Attack on Titan
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⊰ Laszlo Koenig - Darling the world it's alright
Laszlo Koenig
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+ MESSAGES : 237
Laszlo Koenig
Sam 11 Avr - 23:17
Nom ▬ Koenig Prénom ▬ Laszlo, plus difficile à écrire qu’à prononcer, d’ailleurs.  Surnom ▬ Lassi, ça c’était ta mère, Laz’, c’est les autres. Age et date de naissance ▬ 14 Février 516, tu as eu 35 ans cette année, et ça t’a fait drôlement bizarre. Encore plus quand tout le monde dans ta famille t’a demandé si tu allais quitter l’armée pour te caser. Lieu de naissance ▬ Trost. Métier / Corps de l'armée ▬ Soldat des bataillons d’exploration, escouade Bailey Statut social ▬ Ni riche ni pauvre. Orientation sexuelle ▬ Demi-sexuel, c’est sûrement ce qui se rapproche le plus d eton fonctionnement. Situation ▬ Célibataire, aveugle aussi il paraît. Groupe ▬ Bataillon d'Exploration

Caractère ▬
Est-ce que tu as déjà dit combien tu aimais la peinture ? En faite, tu ne sais pas peindre, même pas dessiner, mais quand tu marches dans les rues, que tu vois les quelques échoppes d’artistes, tu t’arrêtes toujours. Et pour cause : tu adores les couleurs. Tu es… ouais, tu es de ces hommes qui ne peuvent vivre en gris. Toi, tu es une explosion de teintes, de variations et de luminances. On pourrait même te résumer à ça, tu vois.

Jaune.
La couleur du soleil qui brille dans le ciel. Celle de ton caractère aussi. Tu es un soleil, sur terre, incarné dans un corps d’homme. Tu as un sourire incroyable, lumineux, et souvent tu te dis que tu peux tout régler avec le bon sourire. Rassurer, motiver, t’excuser, partager. Alors oui, Laszlo, tu es quelqu’un a qui les teintes lumineuses et chaudes vont bien, parce que cela se corrèle avec ton caractère. Tu es joyeux, tu es rassurant, tu veux voir le bon dans chacun.

Vert.
T’as lu quelque part que le vert, c’était la couleur du destin. Pour toi, ce vert-là, c’est celui de cette incroyable poisse que tu te tires parfois. Cette maladresse dans les gestes. Le vert, c’est celui de tes vêtements quand tu arrives encore à te faire un croche-pied à toi-même et que tu fais de ses chutes dans l’herbe. C’est celui de ton caractère si naturel que tu ne mens jamais sur ce que tu es. Tu es tel que Mère Nature t’a fait, et tu l’assumes.

Blanc.
Celui qui protège et qui rassure. Le blanc des nurses, le blanc d’une femme qui s’occupe de ses marmots. Celui de tes cheveux si tu deviens vieux, un jour. Tu es protecteur, tu es sincère, et tellement doux. Beaucoup te voit justement comme une de ces créatures sans teinte, sans gout, parce que tu sembles trop bon et trop loyal. Mais la vérité c’est que tu incarnes simplement cette douceur que tu offres à ceux que tu aimes.

Gris, noir, marron.
Tu en as des petites choses en toi, plus sombres, plus dérangeantes. Tu n’es pas toujours calme, parfois tu te montres explosif. Si tu défends quelqu’un, tu te laisses souvent emporter dans ta volonté de bien faire. Tu oublies souvent de réfléchir avant de parler, ça laisse la porte ouverte à de drôles de dialogues. Tu crains pour ceux que tu aimes. Tu refuses de regarder l’avenir de peur de ne pas t’y voir. Tu te voiles la face, tu détournes la tête pour ne pas gérer ce que tu ne sais pas gérer. Comme tout le monde, tu n’es pas parfait.



Joyeux ⊰  Solaire ⊰  Préfère profiter de la vie que s’inquiéter du futur ⊰ Gauche, il casse beaucoup trop de truc ⊰ Parfois poisseux ⊰ Protecteur ⊰ Quelque fois explosif ⊰ Loyal et sincère ⊰ Sacrément aveugle quand il le veut ⊰ A tendance à ne pas voir les sous entendu qu’il peut dire ou faire ⊰ Pleins de petites attentions pour les gens qu’il apprécie


Petit plus ▬
⊰ Possède un panel de sourire qui frôle le ridicule. Il en a un pour à peu près tout.
⊰ Est très secret sur sa famille. C’est son jardin secret, et il ne les a jamais présenté à ses collègues. Il leur a même demandé de ne jamais être là pour leur départ/retour.
⊰ A un potentiel fleur bleu qu’il n’a jamais vu. Les autres semblent déjà plus s’en rendre compte.
⊰ Adore les jeux de logiques (type échec, go et autre truc de ce monde xD)
⊰ Parle à tout. Animaux, objet, lui-même. C’est adorable et étrangement flippant parfois.
⊰ Est végétarien. Ca fait bien rire tout le monde quand on sait qu’il tue les titans sans trop de vergogne.
⊰ Allergique au fraise. C’est balo, il adore ça.
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Laszlo Koenig
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Laszlo Koenig
+ MESSAGES : 237
Laszlo Koenig
Dim 12 Avr - 16:17
Histoire ▬
Trost, c’est là où tu es né. Quand tu rentres de missions, tu es toujours de ceux qui aident à ranger, à débarrasser les chevaux et les stocks, celui qui soulage les pères et mères de famille de leur part pour les enjoindre à rentrer au plus vite chez eux. Et quand il n’y a plus rien à faire, que tout le monde repart au QG ou chez lui, toi, tu te perds quelques heures dans les rues de ton quartier.

Tu aimes Trost, tu aimes l’ambiance de ses rues, tu aimes cette petite échoppe de plantes dont les odeurs s’étalent toujours à plusieurs mètres à la ronde, tu aimes la manière dont le soleil se lève et se couche contre le mur Rose, tu aimes les souvenirs qui remontent en toi.

Si tu as ce drôle de rituel, c’est pour te couper de la mission avant de rentrer. C’est l’une des choses que tu as choisi de faire quand tu as vu l’épouvante sur les traits de tes parents la première fois que tu es rentré de mission. Ils étaient descendus dans la rue, comme nombre de famille, et quand ils avaient croisé ton regard, tu avais lu le mal que tu leur imposais. Alors tu avais changé les règles.

Maintenant, quand tu rentres, tu ne les laisses pas descendre dans la rue. Tu as fait promettre et tes frères et soeurs de leur changer les idées, de sortir, de manger un bout et de passer du temps ensemble, jusqu’à ce que tu rentres. En échange, tu as promis de toujours rentrer. C’est utopique, mais vous avez tous fermé les yeux pour vous accrocher à l’espoir de cette parole.

Te voilà donc que remonte une rue un peu plus large que les autres, où les maisons s’appuient les unes contre les autres. Tu souris, tu adresses même un signe de main à une grand-mère que tu as connu tout gamin et qui essuie ses yeux de joie en te voyant. Ici vivent tes parents, mais chaque voisin, chaque famille de cette rue sont un peu des tiens aussi, parce que tout le monde se connait et se soutient depuis longtemps.

Tu t’arrêtes devant la porte de chez toi. Parfois, toi aussi tu te dis que tu aimerais bien entendre un cri de joie quand tu passes les portes. C’est ton côté un peu rêveur qui parle, ou fleur bleue sûrement, mais quand tu entends les rires de tes neveux et nièces et les paroles douces de ta soeur ainée, tu retrouves toujours le sourire.

Devant la porte, tu laisses ce que tu as vu dehors. Tu abandonnes les morts et les souvenirs difficiles. Tu pousses la porte, et dans le hall d’entrée tu entends déjà les cris de joie des gamins. Sans les regarder, tu défais toujours ton équipement, pour le ranger dans le meuble que tes parents t’ont libéré. Avec lui, tu ranges ton rang de soldat, ta discipline martiale et la certaine rudesse de la vie au grand air.

Tu finis immanquablement par te mettre assis sur ce petit banc qui n’a pas bougé depuis 35 ans. Ton père en a recollé un pied, ta mère a changé le coussin en laine, mais c’est tout. Tu te déchausses, tu enlèves ta veste du bataillon et enfin, tu ranges les nuages de ton âme au fond de toi, pour offrir un peu du soleil extérieur à tes parents, qui attendent juste devant l’ouverture qui mène au salon.

***

Tu es assis devant l’âtre à bois du salon, encore tardivement ce soir, Laszlo. Les petits dorment depuis longtemps, et tes parents qui vieillissent on finit par faire pareil. Te voilà seul avec ta soeur ainée (les autres frères et soeurs sont rentrés chez eux). Elle sirote une infusion face à toi, en regardant le reflet des flammes danser sur ton visage. Et elle finit par demander, lentement :

« Tu vas bien ? »

C’est toujours le même sourire qui éclot sur ton visage. D’une main tu viens attraper l’une des siennes et tu hoches la tête.

« Très. Je suis content que vous alliez tous bien !
-Ce n’est pas très difficile pour nous, mais toi tu…
-Chhht, Gaby, tout va bien. Cette vie me plait.
-Mais tu ne vas pas faire ça toute ta vie ! Tu n’as pas fondé de famille,  tu n’as pas d’amis, tu… »

Ta seconde main se pose en douceur sur les lèvres de Gabriele, toujours si inquiète pour toi, et tu finis par répondre quelque chose de nouveau :

« Mes amis sortent avec moi à chaque fois que je franchis les portes. Ma vie est avec eux. Et tu hésites, mais en voyant son angoisse, tu finis par reprendre. Un jour, Gaby, je vous les présenterai, mais laisse-moi être égoïste encore un peu et vous garder rien que pour moi. »

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