Attack on Titan
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╰☆ Psyche - Où va l'homme ? Là où sont coeur l'appelle.
Psyche A. V. Argyre
Psyche A. V. Argyre
Psyche A. V. Argyre
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Psyche A. V. Argyre
Lun 20 Avr - 14:56
Nom ▬ Argyre, officiellement. Dans l’armée, on croit que tu es une fille de la famille AfulayPrénom ▬ Psyche Alma Vesta au complet. Ta mère l’utilise quand elle veut te gronder, mais sinon on se contente de Psyche (Ps-aï-ki) Surnom ▬ Saï pour ceux qui osent le faire, mais on te sert bien plus souvent des “mademoiselle”. Age et date de naissance ▬ 25 ans, même si tu as toujours l’impression d’en avoir 12 ! Lieu de naissance ▬ Utopia, dans la grande & vénérable famille Argyre. Métier / Corps de l'armée ▬ A voir Statut social ▬ Riche, mais elle l’oublit tout le temps et se suffit de ce qu’elle gagne. Orientation sexuelle ▬ Elle attend le prince charmant. Situation ▬ Comme dans toutes les familles d’utopia, on finira par lui présenter des hommes choisis pour elle. Groupe ▬A voir

Caractère ▬
Il y a un monde où tu es une parfaite jeune femme.

Ce qui frappe en premier, quand on te voit, c’est combien tu es gracile et douce. Tu bouges comme si tu étais sur un nuage, aussi légère que le vent, et tout en toi évoque une certaine forme de douceur. Ça va même jusqu’à tes attentions pour ceux qui t’entourent en faite. Tu as toujours le petit mot qui va bien, tu sais toujours quoi proposer à quelqu’un, tu n’oublies jamais de remercier quelqu’un qui le mérite. Oui, en un sens tu es l’incarnation de cette bienséance désuète pour ce qu’est devenu le monde.

Ensuite, on remarque que tu n’es pas qu’une poupée qui sourit à la demande. Tu es d’un esprit fin, d’une intelligence certaine. Si tu vois le bien en tout le monde, tu es pourtant capable de prendre du recul et ajuster ton tir. Cultivée, tu es capable d’entretenir des conversations sur un bon nombre de sujets que les gens d’aujourd’hui ne connaissent presque plus.

Et puis, pour compléter le tableau, tu es innocente. Est-ce ta peau diaphane ou l’éclat doux de tes cheveux, tu ne saurais le dire, mais tu sembles hors de temps et de l’espace. C’est pour ça qu’on s’est toujours comporté différemment avec toi. Et c’est aussi à cause de ça que tu as dû te montrer encore plus ouverte aux autres pour comprendre leur besoin. En vérité, tu as poussé cet art si loin que tu es devenu une éponge à émotion. Une empathe comme on les appelle, sensible à tout et à tout le monde, comme si tu restais en hypervigilance constante.

Pourtant, le monde dans lequel tu vis est un univers régi par le danger et la mort, et tu as transformé la princesse pour devenir quelque chose de plus complexe.

Une fois loin des conventions de ta famille, tu te révèles être une jeune femme curieuse et motivée. Tu veux toujours en savoir plus, et pour ça, tu as largement mis ta timidité de côté. Tu fonces dans le tas, tu réclames des explications qui entraînent toujours beaucoup plus de questions encore.

De pair avec cette curiosité, tu as fait face à la réaction des gens. Non, on ne veut pas enseigner ou former une petite fille fluette. Non, tu es trop jeune pour savoir. Non, on a pas le temps. Alors maintenant, tu es devenue mordante. Tu forces, tu agrippes, tu enfonces des portes ouvertes s’il le faut. Disons-le, tu es devenue sérieusement entêtée, trouvant toujours l’argument qu’il faut pour avoir ce que tu veux. Tu as décidé que tu étais prête à tout pour apprendre, même à y mettre ta vie. Aujourd’hui, tu n’abaisses plus la tête face à plus fort, et tu ne crains plus le refus.

Et puis, avec les sorties de plus en plus régulières, tu as fait preuve d’espoir et d’abandon de toi. Tu as décidé que, puisque ton petit frère n’avait connu que la terreur, tu serais sa flamme d’espoir. Et tu véhicules ça avec toi, comme une flamme dans les rues sombres et miteuses du district. Tu ne prêches pas pour ta paroisse, mais tu sais équilibrer les propos que l’on débite en face de toi, sans avoir à rougir de honte.

Et tu sais quoi ? Ton but dans la vue est idiot, mais si tu y crois, il sera suffisamment pour atteindre tes objectifs.


Enflammée ╰☆ Souriante ╰☆ Jolie comme un coeur ╰☆ Entêtée ╰☆ Rapide ╰☆ Silencieuse si elle le veut ╰☆ Mais trop souvent bruyante, à piailler ╰☆ Va toujours vers les autres ╰☆ Même quand on la repousse ╰☆ Bonne oratrice ╰☆ Elle pique aussi bien avec les mots qu’avec une épée ╰☆ Secrète sur ce qui a attrait avec sa famille et ses émotiosn quant à elle ╰☆ Rêveuse ╰☆ Protectrice ╰☆ A le sens du devoir et du sacrifice ╰☆ Déteste qu’on la fasse passer avant les autres.


Petit plus ▬
╰☆ Tu as été éduquée dans les arts et la bienséance. Tu peins, tu couds, tu joues du piano et ta voix est celle d’un rossignol. À table, tu manges du bout des lèvres, toujours de petite quantité pour faire penser que tu es aussi légère qu’un oiseleur. Quand tu apparais, tu dois être belle, même si tes chaussures te scient les pieds.
╰☆ La nourriture est un sujet de conflit avec toi. De même, tu n’as jamais touché une goutte d’alcool. Tu as un rapport conflictuel avec les repas. Soit tu les sautes en inventant de bonnes (mauvaises) excuses, soit tu les expédies. L’un dans l’autre, tu n’aimes pas manger. Tu grignotes à peine. Parfois ça te laisse faible. Tu n’y peux rien, manger est une perte de temps et toi, tu as fort à faire.
╰☆ Tu as été élevée dans la religion. Tu bénis toujours ton repas avant de le manger, et c’est assez souvent que tu te sers des textes sacrés pour faire des choix.
╰☆ Tu as un petit frère de 9 ans, adorable et intelligent, qui vit dans les bas quartiers, car fils bâtard de ton père.
╰☆ Tu n’as pas adressé la parole à ton père depuis qu’il a renié cet enfant et l’a laissé survivre dans le besoin.
╰☆ Tu as un garde du corps, que tu passes plus de temps à semer qu'à écouter. Dans le fond, tu l’adores, tu aimerais juste adoucir ses angles.
╰☆ Tu étais censée te marier cette année, mais il était soldat… et désormais mort. Ça risque d’arriver l’année prochaine avec un autre garçon.
╰☆ Tu as toujours rêvé de pouvoir sortir hors d’Utopia et plus globalement des murs. C’est pour ça que tu as cherché ce savoir auprès de ceux qui pouvaient te le fournir.
╰☆ Si tu as l’air frêle avec ta taille de guêpe, tu es une vraie tigresse quand tu veux quelque chose. Et même si te battre est parfois complexe (on ne gagne pas contre une montagne de muscles) tu es assez intelligente pour tirer avantage de tes qualités.
╰☆ Ta plus grande peur est qu’il arrive quelque chose à ton frère. C’est pour ça que tu veux gagner ta vie pour nourrir et préserver lui et sa mère.
╰☆ Tu adores les histoires aussi. Ça t’a toujours fait rêver. Que ce soit pour enfants ou pour adultes, des on-dit ou de vrais mythes !
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Psyche A. V. Argyre
Psyche A. V. Argyre
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Psyche A. V. Argyre
Lun 20 Avr - 14:57
Histoire ▬
Quand tu repenses à ta vie, Psyche, tu te dis que tu as eu beaucoup de chance, d’être née où tu es née, et d’avoir eut l’éducation que l’on t’a offerte. Vraiment, tu vois combien d’autres ont vécu de souffrance et de maladie. Pourtant, tu as définitivement rompu avec cette vie en comprend que les tiens n’étaient pas prêt à offrir cette vie à d’autres qui le méritaient autant que toi…

Alors voilà, le “il était une fois” de ton histoire a commencé à Utopia, où tu as vu le jour dans la maison familiale, parce qu’il était de tradition que les Argyre voient tout le jour dans la chambre Rose, sous les bénédictions des portraits des ancêtres

Tu es donc venue au monde de deux nobles, ancrés dans une histoire de famille lourde et omniprésente. Ta mère, Rhea, avait été promise toute jeune à ton père. Et lui, Ezio, le fils prodige de la famille Argyre, était tout désigné pour reprendre le flambeau. Et si la famille Argyre était une des anciennes et vénérables familles d’Utopia, c’est avec une organisation de malfrat des moins beaux quartiers qu’ils ont fait fleurir leur fortune sur l’armement de qualité et de prix accessibles.

Et toi, petite fleur, tu es née de cette union. Fille unique avec un puissant destin à venir et le poids des traditions à respecter.

Tu as toujours été une petite fille douce. Au plus loin que remontent les mémoires, tu souriais beaucoup et ne pleurais presque jamais. Tu faisais la fierté de ton grand-père en obéissant sagement aux consignes. Et même tes parents ne purent rien te reprocher tant tu te mis à exceller dans l’art d’être parfaite.

Peut-être aurait-il fallu que tu sois un peu plus rebelle pour les souder contre toi ? En tout cas, avec les années, leur mariage se mit à battre de l’aile. Et s’ils ne se séparèrent jamais, car c’était quelque chose de complètement inacceptable pour cette famille croyante jusqu’au bout des ongles, ils cessèrent de se comporter comme un couple avant que tu atteignes 10 ans.

Ce fut vers cet âge-là que tu entendis parler pour la première fois d’un garçon, de quelques années ton aîné, qu’il te faudrait épouser plus tard. Et pour le coup, tu avais été plutôt heureuse d’apprendre qu’il y avait déjà un prince charmant prêt à te cueillir dans ses bras. Il n’y a pas à dire, tu étais naïve et solaire. La fierté de ta gouvernante, le modèle de tes précepteurs, le rêve des domestiques de l’immense maison du district, mais juste la fille de tes parents.

Tu avais presque 14 ans quand le drame commença. L’homme que tu devrais épouser choisit de s’engager pour faire la fierté des siens. Et ce fut comme si ta famille et toi étiez aux premières loges. Et si tu passais la majeure partie de ton temps en silence dans ta chambre à prier, tu as compris que ton père avait refusé d’armer aux mieux les soldats, parce qu’il ne faisait pas une rente assez forte, ou qu’il voulait vendre trop cher.. Et tu sais quoi ? Tu as fermé les yeux sur ça, comme sur de trop nombreuses choses depuis des années.

Ton premier prétendant est mort au combat, on te trouvait déjà un deuxième et toi, avec le temps, tu as essayé de trouver ta place dans tout ça. Terrifiée par la populace sale et rustre des autres quartiers, tu t’es retranchée chez toi et à Utopia. C’est en t’accrochant à tes cours et ta foi que tu as tenu bon. Les jours se sont transformés en mois. Les mois en année. Et tu étais en train de suivre la digne trace de ta mère, si belle et si figée quand un soir, une femme s’est présentée à votre porte.

Une femme encore plus belle que ta mère, qui pleurait avec un sac de linge dans les bras. Qui avait supplié l’un des hommes employé pour protéger votre maison de la laisser entrer. Elle voulait voir ton père. Et toi, du couloir où tu étais cachée, tu as vu sa détresse. Encore plus vive quand ton père est apparu et avec un visage froid lui tendant quelques babioles en or, que ta mère ne mettait plus depuis longtemps. Et sur ce geste hautain, il l’avait fait sortir du hall, et tu l’avais vu. Un petit bébé dormait dans ses bras, pâle comme la mort.

16 ans, et tu venais de comprendre ce qu’il avait fait. Ce petit était ton demi-frère, comme tu l’apprendrais bientôt. Cette femme, l’une des maîtresses à qui Ezio avait fait miroiter la protection de la vénérable famille Argyre. Ta mère était au courant, et comme tout chose qu’elle gérait, ce fut avec dédain et froideur qu’elle te demanda de te taire au cours du repas pour tu osas poser la question à ton père. Ce fut la dernière fois que tu adressas la parole à ton père. Ce fut également la fin du mensonge dans lequel tu te berçais depuis des années.

La première fois que tu sortis hors du district, ce fut avec l’accord de ta mère, sous couvert d’être accompagner d’un de ses hommes qui protégeaient votre maison. Tu n’allais jamais au marché, mais tu avais cherché et trouvé cette femme que tu avais vue ce fameux soir. Le bébé avait grandi et il survivait. Et quand elle s’excusa d’avoir perturbé ton quotidien, tu compris que tu ne l’abandonnerais pas.

À partir de tes 17 ans, tu sortis régulièrement avec Silas, le garde à qui ta mère te confia, pour éviter de devoir t'accorder trop d’attention. Tu suivis la croissance de ton petit frère, Eyal, et tu fis tout pour être là pour lui et pour sa mère. Dissimulant ton identité sous de lourdes capuches et des faux-noms, tu fis le choix de pousser dans le reste de la ville pour trouver des tâches à ton niveau et pouvoir leur rapporter de quoi se nourrir ou se soigner.

Et puis voilà. Avec les années, ce petit garçon grandit et tu devins sa plus belle source de courage. Quand, un jour, il te demanda si un jour il pourrait voir le monde extérieur, tu fis ce choix. Celui de lui ramener le monde extérieur en sécurité chez lui, plutôt que de lui laisser l’espoir de sortir par lui-même.

La première fois où tu avais regardé le reste du monde via la porte qui s’ouvrait, tu t’étais sentie tétanisée de peur… Avant de te rappeler une chose, une seul :

Où va l’homme ? Où son coeur l’appelle…

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