Nom ▬ Kristiansen. Dans le District de Chlorba, ce nom est connu parce que tes parents - ton père surtout - dirige une grosse fabrique spécialisée dans le cuir. Il fournit l'armée pour les sangles de leurs équipements, pour les selles de leurs chevaux ... pour énormément de choses. Prénom ▬ Wezen. Tu n'as jamais su exactement d'où ça venait, ton père t'as vaguement dit que c'était l'inspiration de ta mère, une autre fois, il a parlé de sa folie. Surnom ▬ Aucun. Wezen, c'est tout. Age et date de naissance ▬ 26 ans, né en 824. Lieu de naissance ▬ District de Chlorba. Métier | Corps d'armée ▬ Soldat de la Garnison, tu n'as jamais pu faire quoi que ce soit de plus ... l'équitation, ça t'as clairement fichu dedans. Statut Social ▬ Et bien disons que le nom que tu porte, ton père, ta famille, ses affaires, tout ça t'offre une situation plus que confortable. Orientation sexuelle ▬ Hétérosexuel. Situation ▬ Célibataire, c'est un choix sans en être un, disons que ton père est bien trop critique sur tes choix à ce sujet ... il a payé grassement la dernière pour qu'elle fasse ses valises, ça t'as brisé le cœur. Groupe ▬ Garnison.

Informations ▬ 1 – Il est l’enfant unique d’un couple … Un peu étrange disons. Son père est le PDG – c’est comme ça qu’il se définit lui-même – d’une fabrique de cuir située à Chlorba. Au départ, il a eu un mal de chien à démarrer, il était sans argent, et c’est pour ça qu’il a consenti à épouser la fille de ce riche marchand. La présence de sa femme dans sa vie lui a donc donner le coup de pouce nécessaire pour se lancer, aujourd’hui, il s’en sort bien mieux qu’il ne l’aurait jamais imaginé. Cependant, il y a bien des années qu’il s’est mis à rejeter sa femme, elle est une artiste, une visionnaire, une passionnée d’histoire, qu’elle soit fictive ou réaliste, lui, il a tendance à dire qu’elle n’est qu’une illuminée. Il en a honte. Il ne lui permet presque pas de sortir … même son fils peine à rendre visite à sa propre mère, c’est dire.

2 – Il a toujours voulu un fils. Il a immédiatement considéré Wezen comme l’héritier de sa fabrique, et il a toujours tout fait pour offrir à cet enfant une éducation qui dépasse même la sienne. Il veut en faire un grand homme qui sera en mesure de reprendre le flambeau, et de faire un bien meilleur mariage que lui à l’avenir. Du coup, il force son fils à avoir de multiples talents dont le pauvre garçon n’a pourtant que faire. Sa dernière lubie ? Forcer Wezen à savoir parfaitement monter à cheval, parce que selon lui, c’est une base importante. Comme pour le reste, le jeune homme à céder, et son père à débloquer d’importantes sommes d’argent pour ça. De toute façon, ça s’est passé exactement pareil pour les danses de salon, l’écriture, la poésie, et bien d’autres trucs nuls.

3 – Wezen à du insister un sacré moment pour obtenir le droit de s’engager, si son père à accepter, c’est parce qu’il sait qu’il ne compte pas lâcher son affaire de sitôt, et parce que son fils à su le convaincre que, l’armée, l’entraînement, ça ne pouvait qu’être bénéfique, autant pour son corps que son éducation – oui, il est malin ce petit – du coup, il l’a laissé faire à sa guise, il le garde à l’œil, et il sait aussi que quand il le décidera, il n’aura qu’à lever le petit doigt pour le sortir de là et le récupérer.

4 – Même s’il parait obéissant, et particulièrement dévoué à son père, la vérité, c’est que Wezen aspire à sa liberté, il n’attend qu’une occasion de vivre sa vie comme il l’entends, il se sent plutôt bien dans la Garnison, même s’il a des lacunes, et s’il continue de brosser son paternel dans le sens du poil, c’est uniquement pour ne pas attirer l’attention sur lui. Il s’assure au moins de le garder calme. Il se fait passer pour fils docile qu’il n’est en vérité pas le moins du monde, et il attend … de trouver le courage de s’imposer, ce qui malheureusement, n’est pas gagné.

5 – Ouvert, Wezen aime le monde et ses habitants, c’est un fait. C’est le genre d’homme qui s’arrête sur des petits moments du quotidien que personne ne voit, mais que lui trouve importants. Il aime observer les gens, de loin, et avec le temps, il s’est mis à dessiner, tout comme sa mère. D’ailleurs, cette dernière est très fière de voir qu’il a hérité de son talent. Souvent, il se poste dans un coin, dessine ce qui se présente sous ses yeux, une belle femme, une vieille dame qui sourit, une mère et son enfant, un bonhomme et son chien, un soldat sur sa monture. Un rien le fascine, l’inspire. Il voit la beauté en chaque chose, et il est facile pour lui de devenir complètement dépends, accro aux joyaux de ce monde.

uc.