Attack on Titan
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❀ Kaelyne - L'homme regarde, la fleur sourit
Kaelyne A. Wrench
Kaelyne A. Wrench
Kaelyne A. Wrench
+ MESSAGES : 48
Kaelyne A. Wrench
Jeu 16 Avr - 15:27
Nom ▬ Wrench, un nom qui a donné des homems aux armées depuis toujours. Prénom ▬ Kaelyne, peu commun vous lui direz, et elle sourira doucement en remerciant maman pour ce cadeau. Ton deuxième prénom c’est Ally, d’ailleurs. Surnom ▬ Ely, Ally, Kae, on en a toujours des nouveaux. Age et date de naissance ▬ 1er Avril, tu as maintenant 25 ans. Lieu de naissance ▬ Trost Métier / Corps de l'armée ▬ Soldat pour l’exploration, mais ce n’était pas le premier plan. Statut social ▬ Moyen-pauvre Orientation sexuelle ▬ Heterosexuelle Situation ▬ Seule, tu es encore persuadée que si tu présentes un homme à ton père, le pauvre va finir avec un poing dans le nez. Groupe ▬ Bataillon d'Exploration

Caractère ▬
Il y a toi.
Tu es solaire. Tu ris, tu souris, tu chantes, et Bon Dieu, qu’est ce que tu parles. Tout le temps, tu ne t’arrêtes pas souvent, ou alors juste pour reprendre ton souffle ou tes pensées. Ça peut en saouler beaucoup, certainement. Mais tu as un tel bagout et une telle envie de partager tes pensées, tes questions ou tes remarques, que beaucoup finissent par fondre devant toi. Dans le fond, pour beaucoup de citoyens et de soldats fatigués et harassés, ta parole est une forme de divertissement, parfois même d’espoir.

Il y a ta famille.
La fille de ton père, forte et courageuse. Tu as un caractère trempé, dans une gangue de douceur. Tu es ce genre de fille qui semble calme et fragile, mais qui peut vous empoigner un homme par le col sans prévenir. Tu n’as pas peur des humains, même si tu sais qu’ils ne sont pas tous bons. Tu n’as pas peur de la mort ou de la maladie, même si tu luttes contre. Vraiment, malgré ton jeune âge, tu es sacrément forte, Kaelyne.

Il y a ta nature.
L’intelligence, une caractéristique que ta mère a fait fleurir chez toi. Alors oui, tu l’es, à ton niveau, sur tes domaines. Qu’on te demande comment tuer du gibier ou comment remonter une arme à feu et tu risques de secouer la tête négativement parce que tu n’y connais rien. Mais quand on parle de soin, de plantes, de compréhension du corps humain, là, on a affaire à quelqu’un d’autre. Tu sais, jeune fille, tu as le nez pour ces choses-là. Parfois, il te suffit de regarder quelqu’un en ville, voir sa démarche, ses crispations de douleur, sentir son odeur, et tu comprends le problème. C’est une inspiration, vraiment. Mais contrairement à ta mère, tu n’as pas la chance de vivre dans un monde qui regorge de médicaments et de médecines, alors tu as fait de ton domaine les plantes. Et t’es vraiment une fille de la nature. Tu puises ta force dans les plantes et dans la verdure.

Il y a ce que tu es au fond.
Une enfant, qui a vu sa mère mourir sous ses yeux. T’es la gamine de l’apocalypse, t’as pas eu le temps de profiter de ta vie que tu étais déjà en plein cauchemar. Et qu’on se le dise, personne ne peut avoir une vie normale avec ce genre de traumatisme. Tu es l’entre-deux, née dans un monde que tu croyais en paix, grandi dans la course pour la survie, adulte dans un univers de guerre. Ça laisse des traces indélébiles en toi. Alors oui, tu as beau sourire et être solaire, au fond de toi, il y a une zone d’ombre immense. Le souvenir de ta mère est un orage. Chaque titan, un éclair. Et l’espoir a été soufflé par le vent de la tempête. Tu le sais, Kaelyne, dans le fond, tu es brisée.

Il y a ce que tu caches.
La peur. La colère. L’envie de te sortir de cet enfer, avec ton père. Le courage, parfois poussé à la témérité. Le besoin, de faire mieux, toujours. De sauver des vies. De trouver ta rédemption. De prouver que tu vaux autant que les autres. Les hurlements retenus la nuit face à tes cauchemars morbides. Les larmes qui te montent aux yeux quand tu vois des familles se rassurer entre elles, se soutenir. La violence, pour chaque fois qu’un soldat vient annoncer la mort d’un de ses compagnons.




Qualité √ Qualité


Petit plus ▬
❀ Tu adores ton père. C'est ton mentor, ton modèle, l'homme qui a été tout pour toi.
❀ Ta mère. Tu n'en parles plus depuis sa mort. D'ailleurs, tu as mis un moment à reparler après sa mort. A défaut de pouvoir en parler, tu cultives ce qu'elle t'a donné et tu le fais grandir.
❀ Même si tu ne te laisses pas faire, si tu ne le fais pas voir, tu as une peur bleue des titans.
❀ Tu parles. Bon dieu ce que tu parles, Kaelyne. Tout le temps, sur tout, avec tout le monde. Tu parles et tu ris. Tu as un sourire incroyable. On se le dit, en ville, personne ne résiste à ton charme solaire.
❀ Tu es végétarienne. Tu détestes voir qu'on tue des animaux. Toi, c'est légumes et fruits !
❀ Il t'arrive encore de faire des crises d'angoisses et des attaques de panique. Tu te détestes quand ça arrive et pourtant...
❀ Tu mens bien. Ça te tue mais c'est vrai.
❀ Si tu adores ton père, tu cherches à échapper à son contrôle de plus en plus. Pas pour lui faire du mal, mais pour lui prouver que tu peux t'en sortir par toi-même, qu’il faut qu’il ne s’inquiète que de lui, maintenant.
❀ Les plantes, on en parle ? C'est ta vie, ton univers. Tu connais tout sur le bout des doigts, tu apprends, tu comprends, tu transposes, tu analyses. Tu as la main verte. Tu es en ve dans la nature et la verdure. Parfois, tu as même tendance à prendre des risques pour une plante rare.
❀ T'as peur des orages. C'est idiot, tu le sais.
❀ Tu chantes aussi, on avait oublié de le préciser. Beaucoup. Ta voix est plutôt agréable.
❀ Tu t’es engagée pour de mauvaises raisons, mais tu ne changerais plus de vie maintenant, même si ça te terrifie à chaque sortie.
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Kaelyne A. Wrench
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Kaelyne A. Wrench
Jeu 16 Avr - 15:27
Histoire ▬
Papa et maman s’aimaient. Papa et maman t’aimaient. Et qu’est-ce que tu les aimais toi aussi.
S’il y devait y avoir un “il était une fois” à ton histoire, voilà les premiers mots que l’on lirait. L’histoire de ta vie, de ta naissance et des années qui ont suivi est celle de l’amour. Fille d’un couple incroyable, ton père militaire s’est retiré des forces de la ville pour s’occuper de toi et ta mère, médecin, a fait grandir bien des choses en toi. Et en tête de toutes ces choses dont on t’a couvert, il y a cet amour immodéré et incommensurable. L’amour d’une famille. L’amour d’une vie.

Pourtant tu es née au muvais endroit pour une vie de conte de fée. Les titans ont toujours été là. Tu étais trop jeune, trop naïve et bien trop protégée pour comprendre ce qu’il se passait. Si tes parents semblaient inquiets, tu n’en comprenais pas le sens et tu n’as jamais partagé cette sensation. Au début, tout du moins… Parce qu’avec les mois, ce fut toute ta vie qui changea. Plus d’école, juste ta mère pour t’enseigner ce qu’il y avait besoin de savoir. Et plus de sortie dehors avec des copains, juste ton père qui sortait et revenait sans un mot.
Il n’y a aucun âge pour vivre l’apocalypse et pourtant, c’est ainsi que tu as vécu ton début d’histoire.

Avec les années qui avançait, tu t’es montrée de plus en plus consciente du monde dans lequel tu vivais. C'est oour ça que tu les noyais de questions, et qu’on te répondait dans un souffle. Ce fut cet esprit critique et logique qui se mit en place. Poser une question, obtenir un embryon de réponses, argumenter dessus, trouver un peu plus d’éléments explicatifs, forcer encore la main. Ta mère, parfois, en riait, alors que tu te mis à asticoter ton père avec encore plus d’amusement.
Petite fille venait de toruver un jeu et une construction au milieu de la mort et du danger.

Et puis, la vie a repris et tu as grandi. Puisque tu avais grandi et que votre famille s’était engagée pour protéger la ville, ton papa a repris son poste parmi les incroyables hommes qui protégeaient le quartier. Ta maman a remis son savoir pour le bien commun et toujours accroché à ses jupons, tu as appris les premiers soins avec elle. En plus de continuer ton éducation, elle t’a transmis son savoir médical et elle a répondu avec le plus de précision possible à tes questions.
Les plantes sont devenues une passion au cours de ces années-là. Ça a commencé grâce à ta maman qui avait trouvé de la menthe sauvage et qui avait décidé de la faire grandir pour en tirer des feuilles pour des infusions et du jus pour soigner les rhumes. C’est toi qui as eu la belle chance d’être en charge de Mme Menthe. Et bientôt, tu t’es mise à faire grandir à peu près tout ce que tu as pu trouver autour de chez toi. Et il n’y a pas à dire, tu as la main verte.
De 11 ans à 18 ans, tu as fait grandir tant de plantes que ta chambre était surnommée la serre, et que tu t’es mise à sentir en permanence l’odeur des plantes, la chlorophylle ou les fleurs, selon le moment de l’année.

Après des années à grandir dans la douceur de ta mère et la force de ton père, tu as vu ton monde s’écrouler en quelques jours. Une épidémie s’est déclenchée dans un des quartiers les plus pauvres et t’a mère a volé à leur secours. Elle a disparu plusieurs jours et plusieurs nuit. Et un matin, quand elle a poussée la porte, tu as compris qu’il y avait eu un problème. L’épidémie était violente et en se donnant corps et âme aux malades, ta mère avait attraper le même mal.
Le monde s’est arrêté ce jour-là, sur ce regard qu’elle t’a jeté. Qui te hurlait de fuir et de la laisser derrière, mais qui te suppliait aussi de l’aider. Tu es restée là, à la regarder, sans parler, parce que le choc était si violent et si soudain qu’il n’y avait juste plus rien dans ton esprit. Du blanc, et des larmes. L’attente. Et tu t’es vue mourir avec elle, vraiment.
Mais ton père a débarqué au même moment, et s’il a eu la même réaction que toi, il a fini par intervenir. Il t’a enfermé chez les voisins, il a emprisonné ta mère à la maison, loin de tout et tout le monde, pour ne pas que le mal ne se répande dans Trost. Ton père, l’homme de ta vie, le héros de ton enfance, le protecteur en qui tu auras toujours foi, venait de se salir les mains du sang de sa femme bien-aimé et de ta mère innocente. Et tu sais ce qui a explosé dans ta tête, à cet instant-là ? Il m’a sauvée !

Et si tu t’es murée quelques jours, semaines, dans un silence obstiné, tu as fini par le refouler en toi pour reprendre la vie. Parce qu’un sourire pour cet homme, qui avait sali son âme à jamais, valait bien tous les cauchemars du monde. Et à partir de ce jour-là, Kaelyne, tu n’as jamais pu effacer de ton esprit que tout cela était ta faute. S’il avait commis l'irréparable, ce n’était que parce que tu avais été trop faible. Pour fuir, pour protéger ta mère ou pour la tuer toi-même.

Alors voilà, d’une histoire d’amour, nous terminons sur une histoire de vie et de mort. Ta vie, celle de ton père, et la mort de ta mère. Sur ce besoin de faire mieux. Sur ce choix d’aider les autres comme ta mère le faisait, avec la force et le courage de ton père. Et tu sais quoi, Ely ? Tu échoueras plus, parce que tu ne t’en donneras plus le droit.

C’est pourquoi tu t’es enrôlée. Tu avais 4 ans de retard sur les plus jeunes, mais tu l’as fait. Tu es devenue une guerrière à ton tour. Ton père n’a rien dit… en faite il t’a poussé à faire de ton mieux, il t’a aidé, il t’a même formé aussi. Son objectif t’es apparu limpidement le jour où tu as loupé les 10 premières places de quelques rangs. Tu as vu sa terreur et tu l’as senti te tirer par la main, vouloir te faire quitter l’endroit. Il voulait que tu sois protégée, loin de l’horreur du monde, avec les Brigades Spéciales.

Alors ce jour-là, tu as décidé pour toi, uniquement pour toi. L’exploration. Tu es restée devant l’estrade quand le Major a demandé à ceux qui le voulait de le rejoindre. Tu tremblais de peur, de froid, de colère, et tu les as rejoint.

Du haut de tes 23 ans, tu es devenue médecin pour ces escouades de combattants. Tu as vu des morts, mais tu t’es démenée comme une dingue pour les sauver. C’est comme ça que le regard de ce… de… Un caporal t’a vu à l’oeuvre et le lendemain, il t’avait muté dans son escouade. Pire, il t’a poussé dans tes retranchements, toujours plus loin. Il t’a fait peur, il t’a fait pleurer, parfois il a essuyer tes larmes et surtout, Kaelyne, Léandre a allumé un feu d’espoir en toi, en te disant que tu pourrais sûrement sauver tout le monde.

Et puis, récemment, après sa promotion, tu l’as vu se renfermer, et te regarder différemment. Tu n’as jamais sû ce qu’il se passait dans sa tête. Tu aurais voulu, presque fascinée par cet homme illisible. Jusqu’au soir où, il y a quelques jours, il est venu à ta chambre, il s’est penché vers toi, une main sur ton épaule. Et tu as cru que… t’as cru quoi, en faite ?

« Je t’envoie soigner une escouade qui en a bien besoin. Tu resteras avec eux… On se reverra vite, Kae. »

Et tu n’as pas compris qu’il voulait te revoir pour avoir des nouvelles. Tu as cru… tu ne sais pas.

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