Attack on Titan
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Veni, Vedi, Vici † Alen
Pandore Fate
Pandore Fate
Pandore Fate
+ MESSAGES : 17
Pandore Fate
Sam 2 Mai - 19:46
T’as fini. Enfin. Le trou est rebouché temporairement. Les titans étant entrés entre les murs sont enfin exterminés… Ça a prit du temps. Bien assez pour que la moitié du district tombe en poussière. Bien assez pour que beaucoup se fasse bouffer. Bien assez pour pour le soleil commence à se coucher derrière les murs. Et t’es fatigué Fate. Parce que si t’as l’habitude de combattre les titans dans les plaines… C’est pas la même chose que de les voir surgir chez toi. Hors de ces murs tu te bats avant tout pour ta propre survie. Alors qu’ici… Ici tu as combattu pour essayer de sauver le maximum de personnes. Et tu sais que ça n’a pas suffit. Tu sais que beaucoup sont mort à cause de cette… Chose qui a défoncée le mur. Pas un titan non. Ou pas un titan ordinaire. Ce truc est intelligent… Pire encore, c’est cette impression d’être… Infiltré que tu as eu en voyant ce second titan surgit *entre* les murs. Et t’es mal à l’aise Pandore. Y’a vraiment un truc qui va pas dans cette histoire…

Mais l’heure n’est pas au questionnement. Tu te dis que le major, ou même ton caporal aura tôt fait de t’en parler. S’ils ont des doutes, s’ils finissent par trouver quelque chose vous serez forcément au courant… Alors après avoir terminé ton travail tu files dans la grande rue où sont planté les tentes des médecins. Tu ne fais pas attention aux cris, tu ne fais pas attention au sang, à l’horreur de la guerre. Tu as fini par t’y habituer. Tu ne sais pas réellement si c’est une bonne chos d’ailleurs… Mais tout ce que tu cherches, c’est le docteur Ceylian. Tu finis par trouver Gémaël sous une tente, trop occupé à crier sur son assistant parce qu’il a osé mettre ses ustensiles en désordre et non pas par ordre croissant tout en demandant à son patient pourquoi il lui manque un orteil. Et tout ça en recousant une vilaine plaie à l’abdomen. Tu pousses un lourd soupire. Et dire que les autres te trouvent différent parce que tu ne ressens pas la douleur…

Tu finis par laisser retomber le battant et te remet à la recherche d’un médecin qui ne serait pas trop surchargé. Et tu finis par retomber sur elle. Sur cette femme que tu as croisé dès le début de la journée. « Excusez moi… » Tu sais pas trop ce qu’elle est en train de bricoler, tu ne la vois que de dos pour le moment. « Vous n’êtes pas trop débordé? J’ai besoin d’un service. » Ta voix se fait douce alors que tu rabats le pan de la tente derrière toi. « Pourriez-vous m’ausculter ? J’ai besoin de savoir si tout va bien avant de rentrer chez moi. » Et tu attends. T’as toujours ton attirail sur toi. T’es couvert de sang. Et tu sens que ça coule dans ton dos. Tu dois puer aussi sans doute. T’as juste envie d’un bon bain chaud pour te détendre, mais t’as avant tout besoin de savoir si tu n’as rien, même pas une infime blessure.
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Alen Nine
Alen Nine
Alen Nine
+ MESSAGES : 22
Alen Nine
Dim 3 Mai - 17:16
La bataille a été dur, être là si près de ses monstres je n’aurais jamais crus que cela soit possible. Rester immobile sur ses toits alors, je ne pouvais que les regarder aller à l’assaut de ces Titans, n’ayant pas une seule trace de peur ou d’hésitation sur le visage et je ne pouvais que me montrer respectueuse envers ses gens. J’avais soigné du mieux que je pouvais les blessures qu’ils se faisaient au fur et à mesure que la journée avançait et que la fatigue se faisait sentir. Pourtant, nous avions réussis, enfin, ils avaient réussi, ils avaient repoussé les derniers Titans, la brèche avait été colmatés et la fin de la bataille avait été sonné, pourtant, moi ma journée était loin d’être finis. J’étais épuisée, mais on avait maintenant besoin de moi dans l'hôpital de fortune qui avait été construit à la hâte pour accueillir les nombreux blessés, j’avais à peine pu saluer les soldats que l’on m’avait emmener. Depuis je soignais presque en mode automatique chaque blessé qui se présentait à moi.

Alors finalement, j’avais finis par m’isoler, j’avais plonger les mains dans une bassine d’eau froide pour m’asperger le visage et ainsi me faire partir la fatigue qui semblait ne pas vouloir me quitter pourtant, je savais que je ne pourrais pas me reposer avant un moment. Je pris de profonde inspiration en sentant l’eau froide couler le long de mon cou. « Excusez moi… » Je sursautais en entendant une voix s’élever dans la pièce, je me tournais alors que de l’eau ruisselait encore sur mon visage et je le reconnu, nous avions passé la journée ensemble au final et je lui souris doucement. « Vous n’êtes pas trop débordé? J’ai besoin d’un service. » Je secouais doucement la tête, non je n’étais pas trop débordée, et puis pour lui, où pour l’un de ceux que j’avais suivis toute la journée, j’aurais trouver un moment pour les aider s’il me l’avait demandé. Je suis disponible. De quoi avez vous besoin ? Je me redresse alors reprenant mon visage professionnel, « Pourriez-vous m’ausculter ? J’ai besoin de savoir si tout va bien avant de rentrer chez moi. » , la surprise se peignit un instant sur mon visage quand il me dit ce qu’il voulait. Je ne me souvenais pas qu’il ait été blessé dans la journée, mais bien sur on était à l’abri de rien. Est ce que vous avez mal quelque part ?

Si sa réponse me surprit, bien évidemment, mais plus que ça, je me rendis compte qu’il s’était peut être fait mal en cours de journée et qu’il ne le savait pas, donc sa vie était peut être en danger actuellement. Soudain ma fatigue sembla disparaître, alors que je le regardais de la tête au pied. Un problème majeur, c’est que sous tout ce sang et cette poussière, il me serait impossible de voir quoi que ce soit. Très bien, déshabillez vous, je vais aller chercher de quoi vous nettoyer un peu. Je lui fis un dernier sourire avant de sortir rapidement, dans un coin, un grand feu brûlait en permanence pour permettre de nettoyer le matériel au fur et à mesure qu’on l'utilisait. Je pris un baquet, le remplit d’eau chaude, avant de saisir plusieurs morceau de tissus propre. Je retournais ensuite auprès de mon patient. Il était installé sur le lit de fortune attendant mon retour. On va commencer par le visage d’accord. Vous n’avez pas de vertige ou d’envie de vomir ? Certes il ne ressentait pas la douleur, mais, je pensais qu’il pourrait avoir d’autres symptômes en cas de commotion et c’était ce qui m’inquiétait le plus pour le moment. Je m’assis alors à côté de lui, humidifiant le tissus dans l’eau chaude, je m’occupais alors de le passer sur son visage et son cou, dévoilant sa peau pâle sous le sang et heureusement, rien de plus grave que quelques égratignures.
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Pandore Fate
Pandore Fate
Pandore Fate
+ MESSAGES : 17
Pandore Fate
Jeu 7 Mai - 18:45
Elle te fixe, de l’eau ruisselant sur le visage avant de te dire qu’elle est disponible pour te recevoir. Tu la remercies avec un sourire avant de t’avancer vers le centre de la tente. Tu te décharges de ton attirail dans un coin. Tu poses les lames élimées, les courroies et les bonbonnes de gaz - totalement vide - en tas. Puis tu commences déjà à déboutonner ta chemise tandis qu’elle te demande si tu as mal quelque part. Ah oui, il est vrai que c’est la première fois qu’elle te voit. Elle n’est donc pas au courant de ton problème. Tu te grattes l’arrière du crâne, poussant un petit rire. « Eh bien… Le problème c’est que je ne sens rien du tout. » Tu continues de déboutonner ton haut couvert de sang tout en t’asseyant sur le petit lit de fortune face à elle. « Je ne ressens pas la douleur. Jamais. » Et tu lui adresses un sourire. « C’est parfois un avantage, mais c’est bien plus souvent un inconvénient. »

Tu finis par ôter ta chemise alors qu’elle part chercher un seau d’eau pour te nettoyer. Bien vite, ton débardeur, tes longues bottes et ton pantalon suivent. Tu finis par te retrouver uniquement vêtu d’un caleçon, mais tu n’es absolument pas mal à l’aise. Tu as l’habitude que les médecins t’examinent, tu n’es plus pudique depuis bien longtemps. Alors tu t’assoies. Tu attends patiemment son retour en bougeant le moins possible. Au cas ou. Tu as fait de cette maladie ta plus grande force alors qu’elle est aussi ta plus grande faiblesse. Tu sais très bien que tu ne mourras pas vieux, tu ne te voiles absolument pas la face. Premièrement parce que tu sors hors des murs, et que les titans font partie de ton quotidien. Et surtout parce que cette fichue maladie te jouera un vilain tour un jour, de ça tu en es certain. Ceylian te l’a déjà expliqué maintes fois. La douleur, c’est ce qui te permet de rester en vie, c’est ce qui te permet de remarquer qu’un truc tourne pas rond chez toi, un truc qui menace ton intégrité physique. Et de ça tu en es dépourvu. Alors même si tu fais attention, t’es jamais à l’abri d’une merde.

Tu fronces les sourcils. « Non…. » T’as pas de vertiges, pas de nausées. Tu penses te tenir droit sur tes jambes. Comme à l’accoutumé tu penses que tout va bien. Mais tu sais que tu n’es à l’abri de rien. Tu ne bouges absolument pas alors qu’elle commence à te nettoyer le visage et le reste du corps. Il vaut mieux pour toi. Tu la laisse faire sans rien dire, sans rien faire. « Gémaël a l’habitude de s’occuper de moi mais il est bien trop occupé. » Finis-tu par dire. « Vous pensez être…. à l’aise avec ce genre de maladie? Vous savez ce que vous avez à faire? » Non parce que clairement… Tu peux pas donner ton corps au premier médecin venu.
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Alen Nine
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Alen Nine
+ MESSAGES : 22
Alen Nine
Ven 8 Mai - 21:05
J’attendais qu’il me dise où il avait mal, ce qui lui posait problème afin que je puisse l’aider au mieux et le soigner plus efficacement. « Eh bien… Le problème c’est que je ne sens rien du tout. Je ne ressens pas la douleur. Jamais. C’est parfois un avantage, mais c’est bien plus souvent un inconvénient. » Je me redressais alors pour le regarder, me demandant un moment s’il plaisantait, mais son visage était sérieux alors qu’il continuait de déboutonner sa chemise. Ce genre de maladie, j’en avais entendu parler, je savais que c’était rare, presque inexistant, mais je savais aussi combien cette maladie pouvait être mortelle pour la personne qui en souffrait. C’est pourquoi, je le pris en charge tout de suite.

Lorsque je reviens dans la tente, il est en sous-vêtement et je laisse mon regard glisser sur son corps, premièrement c’est strictement professionnel, j’essaie d’avoir une vision global, m’assurant qu’il n’ai pas une plaie visible. Deuxièmement, même si je reste dans mon rôle, je ne peux pas me mentir, cet homme est beau et je m’éclaircis rapidement la gorge alors que je m’installe près de lui. « Non…. » Voilà déjà une bonne nouvelle, même si ça ne l’annule pas à 100% le risque de commotion est tout de même minime. Je prend alors le tissu humide et le passe sur son visage, son cou et sa nuque. Même si je compte nettoyer sa peau avant tout, je suis penchée vers lui, relativement proche et je scrute son corps, je veux être sur que rien ne m’échappe. « Gémaël a l’habitude de s’occuper de moi mais il est bien trop occupé. Vous pensez être…. à l’aise avec ce genre de maladie? Vous savez ce que vous avez à faire? » J’étais en train de passer le tissus sur sa cuisse quand il parla de nouveau, je relevais les yeux vers lui et sourit en coin. Il a effectivement beaucoup de travail. C’était un défilé sans fin de malade, de blessé et de mourant, j’avais l’impression que ça ne s’arrêterait jamais, alors finalement, la présence du jeune homme me faisait une pause plus que la bienvenue. Je n’ai jamais soigné personne ayant votre maladie, mais je vous promet… que je vais être très vigilante et que si j’ai le moindre doute, je ferais venir Gémaël pour qu’il puisse vous ausculter, d’accord ? Il ne me connaissait pas, je comprenais parfaitement ces doutes, je ne sais pas comment je me sentirais dans sa situation, alors je le trouvait vraiment courageux de faire ce qu’il faisait jours après jours.

Je repris alors mon occupation et pour le moment, tout ce que je pouvais trouver, c’était des bleus, rien de méchant, mais alors que je nettoyais son bras gauche, quand j’arrivais à sa main, je grimaçait un peu. Vous avez deux doigts de cassés. Même si je savais qu’il ne ressentais pas la douleur, je tenais sa main avec la plus grande douceur. Ce genre de blessure, même si elle ne mettait pas sa vie en danger, pouvait fortement l’handicapé si c’était mal soigner. Je vais devoir en remettre un en place et ensuite, il faudra les garder immobiliser jusqu’à la guérison complète. Je pose doucement sa main sur sa cuisse pour éviter d'aggraver les blessures. Puis je me lève pour aller lui chercher ce qui lui servira d’atèle. Je reviens rapidement près de lui et m’assoie en face de lui. Normalement, je vous dirais que je suis désolée, que vous allez avoir mal. C’est tellement étrange, savoir qu’il ne va pas souffrir alors que je vais lui remettre les doigts en place. Restez immobile, ne bouger pas votre main. Puis lentement, je commence à manipuler ses doigts, concentrée sur ma tâche, proche de lui et grimaçant à chaque fois que je fais un geste qui chez un autre aurait déclenché des douleurs horrible.
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Pandore Fate
Pandore Fate
Pandore Fate
+ MESSAGES : 17
Pandore Fate
Lun 18 Mai - 0:42
C’est pas que t’es pas confiant Pandore. Loin de là. C’est juste que tu ne t’y connais absolument pas en médecine. Tu n’as jamais pu te soigner toi même. Déjà parce que tu ne remarques aucune de tes blessures. Mais tu dis bien aucune. Tu ne sens pas les brûlures. Tu ne sens pas quand tu te coupes. Ni quand tu te cognes. Tu remarques quelque fois qu’un truc cloche. Mais tu sais que tu ne peux pas te fier à tes yeux. Une coupure peut vite se transformer en nid à bactéries. Un hématome peut cacher autre chose qu’un coup. Autant dire que tu as l’habitude d’aller chez le docteur. C’est chiant, c’est lourd. Mais tu ne peux pas y échapper. Tu as pris l’habitude très jeune d’aller chez Ceylian, environ deux à trois fois par semaine. Plus toutes les fois où tu pars puis reviens de mission. C’est lourd, tu ne vas pas le cacher. Mais tu ne peux pas faire autrement de toute manière.

Ses mains passent sur ton corps. Tu la vois mouiller un linge et elle se penche sur toi pour éponger ton visage. Tu fermes alors les yeux, te laissant aller à ses mains expertes. Tu sens son souffle chaud sur ta peau en même temps que l’eau la rafraîchi. Et lorsqu’elle a terminé avec ton visage tu ouvres à nouveau les yeux pour la regarder nettoyer le reste de ton corps. Et tu n’es pas gêné non. Tu sens ses mains passer sur ton torse, tes cuisses. Elle examine tout en détail et cela te rassure. Elle te semble tout aussi consciencieuse que Ceylian. « Son père me soignait avant lui. Disons qu’il me voit plusieurs fois par semaine. Mon corps n’a plus de secret pour lui. » Tu ris doucement tout en la regardant. « Très bien je vous fait confiance. De toute manière il vaudrait mieux que je m’habitue à voir une civile en plus de lui. Juste au cas ou... » Juste au cas où il disparaisse oui. Tu ne lui souhaite absolument pas mais Ceylian est… très particulier en exploration.

Elle finit par tirer la grimace lorsqu’elle arrive à l’une de tes mains. « Oh. » C’est la seule chose que tu dis en tendant le cou pour passer au dessus de son épaule pour regarder l’état de tes doigts. Et tu remarques en effet que deux de tes doigts sont très gonflés et rouge. Et que tu ne peux plus les bouger. « Ah oui. » Et tu grimaces lorsqu’elle te dit que tu vas devoir garder ta main au repos pendant quelques temps. « Vous savez pour quelle durée à peu près? Je vais quand même pour utiliser l’équipement tridimensionnel? » Parce que oui on est bien d’accord, on risque d’avoir besoin de toi pour les jours à venir. Tu le sais. Le bataillon ne veut pas perdre le district et fera tout pour le récupérer, de ça tu en es certain. Alors il faut que tu sois là, il faut que tu sois présent pour les aider. Tu ne peux pas les laisser tomber.

« Allez-y soyez tranquille. » Tu lui souris avant de commencer à regarder autour de toi. A voir comment ces médecins réussissent à s’organiser. « J’espère ne pas vous avoir fait trop peur tout à l’heure lorsque je vous ai prise dans mes bras pour vous mettre en sécurité. » Et t’es tout à tes pensées en tournant à nouveau les yeux vers elle, observant ses cheveux flamboyants. « Vous avez réussi à retrouver le petit au fait? » penses-tu soudainement. « Oh vous avez déjà fini? » Dis-tu alors que les craquements de tes doigts ont fini de se faire entendre.
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