| | | Kanaan Frei Lun 20 Avr - 16:03 Lukas Ocean LOVE - 19 ans - CitoyenCaractéristique : Passée caché - 1 bébé de 6 mois à charge Caractère : Douce • Protectrice • Attentionnée • Éteinte • Menteuse • Silencieuse • Une peur incroyable des hommes • Effrayée par tout ce qui est en rapport avec le militaire • Adore la chaleur de l’été • Chante avec une superbe voix • Aime le dessin • Attrape vite froid • N'a reçu quasiment aucune éducation • Ne connait presque rien au monde actuel • Tête en l’air quand il s’agit d’elle-même • Retient tout sur les gens et trouve souvent la petite attention qui ravi un coeur • Ne rit plus • Dort mal sauf quand elle est épuisée. Ft : Maddi Bragg ou Lily Rose Depp- FICHE:
Nom ▬ Love, c’est risible non ? Prénom ▬ Lukas, l’année des L pour les chiens de ton père. Ocean, c’est ta maman ça. Surnom ▬ Lou, fut une époque Age et date de naissance ▬ 19 ans, le 8 mars, journée de la femme. On continue dans l’ironie. Lieu de naissance ▬ Dans le district de Chlorba. Métier / Corps de l'armée ▬ Citoyenne, mère autant que faire ce peut. Statut social ▬ Pauvre, tu survivotes. Orientation sexuelle ▬ Terrorisée, traumatisé et affolée, à peu près. Situation ▬ Seule. Groupe ▬ Citoyenne.
Caractère ▬ Dans la chambre de l’hopital de quartier, une jeune infirmière, qui a débutée depuis quelques années, entre dans la pièce.
« Comment vas la petite… -Laena. Sa collègue, une des plus âgée du l’endroit, l’accueille avec un sourire. La petite Laena va mieux. Ce n’était qu’une légère pneumonie, sa mère a bien fait de nous l’amener. -Tu y crois… ? Demande la plus jeune, en posant les yeux sur le berceau transparent où un poupon de quelques mois dort, avant d’effleurer son front. Sa fièvre a bien baissé. -Croire quoi ? C’est une troisième femme qui arrive, la 40aine, elle se démarque par sa blouse. Elle est médecin. -Que la gamine qui l’a amenée est sa mère. -Bien sûr qu’elle l’est. S’étonne la médecin. Elle et sa fille se ressemblent comme deux gouttes d’eau, mêmes cheveux et yeux, une tache de naissance sur la clavicule chacune. Elle est assez âgée pour l’avoir enfantée, ce bébé. Et puis, ne me dites pas qu’une femme qui se bat autant pour que l’on prenne en charge son enfant n’est pas sa mère. Elle a manqué de énucléer le garde à l’entrée qui voulait la raccompagner à la sortie. Une vraie harpie, heureusement que je passais par là. -Même ! La plus jeune du lot se penche pour caresser tendrement la petite fille. Elle est trop jeune, trop perdue, elle n’a même pas l’air d’avoir un sou, on ne sait pas d’où elle vient, qui elle est. Qui nous dit que son prénom est le bon ? Qu’elle n’a pas enlevé cette enfant ?! -Mais pourquoi se mettre des idées pareilles dans la tête ? S’impatiente la médecin. Elle n’a rien fait de plus qu’emmener son enfant ici. -Elle est bizarre… Elle n’a même pas pleuré quand on lui a dit qu’on gardait sa fille. Elle est restée là, assise dans la chambre, jusqu’à ce qu’on lui dise d’aller manger. Elle est maigre, elle est pâle, elle ne parle pas. -Elle est fatiguée ! -Par la vie, pas par cet événement en particulier. Elle cache quelque chose ! -Mesdames… Mesdames ! La vieille femme les interrompt alors que la mère de l’enfant se tient dans l’encadrure de la porte, un potage dans la main. Votre fille va mieux. -... Elle est presque apathique, distante et comme délavée. Merci pour votre aide. »
Pas un mot de plus, et la jeune femme blonde traverse la pièce et se penche sur le berceau pour caresser du bout des doigts le bambin qui s’est réveillé à cause du bruit. Gênées les visiteuses quittent la pièce en silence. Et revoilà ce duo improbable, fragiles et fortes, vivantes et éteintes, l’une coulant vers le fond, retenu aux bras minces de l’autre, en pleine éclosion.
Douce • Protectrice • Attentionnée • Éteinte • Menteuse • Silencieuse • Une peur incroyable des hommes • Effrayée par tout ce qui est en rapport avec le militaire • Adore la chaleur de l’été • Chante avec une superbe voix • Aime le dessin • Attrape vite froid • N'a reçu quasiment aucune éducation • Ne connait presque rien au monde actuel • Tête en l’air quand il s’agit d’elle-même • Retient tout sur les gens et trouve souvent la petite attention qui ravit un coeur • Ne rit plus • Dort mal sauf quand elle est épuisée.
Petit plus ▬ • Elle refuse de parler de son passée • Elle ne connait pas plein de chose du quotidien • Si on lève la main sur elle, elle se recroqueville, son on le fait sur son enfant, elle pourrait tuer. • Elle parle tout doucement, du bout des lèvres. Mais quand elle chante, c’est avec le coeur. • Elle refuse de se plier aux ordres. Soit elle le fait dans le dos, soit elle se fait engueuler • Elle dit à tout le monde qu’elle a 25 ans. • Prête à tout… ne vous y frottez pas, vous vous y piqueriez !
- Histoire:
Histoire ▬ Il fait nuit. Je ne dors pas. Il fait jour. Je ne dors pas. Il fait nuit. Laena dort. Il fait jour. Je me suis endormie.
Il fait nuit. Je tourne en rond dans la pièce qui est devenue ma vie. Le bébé dort sereinement et je continue mon travail des journées précédentes. La pièce est impeccable, le dessin sur le mur continue son évolution. Il sera bientôt fini.
Il fait jour. Laena est mal, elle pleure depuis ce matin. Je m’occupe d’elle, la cajole et retrouve même quelques médicaments adaptés pour la calmer. La fièvre re-descend dans la journée et elle recommence à gazouiller dans son berceau ou contre ma peau. Les biberons se suivent et ne se ressemblent pas.
Il fait nuit. C’est le jour de la visite. Laena aura un sommeil agité, je le sens, mais je ne peux rien faire de plus. Moi je ne dormirai pas. Il arrive comme à chaque fois. Un bruit, une porte qui s’ouvre et il s’avance vers le berceau. Il s’inquiète de la petite et de son visage rougi par les restes de sa fièvre et il me tend une bouteille de lait de vache. La suite est la même. Parler, l’écouter, rire, émettre des plaintes. Je suis une poupée qui répond à la demande.
Il fait jour. La fièvre n’est plus, le lait est un nouveau, Laena ne l’aime pas. Ça me fait pleurer de la voir si énervée et je finis par me réfugier dans ma chambre pour me calmer. Mes yeux retombent sur le cadre de ma table de nuit. Mes parents dans leurs jeunes années, on habitait Amsterdam. Mon père, souriant et heureux, sorcier prodigieux, auror de sa condition. Ma mère, virevoltant dans ses bras en riant, chanteuse de cabaret qui voyait une nouvelle vie s’ouvrir à elle.
Il fait nuit. Je devrais dormir, mais je continue la fresque, cachée sous un drap tendu sur le mur. C’est une surprise, il a accepté de ne pas la regarder avant la fin. La petite a bu son biberon de 9h, en jouant avec sa compote de surcroît. Je m’active sur le dessin en sentant mes forces décliner. Ce ne sera plus très long pour en finir.
Il fait nuit. Je n’ai pas vu la journée passée. Je me suis enfin réfugiée dans mon lit, et mes yeux sur ce le fourreau de l’épée que j’avais commencé à apprendre à manier. 4 années de bonheur, d’apprentissage d’une chose qui me semblait irréelle.. Jusqu’à l’accident de maman. Accident à la garnison, elle a été victime d’un groupe de malfrat et mon père a préféré leur courrir après que de lui venir en aide immédiatement.
Il fait jour. Aujourd’hui Laena teste la purée de carotte et je me retrouve si sale qu’on glousse toutes les deux. La journée est légère, le soleil nous fait du bien, même si dehors il fait froid. Je continue pourtant de chantonner dans la pièce en berçant la petite qui gazouille. Ma cheville se plie mal sur une pirouette et je manque de m’échouer sur le sol. La douleur me fait gémir.
Il fait nuit. C’est le jour de la visite. Il arrive comme à chaque fois. Un bip, une porte qui s’ouvre et il s’avance vers le berceau. Il sourit en voyant que Laena dort et il me dit combien on a les mêmes yeux. Je souris en hochant la tête. Il voit l’état de ma cheville et me propose de m’amener de quoi me soigner. J’hoche la tête. Il part, puis revient avec un carton rempli de bordel. La suite est la même. Parler, l’écouter, rire, émettre des plaintes. Je suis une poupée qui répond à la demande.
Il fait jour. J’ai trouvé de quoi bander ma cheville. Je vais mieux. La fresque est presque finie. Laena râle toujours sur le lait en poudre et je regarde ma poitrine sans lait. Je n’ai pas pu la nourrir comme toutes les mères le font. Je lui raconte des histoires, je lui parle de maman, qui est restée dans un fauteuil roulant pendant 5 ans, dont une pierre a été érigée cet été quand elle est partie. J’aurais aimé qu’elle la rencontre.
Il fait nuit. Je dors un peu, mais je me réveille une idée en tête. Je fouille le carton, je trouve des choses utiles, et ça devient pressant. Je reprends la fresque après avoir transféré mes trouvailles dans la valise qui contient mes vêtements et ceux de Laena, sous mon lit. Ça dure toute la nuit.
Il fait jour. Laena a de la fièvre, je l’appelle à l’aide. Il viendra ce soir avec des médicaments. Je réunis toutes nos affaires dans la valise. C’est une journée étrange, même la petite est bizarre. Je ne me sens plus moi-même. Je sais que ce sera bientôt fini. Je m’active sur la fresque, et je la signe en fin de journée.
Il fait nuit. Je l’attends. Laena est dans son couffin. Je suis assise sur le lit, et le sabre que je sais manier dans la main. Je ne pensais pas le revoir un jour. Il entre.
Il fait toujours nuit. Je repousse son corps raidi sur le sol pour sortir la valise et la petite. Et finalement je retire le drap. Ensuite, je pars.
Quand l’aube se lève, le soleil entre par la fenêtre est vient éclairer un pan de mur entier recouvert de couleur. Un feu d’artifice surplombe une famille appuyée sous un arbre aux fleurs rouges. Un homme tient la main de sa femme, qui tient dans ses bras un bébé. À côté, une adolescente rit aux éclats.
PL de Lukas : - Son père : IL EST PAS MORT LOL, et donc bah... s'il la retrouve, ça fera des étincelles. C'est un ex-soldat de la garnison, basé à Chlorba. Il élève des chiens pour... ce que vous voulez. La défense des propriétaires, du combat (illégale maybe mais intéressante à jouer), l'armée ? En tout cas voilà. - SON SHIP (ouais) : Un homme de l'armée, maybe un gradé, mais au pire osef. Quelqu'un de très droit, avec cette attitude très militaire: carré, méthodique, droit, honnête. Et qui va découvrir au contact de Lukas un véritable côté doux et tendre (sinon elle va juste le fuir) xD Le bébé peut-être bienvenu ou pas, ça fera du drama en plus, mais bon on la prend avec Laena ou on ne la prend pas => Des idées ? Un homme qui a perdu un enfant, jusqu'à se séparer de sa compagne ? Qui a perdu sa compagne carrément ? LES DEUX (oskour) ? Ou qui a juste un drôle de rapport à la famille ? En tout cas be prepared parce que bébé Laena son premier mot ça risque d'être "papa" | | | Azur O. Davenport Mer 20 Mai - 14:10 Plop, pour pas oublier tout ca : Nom ▬ Bragolan, puis Bragolan-Tari et de nouveau Bragolan. Prénom ▬ Andrea, vos parents avaient visiblement envie d’un garçon dès ta naissance. Surnom ▬ Andy, c’est rare, mais quelques amis t’appellent comme ça. Rea, c’était uniquement dans la bouche de ta mère. Age et date de naissance ▬ 29 ans, tu es née un 15 Août brûlant. C’est dommage, parce que depuis quelques années il pleut à chaque 15 Août. Lieu de naissance ▬ Shiganshina, tu y a vécu aussi, avec ta famille. Métier / Corps de l'armée ▬ Médecin Général dans le Bataillon. Statut social ▬ Aisé, mais tu n’en fais pas l’étalage. Orientation sexuelle ▬ Hétéro Situation ▬ récemment divorcée. Groupe ▬ Bataillon d'Exploration
Caractère ▬ Dans ta vie, tu as été bien des choses, mais ce que tu sais maintenant, c’est que rien ne dur éternellement. Tu es lasse, fatiguée, brisée. Tu es forte, silencieuse et dans le contrôle. Tu es bien des choses, Andréa, mais avant tout, tu as perdu la foi.
Une femme soldat, on en voit peu dans les rangs de l’armée, qui se démarquent vraiment, qui finissent un jour par devenir quelqu’un. Non pas que le femmes soient moins fortes ou moins utiles, simplement qu’on les a éduquées à ne pas se faire voir. Toi, tu as eu une éducation différente. L’ambivalence entre la rigueur, l’excellence et le travail bien fait de ton père, militaire de carrière, et la douceur, le libre-esprit et la force de ta mère. Sur ça, vos parents ne vous ont pas loupé, ni toi ni ta soeur. Vous avez chacune pris ce qu’il y avait à prendre de meilleur pour vous dans cette éducation. Tu y a tiré la force, le courage, un esprit qu’on ne contraint pas, mais aussi l’ambition, la dureté et la volonté de compter. Tu as été de ces femmes qui ont fait connaître leur nom dès le début, pour qu’on ne les oublis pas. Tu as lutté et tu as gagné.
Une guerrière sous la peau d’une guérisseuse. Tu voulais être médecin, tu as suivi ce cursus en plus d’une formation dans l’armée. Si tu n’as jamais eu la volonté de ton père de sortir te frotter aux titans, tu voulais briller pour les citoyens, les sauver autant en protégeant le froid, abattant des bandits ou soignant des blessés. Et si la médecine a été un travail d’arrache-pied, un voyage à corps perdu dans la science et l’apprentissage, le combat t’est venu de manière innée. Tu étais une bonne combattante, certains te disaient même que tu serais l’élite de demain. Forte. Précise. Rapide. Les arts martiaux comme les armes, tout était d’une facilité incroyable pour toi, faisant nombre de jaloux, te donnant nombre de supporters. Tu t’es éloigné de la médecin pour embrasser cette vie de soldat, fière et orgueilleuse, persuadé d’avoir compris.
Une ombre. C’est ce qui te pèse dessus. Tu le savais depuis longtemps, tu avais entendu les mots de votre mère à ton dernier passage à Shiganshina, tu avais vu le doute dans ses yeux, mais tu avais été méprisante, persuadée qu’elle refusait de voir ta réussite. Tu t’es trompée, Andréa. T’as mère avait simplement toujours été plus clairvoyante que toi. Alors quand tu as fait un pas dans le vide, persuadé que tu saurais voler, tu n’as rien fait qu’une chute. Une longue et effroyable chute. Et ton monde a explosé de tous les côtés, sans que tu ne puisses rien dire, ne rien faire. Tu as compris que tu avais été arrogante quand tu as tout perdu et que tes mains se sont couvertes de sang.
Et maintenant, tu n’es plus rien. Un médecin somme tout brillant, qui est incapable d’opérer dans de nombreuses situations. Une guerrière qui ne peut plus tenir une arme entre ses mains. Une femme qui a perdu sa mère, qui a détruit sa vie. Tu as tout claqué derrière toi, pour simplement prétendre que ce n’était pas arriver. Et ces 28 années ton appris bien des choses, Andréa, mais visiblement pas à être plus digne, à avoir plus confiance. Tu as transformé la femme glorieuse en une ombre amère, qui cache le sang qui la tache sous un sourire de surface et un travail soigné. Tu t’es perdue, et plutôt que de chercher ta propre trace, tu as tout balayé d’un mouvement de main.
Alors voilà, Andréa, tu attends que l'on te soulage, d'une manière ou d'une autre de ce quotidien où chaque regard te rappelle qui tu es devenue… Qui tu étais.
Brisée ₪ Digne ₪ Aigrie & amère ₪ Fataliste ₪ Façade d’acier ₪ Courageuse ₪ Forte tête ₪ Ex-femme forte ₪ L’est toujours, mais elle ne le voit pas ₪ Efficace ₪ Charismatique si elle le voulait ₪ Déterminée ₪ Éloquente ₪ Emportée ₪ Maladroite sans le vouloir ₪ Ne reconnait pas ses faiblesses ₪ Détourne l’attention & les conversations avec succès ₪ Instable ₪ Protectrice ₪ Sincère, quand elle l’est.
Petit plus ▬ ₪ Tu ne dors pas sans somnifère, car tu fais des terreurs nocturnes extrêmement violentes. ₪ As une sacrée cicatrice à l’arrière de la tête, dans les cheveux, qui descend jusque dans ta nuque. Tu en as honte, donc tes cheveux sont toujours détachés. ₪ As été impliquée dans un incident dans les Brigades Spéciales, il y a 2 ans. Tu as abattu deux bandits et un enfant qui se trouvait là au mauvais moment, avant d’être prise dans une explosion des bandits. Suite à ça, tu as été dans le coma quelques jours, puis quand t'es revenue, tu as mis 6 mois à t’en remettre, et t'as demandé une mutation. C’est avec l’appui de ton père et tes talents médicaux suffisamment utiles que tu as pu intégrer le Bataillon, au rang de Médecin en Chef. ₪ Le traumatisme sur ta tête à provoqué plusieurs lésions qui ne mettent pas ta vie en danger, mais qui ont fini de te détruire : tu distingues mal certaines couleurs, tes mains sont imprécises et parfois prises de tremblement, et malheureusement, l’épilepsie est apparue avec. Des crises silencieuses, d’abord, de simplement absences ou mouvement involontaires. Depuis quelques mois, les convulsions se déclenchent parfois, quand tu n’as pas le temps de t’injecter un sédatif léger mêlé d’un anticonvulsif. ₪ Les médecins t’ont dit et redit qu’il fallait du temps, que tu serais capable de redevenir la fière guerrière que tu étais, mais tu as abandonné tout espoir.
₪ Tu bois beaucoup de café pour toujours rester éveiller. ₪ Parfois, tu as besoin de répéter un court texte, que tu as lu un jour, pour te concentrer et reprendre les manettes de ton corps. C’est comme un rituel. ₪ Tu adores la neige, ça te fascine. Par contre la pluie te déprime, s’il pleut plusieurs jours d’affilée ton moral baisse avec la durée. ₪ Tu travailles en secret pour trouver quelque chose pour te doper et cesser de vivre sous le verrou de la maladie. C’est un projet secret, tu te serres des fonds du bataillon pour faire ça. Il n’y a qu’une ou deux personnes qui savent pour cette recherche. ₪ Tu as si honte de ce qu’il s’est passé, à Sina, que tu as quitté ton job, ta maison, ton époux (avec qui tu étais depuis plusieurs années). Aujourd'hui tu refuses de retourner dans l’enceinte du mur intérieur. ₪ Tu n’oses pas retourner voir ta soeur, parce qu’elle te rappelle trop votre mère. Et tu n’oses plus regarder ton père dans les yeux de crainte d’y voir ton propre échec.
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