Attack on Titan
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[DONE] Tu avais une bouille d’angelot ce matin (ft Silas)
Psyche A. V. Argyre
Psyche A. V. Argyre
Psyche A. V. Argyre
+ MESSAGES : 49
Psyche A. V. Argyre
Lun 20 Avr - 20:22
Tu es dans les écuries, à t’occuper d’Éros comme tous les jours où vous êtes en ville. Ça ne te dérange pas, toi, d’avoir la même routine de jour en jour et de ne pas galoper le vent dans les cheveux. Tu aimes la liberté étrange que t’offre le Bataillon d’Exploration, c’est certain, mais tu aimes aussi ta vie suffisamment pour vouloir rester loin des dangers. Disons que les deux pendants de ton quotidien, entre sorties et vie entre les murs est un équilibre qui te comble.

Tu as brossé le poil d’Éros si longtemps que le tout jeune étalon somnole, la tête appuyée sur la porte du box et que son gris pommelé semble briller sous le soleil. Toi, ça t’a fait un bien fou. Tu as oublié que tu avais… peut-être, sans vraiment penser à mal… quitter l’appartement que tu as à Karanes sans prévenir l’homme qui te garde en vue à tout instant. Il dormait si bien quand tu as poussé la porte de sa chambre que tu n’as pas eu le coeur à le réveiller. Tu as juste rédigé un petit mot sur la table principale de la maison pour lui dire que tu serais sage et que tu espérais qu’il se soit bien reposé. Un remerciement pour être à tes côtés. Un souhait de bonne journée. Et tu es partie.

Si depuis que tu es dans le box tu n’as pas entendu la voix de ton gardien silencieux, tu te doutes presque qu’il est déjà là. Il a dû s’asseoir quelque part, en silence, de manière à faire tu-ne-sais-quoi tout en gardant un coin d'oeil sur toi. Silas commence presque à être un livre ouvert pour toi, c'est amusant. Et le fait de savoir qu’il n’est certainement pas très loin, ça te rassure drôlement aussi, petite princesse.

Tu en finis quand tu sors du box, et que tu offres un long câlin à ce fougueux étalon au caractère en or (à tes yeux du moins, quand il devient incontrôlable, tu imagines facilement que Silas ne l’aime pas autant), et puis, comme toujours quand tu es seule (ou presque), l’inspiration du moment te fait citer ces textes sacrés que tes parents t’ont enseignés, encore et encore.

« Et il me répondit : Tu aimeras ton Dieu, de tout ton coeur, de toute ton âme, et de toute ta pensée. Tu t’écartes du cheval et avec un sourire serein, tu te détournes pour chercher Silas des yeux. C'est le premier et le plus grand commandement. Tu t’avances vers lui, assis dans un coin comme prévu. Et voici le second, qui lui est semblable : Tu aimeras ton prochain comme toi-même. »

Et sans prévenir, Psyche, tu te laisses choir avec la grâce d’une vénus à ses côtés. Tu adores cette citation, parce que tu adores l’amour qu’il y a pour ta foi, mais surtout entre les humais. C’est même pour cela que tu es si bonne avec tout le monde, que tu offres sans compter, que tu pourrais certainement donner trop, à quelqu’un d’un peu trop mauvais. Enfin… s’il ne veillait pas sur toi.

« Tu as bien dormi, Silas ? Tu lui demandes, en venant poser simplement ta tête contre son épaule, sans réfléchir, simplement heureuse de ta journée. Tu avais une bouille d’angelot ce matin, ça m’a touchée. Et te voilà déjà à t’écarter de lui, parce que tu te rappelles qu’il n’a pas l’air d’aimer tant que ça les contacts humains. Comment vas-tu ? »

Toujours à te soucier des autres, toujours à t’oublier toi. Tu as passé la matinée ici, tu n’as que très peu dormi parce que ta tête fourmillait d’idées et tu n’as rien avalé encore, mais tu es bien. Et quand tu te remets debout, devant lui, les poings sur les hanches, avec ce grand sourire qui plisse toujours un peu tes yeux, tu lui dis :

« Je voudrais apprendre à faire sauter Éros plus haut, tu m’apprendras cet après-midi ? »

Parce que Silas sait tout faire et que tu aimes apprendre de lui, même si lui, ça peut le faire râler.
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Silas E. Athanasia
Silas E. Athanasia
Silas E. Athanasia
+ MESSAGES : 41
Silas E. Athanasia
Mer 22 Avr - 19:50
Tu ne dors jamais, non, jamais sur tes deux oreilles, Silas. On ne peut même pas dire que c'est une habitude que tu as prise, parce que, si on questionne ta chère mère à ce sujet, elle dira probablement que tu n'as jamais su dormir correctement, et ce depuis ta naissance. Oui, c'est ça, la grande madame Athanasia aime énormément son fils, mais elle aurait largement de quoi s'en plaindre si on venait à la lancer sur le sujet, et la première chose qu'elle dirait, ce serait que tu lui as pomper l'air durant des mois, puis des années, parce que tu n'as jamais été capable de faire une seule nuit entière. Que tu as été épuisant, et que tu es sans nul doute responsable de ses tous premiers cheveux blancs. Et pourtant. Évidemment, tu dors. Peu, c'est vrai. Mais après une longue journée, il est bien évident que tu ne tardes pas à sombrer, d'autant qu'on ne va pas se le cacher, mon vieux, ta vie n'est pas de tout repos.

Ton problème principal, le poison de tes jours, mais aussi celui de tes nuits, c'est elle. C'est cette jeune femme. La fille Argyre. Celle que l'on t'a chargé de protéger, de garder, et ce au péril de ta vie. Le problème avec toi, c'est que, lorsque l'on te confie une mission, tu y mets bien trop de sérieux et d'application. C'est comme ça que tu t'es retrouvé à faire don de ta vie à cette nana. Ouais. Et quand elle a fuit la maison, toi, trop dévoué, t'es partie avec elle. Et tu la couvres, encore, toujours. On ira pas jusqu'à dire que obéis à ses ordres mais … C'est un peu ça, quand même. Même quand elle t'agace – et dieu sait que t'en as, du caractère – tu gardes le silence, tu contiens, tu gardes tout à l'intérieur. Tu la remets à sa place, tu lui fais la leçon, mais tu n'es pas capable d'avoir un mot plus haut que l'autre pour elle. Pourtant y'a des moments où … argh, ouais. Tu pourrais tout casser, tellement ça t'agace, parce qu'elle a ce don de se glisser hors de ton champ de vision, et toi, et bah, ça te fais paniquer. Pourtant, tu es bon. T'es même sacrément bon dans ton domaine, sans vouloir te vanter. Mais c'est insuffisant, surtout pour une fille qui a fait en sorte de s'engager au beau milieu du danger des Bataillons, et qui s'est donc arrangée sans s'en rendre compte pour que t'en fasses de même.

Quand tu te réveilles, en sursaut, tu as un pressentiment, tu t'habilles, rapidement, et quand tu sors de ta chambre, elle n'est plus là, à la place, il y a ce petit mot que tu chiffonnes et que tu balances dans un coin pour passer tes nerfs avant de sortir en passant par la fenêtre pour éviter de faire le tour. Pour une fois, tu ne tardes pas à le retrouver. Elle est à l'écurie, occupée à dispenser bonne parole à son canasson et toi, tu viens juste t'asseoir à une distance raisonnable, et tu restes immobile, le temps qu'elle en finisse, tout en t'arrangeant pour la regarder de loin. Peut-être ça vient de là, le fait qu'elle t’obsède. T'es obligé de la regarder tout le temps … maintenant, elle apparaît même dans tes rêves, et s'il y a un dieu qu'il te pardonne, parce que tes rêves ne sont pas toujours si sages.

« Un angelot. Rien que ça. » T'as clairement pas une gueule d'ange, mon vieux, t'aurais même tendance à dire le contraire, déjà, parce que tu souris jamais. Cependant, hors de question de se lancer dans un débat à ce sujet, comme toujours, tu fais comme si elle avait raison, quand bien même t'es persuadé du contraire. C'est dans ton éducation. Ceux qui sont au dessus de toi ont toujours raison. Elle a toujours raison. « Est-ce si difficile, de me réveiller, lorsque vous souhaitez sortir, demoiselle ? » C'est pourtant pas bien compliqué. T'as le sommeil léger, suffit de dire ton nom pour que tu bondisses hors de ton lit et que tu sois sur le pied de guerre. Franchement, c'est l'une des choses que tu ne comprendras jamais chez elle, et c'est pas faute de lui dire à chaque fois. « Quel besoin ce cheval aurais t-il de sauter plus haut ? » Il lui suffit pourtant de savoir galoper, et vite. « Mais soit. » Inutile, mais tu t'y plieras, comme d'habitude. « Avez-vous au moins pris le temps de prendre un petit-déjeuner ? » Ah. Parce que oui, maintenant qu'il n'y a plus que toi dans le sillage de cette fille, en plus du rôle de garde du corps, tu as aussi pris celui de … mère-poule, visiblement.
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Psyche A. V. Argyre
Psyche A. V. Argyre
Psyche A. V. Argyre
+ MESSAGES : 49
Psyche A. V. Argyre
Mer 22 Avr - 21:14
Tu es contente que Silas soit bien là, c’est sûrement pour ça que tu es aussi ouverte et sans limites. Enfin… plus que d’habitue s’entend. Tu souris jusqu’au bout des lèvres, jusqu’aux oreilles oui et si tu t’es laissée tomber près de lui, te revoilà déjà debout. Tu trépignes, tu pourrais certainement l’attraper par la main pour le tirer à ta suite, avant d’avoir sa réponse, mais sa question te prend par surprise.

Tu t’arrêtes de sauter partout, tu le regardes bizarrement à vrai dire. Tes yeux se plissent, tes lèvres se pincent et pendant un instant on pourrait croire que tu vas t’énerver ou piquer une crise comme une jeune femme de ton âge peut le faire. Mais non, tu n’es pas comme ça. Tu finis par retrouver un sourire en coin en levant les yeux au ciel :

« Bien sûr que non, j’aurais juste eu besoin de me glisser sous tes draps pour que tu prennes peur et te réveille, je le sais bien ! Tu ris un peu, parce que Silas est sacrément réactif quand il s’éveille. Mais tu as besoin de sommeil, c’est important pour moi que tu puisses te reposer. Et puisque je n’allais pas loin et je ne prenais aucun risque, j’ai préféré te laisser dormir, voilà tout. »

Tout est si simple dans ton monde, n’est-ce pas ? En tout cas c’est bien ce qui apparaît dans tes propos… Dans le fond, Psyche, tu sais bien que rien n’est aussi simple, tu fais juste semblant que ça l’est. Tu as eu un mal fou à accepter que Silas te suive, au début. Et si tu as voulu t’enfuir plus que de raison, tu as aussi entendu ta mère parler de punition s’il échouait. Alors tu essaies… de faire un entre-deux ? Entre sa mission et sa vie privée… tout ça parce que ça te fait peur qu’il puisse souffrir, être fatigué ou blessé par ta faute. Parce que tu es une Argyre.

Et ça se voit sur ton visage que quelque chose se passe dans ta tête. Tes yeux chocolat semblent tourner au noir et tes traits s’affaissent. Pendant quelques secondes, tu as l’air bien plus vieille, Psyche. Plus fatiguée aussi et plus marquée par la vie. Mais avant que ça ne s’inscrive en toi, tu te secoues.

« Il s’en fiche, Éros, mais moi je veux être meilleure à cheval. Et puis tu imagines si un arbre tombe, pendant une mission, je serais bien bloquée si je ne sais pas sauter avec lui ? Qu'est-ce que je ferais...? »

Toi en tout cas, tu visualises très bien le titan qui arrive derrière toi et l’arbre qui t’empêche d’avancer. Tu n’as même pas envie de voir la suite du petit film parce que ça finit sur des gerbes de sang et avec l’estomac vide ça risque de te faire vomir…

« Je… Tu t’arrêtes, embêtée. Si tu as pris l’habitude de mentir à tes parents sur tes repas, tu n’aimes pas le faire avec Silas. Je n’ai pas pris de petit-déjeuner, mais je n’ai pas faim encore ! Et tu es sur le point de te mettre en mouvement pour aller chercher Éros, mais tu te penches subitement vers lui pour coller ton index tendu sur son nez. Dis-moi, est-ce que j’imagine mal où tu as dû te lever, t’habiller et sauter, encore, de la fenêtre ?! Tu devrais manger, t’es grand et fort, il faut de la nourriture pour articuler ta grande carcasse, Silas ! »

Ah parce que oui, toi tu peux ne pas manger, mais lui non. Toute une logique, tout ça non ? En tout cas, tu restes quelques instants de plus penché sur lui, à le toiser avec le doigt contre son nez et finalement, tu te relèves en soupirant. Ta main se tend comme lui peut le faire quand tu veux te relever et qu’il est déjà debout.

« Allez viens, on va manger quelque chose et on fera du saut après ! Tu veux manger quoi ? Si tu veux rentrer, je peux te faire des crêpes ? »

Et comment dire Psyche ? Tu te mens, toi, mais la dernière fois tu as failli mettre le feu à al cuisine en voulant lui faire une omelette… Tu es persuadée qu’il y avait un problème avec le poêle, mais le souci c’est plutôt toi, hein.
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Silas E. Athanasia
Silas E. Athanasia
Silas E. Athanasia
+ MESSAGES : 41
Silas E. Athanasia
Ven 24 Avr - 13:17
Comment est-ce que tu arrives à supporter ça au quotidien, déjà ? Non mais. Regarde là, franchement. Et puis, écoute là surtout. Quelle jeune fille de bonne fille est capable de sortir de telles choses le plus naturellement du monde … Elle. Tu ne vois qu'elle. Et elle, vois-tu, elle a le don de te rendre dingue. Complètement dingue. Parce qu'elle en est capable, hein. Oui, oui, oui. Et forcément, tu auras exactement la réaction qu'elle décrit si elle le fait. Tu sauteras immédiatement de ton lit, parce que tu auras senti l'odeur ses cheveux trop près de tes narines, parce que tu l'aurais sentie bouger entre tes draps, et qu'elle t'auras probablement effleurer. Le truc, c'est que ce n'est clairement pas de la peur, du moins, pas au sens où elle l'entends. De la surprise, oui. Et une espèce de panique plus dirigée vers toi que vers elle, ça, c'est une évidence. « Je n'ai aucunement besoin de dormir plus que de raison. » Tu l'as déjà dis, non ? Oui. Évidemment que tu l'as déjà dit, et même répété, mais c'est à croire que quand quelque chose lui donne tort, elle refuse de l'entendre et de l'intégrer. Dieu ce qu'elle pénible. « Réveillez moi, la prochaine fois. » Ça aussi, tu l'as déjà dit. Tu l'as même déjà il y a approximativement une minute. Et pourtant. Ça aussi, t'es obligé de le répéter avec le faux espoir que peut-être, un jour, ça finira par rentrer.

Tu soupires, maintenant, tu viens passer une main sur ton visage, rapidement, las devant le scénario qu'elle vient de s'imaginer. Un arbre qui tombe. Bien sûr, tu visualises bien la scène, en mission, et tu ne peux pas dire que c'est impossible et que ça n'arrivera jamais, c'est faux, complètement faux. Cependant … tu n'as pas changé d'avis pour autant. Ce cheval doit être doué de vitesse, le reste n'est qu'optionnel. « Je vous rappelle que vous avez un équipement dans ces cas là ... » Bien sûr, ça signifie le laisser le cheval sur place, mais on sait parfaitement que les titans ne s'intéressent pas aux chevaux, et que lorsqu'il arrive que certaines montures soient perdues, ce sont généralement de fâcheux incidents isolés. Malgré tout … Oui. Tu sais déjà qu'elle va continuer d'insister, tu sais aussi qu'elle sera la grande gagnante de cette petite joute et que toi, tu vas juste prendre le temps pour lui apprendre à faire sauter ce maudit cheval. Oui, monsieur, tu es fort, mais pas tout. Tu es résistant mais pas face à elle. En fait, Silas, face à Psyche Argyre, tu es la faiblesse incarnée. En attendant, tu décides juste de détourner son attention avec l'idée de manger. Et elle proteste, oui. Et elle retourne encore une fois la situation et alors qu'elle s'éloigne, elle finit par te coller un doigt sur le nez, et toi, tu louches comme un crétin, la bouche entrouverte, tu as clairement l'air d'un demeuré.

Et tu grognes. Oui. Tu grognes comme un vieil ours contrarié, sans oser aller plus loin dans la protestation, comme toujours. Ce n'est que lorsqu'elle te parle de te faire des crêpes que tu réagis, en vérité, la dernière fois, tu as du lutter contre un début d'incendie dans la petite cuisine parce qu'elle s'était mise en tête de cuir des œufs en omelette. Tu avais du éviter le pire, oui, puis nettoyer, oui, oui, et enfin, c'est toi qui avait fini par cuisiner parce qu'au final, qu'est-ce que tu ne sais pas faire, Silas ? Cette fois, pourtant, tu te dis juste que c'est tout bonnement hors de question. Non. Tu ne feras pas les crêpes à sa place, quand bien même les tiennes sont de vraies merveilles. « Oubliez les crêpes … le marché est ouvert, on va aller là-bas. » Oui. Voilà, très bonne idée. Il y a de très bonnes choses sur le marché. D'ailleurs, tu te redresses – sans avoir pris sa main, et puis quoi, encore ? - et d'un mouvement agile et rapide, tu viens te saisir de son bras. C'est étrange d'ailleurs, cette faculté que tu as à agir si vite, et avec autant de force, tout en parvenant à laisser transparaître une certaine douceur dans tes gestes. Tu l'attires avec toi, pour ne surtout pas lui laisser le champ libre afin de récupérer ce cheval, pas tout de suite, mais tu le fais sans brusquerie et finalement, tu la relâches même pour juste venir la pousser légèrement d'une main dans le dos. « J'ai faim, allons manger. » Faux. Complètement faux. Tout ce que tu veux, c'est qu'elle mange, alors tu as décidé de jouer à son propre jeu.
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