Nom ▬ Kerberos ... le nom de sa famille. C'est comme qu'elle se présente, mais sur le papier, son nom de famille est Brünner. Prénom ▬ Jillianne, le prénom de l'une de ses arrières grand mère du côté de son père. Ellie, le prénom que sa mère avait normalement choisi. Surnom ▬ Jill, Ellie. Autrement, son mari l'affuble de surnoms ridicule qui lui donnent constamment la nausée. Age et date de naissance ▬ 20 ans, née en 830. Lieu de naissance ▬ District de Yarckel. Métier | Corps d'armée ▬ Rester enfermée dans cette immense maison qui est censée être "chez elle" mais qu'elle assimile davantage a une prison affreuse. En clair, elle n'a jamais eu le loisir d'avoir un métier ... ni le droit, d'ailleurs. Statut Social ▬ ici. Orientation sexuelle ▬ Hétérosexuelle, ça lui est toujours apparu comme une évidence. Situation ▬ Mariée, par la force des choses, à cause de l'arrangement de son père avec un autre homme pour sauver ses affaires. En clair, tu n'es qu'une marchandise aux yeux de ton géniteur. Groupe ▬ Citoyens.

Informations ▬ adorable ; douce ; aimable ; sérieuse ; attendrissante ; déterminée ; courageuse ; têtue ; maligne ; fragile ; émotive ; méfiante ; curieuse ; cultivée ; admirative ; soignée ; féminine ; noble ; pudique.

panique pour pas grand-chose ; déteste les insectes ; n’aime pas le froid non plus ; fleur bleue ; incapable de se débrouiller seule ; pense tout savoir, mais n’a jamais vu le monde, le vrai ; peut se montrer agaçante et exubérante ; rougit pour tout et n’importe quoi ; un rien l’impressionne ; considère les relations physiques comme une corvée désagréable ; difficile, elle tri toute sa nourriture ; bien trop exigeante parfois ; un peu craintive ; sursaute devant les gestes brusques ; particulièrement pessimiste depuis son mariage ; s’est mise à penser que les hommes étaient des porcs et des êtres indignes de confiance ; pourtant, elle croit toujours au prince charmant, elle se dit que quand elle le verra, elle saura.

- Enfance dorée. Heureuse. Choyée. Gâtée. Entourée. Tu te pensais aimée pour ce que tu étais. Tu pensais être chanceuse, avoir la vie devant toi. Tu avais cette famille, que tu pensais soudée, tu avais la richesse de cette dernière, une position idéale au sein de ces murs, au sein de la société.
- Tu as passé ton adolescence dans les études. Tu as appris – sans forcément t’en rendre compte – à devenir l’épouse parfaite. Cuisine. Couture. Les bases de culture, de connaissances. Les bonnes manières, la danse. Tu étais brillante, Jill. Particulièrement douée dans bien des domaines. Une enfant souriante, particulièrement belle et qui déjà attirait les regards sans que tu ne t’en rendes réellement compte.
- On te l’a annoncé lors d’un dîner organisé. Comme si c’était une bonne nouvelle … comme s’il y avait matière fêter quelque chose. Ton mariage à venir. L’idée même d’épouser un homme que tu n’avais pas choisi était dérangeante, certes, mais ça faisait partie des choses que tu aurais sans doute pu accepter, ça faisait partie des choses de ton éducation, c’était comme si c’était une condition, pour conserver la vie que tu avais toujours eu … oui, mais voilà, avec ce mariage, tu étais bien loin du compte.
- Tu l’avais détesté au premier regard. Tu avais tout fait pour que l’on t’épargne ce mariage. Tu avais insisté auprès de ta mère, puis auprès de ton père qui n’avait répondu à tes supplications que par un soufflet qui t’avais arraché quelques larmes. Cet homme était bien plus vieux que toi. Il avait mauvaise réputation et sa seule qualité – la plus importante aux yeux de ton père qui manquait cruellement d’argent – était qu’il était riche.
- Le mariage, tu l’avais enduré. Tout comme les nuits durant lesquels ce porc avait décidé de profiter de ton corps. Si au départ, il avait bien essayé de te donner l’illusion d’une vie paisible et heureuse … sa nature était revenue au galop. Il s’était mis à lever la main sur toi. Puis à t’enfermer, à t’interdire de sortir de la maison. Tu ne manquais de rien … si ce n’était de la liberté.
- De lui, tu ne veux rien. Ce mariage n’est rien à tes yeux, rien d’autre qu’un cauchemar. Tu refuses d’être la mère du moindre de ses enfants. Tu refuses de continuer à subir sa colère, ses coups, tu refuses de rester enfermer … Tu le refuses. C’est bien pour cela qu’au beau milieu de la nuit, tu as rassemblé quelques affaires pour fuir la maison. Vêtue d’une robe légère et d’un gilet bien trop léger, tu as passé le portail et quitter le district espérant ne plus jamais avoir à y revenir. Malheureusement … il semble que tu ais sous-estimé ta valeur puisque maintenant, te voilà activement recherchée par les Brigades Spéciales qui, s’ils mettent la main sur toi te ramèneront sans nul là-bas, pour subir la colère de cet homme que tu aimerais pourtant ne plus jamais revoir.

uc.