Attack on Titan
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Fuis moi je te suis. Suis moi je te fuis ▬ Ft. James
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Jeu 26 Nov - 13:45


Fuis moi je te suis. Suis moi je te fuis !


Tu marches tranquillement dans la rue, capuchon rabattu sur la tête. Il pleut à verse, et ce n'est pas pour te déplaire. Tu aimes ça, la pluie. T'aimes bien être trempé de la tête au pied. T'aimes bien être frigorifiée, sentir ces lames glacées traverser ta peau. Cela te fait te sentir plus vivante, cela te nettoie de toutes les impuretés et les immondices qui proviennent de ce monde souterrain qu'est le tien... Le vent souffle violemment, faisant claquer les pans de ta cape, révélant l'équipement tridimensionnel que tu viens de voler au nez et à la barbe des Spéciaux. Quelle bande d'abrutis. Même pas capable de voir ce qu'il se passe sous leur nez. Il suffit qu'une jolie blondasse comme toi vienne leur faire les yeux doux et voilà qu'ils en oublient leur travail. Tu m'étonnes que le mur de Shinganshina soit tombé... Tché. Ça ne pense vraiment qu'à ça un mec. A profiter des femmes et à les mettre dans leur lit... C'est qu'ils avaient pas l'air futés les soldats là, à te regarder dans les yeux avec deux ronds de flanc. Enfin, te regarder dans les yeux... Ouais, on dira cela. Ta chemise entrouverte laissait entrevoir ta poitrine généreuse, ce que n'avait pas manquer de remarquer les deux hommes qui s'étaient bien rincer l'oeil. D'ailleurs tu es sur d'avoir déjà couché avec l'un d'entre eux... Ethan ce n'est pas ça? Tu l'avais rencontré un jour dans une taverne... Un bon coup d'un soir. Il était facile à berner, tu avais tout de suite remarqué que les femmes étaient son point faible.... Et maintenant tu en abusais... Tu souris, resserrant la prise sur ta cape, cachant l'équipement aux yeux des autres. Tu jettes un coup d'oeil autour de toi, furtivement. Là bas, il y a un homme des Spécial qui semble t'avoir remarqué... Tu t'arrêtes quelques secondes, le fixant, un sourire narquois aux lèvres...

Tu le sais... Tu le sens. Il t'a vu, il a remarqué l'équipement. Il a remarqué que tu n'étais pas un soldat. Tu relèves lentement la tête, lui souris, et finis par sortir une main de sous la longue cape pour lui adresser un signe. Va t'il te poursuivre? Voilà quelque chose qui serait drôle... Excitant même. Ta langue passe sur tes lèvres, et tu tournes les talons en direction de l'escalier menant au sous sol... Tu accélères, juste un peu. Tu ne veux pas le semer oh non. Tu as envie de jouer au jeu du chat et de la souris. Tu n'as pas envie qu'il t'attrape. Il ne t'attrapera pas de toute manière, tu es agile, rapide. Plus rapide que ces balourds de soldats. Tu marches rapidement, sautillant gaiement, jouant et sautant dans les flaques d'eau tandis que l'homme te suit. Tu es... insouciante? Sans doute. Tu n'as pas peur de cet homme. Que te ferait-il de toute manière? Il te foutrait en prison? Tu aurais tôt fait de t'en échapper grâce à Caelan et ses hommes. Il te violerait? Bof. Tu as déjà subit ça, une ou deux fois de plus finalement, qu'est-ce que ça change... Ces blessures, ça finit par cicatriser, et puis quand on est une putain... On ne peut pas dire que les autres sont doux avec toi... Tu sifflotes, et finis par sortir une bourse de ta poche. Tu as volé pas mal de gens ce matin. Il y a quelques bagues, colliers et bracelets en tout genre... Tu en essayes une tandis que tu commences lentement à descendre le long escalier menant au souterrain...

La lueur du soleil se fait de moins en moins forte. L'obscurité s'étend à tes pieds. Tes yeux n'ont aucun mal à s'habituer à la pénombre, c'est que tu as l'habitude de vivre dans cette caverne sombre, sale et humide... Les pas de l'homme résonne derrière toi, et tu attends que l'obscurité soit des plus forte, tu attends d'être arrivée en bas de cet interminable escalier pour te faufiler dans une fine interstice. Doucement, lentement. Tes pas sont rapides, lestes. Il ne peut t'entendre. Te voilà cachée à ses yeux, et le voilà qui s'avance vers toi.... Il passe devant toi sans t'apercevoir, et tu ne peux laisser échapper un rire amusé de ta bouche. " Alors on s'est perdu mon minou? "
© TITANIA
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Ven 1 Jan - 18:07
Fuis moi je te suis. Suis moi je te fuis
ft. Edwige
Journée comme les autres a faire des rondes interminables, et en équipement. Je soupire un grand coup alors que mes pas m’entraînent vers l'entrepôt, où l'on trouve toutes les réserves d'équipement des spéciales. Encore un autre tour, je dépose l'équipement et j'aurai fini ma journée. Alors que je m'approche tranquillement, j'aperçois non loin une femme. Rien de particulièrement anormal les civils peuvent passer dans le coin, même s'il y en a peu qui le font. Mais quelque chose attire mon regard, non pas qu'elle soit jolie et bien formée, mais plus comme si quelque chose n'allait pas. Je fronce les sourcils et finis par remarquer, sous les plis de sa cape, un équipement tridimensionnel qu'elle n'est pas supposée posséder. Ces crétins de gardes se sont laisser embobiner forcement. Je jure intérieurement et m'élance alors qu'elle cours aussi, m'ayant remarqué. Mes appels lui intimant l'arrêt ne sont pas écoutés, normal jusque là, le jour où ça marche on sera au paradis. Quelques camarades se lancent aussi à sa poursuite mais sans grand entrain, leur journée se terminant, ils ont pas envie de courir après quelqu'un. Mais je me retrouve totalement seul alors que la voleuse descend dans le souterrain, aucun d'eux ne souhaitant se faire chier à patauger la dedans. Je pourrais moi aussi laisser tomber qu'ils me disent. Ils me connaissent pas je suis pas du genre à lâcher le morceau comme ça.

Mes yeux mettent un peu de temps à s'habituer à la pénombre contrastant avec l'extérieur même si ça aurait pu être pire comme il pleuvait aujourd'hui. Mais c'est suffisant pour me faire perdre de vue ma cible. Je souffle, si je ne le retrouve pas d'ici quelques minutes j'aurais plus qu'à remonter bredouille. Cependant ça ne semble pas dans les plans de la voleuse, qui m'interpelle alors que je passe devant sa cachette. Je fais volte face tout en prenant les manettes de mon équipement pour tirer un grappin dans sa direction, qui viens se planter à quelques centimètres d'elle.

La prochaine fois je ne te louperai pas, pose cet équipement au sol et vas t'en. Pas la peine de jouer de tes charmes c'est inutile ils seront sans effet.

J'espère que la manœuvre d'intimidation marchera, ça l'aura au moins surprise. Bien que je me doute que les gens vivant ici sont d'une autre trempe que le simple civil. J'espère donc qu'elle va simplement me donner ce qu'elle a volé et qu'on en reste là. J'ai autre chose à faire que de devoir la ramener au QG pour la foutre en prison, surtout que c'est le genre de personne qui s'en échappe en deux en trois mouvements.
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Dim 24 Jan - 17:33


Fuis moi je te suis. Suis moi je te fuis !



Traquée. Pourrais-tu dire que tu es traquée par ce soldat des Spécial ? Sans doute oui. Si plusieurs soldats se sont lancés à ta poursuite après avoir entendu le premier te héler, ils ont bien vite baissé les bras. Il n’en reste plus qu’un à tes trousses.  Forcément, il faut bien qu’il y ait un chieur dans le lot. Pourtant, au lieu de te sentir frustrée ou énervée d’avoir été découverte, tu t’en amuses. Au moins, il y aura de l’action en ce jour pluvieux. Tu inspires et expires profondément, doucement. Tu te fais le plus petit possible, te collant contre la paroi, te fondant dans l’obscurité. Ton monde, tu le connais, tu sais comment faire pour te rendre invisible, pour te cacher des regards indiscrets… Tu entends les pas s’approcher, et tu vois la forme sombre du soldat passer devant toi. Tu bloques ta respiration le temps qu’il descende les dernières marches. Et tu sens son odeur tandis qu’il te frôle, tandis qu’il avance à l’aveugle, te cherchant. Tu pinces les lèvres, ravie de la tournure que prennent les événements.  Voyons voir si ce soldat en vaut la peine… Tu finis par lui rire au nez tandis qu’il se tourne vers toi d’un coup sec, tirant un grappin dans le mur derrière toi. L’air siffle à tes oreilles tandis que l’arme s’enfonce à quelques centimètres à peine de ta joue. « La prochaine fois je ne te louperai pas, pose cet équipement au sol et vas t'en. Pas la peine de jouer de tes charmes c'est inutile ils seront sans effet. » Ton rire s’arrête net. Oh non, ce n’est pas la peur qui a pris possession de ton corps, mais tu as été surprise il est vrai. Tu ne t’attendais pas à cette réaction de sa part, à cette vitesse d’exécution, à cette… Menace. D’ordinaire les soldats à la licorne sont bien plus mous, rechignant à la tâche, plus habitués à ce type d’exercice. Tu l’as encore vu tout à l’heure, trois soldats te suivaient, un seul a fini par rester. Peut-être en vaut-il la peine cette homme…

Tu le laisses s’approcher, restant à ta place, ne décollant pas du mur. Ta bouche a fini par se refermer, et tu le fixes, une moue rieuse sur le visage, le détaillant de la tête aux pieds. Approchant de la quarantaine, il semble toujours svelte et athlétique. Son visage fermé et froid ne laisse pas place à la plaisanterie, tu sais qu’il dit la vérité. Et pourtant, la situation t’excite, il est rare que tu ais à faire à un véritable homme. A quelqu’un qui a des principes et ne se laisses pas influencer par tes charmes. Peut-être l’as tu sous-estimé, mais tu as lancé le jeu, et tu ne comptes pas t’arrêter là. Tu relèves la tête, plantant ton regard dans le sien et mettant en avant ton corps et ta poitrine. « Vous me semblez bien trop droit pour oser frapper une femme mon ami. » Tu pinces les lèvres, aguicheuse, et battant des cils innocemment. Tes lèvres sont humides et ouvertes, prête à donner un baiser. « Mmm… Je ne crois pas avoir eu un jour le plaisir de t’accueillir entre mes draps… Je me trompe ? » Tu tentes le tout pour le tout. Très peu d’hommes résistent à tes charmes, en fait, seuls les homosexuels te résistent. Les femmes et les hommes défilent dans ton lit, à toutes heures, de jour comme de nuit. Comment ce soldat pourrait-il résister à tes charmes, à ta poitrine bombée, à tes lèvres charnues et à tes cuisses musclées ? Comment un simple homme te résisterait-il ? Le combat va être dur, tu le sens, tu le vois dans son regard, mais tu ne te laisseras pas faire. Tu ne veux pas rendre cet équipement.


© TITANIA
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Mer 9 Mar - 17:52
Fuis moi je te suis. Suis moi je te fuis
ft. Edwige
Bien que j’admette qu’elle sache user de ses atouts, ils restent sans effets sur moi. Non pas qu’ils ne m’attirent pas, mais à ce moment précis, c’est ma conscience professionnelle qui me gouverne. Lorsqu’elle avance d’un pas, je me recule d’autant, laissant une distance de sécurité entre elle et moi. Qui sait ce qu’elle peut cacher d’autre dans ses vêtements ? Je la détaille un peu, sans la dévorer du regard. Juste de quoi évaluer si elle a de quoi me jouer un coup fourré. Mon visage est de marbre, pas un sourire, pas une étincelle de désir dans les yeux, pas un sourire, juste un air sérieux. Je sais à quoi elle joue, et je ne lui ferai pas le plaisir d’y jouer avec elle. Une chance au final que ce ne soit pas quelqu’un d’autre qui l’ait poursuivi, il se serait fait mené en bateau. J’en viens même à me demander ce que ferai Ethan. Surement qu’il succomberait à ses désirs avant les autres. Après avoir pris la mesure de la fille, je m’avance d’un coup sec, lui prend le bras et le tord avant de la plaquer contre le mur. Une fois l’avoir immobilisé d’une poigne ferme et ignorant les piques qu’elle ne va pas manquer de m’envoyer, je commence à retirer les sangles de l’équipement qu’elle a volé.

Pas besoin de frapper pour avoir ce que je suis venu récupérer. Maintenant arrête de gigoter où je vais aussi te mettre au trou. Et garde tes avances pour toi, j’en ai rien à faire.

Je continue donc de retirer l’équipement, tandis qu’elle tente d’échapper à mon emprise. Elle manque plusieurs fois de le faire, et elle y serait arrivée avec la grande majorité des soldats. Mais malheureusement pour elle, cette fois-ci elle est tombée sur moi, major de promo, caporal des spéciales et sans vraiment me vanter, un des meilleurs soldats de la brigade. Non elle ne s’attendait déjà pas à être poursuivis, et encore moins à tomber sur plus fort qu’elle, sur une personne ne réagissant pas à son principal atout. Je lui bloque l’autre bras pour défaire les sangles de l’autre côté, faisant finalement choir au sol l’équipement tridimensionnel.

Bien maintenant que j’ai cet équipement, je vais te lâcher et tu vas partir d’ici sans faire d’histoire.

Je pousse du pied l’équipement un peu plus loin derrière moi. Puis je recule rapidement tout en la relâchant. Après avoir mis quelques pas entre nous, je me penche sans la perdre des yeux pour récupérer le matériel. Je reste ensuite planté là, à attendre de la voir partir, afin d’être certain de ne pas avoir de coup fourré dans l’immédiat. Elle est trop proche de moi pour que je lui tourne le dos, alors histoire de ne pas rester planté là des heures, je recule vers la sortie.
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