Attack on Titan
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Makhai †
Makhai Aedès
Makhai Aedès
Makhai Aedès
+ MESSAGES : 3
Makhai Aedès
Sam 11 Avr - 0:39
Makhai Aedès ft. Dawid Auguscik

Nom ▬ Aedès. Nom d'emprunt. Qui se prononce "Adès"
Prénom ▬ Makhai. Esprit des batailles et des combats.
Surnom ▬ Spike. Lorsque tu es sous ta forme de Shifter.
Age et date de naissance ▬ 27 janvier 817. 33 ans.
Lieu de naissance ▬ Dans un petit village pas loin des murs, où les habitants vivent principalement de la chasse, de la pêche et de leur culture.
Métier / Corps de l'armée ▬ Bataillon d'Exploration
Statut social ▬ Aisé
Orientation sexuelle ▬ Hétérosexuelle.
Situation ▬ Marié. Mais ce n'est qu'une façade.
Groupe ▬ Bataillon d'exploration.

Caractère ▬ Blasé. ▬ Ordonné. ▬ Discret. ▬ Inébranlable. ▬ Ironique. ▬ Loyal. ▬ Patient. ▬ Rancunier. ▬ Réfléchi. ▬ Têtu. ▬ A l'écoute.

▬ Ton nom Édès. Un substitut à ton véritable nom Khorne, connu entre les murs car porté par ton père, scientifique exilé. ▬ Tu es un Shifter. Tu te présentes sous les traits d'un Titan de 16 mètres remplis d'excroissances pointues que tu peux projeter ▬ Tu possèdes plusieurs tatouages. Trois pour être précis. L'un derrière ton oreille, le premier que tu as fait, celui qui en dit le plus long sur toi. Le deuxième sur ton poignet. Et le dernier dans le dos, le long de la colonne vertébrale. ▬ Tu as finis 7ème de ta promotion. Oh, tu aurais pu finir premier il n'y a pas l'ombre d'un doute. Mais tu ne souhaitais pas te faire remarquer. ▬ Ta mère est morte lors d'une épidémie. ▬ Tout n'est que façade. Tout n'est que masque. Tu t'es créer un personnage que tu joues chaque jour afin de t'approcher de ton but.
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Makhai Aedès
Makhai Aedès
Makhai Aedès
+ MESSAGES : 3
Makhai Aedès
Sam 11 Avr - 0:39
Histoire ▬ Menteur. Oui c’est cela. Tu mens comme tu respires. Depuis ton plus jeune âge. Tout n'est que façade. Tout n'est qu'illusion. Ce personnage que tu joues, ce caporal que tu es n'est qu'une carapace. Une carapace pour t'approcher du but qu'est le tien. Et c'est en pensant à cela que tu avances. Et c'est en pensant à ton village, c'est en pensant à la longue marche qui a suivi votre exil que tu t'avances vers l'autel, une frêle jeune femme à ton bras. Sourire. Oui c'est cela, souris. Accroche un sourire sur ton masque lisse et parfait. Sur ton beau visage de jeune marié. Sur cette jolie petite vie fictive que tu es en train de construire pour mieux te fondre parmi la foule. Né pour aider. Né pour venger. Peut-être aurais-tu aussi fait partie de l'Exploration dans une autre vie. Ou peut-être aurais-tu été un couard se cachant à l'intérieur de Sina. Pensant protéger ta misérable vie entre ses hautes muraille. Peut-être aurais-tu aider ton père, ce grand chercheur désirant aider le Prince. Aider le monde. Sauver les Hommes... Mais tout ceci n'est que vaste hypothèse. Chassés. Exilés. Vous aviez combattu. Vous aviez survécu. Au milieu de cet enfer, vous vous étiez entrainés. Vous aviez changé... Tu avais changé. La douce mélodie de la vengeance résonne enfin à tes oreilles, charmante sérénade... Le prêtre lance les quelques mots censés te lier à la riche héritière d'une famille de commerçants. Tu te tournes vers elle, bague au doigt, adoptant une attitude d'amoureux transi et béat devant une beauté fanée. La jeune femme te tend la main, les yeux emplis d'étoiles, et tu lui passe la bague au doigt tout en murmurant " Pour le meilleur. Et pour le Pire... "


Éphémère. Tes yeux parcourent la plaine. Sinistre. Les corbeaux chantent leur funeste mélodie. Ils tournent et planent. Formant un cercle en constant mouvement. Lugubre. Le silence est retombé après cette bataille acharnée. Le sang macule l'herbe. Macule ton équipement. Poisseux liquide rougeâtre qui s'incruste dans ton uniforme, qui ressort sur ta chemise blanche. Mains vermeilles, collantes. Luisantes du sang de tes hommes. Tu es l'un des derniers debout. Mais tu n'es pas étonné. Car tu possèdes une chose que les autres soldats n'ont pas... L'odeur âcre et ferreuse emplit tes narines, te ramenant à la dure réalité. Remettant tes lames en place, tu avances le dos droit parmi les cadavres. Le vent charrie l'odeur des corps décharnées aux entrailles ouverts vers le ciel. Ici et là, tu retrouves quelques morceaux. Tchac ! Tu récupères méthodiquement les blasons. Fermes les yeux des rares bougres qui ont eu la chance de garder la tête sur leurs frêles épaules. Globes oculaires vidés de toute vie fixant des horizons lointains. Horizons qui te sont inconnus. Et tu marches. Foulant l'herbe haute et verte. Bijoux, bagues, mèches de cheveux. Tu récupères ce que tu peux, souvenirs chères aux familles auxquelles tu devras annoncer l'horrible nouvelle. Souvenirs éphémères faisant ressurgir des moments fugaces. Inutiles. Le passé est encombrant. Les souvenirs n'apportent que faiblesses. Les bribes d'informations et d'images emmagasinées dans ton cerveau ne t'ont servi qu'à te forger. Il ne sert à rien de les ressasser. Tchac ! Nouveau blason. Tu fais signe aux derniers hommes restant d'emmener le mort pour le porter sur le chariot. Puis tu glisses le morceau de tissu dans ta poche. Tu relèves le regard. Les corps des titans gisent devant toi, se décomposant lentement. La brise fait tournoyer la large fumée chaude s'envolant des masses gigantesques. Tu détournes bien vite le regard de ces corps difformes pour te concentrer sur ta tâche. Tchac ! Tchac ! Deux nouveaux insignes viennent s'ajouter à la petite pile qui forme ta nouvelle collection. Tu entends déjà le rugissement des villageois quand tu rentreras. Puéril. Et totalement stupide. A quoi cela sert-il de hurler. Tu n'éprouves aucune compassion pour ces familles ayant perdu un être cher. Ces mêmes familles vous ayant chassé hors de leur forteresse. Hors de ces murs entre lesquels il se sentent tellement en sécurité... Illusion. C'est lorsque les gens pensent que tout va pour le mieux que quelque chose vient briser leur rêve. Tout cela est pathétique. Tchac ! Nouveau mouvement de bras. Tes talons tournent sur la terre meuble pour faire fasse au nouveau corps. Ses yeux ternes te fixent sans te voir, et tu restes figé durant quelques secondes. Infimes secondes qui te paraissent pourtant durer une éternité. Légère hésitation qui fait naître en toi une question. Une question qui aurait pu remettre en cause tout ce en quoi tu croyais. Qui aurait pu remettre en question le but que tu t'étais fixé. Elle est là. Tu l'avais perdu de vue pendant la charge des titans. Oh. Tu n'avais pas donné cher de sa peau. Dès la première fois que tu avais posé les yeux sur elle. Pourtant tu l'avais prise dans tes rangs. Parce qu'on t'avais demandé de piocher des éléments pour ton escouade. Alors toi. Toi tu avais pioché ces quelques pions. Ces petits humains que tu considérais comme objet. Ces hommes et femmes qui n'étaient que pour toi, de la chair à pâté. Et pourtant. Pourtant elle te regarde avec de grands yeux. Ces grands yeux qui semblent sonder ton âme. Tu t'approches de cette petite poupée. Désarticulée. Petit jouet laissé traîné. Tu t'accroupis et tu fixes ses iris vertes qui déjà se recouvrent d'un voile blanc. Ta main se pose sur ses cheveux que tu replaces. Ton visage n'exprime aucune émotion. Pourtant, en ton fort intérieur, tu sens quelque chose. Un petit truc. Un tu ne sais quoi. Qui se déchire. Une toute petite chose. Dangereuse. Qui aurait pu te faire laisser tomber tes plans un jour. Peut-être. Parce qu'au final, ce soldat aurait peut-être pu te ramener sur un chemin plus droit. Plus joyeux. Parce qu'elle aurait peut-être pu être la seule qui t'aurait amener à changer d'avis. A te montrer une autre facette de la dernière cité des Hommes. Mais cet espoir était mort en même temps qu'elle. Sans que tu t'en rendes compte... Tchac ! Tu découpes lentement l'insigne. Jettes un dernier regard sur elle. Et te détourne. A se faire passer pour quelque d'autre, il arrive parfois qu'on se prend au jeu. L'amour n'est que pour les faibles. Au final. Il valait mieux pour toi que cette femme meurt. Brassée d'air. Froissement d'ailes. La silhouette noire se pose sur son bras et entreprend de piocher des morceaux de choix dans ses entrailles qui déjà se refroidissent. Le chariot s'approche, et avec lui, les soldats bien décidés à emporter ce dernier corps. L'oiseau tourne un bec menaçant vers les gêneurs mais il se fait bien vite chasser. Trois battements. Il prend son envol. Trois battements et il file, faisant passer une ombre sur ton visage alors que tu remontes à cheval sans un regard en arrière.


Le début de la Fin. Oui. C'est cela. Du haut de la haute muraille tu regardes le désastre qui s'étend devant toi. Ruines. Désolation. D'épaisses fumées se dégagent à quelques endroits, indiquant qu'un feu était allumé là, dans cette maison. Prête à accueillir quelques enfants pour le goûter. Mais au final ce sont ces enfants qui ont servi d'amuses bouches. Petits casse dale pour des monstres gigantesques. Shinganshina est tombé oui. Mais pas seulement. Maria a suivi peu de temps après. Et tu sais tout ce que cela présage... Ton visage n'exprime qu'une douleur et une peine feinte alors qu'à l'intérieur de toi, ton coeur bat à la chamade et tu jubiles. Oui, le moment est arrivé. Les derniers Shifters sont maintenant en place. Le macabre spectacle va pouvoir commencer. Déjà, les hurlements et les lamentations se font entendre. Tu les entends, derrière toi. Ces hommes, ces femmes. Ces vieillards et ces enfants. Ils ont tous perdu quelque chose en plus d'avoir perdu leur toit. Un membre de leur famille. Un membre de leur corps. Ils pensent avoir vécu l'horreur, mais ils ne savent pas ce que l'avenir leur réserve. Ce que VOUS leur réserver. Ces lamentations sont à tes oreilles une douce mélodie. Qu'ils pleurent oui. Qu'ils pleurent. Personne ne pourra les sauver maintenant. L'heure de la vengeance à sonné. Doucement vous allez les effrayer, les amener à penser qu'il n'y a plus aucun espoir. Car lorsque l'espoir disparait, la vie ne mérite pas d'être vécue, et ils accueillent la mort à bras ouvert...
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Makhai Aedès
Makhai Aedès
Makhai Aedès
+ MESSAGES : 3
Makhai Aedès
Sam 25 Avr - 23:48
#TA | Makhai Aédès |
Erin Mahon. ▬
Silas Athanasia. ▬
Psyche Argyre. ▬  
Léthé Horkos. ▬
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