enfant au départ, tu n'as même pas vu les derniers obstacles parce que, soudainement, la foule t'oppressais. Tu as cru défaillir. Tu as fini par fuir, trouver un bonbon sucré à manger et maintenant tu veux... souffler oui. Et le retrouver aussi. Quoi de mieux pour avoir les deux que de venir ici?

« Lieutenant ? »

Ta voix calme, sereine, absolument pas gênée résonne entre les 4 murs du petit endroit et si tu t'attendrais clairement à entendre ton Lieutenant, le tien, celui avec qui tu es venue aujourd'hui parce que, oui, tu ne lui en as pas vraiment laissé le choix (comme toujours hein), ce n'est pas une voix qui te repond. Non. Deux. Deux hommes, deux douches juxtaposées, et toi qui plisse les yeux.

« Je ne parle pas de vous, Lieutenant Davenport ! Tu grognes un peu, avec cette humeur sacrément changeante en ce moment. Quoique... T'en que je vous tiens, vous voudrez bien prendre en compte que, la prochaine fois que je vous demande de veiller sur un de vos soldats, je m'attends à ce que vous l'empêchiez d'aller se jeter dans un cours d'eau juste après mon pansement.
-Heuu... La voix d'Azur hésite, surprise.  Bien Miss Wrench.
-Parfait ! Ton sourire, victorieux revient, adoucissant ta voix déjà, et tu t'asseois sur un banc, sans regarder vers les cabines. Lieutenant Aedan, je me permets de vous attendre ici. Il fait trop chaud dehors. »

Tu te tais, tu viens t'asseoir, et pendant de longs instants, ma douce, tu regardes juste ton reflet, dans l'un des miroirs au dessus des évier. Tu es... pâle et colorée à la fois. Cheveux relevés, pour une fois. Ta main repose sur ton ventre en un mouvement inconscient et tu ne fais plus un bruit, jusqu'à entendre cet idiot de Davenport murmurer :

« Vous croyez qu'elle est toujours là ? Je... peux sortir, parce que je n'ai pas pris ma serviette, moi. »

Tu claques la langue, il soupire, et te voilà à attraper une des serviettes qui attend sagement sur le banc pour la lui lancer par dessus la porte en soupirant.

« Pire qu'un enfant... »
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Aedan Stellaa
Aedan Stellaa
Aedan Stellaa
« wings of freedom »
+ MESSAGES : 60
Aedan Stellaa
Jeu 25 Juin - 9:40
C’est rageusement que tu frottes la boue qui s’est collée tout contre ta peau, partout. Tu avais l’impression d’en être couvert quand tu es sorti de cette épreuve à la noix, et pas que tu sois un homme trop délicat pour être sale, hein, non, mais franchement, la sensation de boue séchée par le soleil avait fini par être bien désagréable ce qui t’avais poussé à te ruer sur les douches pour t’en débarrasser, de rafraîchir aussi, et évidemment te changer.

Tu ne perds donc pas de temps, tu laisses l’eau couler sur toi, une eau qui n’est pas froide, mais qui n’est pas bien chaude non plus, et franchement, ça t’arrange, parce que la chaleur de l’extérieur commençait à devenir particulièrement étouffante. Et tu vois, Aedan, tu estimes sans doute qu’au moins, ici, tu auras un peu de temps en paix. Tu as laissé Wrench de côté, le temps de profiter d’une douche, et tu avoues la faire durer, parce que, tu ne sais pas encore pourquoi, bon sang de bois, tu as cédé à cette femme – encore – pour participer à une telle épreuve. Ça ne te ressemble pas, et très honnêtement, mon vieux, le lien que tu entretiens avec cette femme commence à te faire peur. Le pire, c’est que tu ne peux pas t’en empêcher, t’es logé à la même enseigne que tes deux vieux potes à ce niveau et ça … ouais, ça t’a encore bien du mal à l’assumer.

Tu soupires, tu passes une main dans tes cheveux trempés, et tu entends cette voix, bien reconnaissable qui vient t’appeler, par ton grade, et si tu réponds, tu n’es pas le seul à le faire et tu fronces les sourcils, avant de soupirer lourdement quand tu comprends qu’Azur prends sa douche juste à côté. Tu gardes le silence, tandis qu’elle règle ses comptes avec lui, et finalement, tu stoppes l’eau, tu grognes, et tandis que tu entends Azur et ses questions, tu te mets à agiter la tête, un peu dépité, avant d’attraper ta serviette – toi, tu l’as prise – pour la nouer autour de ta taille et enfin sortir de cette douche, encore complètement dégoulinant. Tu t’arrêtes. Tes yeux se fixent un moment sur Kaelyne, et finalement, tu te détournes, en traînant des pieds, vers un casier pour y prendre tes vêtements propres. Tu laisses tomber ta serviette, sans te soucier d’où elle regarde – de toute façon hein … - et puis tu enfiles rapidement ton pantalon, ta chemise, avant de revenir. « Vous devriez songer à dormir … plutôt que de me trainer dans des âneries de ce genre, vous ne pensez pas, Wrench ? » Ouais, parce qu’elle traîne encore cette mine atrocement fatiguée.
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Kaelyne A. Wrench
Kaelyne A. Wrench
Kaelyne A. Wrench
+ MESSAGES : 48
Kaelyne A. Wrench
Jeu 25 Juin - 11:09
T'as un sale caractère, c'est un fait petite fleur. Tu étais plus douce et timorée avant de passer entre les mains du grand Léandre Stellaa, mais il ne t'a pas changé, qu'on soit d'accord. Il t'a juste pousser à assumer ce que tu étais, sans honte, sans peur, en rejettant tout bonnement toutes ces voix d'hommes qui te disaient que, puisque tu étais une femme, tu ne devais pas être forte, pas tenir tête, pas te battre et surtout... ne pas être gagnante. Maintenant, tu n'hésites plus et tu sais quoi, ma belle ? Et bien tu es toujours un peu gagnante !

Tu finis par lancer la serviette et retourner t'asseoir quand Aedan sort de sa cabine. Et tu n'as aucune espèce de gêne à le suivre des yeux, avec ce sourire calme sur le minois. Tu le trouves beau, il te fait envie, tu ne vas clairement pas te cacher de ressentir cette chose. Même lorsqu'il se sèche, même lorsqu'il revient s'habiller, tu ne détournes pas la tête, par contre, Kaelyne, tu ne bouges pas. Tu t'es fixée cette stupide règle de Trost, et tu t'y tiens sans voir que, oui, tu t'es placée en tant que perdante en faisant ça.

« Dormir ? Pour quoi faire, quand je peux me repaître de vous voir vous étaler dans la boue, vous et vos compagnons, alors que je reste sèche et propre comme un sou neuf de mon côté. Tu le provoques gentiment, avec ce petit sourire espiègle qui, concrètement, ferait tirer une tête surprise à Davenport à qui tu te bornes à adresser uniquement ce regard sombre. Puisque je ne suis pas encore assez fatiguée pour dormir, on continue la balade ? »

C'est une question, oui. Est-ce qu'il a vraiment la possibilité ? Pas sûr. Tu ne vas pas le traîner de force, hein, Kaelyne. Déjà et d'abord parce qu'il a bien plus de force que toi, mais surtout parce que tu n'es pas du genre à forcer les gens pour ce genre de chose. Par contre, et même s'il fuit, tu te doutes bien que tu trouveras une raison de rester dans les parages. De... lui donner envie de rester ! Ca ma grande, tu es presque certaine de réussir à le faire.

« On y va ? Tu lui proposes finalement, puisqu'il est habillé et que toi, tu viens de te relever pour avancer sans vergogne vers lui, avec ce sourire calme, assuré. Avant que le Lieutenant Davenport ne se confonde avec vous et ne tente de m'emporter à la place de la jolie blonde qui lui est tombée dessus ? Tu entends le soupire de l'homme, de l'autre côté de la porte et ça te suffit pour afficher un sourire triomphant avant d'attraper les doigts d'Aedan Stellaa et de l’entraîner avec toi vers la sortie. Au revoir, Lieutenant... Caporal Hodgen. »

Parce qu'il a beau être silencieux, tu es pratiquement certaine qu'il est entré en même temps que les deux autres gradés dans le vestiaire, et puisqu'il n'a pas émis un son, tu te dis que : soit il ne veut pas faire savoir sa présence, soit il ne veut pas te parler. L'un dans l'autre, tu viens le provoquer avant de ressortir dans l'air brûlant qui te fait chanceler un instant sur tes pieds, et te tire un enorme soupire.

« Ne nous trouverions-nous pas un endroit plus calme et une boisson fraîche ? A moins que vous ne souhaitiez me fuir, parce que je vous ai forcé à vous amuser dans la boue ? Tu le provoques, oui, clairement, mais il doit commencer à s'y faire non ? »
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Aedan Stellaa
Aedan Stellaa
Aedan Stellaa
« wings of freedom »
+ MESSAGES : 60
Aedan Stellaa
Mar 21 Juil - 13:21
Pourquoi tu râles, déjà, Aedan ? Non parce que, pour rappel, peut-être qu’elle t’a fait participer sans réellement te demander ton avis, mais, il n’empêche que malgré un début complètement chaotique et bien, oui, tu as terminé fier premier de cette fameuse course, et ça, et bah, mine de rien, tu ne peux pas nier que ça fait du bien à ton ego, et à ta fierté. Comme quoi, tu vois, tu es tout de même capable de faire bien des choses quand tu décides de rester sobre … A méditer, Aedan. Vraiment.

Disons du coup que tu râles par principe, et puis, surtout, tu le penses. Pourquoi cette femme ne peut-elle pas simplement prendre un peu de temps pour elle ? Le Lieutenant dirait qu’il a besoin d’avoir un soldat, et surtout, un médecin en bon état, et qu’épuisée, elle ne sert à rien. L’homme – qui se cache et n’avouera jamais – lui serait plus du genre à s’inquiéter de voir la femme avec laquelle il a partager certaines choses dans cet état. Le pire, c’est que, elle ne semble pas s’en rendre compte ? Ou alors est-elle réellement douée pour ignorer son propre état. En cela, au moins, on peut dire que vous avez un sacré point commun. « C’est ça … » Ouais, tu grognes, parce que, mine de rien, c’est vrai ce qu’elle te chante là, elle t’a fait participer, mais elle est restée au sec, tranquillement, à te regarder galérer, et te vautrer.

Tu as ce soupire, Aedan, et puis, tu agites la tête, en te penchant légèrement sur elle, puisqu’elle s’est avancée, droit sur toi. « Sans offense. Je doute que Davenport ne puisse vous confondre avec sa jolie blonde. » Disons que les deux jeunes femmes sont … différentes, et puis, surtout, tu connais assez Azur maintenant pour savoir quel genre de femme est susceptible d’attirer son regard, et surtout son attention. Wrench n’en fait pas partie. Oh, elle est belle, ça oui. Mais son regard et son attitude n’ont finalement rien de bien engageant quand on l’observe ainsi … Disons que toi, tu as eu le privilège de la voir tout autrement, de constater qu’elle était capable de venir chercher ce qu’elle voulait, ou de provoquer ton envie de le lui offrir. Ce sont des images d’elle que tu n’es pas près d’oublier. Du coup, tu as ce geste pour l’inviter à sortir des douches, tandis qu’elle ne manque pas de provoquer une dernière fois les deux hommes qui prennent tranquillement leur douche.

« Je ne vais pas fuir. » Pour une fois. Disons que c’est un sacré progrès dans ton existence, ça, parce que, d’ordinaire, tu es clairement du genre à décamper. En fait, tu ne sais pas trop pourquoi, mais pour le coup, ouais, non, tu t’avances, tu prends une allée, un peu plus calme que la route bondée de monde pour la longer, et finalement rejoindre un stand devant lequel ont été installées des tables et des chaises. Tu sais quoi ? Tu as même la délicatesse, cette attitude directement issue de ton éducation, en tirant une chaise pour elle pour la laisser s’y asseoir. « Qu’est-ce que vous voulez boire, que j’aille chercher ça ? »
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