Attack on Titan
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KA + life is so short.
Karhlya Koenig
Karhlya Koenig
Karhlya Koenig
« wings of freedom »
+ MESSAGES : 350
Karhlya Koenig
Mer 4 Jan - 13:47

Karhlya Ainsley
Ft.Marie Avgeropoulos.

Nom ▬  Ainsley, un nom qu'elle est fière de porter puisqu'elle l'hérite de son père qui avant elle, a servi dans les bataillons d'exploration. Prénom ▬ Karhlya. & honnêtement, elle ne s'est jamais réellement demander d'où lui venait ce prénom. Elle sait juste qu'elle l'aime bien. Surnom ▬ On peut lui en trouver plusieurs, Ka, Lya ou encore Lily. Mais finalement, chacun est libre de l'appeler comme il le souhaite dans une certaine limite. Age et date de naissance ▬ 4 Janvier de l'an 824. Un jour froid et neigeux, à une époque où les choses bien que désespérées semblaient pourtant bien plus simple qu'aujourd'hui. Lieu de naissance ▬ District de Trost, elle est y née et y à vécu jusqu'à ses 14 ans. Elle y est restée très attachée. Métier / Corps de l'armée ▬ Les Bataillons d'Exploration ! Une évidence pour elle qui n'a penser qu'a suivre les traces et l'oeuvre de son père. Statut social ▬ Moyen. Orientation sexuelle ▬ Hétérosexuelle, elle ne s'est jamais sentie attirée par une autre femme. Situation ▬ Célibataire, elle n'a toujours penser qu'a son "travail" et à sa mission. Il y a peu de place dans sa vie pour quelqu'un, et d'ailleurs, elle juge totalement inutile de songer à fonder une famille ou même de débuter une relation quand elle sait qu'elle risque sa vie tous les jours au milieu des Titans. Groupe ▬ Bataillon d'Exploration.
Caractère ▬On pourrait penser que Karhlya possède deux personnalités bien distinctes, en effet, la jeune femme à tendance à se montrer enjouée et souriante, parfois même d'humeur rieuse lorsqu'elle se trouve à l'intérieur des murs, et à adopter un comportement plus sérieux et un regard plus sombre lorsqu'elle en sort. En réalité, cela s'explique par le fait qu'elle tente par tous les moyens de ne pas s'empoisonner la vie à force d'images sanglantes et de pertes. Pour autant, elle sait reprendre son sérieux à l'extérieur, car elle sait bien que sa vie, et celles de ses camarades en dépend. ∞ Elle adore monter à cheval ! C'est quelque chose qu'elle redoutait avant sa première sortie, puisqu'elle trouvait ces animaux impressionnants...mais depuis, elle a apprit à adorer les chevaux et chevaucher dans les plaines malgré le danger, fait partie des choses qu'elle préfère faire. ∞ Elle garde son rêve d'enfant de voir un jour l'océan. Karhlya est pourtant réaliste, mais elle espère tout de même être toujours en vie et présente, lorsque le bataillon avancera assez dans les terres pour atteindre l'océan. ∞ Elle est effrayée devant chaque Titan qu'elle voit, surtout les déviants. Pourtant, si au début elle se laissait totalement envahir par la panique, aujourd'hui, elle a apprit à se canaliser et aime à dire qu'elle utilise sa peur comme une arme pour se donner du courage. ∞ Si on lui demande de citer un héros, un seul, elle donnera toujours le nom de son père. ∞ Elle garde précieusement l'écusson de son père, sur elle. C'est un souvenir auquel elle tient et qui lui rappelle sans cesse pourquoi elle a choisi les Bataillons d'Exploration. ∞ La première chose qu'elle fait en rentrant de chaque mission, c'est aller voir sa mère pour lui dire qu'elle est toujours en vie. ∞ Elle ne supporte pas les gens qui se permettent de manquer de respect au Bataillon d'Exploration. Pour elle, leurs moqueries sont incompréhensibles et elle a tendance à penser que ces gens là ne sont que des moutons, qui acceptent sans sourciller de se faire dominer. ∞ Elle a fini douzième de sa promotion, ce qui lui convient parfaitement puisque de toute façon, les Brigades Spéciales n'ont jamais fais parti de ses projets. ∞ Elle prend grand soin de son équipement, parce qu'elle sait que celui-ci peut lui sauver la vie. De même qu'elle met un point d'honneur à s'occuper de son cheval. ∞ Elle a placer toute sa confiance en la personne d'un Caporal. Elle est sous ses ordres depuis quelques années, et lui obéit presque aveuglement.
Et sinon, en dehors de ça je suis Clary, je suis un(e) fille/garçon et j'ai 25 ans bientôt. ! J'ai découvert le forum grâce à Je crois qu'il va falloir m'éliminer, si vous m'aimez, faites en sorte que ce forum soit le dernier n.n., et j'aimerais juste vous dire que ; J'aime ma Némé qui m'a encore suivie dans mes conneries. ♥.
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Karhlya Koenig
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« wings of freedom »
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Karhlya Koenig
Mer 4 Jan - 13:47


History
Une petite phrase de ton choix.
Il neige. Il neige tellement d'ailleurs que l'homme peine à avancer. Il n'y voit rien et le vent n'arrange pas grand chose, pourtant il se presse tout en cachant ses mains sous sa cape de voyage du mieux qu'il le peut. C'est le genre de journée, où tout le monde aimerait rester couché, un beau dimanche froid et enneigé qu'il aurait du passer avec sa famille au coin du feu mais voilà, sa fonction de médecin lui interdit de dire « non » à une urgence et une femme qui accouche en est une. Lorsqu'il aperçoit enfin la maison, un cri lui parvient aux oreilles et il comprend tout de suite qu'il est déjà en retard, alors il accélère encore, il court presque alors que ses pieds s'enfoncent dans la neige et le glace jusqu'aux os. Il se presse jusqu'à la porte et y frappe sans relâche jusqu'à ce que l'on vienne lui ouvrir et s'engouffre dans l'habitation, retirant aussitôt sa cape et profitant de l'agréable chaleur qui le saisit. « Oh docteur, vite, ma femme est en haut. » Il ne dit pas un mot, il se contente de monter l'escalier aussi vite qu'il le peut, il n'a qu'a se laisser guider par les cris pour trouver la chambre et il dépose ses affaires avant de s'occuper de la malheureuse en souffrance. « Il est déjà là ! Poussez, Anna, poussez ! » & alors que la femme s’exécute, voilà qu'il sourit en assistant au miracle de la vie. Il faut dix minutes à peine à la petite fille pour sortir du ventre de sa mère, dix minutes aux bouts desquelles elle se retrouve dans les bras du bon docteur qui coupe le cordon et l’enveloppe dans un linge chaud, avant de l'offrir à sa mère. « Comment s'appelle cette petite fille ? » demande l'homme, tout en baignant ses mains dans un bac d'eau chaude pour en retirer le sang. « Karhlya. »

***

« Dit papa, quand est-ce que tu m'emmènes voir la mer ? » Une heure à peine que l'homme était rentré chez lui, et pourtant, déjà la petite avait eu le temps de lui poser au moins dix fois cette question. C'était sa faute, il le savait bien, il avait parler à sa petite fille des légendes qui circulaient sur le monde extérieur, depuis, elle n'arrêtait plus. Les yeux brillants, elle ne cessait de répéter qu'un jour, elle verrait l'océan et qu'elle y plongerait pour nager avec les poissons. C'était une utopie, bien sûr, mais à quatre ans aucun enfants ne comprenait finalement l'horreur et la complexité de la situation. Un sourire vint éclairer le visage de l'homme, lui même n'avait jamais eu l'occasion de voir la mer, même en risquant sa vie en dehors des murs. « Un jour Karhlya, un jour je te le promet. » C'était une promesse qui ne pouvait pas être tenue, il le savait, pourtant il avait toujours était de ces gens trop pleins d'espoir et c'était ce qu'il voulait transmettre à sa fille par dessus tout. « C'est comment dehors, hein papa ? C'est beau ? » La petite brune grimpa sur les genoux de son père avant d'agripper son cou pour se blottir contre lui, les bras puissants vinrent se refermer sur son petit corps. « C'est magnifique. C'est la liberté, et je te souhaite un jour d'y goûter. » Il passait les détails sanglants de ses expéditions avec sa famille, lorsqu'il parlait de l'extérieur, c'était toujours pour décrire le sentiment de liberté et de bien être qu'il ressentait lorsqu'il sortait de ces murs.

***

Elle courait à en perdre haleine, elle continuait d'avancer malgré le point de côté qui la faisait atrocement souffrir. En entendant la nouvelle, elle avait tout lâcher pour rentrer immédiatement ; le Bataillon d'Exploration était de retour ! Son père allait rentrer à la maison, et elle voulait être là pour l'accueillir, pour qu'il la sert dans ses bras et qu'il lui raconte encore un fois à quel point l'extérieur était magique. A douze ans, elle avait perdu un peu de sa naïveté, elle savait bien qu'aller dehors était dangereux pourtant, elle ne s'en lassait pas, elle aimait écouter son père parler des grandes plaines qu'il parcourait à cheval. Elle poussa la porte de la maison et la referma à la hâte, une fois à l'intérieur elle tenta de reprendre son souffle du mieux qu'elle le pu et son regard se posa sur sa mère, assise dans un fauteuil devant la fenêtre. « Maman ? » Elle portait toujours son tablier de travail, sa vieille robe, elle n'avait pas prit le temps de se changer comme elle l'aurait fait habituellement, d'ailleurs, elle ne bougeait pas. Ne se pressait pas. « Maman, papa est rentré ! Tu n'as pas entendu ? » demanda t-elle. Mais alors que sa mère posait son regard sur elle, elle comprit que quelque chose n'allait pas. Le teint pâle, les yeux rougis, sa mère avait pleurer. Dans sa main, elle serrait un morceau de tissu, un blason ; les Ailes de la Liberté. Ce symbole que son père chérissait tant et qu'il portait avec tant de fierté. « Ton père...ton père ne rentreras plus, Karhlya. »

***

« Hors de question ! » Elle n'arrêtait pas de le répéter. Trois fois déjà, en deux minutes à peine, mais peu importe...sa décision était prise depuis bien longtemps déjà. C'était comme ça. « T'as pas le droit de m'en empêcher et tu le sais. » De toute façon, elle trouverait bien le moyen d'y arriver, avec ou sans son consentement. Du haut de ses quatorze ans révolus, Karhlya était une jeune fille des plus têtue, elle était pleine d'énergie et surtout, elle était du genre déterminé. Le portrait de son père. Bien ce qui effrayait tant sa maman. « C'est dangereux, Karhlya ! » Comme si elle ne le savait pas. Elle n'était pas idiote, même l’entraînement était risqué, mais ce n'est pas ça qui allait la faire changer d'avis. « Mais c'est ce que je veux ! Je suivrais l’entraînement maman, et j'entrerais dans le bataillon ! Je porterais les Ailes … comme papa. » Le corps de madame Ainsley se raidit. C'était comme ça depuis la mort de son mari, Karhlya n'avait jamais cesser de rêver de suivre ses traces. Elle voulait sortir des murs, elle voulait la liberté dont lui avait parler son père, elle voulait ressentir ce sentiment étrange dont il lui avait tant parler. « Mais ton père et mort ! » Sa voix venait de se briser. Ce bataillon, cette vie, tout ça … ça lui avait pris son mari, et maintenant ça allait lui prendre sa petite fille, sa chair. « Moi je ne mourrais pas. Je verrais l'océan ! »

***

« Il y de grandes de chances que vous ne surviviez pas, lorsque vous quitterez la sécurité de ces murs pour la premières fois. Des grandes chances. » Elle se souvenait parfaitement des paroles prononcées ce jour-là. Beaucoup avait fuit. Ils avaient pour la plupart rejoins la garnison pour éviter de prendre des risques que beaucoup trop jugeaient « inutiles », mais elle … elle, elle était restée. Elle avait camper ses positions jusqu'au bout et maintenant, elle se retrouvait là. Assise sur ce cheval qui paraissait d'un calme olympien, alors qu'elle peinait à se souvenir de toutes les instructions et du plan de la formation. Elle s'en était toujours bien sortie, tout le temps. Elle n'était sûrement pas parmi les meilleurs, mais elle s'en était tirée et elle avait atteint son objectif...d'ailleurs, d'ici quelques secondes elle allait atteindre le second : quitter les murs d'enceinte. Sortir. « T'as peur ? » lui demanda l'homme à côté d'elle. Son regard se posa sur lui, il regardait maintenant droit devant lui. Il était aussi calme que les chevaux qui les portaient. « Je suis terrifiée. » avoua t-elle avant de soupirer. « Tant mieux. C'est ce qu'il faut. » Elle fronça les sourcils avant de fixer son regard droit devant elle. La porte était maintenant totalement ouverte. « Bataillon, en avant ! » Les chevaux se mirent à hennir à l'unisson, et la formation quitta enfin le mur d'enceinte. Karhlya serra la bride entre ses doigts alors que devant elle, apparaissaient les plaines. La formation se sépara enfin et l'homme qui se trouvait auparavant à ses côtés vint se placer près d'elle. « Allez soldat, pousse moi un peu ce cheval, et ouvre l’œil !» Elle accéléra alors afin de s'adapter à sa vitesse...puis elle leva les yeux. Elle y était. Elle dehors, et alors que le vent faisait virevolter ses cheveux, elle se mit à le sentir. Ce sentiment. Cette liberté. Cette sensation de pouvoir voler...

***

« Oui Madame, désolé Madame ! » Karhlya soupira lourdement tout attrapant une sangle qui dépassait de l'équipement de cet jeune recrue qui se tenait devant elle. « Arrête de m’appeler Madame. » dit-elle. Après tout, elle et lui était au même rang. Malgré ses années de service, elle n'était qu'un soldat et cette place lui convenait parfaitement. Tout ce qui la séparait de ce jeune homme, c'était l'expérience. Le temps qu'elle avait passer dehors, à galoper pour échapper aux Titans, le nombre de ces choses qu'elle était parvenue à éliminer aussi. Elle tira d'un coup sec sur la sangle pour la resserrer correctement, avant de monter à cheval. « Dépêche toi. En pense à serrer ton harnais, si ton équipement se détache tu mourras. » Elle avait dit ça tellement sèchement qu'elle s'en étonnait elle-même, mais il le fallait. Être douce de l'aiderait pas et son but premier était de voir un maximum de soldats rentrer en vie. « Désolée madame...je panique je crois. » Elle reposa les yeux sur lui alors que signal était donné. Elle était passée par là. « C'est bien d'avoir peur. » dit-elle avant de lancer son cheval au galop.

***

Elle sortit immédiatement son pistolet, puis fouilla une pochette pour sortir une fusée de couleur noire qu'elle engagea dans son arme avant de la tirer en l'air. Le signal était clair maintenant, Titan déviant repéré, là juste devant elle et cet jeune recrue qu'elle voyait s’agripper à la bride de son cheval. Elle-même sentait la peur l'envahir, la peur qui ne la quittait jamais lorsqu'un Titan apparaissait mais qu'elle avait apprit à utiliser. Elle détourna les yeux les poser sur ce déviant au moment même où ce dernier semblait prendre de l'élan. « Il saute...il saute ! » hurla t-elle. « Déportes-toi à droite ! DROITE ! » Elle tira sur la bride afin de se déporter de son côté alors que le Titan atterrissait lourdement, emportant son compagnon d'un simple coup de mâchoire. Karhlya avala difficilement sa salive. Des hommes elle en avait déjà vu mourir, pourtant, alors que le sang giclait la rage s'emparait d'elle. Première sortie et voilà qu'il mourrait à ses côtés. Elle lâcha alors la bride de son cheval et ses mains se posèrent sur ses lames alors que son crochet vint se planter dans les briques d'un vieux silo abandonné. Hors de question que ce Titan fasse plus de victimes aujourd'hui.

***

« Quoi ? » Répéta t-elle incrédule, espérant de tout cœur avoir mal comprit l'information. « Shinganshina est tombé ! Le mur Maria est percé...enfin, vas-tu te décider à t'équiper ? » Karhlya resta figée un moment. Un Titan à l'extérieur, c'était impressionnant mais l'espace autour de lui ne l'était pas. Ces choses courraient sans prendre garde à ce qui se trouvaient sous leurs pieds, ils dévoraient des êtres humains à la pelle...et alors que l'information semblait enfin être rentrée, elle peinait à s'imaginer ne serait-ce qu'un seul Titan lâché en pleine ville. Alors des dizaines...le bilan devait déjà être affreux. « Ouais. » Elle se décida enfin à attraper son équipement, attachant chacune des sangles rapidement, mais avec minutie, avant de fixer ses lames, son gaz, ses crochets. C'était bien la première fois qu'elle sortait tout ça tout en sachant qu'elle ne quitterait pas l'enceinte de ces murs...et cette simple constatation lui arracha un frisson.
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