Attack on Titan
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₪ Andrea
Andrea L. Bragolan
Andrea L. Bragolan
Andrea L. Bragolan
+ MESSAGES : 2
Andrea L. Bragolan
Mer 20 Mai - 20:21
Nom ▬ Bragolan, puis Bragolan-Tari et de nouveau Bragolan. Prénom ▬ Andrea, vos parents avaient visiblement envie d’un garçon dès ta naissance.  Surnom ▬ Andy, c’est rare, mais quelques amis t’appellent comme ça. Rea, c’était uniquement dans la bouche de ta mère. Age et date de naissance ▬ 29 ans, tu es née un 15 Août brûlant. C’est dommage, parce que depuis quelques années il pleut à chaque 15 Août. Lieu de naissance ▬ Shiganshina, tu y a vécu aussi, avec ta famille. Métier / Corps de l'armée ▬  Médecin Général dans le Bataillon. Statut social ▬  Aisé, mais tu n’en fais pas l’étalage. Orientation sexuelle ▬  Hétéro Situation ▬  récemment divorcée. Groupe ▬ Bataillon d'Exploration

Caractère ▬
Dans ta vie, tu as été bien des choses, mais ce que tu sais maintenant, c’est que rien ne dur éternellement. Tu es lasse, fatiguée, brisée. Tu es forte, silencieuse et dans le contrôle. Tu es bien des choses, Andréa, mais avant tout, tu as perdu la foi.

Une femme soldat, on en voit peu dans les rangs de l’armée, qui se démarquent vraiment, qui finissent un jour par devenir quelqu’un. Non pas que le femmes soient moins fortes ou moins utiles, simplement qu’on les a éduquées à ne pas se faire voir. Toi, tu as eu une éducation différente. L’ambivalence entre la rigueur, l’excellence et le travail bien fait de ton père, militaire de carrière, et la douceur, le libre-esprit et la force de ta mère. Sur ça, vos parents ne vous ont pas loupé, ni toi ni ta soeur. Vous avez chacune pris ce qu’il y avait à prendre de meilleur pour vous dans cette éducation. Tu y a tiré la force, le courage, un esprit qu’on ne contraint pas, mais aussi l’ambition, la dureté et la volonté de compter. Tu as été de ces femmes qui ont fait connaître leur nom dès le début, pour qu’on ne les oublis pas. Tu as lutté et tu as gagné.

Une guerrière sous la peau d’une guérisseuse. Tu voulais être médecin, tu as suivi ce cursus en plus d’une formation dans l’armée. Si tu n’as jamais eu la volonté de ton père de sortir te frotter aux titans, tu voulais briller pour les citoyens, les sauver autant en protégeant le froid, abattant des bandits ou soignant des blessés. Et si la médecine a été un travail d’arrache-pied, un voyage à corps perdu dans la science et l’apprentissage, le combat t’est venu de manière innée. Tu étais une bonne combattante, certains te disaient même que tu serais l’élite de demain.  Forte. Précise. Rapide. Les arts martiaux comme les armes, tout était d’une facilité incroyable pour toi, faisant nombre de jaloux, te donnant nombre de supporters. Tu t’es éloigné de la médecin pour embrasser cette vie de soldat, fière et orgueilleuse, persuadé d’avoir compris.

Une ombre. C’est ce qui te pèse dessus. Tu le savais depuis longtemps, tu avais entendu les mots de votre mère à ton dernier passage à Shiganshina, tu avais vu le doute dans ses yeux, mais tu avais été méprisante, persuadée qu’elle refusait de voir ta réussite. Tu t’es trompée, Andréa. T’as mère avait simplement toujours été plus clairvoyante que toi. Alors quand tu as fait un pas dans le vide, persuadé que tu saurais voler, tu n’as rien fait qu’une chute. Une longue et effroyable chute. Et ton monde a explosé de tous les côtés, sans que tu ne puisses rien dire, ne rien faire. Tu as compris que tu avais été arrogante quand tu as tout perdu et que tes mains se sont couvertes de sang.

Et maintenant, tu n’es plus rien. Un médecin somme tout brillant, qui est incapable d’opérer dans de nombreuses situations. Une guerrière qui ne peut plus tenir une arme entre ses mains. Une femme qui a perdu sa mère, qui a détruit sa vie. Tu as tout claqué derrière toi, pour simplement prétendre que ce n’était pas arriver. Et ces 28 années ton appris bien des choses, Andréa, mais visiblement pas à être plus digne, à avoir plus confiance. Tu as transformé la femme glorieuse en une ombre amère, qui cache le sang qui la tache sous un sourire de surface et un travail soigné. Tu t’es perdue, et plutôt que de chercher ta propre trace, tu as tout balayé d’un mouvement de main.

Alors voilà, Andréa, tu attends que l'on te soulage, d'une manière ou d'une autre de ce quotidien où chaque regard te rappelle qui tu es devenue… Qui tu étais.



Brisée ₪ Digne ₪ Aigrie & amère ₪ Fataliste ₪ Façade d’acier ₪ Courageuse ₪ Forte tête ₪ Ex-femme forte ₪ L’est toujours, mais elle ne le voit pas ₪ Efficace ₪ Charismatique si elle le voulait ₪ Déterminée ₪ Éloquente ₪ Emportée ₪ Maladroite sans le vouloir ₪ Ne reconnait pas ses faiblesses ₪ Détourne l’attention & les conversations avec succès ₪ Instable ₪ Protectrice ₪ Sincère, quand elle l’est.


Petit plus ▬
₪ Tu ne dors pas sans somnifère, car tu fais des terreurs nocturnes extrêmement violentes.
₪ As une sacrée cicatrice à l’arrière de la tête, dans les cheveux, qui descend jusque dans ta nuque. Tu en as honte, donc tes cheveux sont toujours détachés.
₪ As été impliquée dans un incident dans les Brigades Spéciales, il y a 2 ans. Tu as abattu deux bandits et un enfant qui se trouvait là au mauvais moment, avant d’être prise dans une explosion des bandits. Suite à ça, tu as été dans le coma quelques jours, puis quand t'es revenue, tu as mis 6 mois à t’en remettre, et t'as demandé une mutation. C’est avec l’appui de ton père et tes talents médicaux suffisamment utiles que tu as pu intégrer le Bataillon, au rang de Médecin en Chef.
₪ Le traumatisme sur ta tête à provoqué plusieurs lésions qui ne mettent pas ta vie en danger, mais qui ont fini de te détruire : tu distingues mal certaines couleurs, tes mains sont imprécises et parfois prises de tremblement, et malheureusement, l’épilepsie est apparue avec. Des crises silencieuses, d’abord, de simplement absences ou mouvement involontaires. Depuis quelques mois, les convulsions se déclenchent parfois, quand tu n’as pas le temps de t’injecter un sédatif léger mêlé d’un anticonvulsif.
₪ Les médecins t’ont dit et redit qu’il fallait du temps, que tu serais capable de redevenir la fière guerrière que tu étais, mais tu as abandonné tout espoir.

₪ Tu bois beaucoup de café pour toujours rester éveiller.
₪ Parfois, tu as besoin de répéter un court texte, que tu as lu un jour, pour te concentrer et reprendre les manettes de ton corps. C’est comme un rituel.
₪ Tu adores la neige, ça te fascine. Par contre la pluie te déprime, s’il pleut plusieurs jours d’affilée ton moral baisse avec la durée.
₪ Tu travailles en secret pour trouver quelque chose pour te doper et cesser de vivre sous le verrou de la maladie. C’est un projet secret, tu te serres des fonds du bataillon pour faire ça. Il n’y a qu’une ou deux personnes qui savent pour cette recherche.

₪ Tu as si honte de ce qu’il s’est passé, à Sina, que tu as quitté ton job, ta maison, ton époux (avec qui tu étais depuis plusieurs années). Aujourd'hui tu refuses de retourner dans l’enceinte du mur intérieur.
₪ Tu n’oses pas retourner voir ta soeur, parce qu’elle te rappelle trop votre mère. Et tu n’oses plus regarder ton père dans les yeux de crainte d’y voir ton propre échec.
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Andrea L. Bragolan
Andrea L. Bragolan
Andrea L. Bragolan
+ MESSAGES : 2
Andrea L. Bragolan
Mer 20 Mai - 20:22
₪ Tu es née d'un couple aimant, à Shiganshina. Un père soldat déjà gradé, rythmé à une vie militaire, une mère citoyenne, libre comme l'air et d'une douceur incomparable. Un duo explosif ont souvent pensé les gens, mais ils s'aimaient et ça à rendu leur couple encor eplus fort que les autres.

₪ Tu as 10 ans quand ta soeur vient au monde. Tu es déjà une grande fille, mais ta soeur, tu vois, c'est vite devenu ton angelot. Petite créature aussi vivante et souriante que votre mère, avec la fougue de votre père. Tu as toujours trouvé qu'elle ressemblait plus à votre mère que toi, et ça te rendait fière. Fière quand tu marchais dans la rue avec la petite contre toi, et tes parents de chaque côté. Fière quand elle a fait ses premiers pas. Fière quand elle a écorché ton prénom pendant un an. Ta soeur était et est toujours clairement l'un des amours de ta vie que tu ne pourras jamais renier.

₪ Tu as 14 ans quand tu t'engages dans la brigade d'entraînement. Tu veux être médecin, mais tu le seras pour ces vaillants soldats qui protègent ta famille. Tu suis le cursus d'entraînement en te surpassant, et tu parviens même à tenir le rythme avec l'apprentissage médical. C'est au cours de ces 4 ans que tu découvres ton don pour le combat, et que tu te tues à devenir aussi bonne médecin que ton mentor.

₪ 18 ans, ton entraînement se finit avec les honneurs. Première de promo, une fille de surcroit. Quand on te demande où tu veux aller, tu réponds les Brigades Spéciales, parce que tu laisses à ton père la chance de protéger les murs, toi tu protégeras les civils en dedans. Et clairement, jeune fille, tu deviens rapidement connue dans cette unité bien spéciale. Médecin sans peur, infirmière que l'on ne désobéit pas, tu leur montres aussi que tu es une guerrière.

₪ Tu as 21 ans quand tu quittes ton poste de médecin de guerre pour embrasser celle de soldat. Soldat que l'on grade rapidement l'année suivante, et qui brille au sein des meilleurs hommes. Tu rentres peu à la maison parce que tu te dévoues corps et âme pour ce que tu fais. Tu aimes ça, oui, mais tu as surtout de l'égo, de la fierté, l'ambition d'être Celle qui un jour protégera le Roi. Faire connaitre ton nom.

₪ 23 ans, et le mariage. Tout va vite, ton époux est un soldat des Bridages, plus gradé que toi, plus vieux aussi. Tu l'aimes, ne mentons pas là-dessus, mais tu y vois aussi un espoir de devenir quelqu'un. Le jour du mariage, tu vois pour la première fois que le regard de ta mère a changé sur toi. Elle ne dit rien, mais tu sens qu'elle n'est pas contente et toi, ça te pousse à t'éloigner des tiens parce que tu as un orgueil bien trop mal placé pour l'accepter.

₪ L'incident arrive lors de tes 26 ans. Trois ans de pur bonheur, une promotion que l'on te fait pendre au nez et toi qui en fais toujours plus. Ton équipe traque une équipe qui pourrait bien être associée à la rébellion, mais dont la violence est connue de vos effectifs. Tu refuses de suivre la procédure, tu te jettes seule dans la gueule du loup pour récolter tous les lauriers. Ce jour-là tu tues les deux hommes qui t'agressent, et il y a cette balle perdue qui happe un enfant qui vivait avec eux au passage. Tu dois sortir parce qu'une bombe artisanale va exploser, tu le sais, mais tu refuses. Pour sauver le corps de ce pauvre gosse que tu as abattu, tu perds du temps et l'explosion vous happe tous les deux. Tu reviens à la conscience quelques heures avant que les secours ne vous trouvent, sous les décombres. Toi, brisée, blessée, à peine vivante, et ce corps même plus entier dans tes bras.

₪ Tu restes quelques jours dans un coma traumatique. Pendant 6 mois, tu réapprends à marcher, tenir un couvert, ouvrir et fermer les mains. Tu n'es pas défigurée, à peine marquée, mais ton esprit n'est plus le même. Les terreurs nocturnes deviennent de plus en plus graves, allant jusqu'à te pousser à attaquer un médecin, qui vient te calmer avec un sédatif. Ce jour-là, la peur est si violente et la dose si forte que tu déclenches la première crise de convulsion d'une longue liste.

₪ L'épilepsie est mise en évidence dans les semaines suivantes. Tout ce que tu dois réapprendre te pose soucis parce que tu trembles, quand tu ne trembles pas tu as des trous ou des absences, parfois tu ne peux même plus ouvrir la bouche, quelques fois tu tombes au sol comme un mannequin de chiffon. C'est au bout de quelques mois de cet enfer que tu quittes ton époux, en lui hurlant que tu ne l'aimes plus. La vérité, c'est que tu ne t'aimes plus toi-même. Tu demandes ta mutation loin du coeur de ville et de ton équipe. Avec l'appui de ton médecin, de ton ex-conjoint et de ton père, la mutation est acceptée.

₪ Tu viens à peine d'entrer dans le bataillon, en conservant ce grade qui faisait de toi une femme pleine de fierté, quand Shiganshina tombe. Ta mère n'en réchappe pas, et toi tu n'es même pas autorisé à y aller. La honte arrive à son paroxysme et tu décides de ne plus imposer ça à ta famille. Tu te refermes complètement, tu t'éloignes et surtout tu décides que, puisque personne n'arrive à te réparer, tu le feras toi-même.
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