Attack on Titan
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Illusion [Stacy]
Iliana Zeïtseva
Iliana Zeïtseva
Iliana Zeïtseva
+ MESSAGES : 33
Iliana Zeïtseva
Dim 3 Mai - 15:50
Les médecins avaient fait partir Laszlo après qu’ils m’aient pris en charge, je pouvais le comprendre, moi-même j’aurais fait la même chose, pourtant en tant que patiente, j’aurais voulu qu’il puisse rester à mes côtés. Les soins furent rapides, ma cuisse était toute bleue, mais n'était pas cassée, c’était juste dû au choc de la poutre sur mes chaires; J’allais avoir du mal à marcher pendant quelques jours, le temps que l’hématome ne se résorbe. Mes côtes, c’était déjà plus grave, mais là aussi j’avais de la chance, une côte cassée et trois fêlées, là se serait beaucoup plus long à guérir, je ne pourrais peut être par sortir pendant plusieurs semaines à cause de ça. Et puis il y avait mes bras, je m’en étais servis pour protéger mon visage et ma tête des gravats, j’avais eut plusieurs plaies dont deux qu’ils avaient fallu recoudre. Après mes soins, j’avais réussis à trouver un messager, je l’avais envoyé essayer de trouver mon frère, mais il était revenus bredouille, je ne voulais pas déranger de nouveau Laszlo, il devait être dans sa famille, alors la seule personne qui me vint à l’esprit, c’était Stacy. Ma meilleure amie, on était à l’opposé l’une de l’autre pourtant, nous nous entendions bien et elle m’aidait souvent à répondre à ses questions qui me semblait insurmontable. J’envoyais alors ce même messager la trouver, j’espérais vraiment qu’elle allait bien, qu’elle n’avait pas eut trop de mal si elle avait affronté les Titans, qu’elle n’était pas blessée non plus.

Je m’assoupis peu après le départ du messager, j’étais épuisée et j’avais juste hâte de pouvoir me changer et rentrer chez moi. Dans mon message, j’avais demandé à Stacy, si elle pouvait passer chez moi me ramener des habits et m’aider ensuite à rentrer à la maison, parce que les médecins ils avaient viré Laszlo, mais maintenant, il ne voulait pas que je reste seule. Le temps passa et je me réveillais en sentant du mouvement près de moi, je sursautais, grimaçait en sentant mes côtes s’enflammer et soupirais en voyant Stacy à côté de mon lit. Salut ! Tu vas bien ? Je la scanne pour m’assurer qu’elle n’a pas de blessure apparente, pour voir si tout va bien et je remarque alors l’absence de sac, je fais une petite grimace. Tu n’as pas pu me récupérer d’habit ? Aïe, j’étais à moitié nue, j’allais devoir rentrer chez moi, dans cette tenue d’hôpital et même si je n’étais pas spécialement pudique ou à cheval sur mon apparence, je devais avouer que mes tenues m’auraient quand même bien arranger.
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Stacy Greenberg
Stacy Greenberg
Stacy Greenberg
+ MESSAGES : 3
Stacy Greenberg
Mar 5 Mai - 23:00
J’aurais dû y aller. Si je ne m’étais pas rendu au festival, c’était par flemme. J’étais plutôt douée pour me faire passer pour une fille gentille et aimable. Mais de temps en temps, j’avais besoin de m’octroyer un peu de repos. Pour ça que je m’étais trouvé une petite maison perdu entre Trost et Karanes. Il n’y avait alors personne pour venir me déranger. Je pouvais être moi-même sans me coller ce faux sourire en permanence. Mais du coup, j’avais loupé toute la bagarre. Quand les nouvelles m’étaient parvenus j’en avais pas cru mes oreilles. Des titans qu’ils se battent, qui apparaissent à l’intérieur des murs. Pas de doute, ils étaient comme moi. Je n’étais pas sûre de savoir s’ils étaient dans le même camp que moi, mais nous avions bien quelques points communs. De toute évidence, celui qui avait casser le mur avait le même but que moi. Tandis que l’autre… C’était moins sûr. Vu qu’il s’était jeté sur le premier. Mais si j’avais été là… Je l’avouais, je ne rêvais que d’une chose, rentrer enfin dans l’action. Mais voilà, je n’y étais pas allée. Du coup, je me retenais d’y aller. J’avais envie de savoir ce qui c’était passé. Je voulais avoir une chance de découvrir qui ils étaient. Quand ce messager se pointa chez moi, j’étais finalement soulagé de lire ce message. Il me venait d’Iliana qui visiblement c’était retrouvé en première ligne durant cette attaque. Elle était blessé et me demandait d’aller lui chercher quelques vêtements chez elle. Je sautais sur l’occasion et grimpait sur mon cheval, Chocolat. Un nom donné en l’honneur de sa robe. Ouais, il est marron foncé…


J’arrivais rapidement à Trost, poussant Chocolat au galop. Je me dirigeais directement vers la maison d’Iliana. Pour ne rien trouver, à part un tas de gravats. Bon sang, personne ne lui avait dit ? Super, c’était moi qui allait me coltiner l’annonce. J’étais ravie. J’allais devoir faire preuve de… c’était quoi le mot déjà ? Ah oui ! De tact. Je pris alors la direction de l’infirmerie. Je la trouvais endormie dans son lit. Je me laissais tomber sur une chaise, les pieds en appuie sur son lit, les mains dans les poches. Je n’avais plus qu’à attendre qu’elle se réveille. J’espérais qu’elle aurait au moins des choses à me raconter.


J’étais à moitié assoupi quand l’asiat’ ouvrit les yeux. « Salut ! Tu vas bien ? » J’étirais mes lèvres pour faire ce sourire auquel je n’arrivais toujours pas à m’habituer. « Salut ma belle ! Alors tu participes à une fête sans même m’inviter ? » Vous voyez, je suis douée pour jouer la comédie. « Tu n’as pas pu me récupérer d’habit ? » Bon, maintenant, un nouveau moment de grande comédie. Je fais une grimace désolée. Elle aussi je la maîtrisais bien. « Ma chérie, je suis désolée mais… ta maison a pas survécu. » Oui, j’étais d’avis qu’il fallait arracher le pansement vite pour souffrir beaucoup d’un coup et plus du tout après. « Mais, hey, on a une excuse toute trouvé pour faire du shopping. Et en attendant, je t’ai trouvé un uniforme. » Je lui montre un tas de vêtements sur une chaise. Aucun soldats ne se baladera jamais les fesses à l’air. On trouve toujours un nouvel uniforme quelque part.

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Iliana Zeïtseva
Iliana Zeïtseva
Iliana Zeïtseva
+ MESSAGES : 33
Iliana Zeïtseva
Ven 8 Mai - 19:56
J’ouvre les yeux et croise le regard pétillant de Stacy et je lui réponds automatiquement, la jeune femme à toujours super sympa avec moi, depuis le jour de notre rencontre, elle a toujours fait en sorte de me faire prendre confiance en moi. Je l’apprécie beaucoup, elle est devenu la présence féminine qui manquait à ma vie depuis la disparition d’Irina. « Salut ma belle ! Alors tu participes à une fête sans même m’inviter ? » Je pouffe, il n’y a vraiment qu’elle pour avoir ce genre de réflexion et de penser alors que le district à presque disparu. C’était une fête surprise, mais promis la prochaine fois, tu sera de la partie. Est ce que j’avais déjà eut un doute à propos d’elle, non absolument pas, pour moi, elle était Stacy, une jeune femme douce, pleine de vie, ayant toujours le sourire aux lèvres.

Mais elle était aussi très franche et pas du genre à prendre des gants quand elle avait quelques chose à dire. « Ma chérie, je suis désolée mais… ta maison a pas survécu. » Je la regarde, cherchant une trace d’humour dans son regard, mais il n’y en a aucune, elle ne serait pas du genre à faire souffrir les gens avec ce genre de blague. Je passe ma main sur ma bouche… ma maison, celle que j’avais trouvé en arrivant ici, celle où j’avais plein de bon souvenir, mais aussi quelques objets auquel je tenais particulièrement, je pensais alors au collier d’Irina, le dernier souvenir que j’avais d’elle. Instinctivement, ma main se porta à mon cou, mais il n’y avait rien… j’avais eut peur qu’on puisse me le voler si on me voyait avec au festival, habituellement, il restait caché sous ma veste.Je sens mes yeux s’humidifier, j’avais tout perdu, il ne me restait rien. « Mais, hey, on a une excuse toute trouvé pour faire du shopping. Et en attendant, je t’ai trouvé un uniforme. » Je la regarde un instant surprise avant d’éclater de rire, mais aussitôt, une douleur aigue me fit couiner alors que je posais la main sur mes côtes. Je pouvais toujours compter sur Stacy pour dédramatiser les choses, j'hochais doucement la tête avant de sourire. Bien… on iras faire du shopping alors, mais… je ferais mieux de rester là pour cette nuit alors… je ne suis pas sur que mon frère m’ouvre, il ne semblait pas très content après moi aujourd’hui. Non soyons franc, il me faisait la gueule et je ne comprenais pas vraiment pourquoi, lui qui avait toujours un regard, une parole pour me réconforté, là il n’était même pas venu s’assurer que j’allais bien. Je soupirais avant de me lever doucement en serrant les dents quand la douleur était trop forte. Tu peux m’aider à me changer ? Les médecins m’avaient prévenus, avec mes côtes, j’allais être quelques jours à avoir besoin d’aide pour faire les choses les plus simple.
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Stacy Greenberg
Stacy Greenberg
Stacy Greenberg
+ MESSAGES : 3
Stacy Greenberg
Dim 10 Mai - 18:35
J’ai extrèmement bien travailler mon personnage. Et je peux vous dire, c’est pas facile. Faire semblant de s’intéresser aux autres, de s’inquiéter pour eux, c’est vraiment casse bonbon. La seule chose que je m’octroie c’est mon humour mordant. Ca me permet de faire passer certaine réplique sarcastique pour de l’humour. Comme ça, je reste un minimum moi-même. Comme quand je dis à Iliana qu’elle fait la fête sans m’inviter. En vérité, c’est pas elle qui ne m’a pas invité, ce sont les autres shifters. Mais je la fais rire. Et à chaque fois que je la fais rire, je m’assure un peu plus qu’elle ne capte rien. « C’était une fête surprise, mais promis la prochaine fois, tu sera de la partie. » J’ai un sourire. « La prochaine fois, ce sera peut-être moi qui l’organiserait. Je suis sûre que ça se passera mieux. » Elle ne se doute pas d’à quel point j’ai raison.

Je finis par devoir lui annoncer que sa maison n’existe plus. Le tact, c’est un truc que je ne maîtrise pas par contre. Alors tant pis, je lance ça comme ça vient. En arrachant le sparadrap le plus fort possible. Je la vois comprendre doucement. Puis les larmes montés à ses yeux. Oh non, pas ça. Je tente alors une manoeuvre de diversion en tentant de nouveau une blague. Ca fonctionne. Très bien même, elle réveille la douleur de ses côtes. Au moins, si elle pleure ce sera de douleur. Là je pourrais gérer. En appelant les infirmières. « Bien… on iras faire du shopping alors, mais… je ferais mieux de rester là pour cette nuit alors… je ne suis pas sur que mon frère m’ouvre, il ne semblait pas très content après moi aujourd’hui. » Oh merde ! Une bonne amie lui proposerait de venir chez elle. J’en avais tellement pas envie. Ma maison c’était mon endroit où je pouvais être moi même. Si je ne l’invite pas, je casse tout le travail que j’ai accompli sur elle… Et merde. « Tu peux m’aider à me changer ? » J’allais à ses côtés. « Bien sûr. » Je la laissais prendre appuie sur moi et l’aidais à enfiler son pantalon. Je poussais un léger soupir. « T’as qu’à venir à la maison le temps que ça s’arrange avec ton frère. » Et voilà, c’était fait. Me voilà à devoir jouer la comédie 24h/24. Il allait aussi falloir que je loue une cariole. Elle n’allait pas tenir à cheval jusqu’à la maison… Bon sang…
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Iliana Zeïtseva
Iliana Zeïtseva
Iliana Zeïtseva
+ MESSAGES : 33
Iliana Zeïtseva
Mar 19 Mai - 15:13
« La prochaine fois, ce sera peut-être moi qui l’organiserait. Je suis sûre que ça se passera mieux. » Je la regarde un instant les yeux ronds avant de secouer la tête en souriant. Préviens moi à l’avance, que j’ai le temps de prendre quelques jours de vacances et de partir loin. Je n’étais pas lâche, loin de là, pourtant, j'espérais ne plus jamais assister à ce genre de chose, deux fois dans une vie, ça me semblait déjà beaucoup trop. Si j’avais eut de la chance la première fois, là j’avais été blessée, légèrement certes, mais blessée quand même. Alors si jamais cela recommençait, je ne donnais pas cher de ma peau. Je pense qu’elle comprend très bien ce que je veux dire, après tout, elle est l’une des rares à connaître mon histoire.

Je ne cherche pas à m’incruster chez elle quand je parle de rester ici pour la nuit, c’est une simple constatation, je n’ai pas envie de me retrouver en pleine nuit dans les rues en ruine alors que j’étais blessée pour me retrouver devant une porte close. De plus connaissant Aleksei, il lui fallait le temps pour que la colère et la pression redescendent, donc si je me pointais c’était l’engueulade assurée. Je me levais lentement et difficilement, lui demandant de l’aide pour me changer, ce qu’elle accepta sans hésiter et heureusement, car j’aurais été bien incapable d’enfiler ce pantalon de malheur.

J’étais en train d’enfiler la veste, sifflant entre mes dents quand la douleur se réveilla intense à cause de mon mouvement trop ample. « T’as qu’à venir à la maison le temps que ça s’arrange avec ton frère. » J’eus un petit sourire en coin, je le savais, cette fille avait le coeur sur la main. Elle n’était pas obligé de le faire, je suis sur que d’ici quelques jours, un camp aura été mis en place et je pourrais trouver un coin où m’installer. Je ne veux pas te déranger… mais… un lit où tout ce bruit ne serait pas de refus. Car si j’avais eut de la chance en tant que soldat d’être mise dans un endroit au calme, ce n’était pas le cas partout où des malades étaient entassés à plusieurs par pièce, parfois même à même le sol. D’ici on pouvait entendre les plaintes, les pleurs et les cris de toute ses personnes qui souffrait surement bien plus que moi actuellement.

J’avais finis de m’habiller et je me tournais vers elle en souriant. Je suis vraiment contente que tu sois mon amie. Et promis, c’est juste l’affaire de quelques jours. Je la suivis alors hors de centre de soin et autant j’aimais y être pour soigner les gens, autant, j’avais hâte de quitter les lieux en tant que patiente. Je me traînais cependant, ma cuisse me faisait mal là où l’hématome se trouvait et mes côtes me lançait à chaque fois que je respirais. J’espère que tu n’es pas pressée… je ne suis pas très rapide.
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Stacy Greenberg
Stacy Greenberg
Stacy Greenberg
+ MESSAGES : 3
Stacy Greenberg
Jeu 21 Mai - 22:03
Ouais, je regrettais de ne pas avoir participer à la fête. Bon sang, j’aurais tout donner pour être là. J’aurais pu aider ce shifter. Peut-être même m’en faire un ami. Je me sentais si seule… Mon village me manquait. Et puis, à deux, nous aurions pu arrêter le deuxième. « Préviens moi à l’avance, que j’ai le temps de prendre quelques jours de vacances et de partir loin. » J’ai un petit sourire. « Si je prévenais, ce serait plus une surprise. » Je me met alors à rire faussement à mon étrange plaisanterie. Il fallait l’avouer, ça avait été facile avec Iliana. Elle faisait facilement confiance aux gens. Trop facilement pour son propre bien. Mais ça m’arrangeait bien.


Sauf que maintenant, je me retrouvais un peu coincé. Pour jouer la bonne copine, je devais maintenant l’héberger… Elle pouvait pas vivre ailleurs qu’à Trost, non ?! J’aimerais me mordre la langue alors que je lui propose de venir à la maison. « Je ne veux pas te déranger… mais… un lit où tout ce bruit ne serait pas de refus. » Le pire, c’est que j’avais deux lits dans cette satanée maison. Deux petits, mais deux quand même. En temps normal que les collais pour en avoir un grand. Merde, j’allais devoir me taper un lit une place en plus. Plus qu’à espérer qu’elle se réconcilie vite avec son frère. J’allais bien trouver un moyen de les rabibocher. Ou de trouver quelqu’un d’autres pour l’héberger s’il le fallait. « Je suis vraiment contente que tu sois mon amie. Et promis, c’est juste l’affaire de quelques jours. » Je tente de faire un sourire aimable. Maintenant qu’elle était habillée, je ne pouvais plus grimacer dans son dos. « T’en fais pas, tu ne me déranges pas. Ce n’est qu’une toute petite maison et il n’y a qu’une chambre, mais t’es tellement minuscule que tu prendras pas de place. C'est à ça que serve les amies après tout ! » Voilà, comme ça je lui soulignais que c’était une maison pour une personne seule. Elle n’aurait pas sa chambre à elle. Cette maison n’avait que trois pièces. Une chambre, une salle de bain et la grande pièce à vivre qui réunissait salon, salle à manger et cuisine. Je n’avais même pas un vrai canapé mais un fauteuil. Si c’était pas la preuve que cette maison était faite pour une unique personne. Par contre, il y avait trois chaises autour de ma table. J’avais casser la quatrième une fois. Je l’avais balancer contre le mur dans un accès de colère. Rien d’important.


Nous primes ensuite le chemin de la sortie. En marchant à la vitesse d’un escargot… « J’espère que tu n’es pas pressée… je ne suis pas très rapide. » Comme si je l’avais pas remarquer… « Pas de soucis. » Dans tout les cas, elle n’allait jamais pouvoir monter à cheval. Si je voulais aller plus vite, j’allais devoir prendre les choses en main. « Tu sais où est ton cheval ? Je doute que tu puisses le monter pour aller jusque chez moi, mais si j’emprunte une carriole, on pourra y accrocher nos deux chevaux et t’installer dedans. Tu seras plus confortablement installé. » Comme si j’en avais quelque chose à carrer de son confort. C’est surtout que le temps que je récupère la carriole, son cheval, le mien et que je les harnache, je pourrais la laisser se reposer sur un banc et avoir la paix pour quelque minutes. Peut-être même une heure si je la jouais fine.

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